La ligne de commande est constituée de l'invite de commande mia@mia-PC5:~$<espace> ainsi que du texte éventuellement saisi par l'utilisateur (echo coucou !). Le shell analyse et interprète le texte validé par l'utilisateur (Entrée) en fonction de plusieurs règles. En fin d'interprétation, le premier élément ou mot obtenu (echo) correspond généralement à une commande et les mots restants à ceux des arguments de la commande (coucou !). Le shell reconnaît plusieurs symboles lors de l'analyse (texte saisi par l'utilisateur) et les utilisent spécifiquement pour réaliser ses diverses opérations potentielles : diverses substitutions de macros, affectation de variables, redirections de flux (pour transmettre les données : par ex. <, >>), contrôles des opérations du shell (par ex. &&, |||)….
Cette commande est une commande composée. En outre, grep peut parcourir un fichier directement ; cat est inadéquate car on ne concatène pas plusieurs fichiers. Par conséquent, la commande saisie aurait dû être :
Quel est le nom complet du système d'exploitation utilisé ?
Quelle version du paquet lm_sensors est utilisée ?
La documentation du paquet est installée dans le répertoire /usr/share/doc/lm_sensors*/. Il semblerait que l'interface graphique soit composée par un programme additionnel. En outre, il faut déterminer si l'application fonctionne normalement (vérification si l'application renvoie des messages d'erreur) plutôt que de supposer un fonctionnement dégradé ou un dysfonctionnement du système graphique (Xorg, noyau…).
Une recherche web durant plusieurs heures n'est sans doute pas efficace. Dans ce cas, la recherche n'est pas correctement effectuée ou bien une recherche web ne convient pas pour résoudre le problème. La page vide renvoie à votre profils utilisateur. Il existe des ressources en français, cependant, la documentation originale est disponible en anglais. Heureusement, des personnes échangent en français (sites web, livres, forums, organisations…).
Le guide renommé « How To Ask Questions The Smart Way » de Eric S. Raymond expose plusieurs façons de résoudre un problème. Il s'agit d'une lecture recommandée mais pas indispensable. Personnellement, je vous incite à lire un ouvrage d'initiation à GNU/Linux comme « Reprenez le contrôle à l'aide de Linux » de Mathieu Nebra (ISBN: 979-10-90085-23-7). Vous pouvez aussi télécharger le livre numérique (format pdf) grâce au lien en bas de la page de son site web professionnel. L'anglais est indispensable pour progresser soi-même en lisant la documentation numérique. Si vous comprenez l'anglais, exploitez les commandes info et man pour rechercher l'information et vous former sur l'usage des commandes (voir info info et man man et cette question « What is the difference between Info and Man »). En ce qui concerne les utilitaires (les commandes), je vous recommande de parcourir le manuel « GNU Coreutils » (info coreutils) et de lire absolument le chapitre 30 « Opening the Software Toolbox » sur la philosophie Unix (info coreutils 'Opening the Software Toolbox'). Pour finir, situez votre niveau actuel par rapport à ce que vous lisez (on n'a pas tous le même niveau).
less convient davantage que more bien que less ne soit pas mentionné par la norme POSIX. Il semblerait que VirtualBox ne supporte pas certaines fonctionnalités (voir le fil de discussion : « Psensor: Surveillance des Températures - Ubuntu 11.04 64-bits»).
P.S.: Vérifiez vos sources et recoupez les informations.
Posté par flexop .
En réponse au message Cryptage/ Décriptage.
Évalué à -4.
Dernière modification le 18 mars 2019 à 10:59.
L'auteur original recherche une technique de chiffrement. Toutefois, « crypter » convient également selon le contexte.
On peut créer des représentations inintelligibles et cohérentes sans utiliser la mathématique (par exemple, en employant des symboles). Essayez de déchiffrer des hiéroglyphes ou une langue inconnue (décoder), secrète, mystérieuse (décrypter) : ce sera cryptique.
Le site web mentionné rejette le terme « crypter » grâce à des arguments d'autorité.
Décrypter ne peut accepter d’antonyme : il est en effet impossible de créer un message chiffré sans posséder de clé de chiffrement.
Cette phrase est insensée : oui, on peut chiffrer un message mais on peut aussi crypter un message. Dans les deux cas, le message est inintelligible. Il s'agit de procédés différents pour atteindre un état semblable.
En effet, la terminologie de cryptage reviendrait à coder un fichier sans en connaître la clé et donc sans pouvoir le décoder ensuite.
Cette phrase est aussi insensée : la personne réduit, de façon absurde, l'encodage (chiffrement, cryptage) à un procédé absurde.
