Même si ce n’est pas le cas de tous les logiciels libres, l’une des grandes qualités de ces logiciels, quand les fonctionnalités existent, c’est la possibilité de les personnaliser aux petits oignons et d’en garder les paramètres d’une version à l’autre, voire d’une machine ou d’un système d’exploitation à un autre.
Je profite de la parution du guide de Jean‐François Nifenecker sur les personas et LibreOffice pour faire un rapide tour de la question. C’est aussi une réponse en creux au sempiternel « le logiciel libre c’est moche et pas ergonomique ».