Revue de presse de l’April pour la semaine 26 de l’année 2024

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juil.
2024
Internet

Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.

[01net.] Jean-Baptiste Kempf - VideoLan (VLC): «s'il n'y avait pas de logiciel libre, Microsoft ferait du racket standardisé»

✍ Stéphanie Bascou, le dimanche 30 juin 2024.

Le président de VideoLan, l’éditeur du lecteur multimédia VLC, était l’un des speakers de l’USI 2024. Pour 01net.com, le trentenaire est revenu sur l’open source et le logiciel libre, des moyens de rendre l’Europe plus souveraine numériquement.

Et aussi:

[Next] Contraint de bloquer des noms de domaine, OpenDNS décide de quitter la France

✍ Sébastien Gavois, le samedi 29 juin 2024.

Une décision de justice demande à Cisco, Google et CloudFlare de bloquer l’accès à plus d’une centaine de sites. Canal+ en est à l’origine, dans sa guerre contre le piratage sportif.

[ZDNET] Framasoft lance de nouveaux services et invite à tester des logiciels

✍ Thierry Noisette, le lundi 24 juin 2024.

L’association libriste propose un service de pétitions, une nouvelle version de celui de formulaires, et des essais tels qu’un logiciel de gestion de dépenses partagées.

[Les Echos] L'open source au défi du modèle économique de l'intelligence artificielle

✍ Florian Dèbes, le lundi 24 juin 2024.

Les investissements colossaux liés aux développements de l’IA s’accommodent mal d’une distribution gratuite des modèles ouverts les plus avancés. Mais Meta défend encore ce modèle sous-tendant une autre forme de monétisation et encourage les start-up à utiliser ses technologies.

Et aussi:

[La Vie des idées] Communs numériques et souveraineté: sauver les logiciels libres

✍ Christophe Masutti, le

Alors que la souveraineté numérique est de plus en plus associée au potentiel du logiciel libre ou open source, les multinationales et leurs plateformes ont réussi à marginaliser les alternatives communautaires, voire à en épuiser les ressources, avec la complaisance de l’État.

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