[…] pouvait être une bonne manière de ne pas devoir répéter les étapes de configuration de WINE (ou DOSBox, ou ScummVM, etc.) à chaque fois que je souhaite installer un jeu […]
Vous réalisez un script utilisant la bibliothèque « libplayit2.sh » de « PlayIt » pour générer des ensembles de spécifications (configurations dédiées fournies) adaptés à chaque gestionnaire de paquets supportés. Ainsi, un jeu MS Windows peut être installé avec le gestionnaire de paquets et être exécuté ultérieurement grâce à l'émulateur WINE, par exemple.
Toutefois, on peut certainement installer un jeu uniquement avec le gestionnaire de paquets de sa distribution (en ce qui concerne Gentoo). Pour finir, Lutris semble beaucoup plus puissant et simple d'utilisation.
[…] « PlayIt » sert essentiellement à installer des jeux pour lesquels les développeurs/distributeurs ne proposent pas de paquets Linux […]
[…] On se base donc sur un script récent, on farfouille notre installateur pour voir comment sont rangés les fichiers du jeu, on modifie le script (le nom du jeu, le nom des fichiers présents, où les trouver, le nom de l’exécutable…) et on teste. […]
[…] l’idée est de se baser sur un script assez récent, décompresser l’installateur du jeu concerné, changer la valeur de quelques variables, et le tour est joué ! […]
Il n'empêche qu'on doit créer une interface pour « PlayIt » alors qu'on peut écrire directement une spécification pour le gestionnaire de paquets de sa distribution. Un utilisateur pourrait installer facilement un nouveau jeu mais pour ce faire il doit être sûr que « PlayIt » est un générateur de spécifications fiable, ce qui implique d'étudier son implémentation. De plus, vous pourriez aboutir à un résultat moins convenable qu'en employant initialement le gestionnaire de paquets.
Je perçois l'enthousiasme que vous portez au projet mais l'essentiel est ce qui importe. Pour ma part, le projet ne me convainc pas.
Simplicité ?
[…] fournissent trop de fonctionnalités pour l’adepte du KISS que je suis […]
Un logiciel peut implémenter beaucoup de fonctionnalités et être complexe dans l'ensemble mais être simple dans sa composition. Lutris exploite un langage permettant l'abstraction tandis que « PlayIt » utilise un langage shell POSIX (un langage de commandes restreint).
En outre, Lutris est développé intensivement (voyez le dépôt GitHub) et semble plus accessible pour les développeurs (structuration du projet, documentation, débogage…) et pour les utilisateurs (configurations, site web, forum…).
[…] par défaut, « PlayIt » n'est pas interactif pour éviter de perdre les utilisateurs. […]
Il s'agit d'une caractéristique particulière à l'implémentation de « PlayIt ». On peut concevoir des logiciels interactifs accessibles pour les utilisateurs.
Portabilité ?
[gestionnaires de paquets] […] construire des paquets pour […] ne pas devoir répéter les étapes de configuration de WINE […]
[gestionnaires de paquets] […] construire des paquets à destination de plusieurs familles de distributions […]
[gestionnaires de paquets] […] game-data-packager ne construit que des paquets pour Debian […]
Malheureusement, je ne vais pas vérifier ces affirmations car je ne connais que Gentoo. Toutefois, les « ebuilds » permettent d'intégrer de nouveaux logiciels.
[développeurs] […] l’ajout de la gestion de nouveaux formats de paquets [rpm, deb, ebuild…] […]
[développeurs] […] contribuer consiste à écrire de nouveaux scripts gérant d’autres jeux. […]
[…] peuvent être installés sur n’importe quel système […] il suffit donc de construire les paquets une seule fois […]
Cette affirmation semble correcte sauf qu'il faut disposer d'extensions adaptées à chaque gestionnaire de paquets.
En conséquence, « PlayIt » est potentiellement inutile pour les distributions. Un contributeur élabore une spécification adaptée à son gestionnaire de paquets plutôt que d'élaborer une spécification particulière à un gestionnaire logiciel lambda.
La documentation « Requesting LineageOS for your device » expose clairement la démarche du projet et informe explicitement en quoi vos attentes ne concordent pas.
LineageOS is not a corporation with employees. So, step one, purge your mind of the mentality that developers are sitting around waiting for advice about what to work on next.
Cette dépêche est développée de façon inversée. À qui est adressée cette dépêche ? (c.f. la section « C'est à vous ») Cette dépêche est intéressante pour les ingénieurs ou les développeurs expérimentés. Pourquoi ? Les téléphones non supportés doivent être pris en charge par l'utilisateur. Êtes-vous un développeur système ? Non. Une partie fondamentale du propos est placée en arrière-plan (c.f. Comment est fait le choix des plateformes ?).
