Redskull a écrit 36 commentaires

  • [^] # Re: Je plussoie... sérieusement!!!

    Posté par  . En réponse à la dépêche Comité de soutien pour Cellou Diallo contre son expulsion. Évalué à 0.

    Si.
    Un logiciel open source est un logiciel libre, comme l'inverse, que ça te plaise ou non.

    Non. Ou plutôt cela dépend de la valeur que tu accordes aux avis de la FSF, de Debian et de l’OSI concernant les licences.
    Certaines licences acceptées par l’OSI comme open source1 ne sont reconnues comme libre ni par la FSF2, ni par Debian3.
    Il y a au moins ces deux licences dans ce cas :
    * Sybase Open Watcom Public License v1.0
    * NASA Open Source Agreement v1.3

    Mais ce sont effectivement des cas exceptionnels.

  • [^] # Re: Libre?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Montage vidéo : des greffons pour améliorer l'éditeur vidéo de Blender . Évalué à 2.

    Non, si j’en crois ce qui est marqué dans ton lien.
    Je cite les bouts les plus importants :

    Pour être considérée libre, une oeuvre doit être placée sous une licence culturelle libre. […] Néammoins, ceci n'est pas une condition suffisante. […] Voici les conditions supplémentaires pour qu'une oeuvre soit considérée comme libre :
    — Disponibilité des données sources […]
    […]
    En d'autres termes, dès lors que l'utilisateur d'une oeuvre ne peut pas exercer légalement ou en pratique ses libertés fondamentales, l'oeuvre ne peut être considérée et ne doit pas être appelée « libre ».

  • [^] # Re: Réponse

    Posté par  . En réponse à la dépêche Première mise en demeure pour l'association LinuxFr. Évalué à 2.

    Peut-être que c’est ce qu’il veut dire, mais ce n’est pas ce qu’il a écrit.
    Il écrit que l’on ne peut pas « s’excuser » mais que l’on doit « présenter ses excuses ». Je réponds simplement que « s’excuser » signifie « présenter ses excuses » et que, par conséquent, on peut tout a fait s’excuser.
    Aucune condamnation d’une utilisation de l’impératif dans son message. (Linkeo ne l’a d’ailleurs pas utilisé : ils ont dit « Nous tenons à nous excuser » pas « excusez-nous ».) Dire « excuse-moi » n’est pas dire « je m’excuse », ça n’a pas le même sens ; le premier ordonne à l’autre de le pardonner, le second présente à l’autre ses excuses (en espérant que celui-ci les accepte et le pardonne).

    Si on veut un message explicite, il faut peut-être mieux ne pas utiliser le verbe excuser…

  • [^] # Re: Réponse

    Posté par  . En réponse à la dépêche Première mise en demeure pour l'association LinuxFr. Évalué à 0.

    Et pourtant « s’excuser » a le sens de « présenter des/ses excuses » si j’en crois le dictionnaire du Littré, le T.L.F.I ou encore le dictionnaire de l’Académie (qui le précise comme ambigu à la première personne et le déconseille dans ce cas).

  • [^] # Re: Weston utilisable...

    Posté par  . En réponse à la dépêche X.Org est mort, vive Wayland ! (2). Évalué à 2.

    D'ailleurs, je trouve ce site et la page indiquée très laxiste, quand je lis ceci: "• Sur i et u, l'accent circonflexe ne joue aucun rôle phonétique ; il est l'une des principales causes d'erreurs et son emploi, aléatoire, ne peut être justifié par l'étymologie."

    Ca veux dire quoi, "ne peut être justifié par l'étymologie" ? Que l'étymologie n'avais pas d'accent?

    Je peux me planter, mais si on prend le mot français "coût", et l'anglais "cost" on note presque la même chose que dans "forêt" et "forest" (ou île et isle): le "st" est transformé et amène un accent circonflexe. D'instinct, je dirais que l'étymologie est bien la raison de la présence de cet accent.

    Oui l’étymologie est la raison de la présence de l’accent pour les mots que tu a cités.

