Arthur Accroc a écrit 2042 commentaires

  • [^] # Loi de Wirth

    Posté par  . En réponse à la dépêche Lazarus n’est pas mort \o/. Évalué à 10.

    À noter la loi de Wirth : (je cite Wikipédia)

    La loi de Wirth est une loi empirique formulée par Niklaus Wirth en 1995, selon laquelle « les programmes deviennent plus vite plus lents que le matériel ne devient plus rapide » — en d'autres termes : le logiciel ralentit plus vite que le matériel n'accélère.

    Comme quoi Microsoft respecte bien la loi.
    Certains logiciels libres aussi, mais pas tous heureusement !

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Le problème…

    Posté par  . En réponse au journal GNOME systemd : et la guerre ne fait que commencer. Évalué à 4.

    Tu peux tout à fait coder un programme qui fasse la même chose mais prend ses infos via LDAP ou NIS à la place de lire dans le fstab.

    Je pourrais coder un programme pour faire… ce qu’autofs fait déjà avec juste un peu de configuration.
    Ça n’infirme pas ce que je dis : il manque encore des trucs, pas forcément au cœur de systemd, mais aux services qui l’accompagnent.
    Alors ce n’est peut-être pas gros, mais c’est un peu par ci, un peu par là…

    Conclusion : faut mieux lire la doc avant de dire que c'est pas possible de faire tel ou tel truc.

    L’ennui, c’est qu’en même temps que la doc de systemd, il faut se taper la doc de son automount, la doc de journald, la doc de logind… Et dans certains cas, il faut déjà trouver la bonne (par exemple que c’est celle de logind pour la gestion du bouton marche-arrêt)…
    C’est bientôt la moitié du système qui est remplacée d’un coup. Ça fait beaucoup en une seule fois.

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  • [^] # Re: Le problème…

    Posté par  . En réponse au journal GNOME systemd : et la guerre ne fait que commencer. Évalué à 2.

    Merci.

    Cela dit, il manque encore l’appel du menu de déconnexion quand on appuie sur le bouton marche/arrêt plutôt que l’arrêt direct.

    Cela dit, la Fedora le gère peut-être, il faudrait que je regarde comment.

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  • [^] # Le problème…

    Posté par  . En réponse au journal GNOME systemd : et la guerre ne fait que commencer. Évalué à 9.

    Ce qui est bien, c'est que quand systemd fait trop de choses, ça pue, et quand ça en fait pas assez et ça prends pas en compte des concepts non définis et non existants pour le moment, ça pue quand même.

    Le problème, c’est quand systemd remplace des trucs existants, mais sans faire leur boulot à fond.

    Par exemple, logind prend en charge le boulot d’acpid. Sauf qu’acpid, quand on rabat l’écran de son portable, il lance un script, qu’on peut personnaliser pour mettre le portable en hibernation uniquement si l’on est sur batterie. Avec logind, ce n’est pas prévu (si jamais ça l’est, ce n’est pas documenté), donc on se retrouve à utiliser aussi acpid, mais il faut en plus configurer logind pour ignorer le rabat de l’écran.

    Deuxième exemple : systemd gère l’automount. Oui, enfin pour les cas triviaux, pas pour des tables de montages centralisées sur LDAP ou NIS. Enfin sur ce coup-là au moins, il ne se met pas en travers du chemin.

    Quand systemd fera tout le boulot des composants qu’il prétend remplacer, cette critique sera caduque, mais on en est encore assez loin (et si Lennart essaye de remplacer tout le système avant de finir l’existant, ça pourrait durer…).

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  • [^] # C’est pas encore ça…

    Posté par  . En réponse au journal GNOME systemd : et la guerre ne fait que commencer. Évalué à 5.

    Ça remets en cause ta vision des idées d'unix, sans doute. Mais ça corrige les problèmes que tu as nié, et c'est pas négligeable.

    Tu expliqueras ça à ma Fedora 17, qui bloque habituellement de 30 s à 5 mn lors de l’arrêt.

