Divx : 3 ans plus tard ...

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9
mar.
2006
Audiovisuel
Un fait finalement passé inaperçu, cela faisait 3 ans que divx.com n'avait pas mis en ligne une mise à jour de son codec pour les plateformes GNU/Linux. Sûrement parce que l'alternative Xvid, déclarée plusieurs fois supérieure à ce dernier, y est omniprésente.

Cette initiative, comme le site l'indique, est pour les développeurs avec quelques mots d'explications : "Tux: We still love you! [...] Now that work on 6.1.1 is complete, we have decided not only to release the Windows version, but a Linux version too." ("Tux : Nous t'aimons toujours ! [...] Maintenant que le travail sur 6.1.1 est terminé, nous avons décidé non seulement de publier une version Windows, mais aussi une version Linux.").

La liste des modifications est peu concrète, on retiendra les mots récurrents : "faster", "better", "higher quality", "High Performance", "optimized", "Much improved" (plus rapide, mieux, meilleure qualité, haute performance, optimisé(e), bien amélioré).

Vous l'aurez compris cette mise à jour, sans être une reprise du titre des Daft Punk, est plus dans l'optimisation (encode, décode, supporte les "nouveaux processeurs") et dans la qualité (différents presets : "insane quality", "extreme quality" et une "meilleure gestion en post-processing") que dans les fonctionnalités.

Et on excusera l'absence de support du multithreading, par le fait que cette version Linux gratuite inclut les fonctions de la version Pro.

NdM : DivX est propriétaire, et ne respecte pas entièrement les standards MPEG4. La liste (non exhaustive) des changements :

  • Un décodeur plus rapide
  • Un meilleur support pour le playback MPEG-4 générique
  • Un post-processing plus rapide et de meilleur qualité
  • Amélioration du codage bi-directionnel (incluant les B-frames adaptatives)
  • Modes de codages "Fastest" et "High Performance"
  • Modes de codage optimisés par déformation ("Better quality", "Extreme quality", "Insane quality")
  • Compression améliorée pour une qualité équivalente
  • Mise à jour de VBV pour améliorer le support des dispositifs certifiés DivX
  • Optimisations pour les nouveaux processeurs
  • Optimisation de la qualité de la méthode de quantification H.263
  • Support pour la compensation du mouvement 4MV
  • Nouvelle méthode de changement de taille
  • Nouveaux modes de codage

Aller plus loin

  • # Proprio, pas libre, et inutile...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à -1.

    Juste comme ça, quel est l'intérêt du DivX 6 sous Linux et sur linuxfr (pub pour un truc dont on a absolument pas besoin) ? c'est proprio, non portable, pas de PPC, ni de BSD, ni de ce que vous voulez qui n'est pas du linux x86.

    Pourquoi une telle news alors que l'on a ffmpeg qui est compatible (au moins au décodage) et qui propose une meilleur implémentation en général, dans le même genre, on a Xvid, ou ogg theora. DivX 6 sous linux n'apporte rien au niveau interropérabilité.
    • [^] # Re: Proprio, pas libre, et inutile...

      Posté par  . Évalué à 10.

      Divx sort une version de son codec sous linux, que ce soit bien ou mal, il me semble utile de le signaler.
    • [^] # Re: Proprio, pas libre, et inutile...

      Posté par  . Évalué à 3.

      DivX 6 permet l'intégration de menus "à la DVD", ce qui est fort sympathique...
    • [^] # Re: Proprio, pas libre, et inutile...

      Posté par  . Évalué à 2.

      Le DivX n'a peut-être pas beaucoup d'utilité sous GNU/Linux tant les solutions alternatives existent, offrant de meilleurs résultats sous tous les aspects.
      Il n'en reste pas moins que le DivX est un format extrêmement populaire et une nouvelle version fonctionnant sous GNU/Linux a le mérite de se faire savoir.
      Je suis également partisant du libre (sinon je lirai pas ça hein ;) ) mais pourquoi les logiciels non-libres n'aurait pas leur place dans les news de seconde page ?

