Frédérick Diot a écrit 303 commentaires

  • # Question oubliée

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Il y a encore une question que j'ai oublié de mentionner.

    Pouvez-vous me donner un lien d'un film "libre" (ou court métrage)

    Par court métrage/films, j'entend que le film soit d'assez bonne qualité pour être projeté (au sens mise en scène, technique etc...). Pour éviter que le principe soit utilisé dans le cadre d'une promotion buzz plus que par soucis éthique.
  • [^] # Re: Rhooo!

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Ne te sens pas obligé d'être méprisant.

    Alors Méa-Culpa, je n'ai pas d'exemple, et j'en déduirai que je me suis fourvoyé sur la compréhension que j'en ai eu.

    Cela dit, encore une fois, une oeuvre n'est pas un logiciel.
    Une oeuvre , et je parle cinematographiquement parlant puisque c'est l'exemple que je connais le mieux n'est pas un logiciel.

    Un court métrage se finance entre 1000 et 15 000 euros, donc je vous demande pas un modèle économique, mais si je n'applique pas la politique commerciale qui est libre selon moi puisque n'impliquant aucun frais sur diffusion/copie/modification (50% voir plus du revenu d'une oeuvre cinematographique), je vois mal comment je peux au moins rembourser l'oeuvre.
  • [^] # Re: Rhooo!

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    http://www.blender3d.org/e-shop/product_info.php?products_id(...) voila le lien pour acheter une copie payante d'une œuvre sous licence libre, qui a déjà été vendu à plus d'un exemplaire et que je t'encourage à acheter (si tu as un lecteur DVD).

    C'est un mauvais exemple, le DVD de blender fourmillent de contenu. Or un film ne peut pas toujours d'entourer d'autant de bonus si "UTILE". L'interet d'un making of/scène coupée est souvent franchement discutable, alors que les bonus de blender sont quand même beaucoup plus attrayant pour ne pas partir de rien en ne téléchargant que le logiciel.

    Pour les logiciels libre qui nécéssite un achant de licence, il me semble bien que Cedega possède ce principe.
  • [^] # Re: Rhooo!

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Il reste a trouver/prouver que l'art libre à un modèle économique viable (et a mon avis c'est plus facile pour les arts vivants que les arts numérique).

    C'est également mon avis, et j'élargirai la notion de "art vivants" à "performance artistique".
  • [^] # Re: Rhooo!

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 1.

    Je pense que tu devrais relire, et comprendre ce que je te dis en fait.
    Je connais bien la GPL, je connais très bien la copyleft. Et je connais de nombreux exemple de logiciel qui se vende avec une licence libre et qui ne confère pas le droit d'offrir ce logiciel en licence libre "publique".

    L'obligation de la liberté dans mon exemple se retrouve dans le fait que si mon client fait une seconde utilisation de la création (fork en autre terme), il sera OBLIGE de le vendre sous sa licence libre (c'est a dire exoneration des droit sur diffusion/copie et autorisation des modifcation).

    Alors oui, rien ne m'empèche de vendre UNE copie qui ensuite s'autodiffusera via l'acheteur tiers (comme on a vendu le code de Blender finalement), mais c'est raporter l'idée à un travail de mécène : une personne achète l'oeuvre et ensuite la met en domaine publc (sans même passer par les licences libres, ça n'a plus d'interet réel).

    Dans ce moi, je j'ai aucun interet à mettre un licence libre payante puisque le premier acheteur sera le dernier. Autant que je mette comme condition de recherche une financement sur production avant de l'offrir au domaine publique.
  • [^] # Re: Rhooo!

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Sauf que,

    L'acquisition de la licence libre, ne l'autorise pas forcement à la commercialisation de cette même licence.

    Ce que je veux dire, c'est qu'il peut

    - distribuer
    - copier
    - modifier

    Mais en aucun cas, ne peut prêtendre à offrir voir vendre une licence libre. Il peut distribuer : commercialisation / ou copie simple du film, le diffuser (salles, télévision etc..), le modifier pour en faire un "fork".