    Sinon, la réforme se trouve en PDF sur le site de l’Académie.

  • [^] # Re: Petit bémol

    Posté par  . En réponse au journal Article sur Lemonde.fr. Évalué à 4.

    Même si M. est l’abréviation actuelle de monsieur, Mr (enfin Mr) a été l’abréviation de monsieur (y a quelques siècles) et est meilleur (je pense) que M.

    Elle est plus cohérente avec les autres abréviations de titre de civilité. On utilise la première lettre, la (ou les) dernière lettre, voire également des lettres au milieu. Par exemple, madame s’abrège Mme ; mademoiselle, Mlle ; maître, Me ; monseigneur, Mgr. Dans cette liste, M. est moins logique que Mr.

    Elle retire un peu d’ambiguïté sans ajouter d’autre problème, je pense que c’est pas une mauvaise idée.
    Dans M. Durand, « M. » abrège monsieur ou un prénom ? On prenant Mr comme abréviation ce n’est plus une question à se poser. (Bon avec « M. » faut toujours se demander quel Durand avec un prénom commençant par un m et avec « Mr » quel monsieur Durand, mais on réduit quand même les possibilités.)

  • [^] # Re: Petit bémol

    Posté par  . En réponse au journal Article sur Lemonde.fr. Évalué à -1.

    Si un logiciel libre est obligatoirement open source

    Ah ? Donc si je fait un logiciel et que je le place sous WTFPL il est libre et open source ? Bien que l’OSI n’ait pas accepté la WTFPL comme licence open source ?

  • [^] # Re: Comme quoi y'a pas que RMS

    Posté par  . En réponse au journal Linus pas content. Évalué à 0.

    Il me semble au contraire que l’Académie n’a jamais proposé « mél » comme mot. Avant le « courriel », on avait tout simplement le « courrier électronique ». ;)

  • [^] # Re: Les compétences de Stallman

    Posté par  . En réponse à la dépêche Grabuge à la FSF : GnuTLS quitte le projet GNU et sed et grep perdent leur mainteneur. Évalué à 4.

    Les autres sigles non plus d’ailleurs.

  • [^] # Re: Typographie

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le Manchot Libéré № 8 — novembre 2012. Évalué à 0.

    Merci, mais j’avais bien reconnu qu’il s’agit de ce caractère unicode… c’est bien ça le souci…
    L’« horreur » que je propose est simplement la seule forme valide pour abréger « numéro » en typographie française, c.-à-d. un n minuscule suivi d’un o en lettre supérieur. Sûrement pas le caractère unicode utilisé ici. Tu as peut-être cru que j’avais utilisé le symbole du degré pour qualifier mon no d’horreur ? Regarde le code HTML de la page, c’est un o entre les balises <sup></sup>. (Fait en utilisant le circonflexe lors de l’édition comme indiqué sur la page d’aide à l’édition).

    Ensuite pour ta proposition. L’utilisation de l’indicateur ordinal masculin (caractère utilisé en espagnol par exemple) est tolérable vu que ce caractère est basé sur un o (contrairement au degré qui est complètement fautif) mais à éviter quand on peut mettre le o en lettre supérieur (comme ici).

  • [^] # Re: bescherelle

    Posté par  . En réponse au journal 100 scripts shell UNIX. Évalué à 1.

    Autant je suis d’accord qu’il ne faut pas prendre ce que raconte l’Académie comme parole d’évangile (quoique, c’est un peu leur rôle…) ; autant, quand bien même l’explication d’« au temps pour moi » est légèrement abracadabrantesque, cette graphie a un avantage : elle supprime l’homographie en ne laissant à « autant pour moi » que son sens plus littéral.