      Par contre, en visitant la page officielle on se rend aussi compte que c'est une version "Developper", qui a donc besoin d'être appelée via une API par un autre programme...
      • [^] # Re: Proprio, pas libre, et inutile...

        Posté par  . Évalué à 3.

        C'est une explication trompeuse.

        Cela veut simplement dire qu'il n'y a pas de programme de compression fourni avec. Tu peux très bien installer le codec et l'utiliser avec Avidemux ou autres..
  • # Bof

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

    Supposons qu'on l'utilise pour encoder une vidéo, le codec n'est pas libre, dans 2 ans il ne marchera plus et on aura pas de maj -> plus de vidéo.

    Restons libre jusqu'au bout.

    Bye
    • [^] # Re: Bof

      Posté par  . Évalué à 3.

      Si quelqu'un te passe une vidéo en DivX et bien tu pourras la lire sinon non...
      Donc il a au moins un intérêt en tant que dec...
    • [^] # Re: Bof

      Posté par  . Évalué à 2.

      pour encoder une vidéo

      -> "pour coder une vidéo", please (dans la lignée de codage, codeur, codec, etc).
      D'ailleurs on devrait parler de compresser (car c'est de ça qu'il s'agit, surtout), voire de convertir, tout simplement. Je n'ai jamais compris cet engouement pour le terme "encoder".
      • [^] # Re: Bof

        Posté par  . Évalué à 2.

        exact. Pour ma part, je reserverais le terme "coder" (en english "encoder") pour les algorithmes de compression sans-perte.

        En effet, quelle difference entre "coder" pour reduire la taille d'un fichier source, ou "coder" pour crypter ? Dans les deux cas, il s'agit d'une fonction bijective entre un espace de depart et un espace d'arrivee. C'est a dire qu'a chaque entree (fichier raw ou message en clair) on fait correspondre une seule et unique sortie (fichier zippee, ou message crypt'e). Et inversement.

        La compression et le cryptage sont 2 domaines de recherche appliquee particulierement interessant... mais malheureusement bouff'es par les brevets.
        • [^] # Re: Bof

          Posté par  . Évalué à 1.

          je réserverais le terme "coder" (en english "encoder") pour les algorithmes de compression sans perte.

          En effet. Le terme de codec est impropre quand il s'agit de compression avec pertes, ce qui est le cas en vidéo en particulier.

          La compression et le cryptagechiffrement sont 2 domaines de recherche appliquée particulierement intéressants... mais malheureusement bouffés par les brevets.

          Ah bon ? Dans le chiffrement, pas que je sache, et de toutes façons ça ne concerne que les E-U (ce qui, je te l'accorde, n'est pas négligeable vu l'importance du pays).
          • [^] # Re: Bof

            Posté par  . Évalué à 1.

            Ah bon ? Dans le chiffrement, pas que je sache, et de toutes façons ça ne concerne que les E-U (ce qui, je te l'accorde, n'est pas négligeable vu l'importance du pays).

            Et pourtant si, et en Europe. Un exemple parmi d'autres: IDEA, qui etait l'algorithme de chiffrement symetrique de PGP.

            http://www.mediacrypt.com/_contents/10_idea/101030_ea_pi.asp

            Zorglub
            • [^] # Re: Bof

              Posté par  . Évalué à 4.

              Et pourtant si, et en Europe. Un exemple parmi d'autres: IDEA, qui etait l'algorithme de chiffrement symetrique de PGP.

              (j'ai regardé ton lien)
              C'est tout simplement un brevet européen illégal (puisque logiciel), il y en a 30 000 il paraît.
              • [^] # Re: Bof

                Posté par  . Évalué à 3.

                C'est tout simplement un brevet européen illégal (puisque logiciel), il y en a 30 000 il paraît.