    Mais il ne peut pas "vendre une licence libre". Il est mon "client", et ne peut pas créer lui "un autre client de licence". Il obtiens juste une exploitation libre de l'oeuvre.

    SAUF si, il crée son fork - donc qu'il crée un produit artistique nouveau (chose qui peut être aprécié par la compétence d'un juge en cas de litige) et dans le quel cas, il pourras vendre une licence du produit toujours sous sa licence libre.
  • [^] # Re: je ne pense pas

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Et donc, qui de ma question ?
  • [^] # Re: Rhooo!

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Tu peux publier des œuvres au prix que tu veux, si tu les publies sous les conditions d'une licence libre, elles sont libres.

    Donc, une personne qui diffuserai/ Reproduirai (au sens législatif du terme) / modifierai mon oeuvre sans l'avoir acheté serait donc en tort.

    Sinon à mon avis tu veux parler de la licence art libre, l n'existe pas à ma connaissance de «licence libre artistique».

    Je parle de la licence copyleft, qui s'auto-intitule licence art libre
    http://artlibre.org/
  • [^] # Re: je ne pense pas

    Posté par  . En réponse au journal Encore un journal sur le "Cinema Libre". Évalué à 2.

    Si je cerne bien, si je rend mon oeuvre libre, je peux faire payer pour cette liberté. Comme on paye pour un CD dans la production rempli de son, pour les utiliser autant de fois qu'on veux (exoneration des droits d'utilisatio quoi).

    Si je rend la distribution libre, c'est à dire liberté de diffusion (exonération des droit de diffusions), de copie etc... ou puis je rentabiliser la production de mon oeuvre ? et "pire" comment puis-je en vivre ?

    Si je rend mon oeuvre libre de modification, je peux pourtant faire payer mon oeuvre (et 1500 euros pour un court métrage modifiable, je peux vous certifier que c'est bien peu pour la moyenne). toute personne qui fera l'acquisition pourra le modifier à volonté, recréer le film, prendre des extraits etc...

    Vous voyez ou je veux en venir ?
  • # Oui mais..

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 2.

    ... Charles Manson aime aussi les Créative Commons

    (c'est vendredi)
  • [^] # Re: Essaie un microdrive

    Posté par  . En réponse au journal CompactFlash comme HDD, rapide retour d'exp. Évalué à 4.

    Et qu'est ce qui vaut mieux alors pour ce genre de système ?

    Sd ? mémory stick ?
  • [^] # Re: Essaie un microdrive

    Posté par  . En réponse au journal CompactFlash comme HDD, rapide retour d'exp. Évalué à 2.

    Compact Flash 2, c'est pas 90 mo/sec théorique ?

    Enfin je sais pas, en fouillant un peu ça n'a pas trop de mauvaise qualité a coté de la SD.
  • [^] # Re: Essaie un microdrive

    Posté par  . En réponse au journal CompactFlash comme HDD, rapide retour d'exp. Évalué à 2.

    Quel est le désavantage ?
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 3.

    Oui,

    Un logiciel libre ça permet d'éviter de tout refaire depuis la base. La construction d'un logiciel est fonctionnaliste, celle d'une oeuvre est artistique, on est pas du tout sur la même longueur d'onde.

    Et autant on peut ajouter des fonctionnalitée à un logiciel, autant une musique on ne peut pas rajouter des paroles, des mélodies sans détruire l'intention du groupe d'origine.

    il y a pas de MIEUX en musique, sauf dans l'aboutissement du morceau, mais ç'est très caduque que ça soit fait par une personne qui ne connait rien du groupe, qui y est complètement étranger.

    J'ai beaucoup de mal à croire que vous ayez du mal à le comprendre.
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 1.

    C'est bien sur l'exception qui confirme la règle, c'est à dire, la ré-édition qui defois prend des allures plus marketing qu'autre chose. Rien que pour la remasterisation pour sortie DVD.
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 2.

    Oui c'est clair. Plus je lis ses intervention plus je trouve ça infondé, mal documenté et sujet à d'énorme apriori et méconnaissances sur les systèmes economique, les principes de litteratures etc..

