Ce n'est pas ce que je demande/souhaite, je ne veux pas forcer mes utilisateurs à me payer pour utiliser mes logiciels. Étant donné qu'ils sont libres, ils peuvent être redistribués sans que j'ai un quelconque contrôle dessus. Et c'est normal vu que c'est du libre.
Mais n'impose pas cette vision aux autres
Je n'ai pas l'impression que c'est ce que je fait. En tout cas, ce n'est pas mon souhait d'imposer ça à d'autres projets que les miens.
Je ne cherche pas à interdire aux autres, je pose une question si c'est souhaitable qu'une personne qui maintient un logiciel libre ait ce genre de principe. Parce qu'il n'y a que les personnes en charge d'un projet qui pourraient établir et faire respecter ce genre d'idée. Idée qui ne serait valable que pour leur projet, et pas leur code car le code peut être forké, copié et en suite, l'utilisateur peut faire ce qu'il veut (grâce aux licence libres)
Non, je voudrais m'assurer que tu as été payé d'une façon ou d'une autre pour que j'accepte ta contribution. Et je sais que grâce à une licence libre, tu auras le droit de forker le projet si tu n'es pas d'accord avec ma vision. Et c'est ok, ça fait partie des règles que j'accepte et que je veux défendre. Mais chez moi, je voudrais m'assurer que les contributions que j'incorpore ont été rémunérées.
Vive le libre qui me permet de ne pas être dépendant de tes idées tout en utilisant ton code.
Oui, le libre permet de ne pas imposer à d'autres ce genre d'idées à la con :-p
le libre n'a pas la mission que l'auteur de ce journal imagine, car le libre a pour mission "pour tous les usages" donc sans interdire le bénévolat et non le fantasme qu'il a sur un libre qui ferait "le bien" (rappel : limiter à "pour le bien" est incompatible avec le libre).
La mission que j'imagine du libre est de donner la liberté aux utilisateurs de pouvoir utiliser/examiner/redistribuer/modifier un logiciel.
le libre ne s’intéresse qu'à une seule personne, celle qui reçoit, par design
On est d'accord
si vous voulez vous intéresser aux auteurs il va falloir faire un autre mouvement (et ça sera non libre, par définition)
pas forcément. Si je suis le mainteneur d'un projet, je peux demander à ce que toutes les contributions soient faites durant des heures de travail rémunéré via une déclaration sur l'honneur par exemple. Une limitation à l'incorporation de contribution existe déjà sur certains projets, comme GCC par exemple.
Bref c'est une idée complètement conne
J'ai jamais dit que c'était pas le cas ;-)
pas tout le monde dans le libre ne voudrait que ça soit dans le sens des idées de l'auteur du journal, au contraire
Et tant mieux!
Disclaimer : je vis du libre
Tant mieux, c'est rassurant qu'il y ait des personnes comme vous. Mais je souhaiterai que ce soit le cas pour plus de monde. Je souhaiterai que plus de personnes puissent contribuer à des projets existant, et de pouvoir en vivre.
Imposer une gouvernance (très chèrement) rémunérée ?
Non, ce n'est pas ce que j'imagine. Dans un monde qui me semble juste, j'aimerai que ces tâches n’amputent pas sur le temps de vie de ces administrateurs. Que cela se passe sur leur temps de travail. Mais rien n'obligerai à ce que soit la TDF qui paye. Cela pourrait être une entreprise utilisatrice de LO, une entreprise qui fournit des services d'implémentation de LO, …
Et cela va de même pour les autres tâches. Par exemple: si dans mon entreprise j'utilise LibreOffice et que la documentation d'un point n'est pas suffisante pour un de mes collègue, alors durant mon temps de travail, je fais une contribution à l'aide. Cette contribution sera bénéfique pour mon collègue et pour la communauté.
Ce que je veux dire dans cette idée poussée à l'extrême, c'est que les travaux devraient être rémunérés. Mais ça ne veux pas dire que ce sont les projet eux-même qui devrait le faire.
À ce compte-là, on interdit aussi les clubs de foot amateurs : c'est là qu'on détecte les futurs champions qui vont gagner des millions, des gosses entraînés par des bénévoles.