    Il semble que systemd attende après rpc.lockd et rpc.statd, qui n’arrivent pas à retrouver leurs billes, ce qui n’est pas étonnant vu que le réseau est déjà arrêté ; nfs-lock.service est pourtant sensé l’être aussi depuis longtemps, donc ils ne devraient plus être là.

    La conception vachement chiadée de systemd est sensée éviter ce genre de problèmes et ce sera peut-être le cas quand tout sera au point, mais en attendant, pour résoudre soi-même un problème de ce type, c’est moins évident qu’avec les vieux scripts…

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  • [^] # Et « petit pain » ?

    Posté par  . En réponse au journal Les tenants du vocabulaire incorrect sont battus mais ont la dent dure. Évalué à 2.

    Ce qui est dommage surtout, selon certains commentaires, c’est que dans le Nord-Est, le terme utilisé serait plutôt « petit pain », mais qu’on ne peut pas savoir dans quelle mesure ni situer la zone géographique exacte, vu qu’il n’apparaît pas dans le sondage.
    Je serais pourtant curieux de savoir…

    Tu ne veux pas en relancer un avec les trois termes ?

    Sinon, la région on l’on dit « chocolatine » ne coïnciderait-elle pas avec la région où l’on prononce « rugby » « ruby » et « laguiole » « layol » ?
    Du coup, « chocolatine », ce n’est pas sa particularité linguistique la plus curieuse…

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  • [^] # Re: Ah, nostalgie, quand tu nous tiens…

    Posté par  . En réponse à la dépêche Revue de presse — octobre 2012. Évalué à 2.

    sur la forme, je le trouve trop long, ça aurait été mieux de faire une série d'articles plus courts, et ainsi développer certains aspects passés rapidement.

    Pour ma part, une des raisons pour laquelle j’ai arrêté de lire Google/Linux Magazine, ce sont les articles saucissonnés en 36 épisodes. Je préfère un article qui survole une question, quitte à approfondir de mon côté si elle m’intéresse.

    Mais bon, ils m’ont déjà perdu comme lecteur, alors…

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  • [^] # Gros boulot

    Posté par  . En réponse à la dépêche Archlinux utilise désormais systemd par défaut pour les nouvelles installations. Évalué à 2.

    Le gros boulot va être de convertir tous les script sysvinit vers systemd. Mais du coup, ça va remonter upstream et profiter à tout le monde.

    C’est déjà fait pour beaucoup et ça, ça peut n’être fait qu’une seule fois pour toutes les distributions.

    Le gros boulot, ça va être pour chaque utilisateur qui avait paramétré son système finement de reparamétrer tous les services qui viennent avec systemd et qui ont remplacé des services classiques, et il y en a de plus en plus.

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  • [^] # Re: Parallèle avec dragonfly

    Posté par  . En réponse à la dépêche Archlinux utilise désormais systemd par défaut pour les nouvelles installations. Évalué à 6.

    L'ennuie est que même en maintenant SysVInit ce ne sera pas forcément évident.

    C’est là tout le problème.
    J’ai presque songé à me proposer pour maintenir SysVInit, mais si pour conserver un système pleinement fonctionnel, il faut aussi forker PolicyKit, Network Manager et reprendre le développement de ConsoleKit, c’est rédhibitoire.

    Dommage, mon expérience de SystemD (je l’essaie en mode natif depuis mai ou juin 2011) m’a fait apprécier la valeur d’un système de démarrage sub-optimal, mais simple et robuste comme l’ancien système de démarrage d’Arch.

    La conclusion qu’on peut tirer de tout ça, c’est qu’à partir du moment où RedHat emploie des développeurs clés un peu partout dans l’écosystème Linux, on peut difficilement échapper à leurs évolutions, même en utilisant une autre distribution.

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  • [^] # [Troll] Gnome 3

    Posté par  . En réponse au journal Conseils aux libristes, 3e partie : surmonter l’obsession du « toolkit ». Évalué à 5.