    Vous les critiquez en parlant de « monstruosités » dont ils seraient les créateurs. Mais lesquels ? Je n’en vois pas parmi le peu d’exemples que vous donnez.

    la graphie correcte de cédérom,

    Et c’est effectivement une graphie correcte, pour un substantif. (Certains aurait pu préférer « cédérome », pour être plus explicite sur la prononciation de la fin, mais je pense que celle retenue se justifie.)
    Il est vrai que l’on peut se demander l’intérêt de lexicaliser « C.D.-ROM », les gens ne parlent pas trop d’eux… De cédés et de dévédés à la limite… Mais si ça leur fait plaisir, ça ne mange pas de pain. Et si vous préférez le sigle ? Utilisez-le, grand bien vous fasse.

    mél

    Qu’est-ce ? En tant que substantif : inconnu au bataillon. Les commissions de terminologie et de néologie en ont fait un symbole, à mettre sur une carte de visite aux côtés du traditionnel « tél. » (ne pas oublier le point d’ailleurs), c’est tout. Reprocher l’utilisation par certains de « mél » comme d’un substantif à ces commissions (et à l’Académie) est, je trouve, de la mauvaise foi…, eux qui ont toujours promu « courrier électronique » et, plus récemment mais pas tant que ça, « courriel ».

  • # Raison de l’absence de fill pour certains

    Posté par  . En réponse au journal Simple test de performance pour Open GL 2. Évalué à 2. Dernière modification le 17 novembre 2012 à 19:13.

    Plusieurs l’ont remarqué, ils ne disposent pas de fill dans le paquet mesa-demos de leur distrib’ préférée. En fait, fill n’est pas disponible dans la version stable de mesa-demos, seulement sur le dépôt git — faut dire que la dernière version stable a plus de deux ans…

  • # Typographie

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le Manchot Libéré № 8 — novembre 2012. Évalué à -1.

    Pourquoi cette horreur : « № » ?
    L’abréviation de numéro c’est « no », pas ce caractère étrange…

  • [^] # Re: Et la carte de la prononciation du "un" ?

    Posté par  . En réponse au journal Les tenants du vocabulaire incorrect sont battus mais ont la dent dure. Évalué à 1.

    Attention, [9] c’est le « eu » de « neuf ». Le « œu » (je pense que le u va avec) de « nœud » c’est [2].
    De plus « œ » se prononce comme « é » dans certains mots : œsophage, œdème et œnologie par exemple.

    Donc, pour utiliser des exemples plus précis, la différence entre « brin » et « brun » est la même qu’entre « gène » et « jeune », à la nasalisation près. (Bon c’est un è et pas un é, mais dans l’alphabet phonétique internationale, la nasalisation est appliquée au è.)

  • [^] # Re: Avis des sages ?

    Posté par  . En réponse au journal Pour l'emploi d'un vocabulaire correct. Évalué à 4.

    CDROM est un acronyme, y'a pas à en faire un mot comme cédérom.

    Laser et Radar sont des acronymes (syllabiques certes…), y a pas à en faire des mots ! Quoi ? j’ai dit une connerie ? (C’est vrai, on rajoute pas de lettres dans ce cas, les gens s’en rendent pas compte…)

    A la limite, si on veut franciser, ca devient DCMLS (Disque Compacte à Mémoire en Lecture Seule), mais certainement pas "cédérom". Quelle horreur ! Quel esprit tordu a pu inventer ca ?

    Mais justement, on ne francise pas (le disque compact existe déjà pour ça), on lexicalise. Donc l’esprit tordu qui a pondu ça est simplement quelqu’un qui connait le fonctionnement de la lexicalisation… Procédé que beaucoup ignorent vu qu’on voit des horreurs tels que « BDthèque » ou « RMIstes »…

    A l'epoque, personne n'avait pensé à inventer l'uhèrèssèsse !

    U.R.S.S. désigne une entité propre, unique : la lexicaliser en substantif, c’est pas gagné…

    Sinon, C.D.-ROM n’est pas un acronyme seulement un sigle (particulier certes, un morceau s’épelle et l’autre se lit au long, mais il faudrait qu’il se lise complètement au long pour être un acronyme).

  • [^] # Re: Que penser de....

    Posté par  . En réponse au journal La langue française, un standard commun ?. Évalué à 0.