    Pour le signifiant/signifié, j'ai fait ma licence de com, j'ai bouffé de la semiotique pendant des années, et lire ce genre de truc :

    La différence que je fais c'est que la signification, c'est le sens exact de l'information tel qu'elle à été codé. Le signifié, c'est ce que l'on veut transmetre, le signifiant c'est le comment on le transmet, et le contexte c'est l'environnement dans lequel on transmet. Si je t'enlève un des éléments, tu perds la signification, mais nécessairement le signifié. Un exemple simple et archi connu, c'est la citation hors-contexte : tu as une phrase avec un signfiant et signifié, mais sortie de son contexte tu peux très bien interprété une signification totalement différente.

    .. me fait penser a des grosses lacunes sur la connaissance de la réel signification justement de ces termes, de ce qu'ils entrainent. Sans parler des différent courant de pensée.. tout ça.. mais c'est HS
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 2.

    Ta dernière remarque est d'une étourdissante bétise. Mais passons.

    Pour ta contribution parole... oui d'accord, tu as fait une nouvelle musique meme si la modification est partielle, tu es donc co-auteur d'une musique bénévolement dont tu ne pourras jamais vivre. C'est bien ! ça peut donner e très bon resultats.

    Sauf que une personne dont c'est la passion, et qui veut en faire un metier, ça ne marche pas comme ça. Il faut trouver des revenus, faire valoir son travail, et quand on compose, crée, on le sent tout de suite.

    Je suis assez près professionnellement de ce domaine, et ça parait très vite évident, jamais loin de l'envie de toujours partager sa musique c'est pas la question.. mais le fait que quand on compose, ou co-compose on veut faire sa musique, et la licence libre est hors-sujet.

    C'est vrai, pour ta musique là pour prendre l'exemple, tu aurai pu très bien demander l'autorisation cordiale. Il aurait refusé ? peut être, une personne qui met bcp de sa personne, beaucoup de son temps et de ses moyens dans une chanson n'a pas forcement envie de la voir transfigurer par une autre personne qui veut y apporter autre chose...

    c'est pour ça que pour moi c'est un non sens. Quand j'écris un court métrage, je veux apporter quelque chose. Et si quelqu'un a autre chose a dire, qu'il écrive ! rien ne l'empeche de s'inspirer, mais prendre des bloc de mon travail, je le vivrais comme une sorte de viol, parce que mon travail avait un sens, le siens un autre. on n'optimise pas un travail artistique, ce n'est pas un logiciel.
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 2.

    Et je pense tout simplement que c'est parce que tu n'es pas dans un domaine créatif, qui produit des oeuvres, ou qui tente de s'y approcher. Que comme ton site le laisse présager, tu fais parti de ces gens qui brasse la culture, qui trouve sa légitimité dans une centralisation et donc permise beaucoup plus facilement par la "culture libre" qui n'est qu'un tremplin pour une utilisation plus conventionnelle.

    J'ai également fait un annuaire des sites proposant du contenu libre, tout en sachant pertinemment bien que la portée n'étais qu'éducative, et rarement artistique en soit.

    Dire qu'une œuvre n'est qu'une capture mouvante qui se transforme au grès du récepteur n'est qu'un concept philosophique qui s'éloigne énormément de l'utilité d'une licence libre pour une oeuvre (des qu'on attribue une licence, ce n'est plus une fugace philosophie, c'est un acte juridique).

    J'aime l'idée qu'une personne puisse diffusé ce que je fais librement, même si j'aime qu'il me demande la permission, c'est plus poli. Mais je sais que si je veux vivre de ça quand je me sentirai professionnel et dans un contexte de média diffusable, ça sera évidement autre chose.

    Tu me récite des théories qui se veulent hyper ouverte - qui dont par définition serai très mal vue d'être contredite - mais ces théories de l'art ne sont que des manière de voir comment on reçoit l'art. C'est un peu comme si je discutais des sensation que j'éprouve en conduisant une voiture dans un débat qui veut savoir si on peut se servir librement de voiture.

    Il y a un fossé dimensionnel entre les deux.