    Disons que l'ergonomie est aussi une affaire d'esthétisme,

    Je ne nie pas l’importance de l’esthétisme, mais pour moi l’ergonomie et l’esthétisme sont deux choses différentes.
    Côté esthétisme, la première version de Gnome 3, sous Fedora 15, était livrée avec un fond d’écran limite déprimant (je ne sais pas si ça s’est amélioré depuis), alors que les autres bureaux en avaient un moins moche. Ce n’était pas pour arranger le tableau.

    Il y a des gens qui sont content de l'ergonomie de Gnome, moi par exemple.

    Sans extension ?
    Parce jusqu’ici, les échos d’utilisateurs satisfaits que j’ai eus, c’était avec extensions et ils n’envisageraient pas de l’utiliser sans.

    je reçois cela comme un troll.

    La superbe ergonomie de Gnome 3 a juste causé :
    – un fork à partir de Gnome 2,
    – deux remplacements de Gnome Shell par des distributions (Unity et Cinnamon),
    – des tas d’extensions pour ramener des fonctionnalités normales,
    – des critiques en masse (dont celle de Linus),
    – des départs d’utilisateurs vers Xfce, KDE ou autres.
    On n’avait jamais vu ça à ce point-là, même pour KDE 4 (pour lesquels les reproches étaient l’instabilité et la lourdeur plutôt que l’ergonomie).
    Ce n’est pas le premier logiciel auquel je penserais comme exemple d’ergonomie réussie…

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  • [^] # Re: ergonomie et arguments de vente

    Posté par  . En réponse au journal Conseils aux libristes, 3e partie : surmonter l’obsession du « toolkit ». Évalué à 4.

    Gnome Shell, l’ergonomie ? J’ai failli m’étouffer. Tu es sérieux, on c’est juste pour lancer un troll ?

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  • [^] # Bureaux

    Posté par  . En réponse au journal Conseils aux libristes, 3e partie : surmonter l’obsession du « toolkit ». Évalué à 3.

    Gnome a opté pour une méthode différente : celle de proposer un bureau à minima mais fonctionnel (avec de plus le rechargement à chaud de celui ci si une extension/wtf le faisait partir en quenille) Un bureau à minima et fonctionnel, donc des râlantes sur le manque de fonctionnalités. Mais pas de râlantes sur la stabilité.

    Ah ? Même pour le 3.0 ?
    Parce que je l’ai essayé une fois sur la Fedora 15. Une seule fois sur ce compte, parce que quand j’ai réessayé la fois d’après, je me suis retrouvé aussitôt sur le prompt de connexion. Bon, entre les deux, j’ai dû installer des extensions (celles empaquetées par la distribution) pour voir si ça rendait l’interface fonctionnelle. Enfin, je n’ai pas essayé de déboguer le problème, c’était juste un test avant de mettre éventuellement ce bureau à mes utilisateurs, et j’en avais assez vu.

    Deux méthodes différentes, un résultat semblable aujourd'hui : deux bons bureaux, deux projets libres magnifiques (avec une petite touche spéciale pour le projet Kde, qui est le seul qui soit exclusivement communautaire).

    Moi, j’aurais dit deux bloatwares. Au niveau purement utilisation, l’intérêt du libre c’est de ne pas avoir une machine aussi lente qu’il y a dix ans parce que le système (au sens large) s’est alourdi pour compenser l’augmentation de vitesse du matériel. À condition de ne pas prendre KDE ou Gnome, parce que sur ce point, ils copient les systèmes propriétaires : comme les versions 2 et 3 commençaient à très bien tourner, ils ont sortis de nouvelles versions majeures bien plus lourdes et moins pratiques.
    L’utilisateur, ce dont il a réellement besoin, c’est pouvoir accéder à ses fichiers et lancer ses logiciels. Le système et le bureau ne sont que des moyens pour ça. S’ils se mettent en travers en bouffant une bonne partie des ressources (disque, mémoire ou CPU), ils usurpent leur place.
    Bon, je modérerais ma critique concernant KDE, dans la mesure où ses applications sont en général un peu plus légères que leurs équivalentes non KDE, donc si l’on n’utilise que du KDE, on amortit les usines à gaz qu’il lance en tâche de fond. Mais c’est un choix auquel on n’est pas encouragé s’ils cassent la plupart des applications quand ils changent de version du bureau…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # /usr sur NFS