                Le "tout simplement" est de trop, malheureusement. Le brevet a été accepté par l'Office Européen des Brevets, et/ou des offices nationaux. A partir de la, il n'est pas illégal tant que ça n'a pas été porté devant la justice, et ceci ne va pas arriver avant que quelqu'un de courageux ne le conteste. Et rien ne garantit qu'il sera jugé illégal.

                Il y a le même problème, en plus important (très peu de monde utilise IDEA maintenant) dans le monde de la génétique avec les brevets sur l'ADN non-codant, dont la plupart des chercheurs s'accordent à dire qu'ils n'auraient jamais dû être acceptés (trop vagues, reprenant des choses qui existaient déjà, etc). Mais la boîte qui les détient à une stratégie sûre pour ne pas se faire avoir: ils ont commencé par proposer des licences à des universités à des prix dérisoires (quelques centaines de $, même pas le prix d'un avocat qui écrirait une lettre pour refuser le deal), puis, utilisant ces victoires, ont été demandé de l'argent à des petites et moyennes boîtes. Pour elles, le prix d'une licence est largement en dessous des frais qu'ils encourent en devant se défendre devant la justice (même s'ils gagnent !). Bien sûr, ils évitent d'attaquer des énormes boîtes qui ont des porte-monnaies sans fond.

                Tout ça pour dire qu'un tel brevet ne peut pas être "tout simplement illégal"; même s'il était vraiment, il peut être vendu à des milliers de personnes qui ne le contesteront pas.

                Zorglub
                • [^] # Re: Bof

                  Posté par  . Évalué à 4.

                  Tout ça pour dire qu'un tel brevet ne peut pas être "tout simplement illégal"; même s'il était vraiment, il peut être vendu à des milliers de personnes qui ne le contesteront pas.

                  Ce qui est légal ou pas est défini par la loi. Et à ce niveau, la loi dit ceci :

                  1. Sont brevetables les inventions nouvelles impliquant une activité inventive et susceptibles d'application industrielle.
                  2. Ne sont pas considérées comme des inventions au sens du premier alinéa du présent article notamment :
                  a) Les découvertes ainsi que les théories scientifiques et les méthodes mathématiques ;
                  b) Les créations esthétiques ;
                  c) Les plans, principes et méthodes dans l'exercice d'activités intellectuelles, en matière de jeu ou dans le domaine des activités économiques, ainsi que les programmes d'ordinateurs ;
                  d) Les présentations d'informations.
                  3. Les dispositions du 2 du présent article n'excluent la brevetabilité des éléments énumérés auxdites dispositions que dans la mesure où la demande de brevet ou le brevet ne concerne que l'un de ces éléments considéré en tant que tel.


                  Sources (le texte est quasi identique pour les deux) :
                  Convention sur le brevet européen (12ème édition - avril 2006) :
                  http://www.european-patent-office.org/legal/epc/f/ar52.html
                  Code de la propriété intellectuelle (loi nº 2004-1338 du 8 décembre 2004 - article L611-10) :
                  http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/RechercheSimpleArticleC(...)

                  Les programmes d'ordinateurs ne sont donc clairement ni brevetables en France, ni en Europe.
                  • [^] # Re: Bof

                    Posté par  . Évalué à 3.

                    Ce qui est légal ou pas est défini par la loi. [...] Ne sont pas considérées comme des inventions les programmes d'ordinateurs.

                    Tu as oublié de mettre en gras une autre partie importante, sur lequel jouent les gens qui "brevètent" les logiciels:

                    3. Les dispositions du 2 du présent article n'excluent la brevetabilité des éléments énumérés auxdites dispositions que dans la mesure où la demande de brevet ou le brevet ne concerne que l'un de ces éléments considéré en tant que tel.

                    La simple existence de cet alinéa annule ton "clairement".

                    Si le brevet d'IDEA (celui que j'ai cité plus haut) consistait en un simple programme, il aurait sûrement été refusé plus vite que son ombre. Mais en pratique, le brevet contient une "méthode pour chiffrer des données", ou quelque chose du genre, qui n'est pas forcément lié à un programme d'ordinateur. Du coup, une version particulière du système, réalisée sous forme de programme, peut être protégée par le brevet.