Au temps pour moi. Non, ces traductions ne pas insensées comme vous l'insinuez. Pour ma part, la polémique est close : ce n'est pas l'endroit (voyez plutôt le forum). De plus, je ne souhaite pas polémiquer. Que chacun assume ses choix.
La première partie est aussi valable pour un système LFS : configurer, construire, installer, vérifier, corriger. Je crois que ces tâches sont effectuées par le gestionnaire de paquets des distributions Linux.
L'usage de ALFS pour élaborer systématiquement une distribution basée sur LFS me rend perplexe. Actuellement, je ne suis pas en capacité d'étudier les scripts. Diverses distributions sont générées automatiquement (Kikstart, Preseed).
À mon avis, l'introduction originale du projet élude l'inadéquation potentielle entre les attentes des utilisateurs et leurs progressions effectives.
LFS Book (section Prerequisites)
Building an LFS system is not a simple task. It requires a certain level of existing knowledge of Unix system administration in order to resolve problems and correctly execute the commands listed.
In particular, as an absolute minimum, […] ability to use the command line […].
Because the LFS book assumes at least this basic level of skill […]
LFS FAQ (current)
If you've read the prerequisites and audience pages you know that the target audience of LFS are intermediate and advanced Linux users. Anybody who has a couple of months experience with Linux and especially the console should be able to successfully assemble an LFS system.
While LFS seems like a good guide for newbies to Linux, the reality is actually quite different. […]
LFS essential prereading (2004-12-28)
Many people attempt to build LFS without sufficient understanding or experience with LINUX.
Effectivement, une personne ayant des notions d'administration système n'est plus débutante. En bref, les propos sont contradictoires ou divergents.
DistroWatch (2017-10-30)
How do you do package management post-installation?
LFS FAQ (current)
Package management - beyond that provided by tarballs and makefiles - is beyond the scope of the book.
LFS book (current)
The goal of Linux From Scratch is to build a complete and usable foundation-level system.
L'information est disponible pour tous mais est surtout accessible aux utilisateurs intermédiaires et avancés. Pour conclure, il faudrait réviser (clarifier) l'introduction.
Gentoo Linux et LFS ont des principes similaires, leurs organisations diffèrent, leurs communautés se ressemblent. Je suis persuadé qu'un expert Gentoo peut obtenir un contrôle équivalent à celui de LFS. Cependant, il faudrait sûrement concevoir un gestionnaire de paquets pour un usage mono-utilisateur. Toutefois, ces deux partis ont une orientation différente.
Les développeurs Gentoo ont structuré leur activité par domaines de compétences. Par contre, je ne sais pas comment s'est organisée la communauté LFS. Toutefois, ce qui m'ennuie le plus avec LFS semble être l'absence d'utilitaires, de méthodes alternatives [How To Become A Hacker].
Merci d'avoir répondu. Vos propos confirment mes doutes : le lecteur exploite systématiquement le manuel en reproduisant les même opérations sauf lorsqu'il s'agit d'expérimentations personnelles.
À vous de voir quelle attitude adopter. Néanmoins, vous ne semblez pas enclin à apprendre la grammaire française (Ne vous emportez pas.).
Dans des circonstances précises, on peut utiliser d'autres signes de ponctuation : la virgule si les éléments sont très courts (mais il peut être préférable, dans ce cas, d’opter pour une énumération horizontale) ou le point lorsque chaque élément de l'énumération constitue une phrase.
J'ai fais une erreur de majuscule pour le mot "québécois". Je ne maîtrise pas toutes les règles grammaticales. J'ai mis la lettre "q" en majuscule à cause du sigle OQLF.
« Je suis en train de créer ma distribution en me basant sur LFS. C'est vraiment instructif. Notamment, la construction d'une chaîne de compilation, en plusieurs phases, qui me paraît complexe bien que j'ai seize ans d'expériences sous Linux. »
Voir aussi :
Le site web de l'Office Québécois de la langue française.
Je suis aussi étonné par la structure du projet. J'ai l'impression que le projet consiste essentiellement à réaliser un manuel technique pour chaque variante du système. En fait, le lecteur ne définit pas un système personnalisé mais choisit un manuel particulier. En d'autres termes, on applique un protocole rigide plutôt que de suivre un guide d'installation.
Quelle est la différence entre une nouvelle distribution et un système LFS ?
Combien y a t'il de niveaux de maîtrise, en général ?