    Posté par  . En réponse au journal Archlinux va passer à systemd : appel à volontaire pour maintenir SysVinit. Évalué à 5.

    Ce n’est pas pour la machine maître que ça pose problème, c’est pour les autres.

    Après, on peut envisager qu’elles aient un /usr minimal pour démarrer et qu’ensuite elles montent la version NFS par dessus, mais ce sera moins pratique si tu as à mettre à jour un des programmes qui sont le le /usr local.

    Je n’utilise pas personnellement (entre autres, parce que les distributions Linux ne m’ont jamais semblé très adaptées à cette optique), mais ça me semble un choix légitime.

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  • [^] # Re: Et tu remplaces Arch Linux par quoi ?

    Posté par  . En réponse au journal Archlinux est morte…. Évalué à 4.

    Ou encore, tu as démarré avec systemd, certains services chargés à la volée ne sont pas encore chargés, dont un qui nécessite un module noyau pas encore chargé non plus. Tu accèdes à ce service et là, surprise !

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  • [^] # Fedora

    Posté par  . En réponse au journal Archlinux va passer à systemd : appel à volontaire pour maintenir SysVinit. Évalué à 2.

    Quand tes utilisateurs veulent des logiciels récents, RHEL et Debian ne sont pas envisageables.

    À l’époque où j’ai commencé à mettre des Fedora, les noyaux des distributions embarquaient souvent pas mal de pilotes pas encore intégrés dans le noyau officiel.
    Et on tombait quelquefois sur une machine avec laquelle le noyau plantait net. C’est ennuyeux quand on a un parc hétérogène et qu’on espère installer le même système partout…
    Ce genre de surprises était bien plus rare avec la Fedora qu’avec la Mandriva ou l’Ubuntu de l’époque (le fait que RedHat employait des développeurs du noyau n’y était probablement pas étranger) et globalement, la Fedora tenait bien la route pour une utilisation en réseau, malgré ce que son côté bleeding edge pouvait faire craindre.

    Mais les choses ont évolué. Le noyau intègre les pilotes plus vite, Ubuntu a progressé, d’autres distributions sont apparues, tandis que Fedora se dégrade à plusieurs points de vue depuis quelques versions. Donc la 17 sera peut-être la dernière Fedora que j’installerai à mes utilisateurs.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Et tu remplaces Arch Linux par quoi ?

    Posté par  . En réponse au journal Archlinux est morte…. Évalué à 1.

    Pour le moment je lorgne du côté de BSD

    Et y a-t-il une variante de BSD avec un système de paquets qui tienne la route, pour la gestion des dépendances, mais aussi des mises à jour ?

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  • [^] # Générique

    Posté par  . En réponse au journal Archlinux est morte…. Évalué à 2.

    Configurer son boot dans rc.conf c'était la voie générique

    Dans le monde BSD.
    La majorité des distributions Linux avaient une (vraie) init de type System V, c’est-à-dire avec des liens dans /etc/rc0.d à rc6.d vers les services à démarrer ou arrêter.

    La solution du rc.conf, c’est une solution minimaliste, d’où son choix pour Arch, mais pas « générique ».

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  • # Un tapis roulant !

    Posté par  . En réponse au sondage Transport en commun à proximité . Évalué à 4.

    Il manque le tapis roulant (à croire qu’ᴼ ᴹᴬᴺᴺ n’a pas lu Asimov).