    Si tu veux parler reception, oui les oeuvres inspirent d'autre oeuvre exactement. Mais pas besoin de licence libre (ça m'empeche pas de trouver les droit d'auteur post-mortem imbuvable, ou les excès des droits diffusion, bien que la lois française est plus permissive qu'il y parait), la licence libre en pratique de prendre une musique (sous licence libre par exemple) de prendre un musique de refaire une chanson avec... ben oui on peut le faire de nos jour, oui il faut payer, parce qu'un autre avant toi a payé aussi pour finaliser le fruit de son travail.

    Arrète de te lancer dans ces grandes proses se voulant humanistes, ça s'éloigne tellement du sujet initial que tu perds toi même le centre du sujet, c'est a dire : quel interet d'avoir une licence aussi permissive que la GPl pour une musique, une vidéo, ou une image (photo/peinture etc..) ? tu as toujours pas répondu en pratique .. dans une de tes réponses, tu demande en quoi trop philosopher pourrait être nefaste ? ben simplement que quand tu parles, il y a rien d'applicable, il n'y a que des concepts fantomatique, bien entendu qu'on ne peut pas contredire, ce sont des idéaux fantastique la culture, le fantasme de la stimulation sociale sans limite..

    Mais concrètement, rien.

    Et tout ça, j'espère que tu veux bien le croire, sans offense.
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 2.

    Tu parles de culture, d'oeuvre comme une notion abstraite détaché de tout. Comme un fantome.. pourtant une oeuvre c'est un produit audiovisuel, musical, pictural qui se suffit à sa production.

    Et pour qu'on parle d'une production, il faut que il y ait un objet qui est.. terminé. Après que chacun flane son imagination culturel sur le panel culturel.. libre à chacun.

    Mais là on parle de licence libre, et dans la pratique, pas dans une conception idéaliste et fantasmé de la culture.

    Je ne mettrais pas mes création sur une licence aussi permissive que la GPL, parce que artistiquement je trouve que c'est un non sens.
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 2.

    >Franchement je doute que cette dime paît la production des œuvres, même en incluant le prix des horraires de travail des artistes (ce qui, nous sommes bien d'accord, tout à fait normal), les bénéfices sont largement trop important.

    Et bien moi je suis pas d'accord, je trouve ça trop simple. Cette vision joue le jeu de la spéculation artistique, de l'offre de la demande qui recompense n'importe qui au prix du n'importe quoi.

    Pour l'histoire du brevet, n'importe qui peut s'approprier un concept ou un objet pour le transformer avec peu en s'appropiant via le droit d'auteur et la castrer la création a partir d'une partialisation des objets les plus simple.
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 2.

    >Franchement je doute que cette dime paît la production des œuvres, même en incluant le prix des horraires de travail des artistes (ce qui, nous sommes bien d'accord, tout à fait normal), les bénéfices sont largement trop important.

    oui, comme je te disais, comme tout système, il a ses tort et dérive sur un capitalisme frileux et elitiste.

    Cela dit je parlais plus en terme de créateur, finalement les musicien sont plus les technicien. Donc en musique je parlerais plus de compositeur, ça peut être les membres d'un groupe de musique qui jouisse du droit d'usufruit.

    Et oui, bien sur dans une major, cette dernière s'approprie ça.
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 2.

    >Une œuvre c'est un peu comme un enfant. Au départ tu la mets au jour, >et tu commences à la façonner. Mais l'œuvre bien qu'émanant de tes >actions, est indépendante de toi. Demain d'autres viendront s'en saisir, >l'aimeront, peut être plus que toi, et cela engendrera de nouvelles >œuvres.

    Tu confonds chemin, reflection et maturation artistique et oeuvre. Construire son art, évoluer artistiquement passe par la conceptions et la création d'oeuvre.

    Dans un milieu de diffusion, cela passe par un nombre d'intermédiaire, et un combat entre "imposition de sa touche" et "accepter l'influence d'avertis qui ont du recul" - combat défois en défaveur de la production finale (pour ne pas dire le mot honteux : produit).