                    Je ne dis pas que je suis d'accord avec la façon de faire, mais dire que tout brevet sur un algorithme de chiffrement est illégal uniquement parce que ces algorithmes existent sous forme de programme informatique n'est pas vrai, à cause du "en tant que tel" cité ci-dessus. Faire juger la chose est la seule manière d'avoir la réponse; en attendant, le brevet accepté par un office est présumé valide.

                    A part ça, si beaucoup de brevets logiciels ne devraient pas exister car ils sont triviaux (Amazon One click et compagnie), les algorithmes de chiffrement ne sont pas des choses triviales; RSA, par exemple, était une réelle invention (pas les théorèmes mathématiques derrière, mais la façon de les appliquer au problème du chiffrement à clé publique). Personnellement, je préférerais qu'il n'y ait pas de brevet pour une telle invention, mais je ne jurerais pas non plus que le brevet RSA était un abus du système (même si, sauf erreur, il n'était breveté qu'aux USA).

                    Zorglub
                    • [^] # Re: Bof

                      Posté par  . Évalué à 4.

                      Si le brevet d'IDEA (celui que j'ai cité plus haut) consistait en un simple programme, il aurait sûrement été refusé plus vite que son ombre. Mais en pratique, le brevet contient une "méthode pour chiffrer des données", ou quelque chose du genre, qui n'est pas forcément lié à un programme d'ordinateur.


                      Le brevet décrit un algorithme, c'est à dire une méthode mathématique, il est donc exclus du champ de la brevetabilité. C'est pas parce que l'OEB essaye de couper les cheveux en quatre pour réussir à faire passer les brevets logiciels que la loi lui donne raison.
                      • [^] # Re: Bof

                        Posté par  . Évalué à 2.

                        Non, le brevet ne décrit pas une méthode mathématique. Il décrit comment une méthode mathématique peut être appliquée pour faire de la cryptographie.

                        Par exemple, le brevet RSA n'a interdit à personne de faire des exponentiations modulaires, et il ne protégeait pas non plus une méthode particulière pour faire ces exponentiations ou autres calculs; ça, c'est la partie qu'il est interdit de breveter (le "en tant que tel").

                        Ce qu'il protège, c'est l'application à un problème technique qui est celui du chiffrement.

                        Oui, on peut considérer cela comme du coupage de cheveux en 4; mais c'est du uniquement au fait que la loi que tu as citée ci-dessus intègre cette notion de "en tant que tel"; après, c'est une question d'interprétation pour savoir si on est dans un cas ou dans l'autre. Si on prend l'option de dire "dès qu'il y a programme ou algorithme, c'est un brevet logiciel, donc interdit", à quoi sert l'al. 3 ? (de nouveau, au risque de me répéter, je ne dis pas que je suis pour cette interprétation, mais j'insiste uniquement sur le fait qu'elle est prévue dans la loi).

                        On a un problème similaire avec les brevets en génétique. Quand on parle de "breveter un gène", en théorie, ce n'est pas la séquence génétique que l'on brevète: on n'interdit pas à quelqu'un de recréer cette séquence (surtout si elle est naturelle). Ce qu'on brevète, c'est une fonction particulière de cette séquence, ou le fait qu'elle agit comme marqueur pour une certaine maladie (bien sûr, il y a des abus et des complications, mais c'est la même idée).

                        Je crois que ça ne sert à rien de discuter trop autour du sujet; ce qui est important à mes yeux c'est de se rendre compte que la situation n'est pas blanche ou noire du point de vue légal, à cause de l'article que tu cites qui introduit des exceptions aux brevets, ainsi que des exceptions aux exceptions.

                        Zorglub
                        • [^] # Re: Bof

                          Posté par  . Évalué à 4.

                          Si on prend l'option de dire "dès qu'il y a programme ou algorithme, c'est un brevet logiciel, donc interdit", à quoi sert l'al. 3 ?