    On gagne sur le temps d’attente ce qu’on perd sur la vitesse, et même bien plus si l’on a des correspondances. La capacité bien plus importante que celle d’un bus ou d’un métro (qui ont beaucoup plus d’espace entre les rames que dedans) garantit qu’on ne sera pas trop serré, même aux heures de pointe. On a l’assurance d’une place assise pour les longs trajets, simplement en amenant une chaise pliante. Si l’on habite un peu loin des transports en commun, on peut facilement envisager un trajet mixte vélo-tapis roulant, puisqu’il y aura la place à embarquer le vélo sans problème.

    En plus, s’il le tapis roulant en panne, on le voit tout de suite (quand on a pris le tramway de Caen, on pense à cet aspect…).

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  • [^] # Pire…

    Posté par  . En réponse au sondage Transport en commun à proximité . Évalué à 7.

    Et puis, sauf preuve du contraire, le type reconstitué au bout est une copie, toi, tu es mort désintégré. C’est peut-être un moyen de transport du point de vue la société, mais c’est la négation même de l’homme en tant qu’individu.

    Alors sauf comme intéressant moyen de suicide (le monde n’est pas débarrassé de toi, ton clone est là pour continuer à l’emmerder), je suis farouchement contre le téléporteur.

    Ou dois-je signer ta pétition ?

    D’un autre côté, en coupant la désintégration au départ, on explose le coût énergétique (puisqu’on ne récupère pas l’énergie atomique du sujet, alors qu’on devra bien la dépenser pour le reconstituer à l’arrivée), mais on obtient un moyen de production qui peut avoir un intérêt pour des produits très rares.

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  • [^] # Il manque le tramway virtuel.

    Posté par  . En réponse au sondage Transport en commun à proximité . Évalué à 10.

    Pour ceux qui n’ont pas eu la chance de voir la merveille technologique de la société Bombardier, c’est un véhicule sur pneus, mais avec une roulette métallique qui suit un rail de guidage et un dispositif de contrôle de la direction suivant la position de la roulette.
    Contrairement à un vrai tramway, ou le poids maintient les roues contre les rails, la roulette brinquebale sur le rail de guidage, d’où un bruit… de ferraille brinquebalante.

    Mais il manque dans le sondage l’autre moyen de transport associé au tramway à pneus : le tramway virtuel. Moderne (virtuel), écologique (aucune consommation d’énergie fossile), fiable, silencieux, il remplace le tramway à pneus en diverses occasions (ses pannes, assez fréquentes, la neige à partir d’un centimètre…).
    Ce sont des personnes qui se déplacent en petits groupes sur la ligne de tramway, mais sans le tramway autour.

    Sinon, le tramway à pneus peut rouler avec un peu de neige… à condition de trouver une équipe de curling pour balayer le rail de guidage devant (je suis sérieux, je l’ai vu une fois !). Ça doit avoir un rapport avec la popularité de ce sport au Canada, pays du constructeur…

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  • [^] # Re: systemd ! Tant de complexité pour un moins bon fonctionnement…

    Posté par  . En réponse au journal Archlinux va passer à systemd : appel à volontaire pour maintenir SysVinit. Évalué à 2.

    Et ben moi bizarrement, depuis que j'ai migré sous systemd, je n'ai aucun problème à signaler, tout fonctionne comme prévu.

    Ça m’a fait ça aussi au début, enfin après que je passe de syslog-ng à rsyslog. Puis c’est Network Manager qui a eu une période à vide. Puis ça a été le nettoyage de /tmp (placé sur une partition dédiée) qui ne s’est plus fait (eh oui, systemd prend aussi ça en charge). Tout de suite, ça a l’air de bien marcher (sur Arch), mais bon…
    Ça fait longtemps que tu as migré ?

    Par contre, si ton pc ne s'arrête pas ou de façon aléatoire, c'est de la faute du noyau, enfin peut être plus de la faute de certains matériels.