    Il le dit lui-même, ce sont des usages plus que des règles et je les trouve mauvais.
    Je suis pour les recommandations données par Lacroux dans son Orthotypographie (les articles « Sigle » et « Acronyme »).
    Ce sont les règles qui m’ont semblé les plus cohérentes, les plus complètes (et les plus simples car n’ayant pas vraiment d’exceptions).

    — on ne met plus toujours de points dans les sigles,

    C’est à la mode… et même conseillé par l’Imprimerie nationale… Mais ces points ne sont pas là pour faire joli, ils ont un sens : ce sont des points abréviatifs, ils indiquent qu’il manque la fin du mot. L’argument « on comprend bien sans » me semble faible (on pourrait retirer beaucoup de chose avec cet argument…), d’autant qu’on peut leur trouver une utilité (voir en-dessous).

    — on ne met en majuscule que la première lettre d’un sigle lorsqu’il
    est prononçable,
    — on met, de préférence, en petites capitales un sigle que l’on épelle,

    Dans les deux cas, les lettres sont des majuscules, elles ont donc le droit à leur capitale.
    Et pour la différenciation sigle/acronyme, on peut jouer du point — vu que je suis pour qu’on les garde — et les retirer pour les acronymes.

    — il faut respecter l’usage des propriétaires de sigles (et notamment
    leur emploi de capitales accentuées ou non),
    — certains sigles sont parfois des logos (comme EDF au lieu de Édf).

    Un sigle est un sigle, un logo est un logo (même s’il est basé sur un sigle (ou simili)).
    Le logo, ils en sont propriétaire, c’est leur problème. Le sigle est une affaire de langue, ils n’ont pas plus de poids qu’un autre.
    Je ne suis pas pour créer des exceptions sous prétexte que le sigle les désignent eux (on se plaint souvent des exceptions du français, pourquoi en rajouter ?).
    Par contre aucun problème pour respecter certains de leurs choix, comme les initiales utilisées, du moment que la graphie respecte les règles.

    Après il y a des sigles comme « JPEG », je ne sais pas encore trop quoi en faire… Soit changer ma prononciation et tomber dans les cas simples (J.P.E.G. en épelant, JPEG en prononçant « j’pègue »), soit garder la prononciation que j’utilise (et entends) « j’y pègue » mais écrire J.PEG (je trouve ça moche mais au moins c’est cohérent avec le reste et c’est ce que je comprends de la catégorie « sigle mixte » de Lacroux).

  • [^] # Re: Samis compris.

    Posté par  . En réponse au journal La langue française, un standard commun ?. Évalué à 1.

    Non, là tu fais des accents graves. Il est probable que tu ne trouves pas l’apostrophe sur ta disposition de clavier, mais il y a une combinaison avec la touche compose par défaut (avec une locale UTF-8). C’est « compose > ' » (touche compose puis « supérieur à » puis apostrophe droite) sur ma machine, c’est sûrement de même pour toi.

  • [^] # Re: Que penser de....

    Posté par  . En réponse au journal La langue française, un standard commun ?. Évalué à 0.

    À part le passage sur les sigles (qui est à jeter à la poubelle selon moi — peut-être qu’il y a d’autre passage dans ce cas, mais j’ai seulement feuilleté, pas relu —), il me semble très bien comme introduction à la typographie (et un peu à la ponctuation).

  • [^] # Re: Une marotte ?

    Posté par  . En réponse au journal La langue française, un standard commun ?. Évalué à 0.

    selon le T.L.F.I :

    II. − [Idée de faute (plus ou moins grave)]
    […]
    Manquer à qqc. Se soustraire à une obligation morale ou sociale, ne pas répondre à ce qui est attendu, pécher contre quelque chose.

    Le sens me semble plus fort avec cette expression, mais il existe.

  • [^] # Re: Avis personnel

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une histoire de fork. Évalué à 4.

    Et puis les rares jeux inde qui ont été libérés n'encourage en rien a faire ce choix. Aquaria par exemple (qui est un jeu magnifique comme on en voit trop rarement dans le libre), a ma connaissance, seul icculus a bosse dessus depuis sa libération…

    Pourtant tout est la:

    http://hg.icculus.org/icculus/aquaria/

    Tout le travail de compatibilité, compilation a été fait et il n'a jamais été ajouter a un repo, genre Ubuntu ou Debian.