    L'exemple de "Born to be alive" est effectivement le bon exemple, sauf que, pour moi, tu te trompe de dimension. C'est par cette confrontation qu'il y a eu influence. Surtout que l'auteur n'as jamais vraiment eu de parcours artistique "prononcé" par la sortie ponctuelle de nouvelle oeuvre (au sens législatif du terme).

    Donc oui, tu peux utiliser l'image de l'enfant" mais pas sur l'oeuvre terminale (sauf si tu parles oeuvres au terme oeuvre d'une vie bien entendu)..
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 1.

    Ce n'est pas un parasite, c'est un rétro-financement. Tout le système économique du cinéma est basé dessus, même le système audiovisuel.

    Forcement, quand on parle musique, on pense que c'est plus "facile", un cave, un pc, des musicos bénévoles, et donc on trouve ça méprisable.

    Aussi je concluerai que tu ne dois pas être un artiste qui essaye de vivre avec sa création. La "dimes" comme tu l'appelles doit constituer a minima 50% du revenu d'un artiste pour qu'il puisse continuer à s'excercer sans passer par des jobs parasites.
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 1.

    >C'est pourquoi vouloir fixer une signification immuable à une œuvre, c'est vouloir contrôler l'esprit de son prochain.

    Je pourrais également dire l'inverse dans une vision Baudrillardienne. Autrement dit, vite fait, que les spéculateur artistique dont l'art contemporain fourmille réussissent très bien à détruire la frontière entre l'art et le non art, en simulant l'art, là ou il n'est pas, l'art comme medium et non comme contenant (par exemple la poubelle si tu veux).

    En simulant, en créant le symptôme universel artistique sur un objet quelconque, il n'y une sorte de nihilisme du non-art qui permet la spéculation (et un vaste système de création bas-niveau, dont le revenu est souvent extraordinaire, roi du pétrole)

    Comme ça la pub est devenue art, les image truquée web sont à la limite de passé d'insolite culturel à art..

    Et je conclurai aussi que dans cette optique c'est une manipulation.
    Et dans une manière un peu tiré par les cheveux l'art défini comme ça pourrait être une nouvelle forme de brevet, celle du point de vue semblant inépuisable et à forte rente pécunière.

    Théorique qui peut très bien se défendre également.

    Et que donc que tenter d'opter pour la philosophie qui feint d'être sans limite dans son ouverture d'esprit est une erreur. C'est que tu me semble faire, et dans un style très pompeux défois ( pas d'offense hein).
  • [^] # Re: J'aime les C.C.

    Posté par  . En réponse au journal La mort du troll des Creative Commons ?. Évalué à 1.

    >Rejouer une chanson qu'on aime bien, ce n'est légalement pas >possible avec des morceaux non-libre, aussi originale soit ton >interprétation.

    Dans un cadre privé, évidement que si.
    Dans un cadre public, une représentation est de toute façon soumise au paiement sacem. Je trouve ça assez bizarre, tu veux refaire un chanson devant un public que ça soit pour un apport pécunier, ou d'image de ta prestation. Selon toi, tu devrais pouvoir la jouer sans que l'auteur qui est passé par un système d'investissement direct ou indirect (temps, materiel, contact, .. et toute la galère qu'on connait pour sortir une chanson quand on est pas soutenu par un grand média) soit perçoive un due ?

    Aussi tu as le droit à la reprise, il y a des droits a payer, c'est sur, défois il suffit d'une demande d'autorisation cordiale, pour ne payer que les frais sacem. Mais pour toi... ce n'est pas gratuit, je veux dire, tu fais te reprise pour un gain particulier que cela soit la valorisation de ta scène, même associative, ou privée, ou même pour un soutiens pécunier.

    Encore une fois, défois des simples demandes et un but engagé peut être très bien perçu par un artiste. J'ai déjà organisé un concert dans une ville paumée du medoc. Oui les charges sont défois lourdes, mais on sait que derrière il y a un système qui permet de soutenir l'ensemble de la création. Et comme dans tout système, il y a des failles, des injustices que chacun essaye de dénoncer une fois trouvée.