    Si c’était l’appel à l’extinction ou au redémarrage matériel qui ratait, je ne pourrais pas changer de console et ça ne se débloquerait pas au bout de 5 ou 15 mn, ce qui arrive assez souvent (le blocage persistent, c’est quand même l’exception ; une fois sur deux, ça s’arrête même en temps normal, génial, non ?).

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  • [^] # Re: systemd ! Tant de complexité pour un moins bon fonctionnement…

    Posté par  . En réponse au journal Archlinux va passer à systemd : appel à volontaire pour maintenir SysVinit. Évalué à 10.

    Il ne faut pas généraliser.

    PulseAudio, même sur le papier, c’est une usine à gaz rajoutée par dessus Alsa, alors que la principale justification de PulseAudio est qu’Alsa ne donnerait pas satisfaction. Cherchez l’erreur…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # systemd ! Tant de complexité pour un moins bon fonctionnement…

    Posté par  . En réponse au journal Archlinux va passer à systemd : appel à volontaire pour maintenir SysVinit. Évalué à 2.

    Dernièrement j’ai lancé l’arrêt d’une Fedora 17 et j’ai éteint l’écran.
    Quand je l’ai rallumé une vingtaine d’heures plus tard, la machine était toujours bloquée sur l’arrêt.
    Accessoirement, comme la Fedora s’est encore « améliorée » avec la 17, les messages d’arrêt des services (qu’on voit aussi bien sur une Fedora 15 que sur une Arch avec systemd) ne s’affichent plus (et j’ai vérifié toutes les consoles).

    J’avais déjà constaté avec Arch le problème de certains services qui partaient en sucette pendant plusieurs minutes quand systemd essayait de les arrêter, comme syslog-ng (remplaçable) ou à un moment Network Manager (difficilement remplaçable ; à l’essai wicd fonctionne moins bien). Ça m’avait conduit à repasser à l’init normale.

    Pourtant, je n’avais jamais constaté un tel problème avec la Fedora 15 (et je l’ai mise sur plus de 100 postes pendant un an), qui utilise systemd aussi, mais uniquement en mode compatible (avec les anciens scripts de /etc/rc.d/init.d).
    Il faut croire que ce n’est pas une question d’ordre d’arrêt qui serait inapproprié, mais plutôt que la manière super-fine de systemd de gérer les services pose des problèmes pour l’arrêt et pire, qu’il n’y a pas de timeout de prévu au cas ou un service ne se terminerait pas !

    Autant systemd, sur le papier, c’est intéressant.
    Autant, dans la pratique, c’est une calamité.

    Si seulement Lennart n’était pas si occupé à intégrer tout le reste du système dedans, il pourrait peut-être fiabiliser l’existant…

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  • [^] # NTP

    Posté par  . En réponse au journal 127.0.0.0/8, bientôt sur vos traceroute. Évalué à 3.

    Dans les faits, y'a beaucoup de gens qui utilisent autre chose que 127.0.0.1 pour localhost ?

    Vu dans le fichier de configuration de ntpd :

    # Undisciplined Local Clock. This is a fake driver intended for backup
    # and when no outside source of synchronized time is available. 
    #server 127.127.1.0     # local clock
    #fudge  127.127.1.0 stratum 20
    
    

    C’est commenté par défaut. Décommenté, ça permet à un serveur local de continuer de synchroniser ses clients sur son horloge quand il n’a pas accès à de vraies sources ntp.

    Plus précisément, s’il n’a plus de source, ntpd n’indique plus le temps à ses clients.
    Ça, ça définit une fausse source locale, basée sur l’horloge interne, avec une très basse priorité, qui fait qu’elle n’est pas prise en considération s’il y a une source sérieuse accessible.

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  • [^] # -X est hostile

    Posté par  . En réponse au journal La transparence réseau arrive dans Wayland. Évalué à 4.

    D’un autre côté, -X désactive toutes les extensions… dont d’extension Xkb.
    Plus moyen d’avoir les caractères en AltGr !
    Il ne faut pas avoir des trucs trop compliqués à faire…
    Encore un truc fait par les américains pour les américains.

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