                          Il sert à préciser que l'interdiction de brevet ne porte que sur l'élément programme. Par exemple, si j'ai une machine qui fonctionne grace à un programme, je peux breveter la machine mais pas le programme. Dans le cas d'une machine spécifique la distinction peut ne pas avoir d'importance mais dans la plupart des cas qui nous préoccupent la partie machine n'est pas concernée par les brevets.

                          L'OEB coupe les cheveux en quatre parce qu'il essaye de faire croire que dès qu'un programme peut servir à quelque chose, il ne doit plus être considéré comme "en tant que tel". Donc comme tous les programmes servent à quelque chose, ils peuvent tous être brevetés!

                          On a un problème similaire avec les brevets en génétique. [...]Ce qu'on brevète, c'est une fonction particulière de cette séquence

                          En génétique, ce qu'on brevète c'est une découverte et non pas une invention et c'est encore bien plus grave que tous les problèmes des brevets logiciels.

                          la situation n'est pas blanche ou noire du point de vue légal

                          La situation est très claire du point de vue légal, ceux qui ont tord (OEB et consorts) faisant preuve d'une mauvaise foi abyssale. Le problème réside dans les moyens mis en oeuvre pour défendre la loi. A partir du moment où il faut payer pour faire appliquer la loi, il y a un grave problème.
        • [^] # Re: Bof

          Posté par  . Évalué à -1.

          on peut tres bien considerer la compression avec perte comme etant une fonction bijective si on se base sur notre perception (a condition bien sur de ne pas abuser de ces pertes) plutot que la suite d'octet qui compose la source et le resultat. c'est donc bien un codage.
  • # C'est pas gagné...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

    ...Avec une mentalité comme ca!(Je parle des personnes sur linuxfr bien sur)

    Je vais vous exposer mes quelques arguments sur le sujet, au risque de me faire moinser par la plus part d'entre vous....

    Je connais une personnes qui travailles chez divx, il travaille beaucoup sur le dévelopement de projet de en rapport avec divx et essaye de les réaliser en multi-platforme(je ne peux pas en dire plus), si ca ne tenais que a lui il serait open source, c'est juste que ses patrons le veulent pas.

    Mais pourquoi le voudrait t'il quand on voit les commenaitres poster sur linuxfr quand un éditeur sort un logiciel sous linux tout le monde (ou presque) le rejetten en bloc en disant "capuesaypaslibre ©" et aussi "On s'en fou ya déja l'équivalent en libre, même si il n'est pas encore tout a fait au point" en voyant ca les patron vont facilement ce dire, "ce ne sont qu'une petite bande d'intégriste dans leur monde." Il faut savoir accepter leur travaille car si ca continue on aura plus RIEN DU TOUT sous linux. Et le fait d'accepter leur travaille n'empèche pas de développer a coté un équivalent libre (mkv pour ce cas)

    Je trouve qu'il serait plus intéréssant de féciliciter divx pour leur soucis de créer des logiciels multiplatforme plutot que de dire bhouohuohuohuuhhu "capuesaypaslibre ©" et peux être que comme ca ils arriveront a faire du libre ;)

    Ce n'est que mon avis, pas la pein de cliquer sur "inutile" par ce que vous n'êtes pas d'accord avec moi.
    • [^] # Re: C'est pas gagné...

      Posté par  (Mastodon) . Évalué à 3.

      tu viens de le dire, c'est les patrons qui ne le veulent pas.

      Et les patrons, ça regarde des chiffres, pas des posts sur linuxfr.

      bref, argument bidon à mon avis.
  • # DivX, MPEG4 et les autres

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 7.

    NdM : DivX [...] ne respecte pas entièrement les standards MPEG4.
    J'avais cru comprendre que les standards MPEG4 étaient tellement vastes qu'il n'y avait aucun codec actuel qui les supportait entiérement.

    pertinent adj. Approprié : qui se rapporte exactement à ce dont il est question.

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