Des distributions originales sont prises en charge par seulement quelques personnes (création, maintenance, aide…). Par exemple, Void Linux était majoritairement développée par un développeur et malgré le peu de contributeurs, Funtoo Linux se démarque de Gentoo Linux (une méta-distribution).
# Présentation contextuelle (ligne de commande)
Posté par flexop . En réponse au message Messages d'erreurs incompréhensibles pour moi. Évalué à -4. Dernière modification le 21 mars 2019 à 08:31.
La ligne de commande est constituée de l'invite de commande
mia@mia-PC5:~$<espace>
ainsi que du texte éventuellement saisi par l'utilisateur (echo coucou !
). Le shell analyse et interprète le texte validé par l'utilisateur (Entrée
) en fonction de plusieurs règles. En fin d'interprétation, le premier élément ou mot obtenu (echo
) correspond généralement à une commande et les mots restants à ceux des arguments de la commande (coucou !
). Le shell reconnaît plusieurs symboles lors de l'analyse (texte saisi par l'utilisateur) et les utilisent spécifiquement pour réaliser ses diverses opérations potentielles : diverses substitutions de macros, affectation de variables, redirections de flux (pour transmettre les données : par ex.<
,>>
), contrôles des opérations du shell (par ex.&&
,|
||
)….Commentaires
Cette commande est une commande composée. En outre,
grep
peut parcourir un fichier directement ;cat
est inadéquate car on ne concatène pas plusieurs fichiers. Par conséquent, la commande saisie aurait dû être :Il suffit d'utiliser
whatis <commande>
ouman -f <commande>
pour se renseigner sur le rôle d'une commande.Cette commande composée permet de rediriger « le flux de données sortant » de la commande
dmesg
vers l'entrée standard de la commandegrep
.# Informations sur l'environnement
Posté par flexop . En réponse au message Messages d'erreurs incompréhensibles pour moi. Évalué à 0.
lm_sensors
est utilisée ?La documentation du paquet est installée dans le répertoire
/usr/share/doc/lm_sensors*/
. Il semblerait que l'interface graphique soit composée par un programme additionnel. En outre, il faut déterminer si l'application fonctionne normalement (vérification si l'application renvoie des messages d'erreur) plutôt que de supposer un fonctionnement dégradé ou un dysfonctionnement du système graphique (Xorg, noyau…).[^] # Re: Conseils pour les débutants
Posté par flexop . En réponse au message Messages d'erreurs incompréhensibles pour moi. Évalué à 0.
Une recherche web durant plusieurs heures n'est sans doute pas efficace. Dans ce cas, la recherche n'est pas correctement effectuée ou bien une recherche web ne convient pas pour résoudre le problème. La page vide renvoie à votre profils utilisateur. Il existe des ressources en français, cependant, la documentation originale est disponible en anglais. Heureusement, des personnes échangent en français (sites web, livres, forums, organisations…).
# Conseils pour les débutants
Posté par flexop . En réponse au message Messages d'erreurs incompréhensibles pour moi. Évalué à 2. Dernière modification le 20 mars 2019 à 16:39.
Le guide renommé « How To Ask Questions The Smart Way » de Eric S. Raymond expose plusieurs façons de résoudre un problème. Il s'agit d'une lecture recommandée mais pas indispensable. Personnellement, je vous incite à lire un ouvrage d'initiation à GNU/Linux comme « Reprenez le contrôle à l'aide de Linux » de Mathieu Nebra (ISBN: 979-10-90085-23-7). Vous pouvez aussi télécharger le livre numérique (format pdf) grâce au lien en bas de la page de son site web professionnel. L'anglais est indispensable pour progresser soi-même en lisant la documentation numérique. Si vous comprenez l'anglais, exploitez les commandes
info
etman
pour rechercher l'information et vous former sur l'usage des commandes (voirinfo info
etman man
et cette question « What is the difference between Info and Man »). En ce qui concerne les utilitaires (les commandes), je vous recommande de parcourir le manuel « GNU Coreutils » (info coreutils
) et de lire absolument le chapitre 30 « Opening the Software Toolbox » sur la philosophie Unix (info coreutils 'Opening the Software Toolbox'
). Pour finir, situez votre niveau actuel par rapport à ce que vous lisez (on n'a pas tous le même niveau).Informations particulières pour Léa.
less
convient davantage quemore
bien queless
ne soit pas mentionné par la norme POSIX. Il semblerait que VirtualBox ne supporte pas certaines fonctionnalités (voir le fil de discussion : « Psensor: Surveillance des Températures - Ubuntu 11.04 64-bits»).P.S.: Vérifiez vos sources et recoupez les informations.
[^] # Chiffrer ou crypter ?