    Attention, Aquaria n’est pas libre, son code à été libéré mais c’est tout. Il faut toujours payer pour avoir les assets du jeu. Ça explique sûrement son absence des dépôts.

    Sinon quelqu’un continue de faire des mises à jour du code d’Aquaria (son dépôt est sur github) et il fournit des liens vers ses binaires sur le forum officiel d’Aquaria.

  • [^] # Re: Samis compris.

    Posté par  . En réponse au journal La langue française, un standard commun ?. Évalué à 4.

    Je souhaite donc partager avec vous les solutions dont je pense qu'elles peuvent […] améliorer la communication […]

    La formulation me paraît étrange, j’ai l’impression que ça sonne faux. Je ne pourrais affirmer que c’est incorrect mais je pense que quelque chose comme « […] les solutions qui, je pense, peuvent […] » passerait bien mieux.

    bien établi que l'on nomme Langue française.

    La majuscule me semble superflu (si ce n’est fautive).

    d'une librairie écrite en C++

    D’une bibliothèque plutôt, non ?

    LinuxFRiens

    Le français n’aime pas l’abondance de majuscules, et je ne pense pas qu’il apprécie particulièrement d’avoir des lettres qu’il faut épeler en plein milieu d’un mot. La seule solution est de lexicaliser, ça peut donner quelque chose comme « linuxeffèriens ».
    C’est la règle de lexicaliser par exemple les dérivés de sigle : on dérive « BD » en « bédéthèque », « CGT » en « cégétiste ». Même si la base ici (LinuxFr) est particulière (et n’est pas un sigle), je pense que la règle de lexicalisation s’applique quand même.
    (J’ai hésité à le mentionner celui-ci… D’autant que je ne suis pas sûr que j’aurais suivi la règle moi-même… ;))

  • [^] # Re: UML

    Posté par  . En réponse au journal Webcrise: ébauche d'architecture. Évalué à 1.

    J’ai entendu parler de UMLet, mais je ne sais pas ce qu’il vaut.

  • [^] # Re: Effet de bord des accents ?

    Posté par  . En réponse au journal Conseils aux libristes, 2ème partie: résister à la tentation de la réécriture à partir de zéro. Évalué à 4.

    ´ ça n'en est pas une (U+180E, l'apostrophe c'est ' U+0027 ).

    Non, l’apostrophe c’est ’ (U+2019).

  • [^] # Re: Morale

    Posté par  . En réponse au journal religionfr.org. Évalué à 3.

    Quand un mot intègre la langue française, il est transformé pour mieux suivre les règles du français.
    On a emprunté le « scenario » italien et son intégration est passé par l’ajout d’un accent sur le e, ainsi qu’un pluriel « à la française » d’où le couple scénario/scénarios en français (et non un pluriel « scénarii », calqué sur la forme italienne). Autre exemple de mot dont le pluriel est différent de la forme d’origine : « forum », qui au pluriel donne « forums » (et non « fora » comme en latin).
    Il se peut que ce soit la forme pluriel d’origine qui soit utilisée en français mais la transformation à quand même lieu : spaghetti/spaghettis (et non l’italien spaghetto/spaghetti), média/médias (et non le latin medium/media), etc.

  • [^] # Re: PDF.js inclus dans le navigateur ? WAT !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Firefox et Thunderbird, livrée 14. Évalué à 7.

    Sauf que ce sens n'existe pas.

    Sauf que si (toujours le dico de l’Académie) :

    Plus employé avec une particule négative. […] En ce sens, Plus s'emploie aussi elliptiquement sans négation. Plus de larmes. Et maintenant, plus de bruit ! Répété, pour souligner la relation entre deux choses. Plus de commerce, plus de prospérité (le s, s'il était prononcé, donnerait à la phrase le sens exactement contraire).

    Pour le lien, l’accès par le C.N.R.T.L. m’a l’air plus efficace : plus.