Lors de transfert, les clubs formateurs (donc des jeunes) touchent un 'mécanisme indemnitaire'.
L'idée d'interdire toute contribution venant de bénévoles est le fruit d'une réflexion poussé jusqu'au bout. Cependant, une telle interdiction n'est ni souhaitable, ni applicable.
Mais je pense que ce que je qualifie de problèmes en sont vraiment, et qu'une réflexion devrait être posée. Est-on d'accord que ce sont des problèmes dans certains cas? Si oui, veut-on essayer de supprimer le problème, ou le réduire? Ou doit-on se contenter de la situation en se disant qu'il n'existe aucune manière qui ne fasse pire que mieux?
Saurait-on interdire le travail bénévole dans le logiciel libre ? Non.
Tout dépend du niveau auquel on souhaite une telle interdiction. De manière globale? Non, en effet vous avez raison.
Mais si je suis mainteneur d'un projet open source, je suis en droit de refuser les contributions, peu importe la raison. En ce, y compris donc le fait qu'une personne pour contribuer à ce projet devrait être payée/rémunérée pour cette contribution.
En fait, durant la pré-sélection les participants ne disposent que de 5 heures, et non pas 24 heures.
Une fois sur la plateforme, et après avoir cliqué sur le bouton « Démarrer » le participant aura accès aux énoncés des deux problèmes à résoudre et disposera au maximum de cinq (5) heures pour soumettre ses solutions à chacun des problèmes.
(Source: Règlement COD2 v clean 210412)
De ce fait, qu'est-ce qui m'empêche de créer un faux compte pour récupérer les énoncés et d'avoir ainsi un temps supplémentaire pour résoudre? Surtout que le temps de réponse est déterminant pour le classement…
La règle d'une seule soumission possible: pourquoi? Imaginons que je fasse le concours. Je soumet et trois minutes après me vient une idée brillante. Même si j'ai encore du temps, ça ne sert à rien puisque je ne peux soumettre qu'une seule fois.
[^] # Re: Non
Posté par bhoessen . En réponse au journal Travail bénévole dans le monde du logiciel libre. Évalué à 1.
Ce n'est pas ce que je demande/souhaite, je ne veux pas forcer mes utilisateurs à me payer pour utiliser mes logiciels. Étant donné qu'ils sont libres, ils peuvent être redistribués sans que j'ai un quelconque contrôle dessus. Et c'est normal vu que c'est du libre.
Je n'ai pas l'impression que c'est ce que je fait. En tout cas, ce n'est pas mon souhait d'imposer ça à d'autres projets que les miens.
[^] # Re: NON
Posté par bhoessen . En réponse au journal Travail bénévole dans le monde du logiciel libre. Évalué à -1. Dernière modification le 21 décembre 2024 à 00:30.
Je ne cherche pas à interdire aux autres, je pose une question si c'est souhaitable qu'une personne qui maintient un logiciel libre ait ce genre de principe. Parce qu'il n'y a que les personnes en charge d'un projet qui pourraient établir et faire respecter ce genre d'idée. Idée qui ne serait valable que pour leur projet, et pas leur code car le code peut être forké, copié et en suite, l'utilisateur peut faire ce qu'il veut (grâce aux licence libres)
[^] # Re: Non
Posté par bhoessen . En réponse au journal Travail bénévole dans le monde du logiciel libre. Évalué à 2.
Non, je voudrais m'assurer que tu as été payé d'une façon ou d'une autre pour que j'accepte ta contribution. Et je sais que grâce à une licence libre, tu auras le droit de forker le projet si tu n'es pas d'accord avec ma vision. Et c'est ok, ça fait partie des règles que j'accepte et que je veux défendre. Mais chez moi, je voudrais m'assurer que les contributions que j'incorpore ont été rémunérées.
Oui, le libre permet de ne pas imposer à d'autres ce genre d'idées à la con :-p
[^] # Re: Non.
Posté par bhoessen . En réponse au journal Travail bénévole dans le monde du logiciel libre. Évalué à 0.
La mission que j'imagine du libre est de donner la liberté aux utilisateurs de pouvoir utiliser/examiner/redistribuer/modifier un logiciel.
