Est‐il démocratique, adapté et rentable que l’anglais soit la langue internationale ?
Dans une série de vidéos, Claude Piron, psychologue et ancien traducteur, dissèque les mécanismes linguistiques, au travers d’une analyse critique du choix de l’anglais comme langue internationale.
Après avoir mis en lumière l’importance de la maîtrise d’une langue lors d’échanges internationaux politiques, économiques, scientifiques et autres, il montre en quoi le choix de l’anglais comme langue internationale :
- n’est pas démocratique ;
- est inadapté ;
- a un résultat, par rapport à l’énergie et aux sommes dépensées pour son apprentissage, proche de 0 ; ce qui ne serait jamais accepté dans d’autres domaines.
NdM :
- la question du rôle de l’anglais n’est pas nouvelle (et d’ailleurs les vidéos en question ont plus d’un an), d’où la création de langues artificielles ou construites à vocation de langue internationale, comme l’[esperanto] ;
- sur les liens tissés entre logiciel libre et esperanto : Esperanto et logiciel libre par Framasoft, en 2009, conférence RMLL 2005 « Linux, l’espéranto des logiciels ; l’Espéranto, le Linux des langues », etc. ;
- sur Wikipédia, en nombre de pages, on peut noter que le volapük est 17e et l’esperanto 22e ;
- on peut aussi pragmatiquement noter que la vraie difficulté réside dans l’adoption d’une nouvelle langue et l’éventuelle transition de la référence actuelle à celle‐ci.
Journal Quand Google défie l'Europe
Cher journal, (aïe ça fait ringard ça)
Hi newspaper !
En décembre dernier, Google annonçait la numérisation de 15 millions d'ouvrages reposant dans cinq bibliothèques parmi les plus célèbres et les plus riches du monde anglo-saxon.
Même si je n'étais pas sur de m'en servir lorsque cela serait disponible, j'avais trouvé génial d'avoir cette bibliothèque a porté de la main... : Cela me semblait être un premier pas vers une bibliothèque universelle pour tous.
Visiblement ma réaction était plutôt naïve, (…)
Hi newspaper !
En décembre dernier, Google annonçait la numérisation de 15 millions d'ouvrages reposant dans cinq bibliothèques parmi les plus célèbres et les plus riches du monde anglo-saxon.
Même si je n'étais pas sur de m'en servir lorsque cela serait disponible, j'avais trouvé génial d'avoir cette bibliothèque a porté de la main... : Cela me semblait être un premier pas vers une bibliothèque universelle pour tous.
Visiblement ma réaction était plutôt naïve, (…)