On est d'accord
pas forcément. Si je suis le mainteneur d'un projet, je peux demander à ce que toutes les contributions soient faites durant des heures de travail rémunéré via une déclaration sur l'honneur par exemple. Une limitation à l'incorporation de contribution existe déjà sur certains projets, comme GCC par exemple.
J'ai jamais dit que c'était pas le cas ;-)
Et tant mieux!
Tant mieux, c'est rassurant qu'il y ait des personnes comme vous. Mais je souhaiterai que ce soit le cas pour plus de monde. Je souhaiterai que plus de personnes puissent contribuer à des projets existant, et de pouvoir en vivre.
[^] # Re: Comme je l'ai dit plus haut, je crois en la mission du logiciel libre.
Posté par bhoessen . En réponse au journal Travail bénévole dans le monde du logiciel libre. Évalué à -1.
Je comprends le scepticisme à mon égard.
Mais il me semble que ce que je nomme comme pouvant être problématique, est quelque chose qui vaille la peine d'y réfléchir.
[^] # Re: On interdit quoi exactement ?
Posté par bhoessen . En réponse au journal Travail bénévole dans le monde du logiciel libre. Évalué à -2.
Non, ce n'est pas ce que j'imagine. Dans un monde qui me semble juste, j'aimerai que ces tâches n’amputent pas sur le temps de vie de ces administrateurs. Que cela se passe sur leur temps de travail. Mais rien n'obligerai à ce que soit la TDF qui paye. Cela pourrait être une entreprise utilisatrice de LO, une entreprise qui fournit des services d'implémentation de LO, …
Et cela va de même pour les autres tâches. Par exemple: si dans mon entreprise j'utilise LibreOffice et que la documentation d'un point n'est pas suffisante pour un de mes collègue, alors durant mon temps de travail, je fais une contribution à l'aide. Cette contribution sera bénéfique pour mon collègue et pour la communauté.
Ce que je veux dire dans cette idée poussée à l'extrême, c'est que les travaux devraient être rémunérés. Mais ça ne veux pas dire que ce sont les projet eux-même qui devrait le faire.
[^] # Re: NON
Posté par bhoessen . En réponse au journal Travail bénévole dans le monde du logiciel libre. Évalué à 0. Dernière modification le 20 décembre 2024 à 22:46.
Lors de transfert, les clubs formateurs (donc des jeunes) touchent un 'mécanisme indemnitaire'.
L'idée d'interdire toute contribution venant de bénévoles est le fruit d'une réflexion poussé jusqu'au bout. Cependant, une telle interdiction n'est ni souhaitable, ni applicable.
Mais je pense que ce que je qualifie de problèmes en sont vraiment, et qu'une réflexion devrait être posée. Est-on d'accord que ce sont des problèmes dans certains cas? Si oui, veut-on essayer de supprimer le problème, ou le réduire? Ou doit-on se contenter de la situation en se disant qu'il n'existe aucune manière qui ne fasse pire que mieux?
[^] # Re: Non
Posté par bhoessen . En réponse au journal Travail bénévole dans le monde du logiciel libre. Évalué à -2.
Tout dépend du niveau auquel on souhaite une telle interdiction. De manière globale? Non, en effet vous avez raison.
Mais si je suis mainteneur d'un projet open source, je suis en droit de refuser les contributions, peu importe la raison. En ce, y compris donc le fait qu'une personne pour contribuer à ce projet devrait être payée/rémunérée pour cette contribution.
# Temps pour résoudre les problèmes
Posté par bhoessen . En réponse à la dépêche Code of Duty 2. Évalué à 3.
En fait, durant la pré-sélection les participants ne disposent que de 5 heures, et non pas 24 heures.
De ce fait, qu'est-ce qui m'empêche de créer un faux compte pour récupérer les énoncés et d'avoir ainsi un temps supplémentaire pour résoudre? Surtout que le temps de réponse est déterminant pour le classement…
La règle d'une seule soumission possible: pourquoi? Imaginons que je fasse le concours. Je soumet et trois minutes après me vient une idée brillante. Même si j'ai encore du temps, ça ne sert à rien puisque je ne peux soumettre qu'une seule fois.