Posté par flexop . En réponse au message Cryptage/ Décriptage. Évalué à -4. Dernière modification le 18 mars 2019 à 10:59.
L'auteur original recherche une technique de chiffrement. Toutefois, « crypter » convient également selon le contexte.
On peut créer des représentations inintelligibles et cohérentes sans utiliser la mathématique (par exemple, en employant des symboles). Essayez de déchiffrer des hiéroglyphes ou une langue inconnue (décoder), secrète, mystérieuse (décrypter) : ce sera cryptique.
Le site web mentionné rejette le terme « crypter » grâce à des arguments d'autorité.
Cette phrase est insensée : oui, on peut chiffrer un message mais on peut aussi crypter un message. Dans les deux cas, le message est inintelligible. Il s'agit de procédés différents pour atteindre un état semblable.
Cette phrase est aussi insensée : la personne réduit, de façon absurde, l'encodage (chiffrement, cryptage) à un procédé absurde.
[^] # Correction et modifications mineures
Posté par flexop . En réponse au message petit souci avec la commande grep. Évalué à 1.
[^] # Re: préciser le nombre d'occurrence
Posté par flexop . En réponse au message petit souci avec la commande grep. Évalué à 1.
La commande reçoit l'argument transmis par le shell après « expansion ». Certains caractères sont spéciaux pour le shell et/ou pour la commande.
# Expressions régulières
Posté par flexop . En réponse au message petit souci avec la commande grep. Évalué à 1. Dernière modification le 17 mars 2019 à 15:01.
Les guillemets persistent dans l'expression régulière parce qu'ils ne sont retirés par le shell.
Voir aussi
[^] # Re: Perspectives
Posté par flexop . En réponse à la dépêche ./play.it 2.11 : Gentoo, Flatpak et jeux vidéos. Évalué à 0. Dernière modification le 16 mars 2019 à 18:15.
Vous réalisez un script utilisant la bibliothèque « libplayit2.sh » de « PlayIt » pour générer des ensembles de spécifications (configurations dédiées fournies) adaptés à chaque gestionnaire de paquets supportés. Ainsi, un jeu MS Windows peut être installé avec le gestionnaire de paquets et être exécuté ultérieurement grâce à l'émulateur WINE, par exemple.
Toutefois, on peut certainement installer un jeu uniquement avec le gestionnaire de paquets de sa distribution (en ce qui concerne Gentoo). Pour finir, Lutris semble beaucoup plus puissant et simple d'utilisation.
[^] # Re: Perspectives
Posté par flexop . En réponse à la dépêche ./play.it 2.11 : Gentoo, Flatpak et jeux vidéos. Évalué à 0.
Il n'empêche qu'on doit créer une interface pour « PlayIt » alors qu'on peut écrire directement une spécification pour le gestionnaire de paquets de sa distribution. Un utilisateur pourrait installer facilement un nouveau jeu mais pour ce faire il doit être sûr que « PlayIt » est un générateur de spécifications fiable, ce qui implique d'étudier son implémentation. De plus, vous pourriez aboutir à un résultat moins convenable qu'en employant initialement le gestionnaire de paquets.
# Perspectives
Posté par flexop . En réponse à la dépêche ./play.it 2.11 : Gentoo, Flatpak et jeux vidéos. Évalué à 2. Dernière modification le 16 mars 2019 à 12:08.
Je perçois l'enthousiasme que vous portez au projet mais l'essentiel est ce qui importe. Pour ma part, le projet ne me convainc pas.
Simplicité ?
Un logiciel peut implémenter beaucoup de fonctionnalités et être complexe dans l'ensemble mais être simple dans sa composition. Lutris exploite un langage permettant l'abstraction tandis que « PlayIt » utilise un langage shell POSIX (un langage de commandes restreint).
En outre, Lutris est développé intensivement (voyez le dépôt GitHub) et semble plus accessible pour les développeurs (structuration du projet, documentation, débogage…) et pour les utilisateurs (configurations, site web, forum…).
Il s'agit d'une caractéristique particulière à l'implémentation de « PlayIt ». On peut concevoir des logiciels interactifs accessibles pour les utilisateurs.
Portabilité ?
Malheureusement, je ne vais pas vérifier ces affirmations car je ne connais que Gentoo. Toutefois, les « ebuilds » permettent d'intégrer de nouveaux logiciels.
Cette affirmation semble correcte sauf qu'il faut disposer d'extensions adaptées à chaque gestionnaire de paquets.
En conséquence, « PlayIt » est potentiellement inutile pour les distributions. Un contributeur élabore une spécification adaptée à son gestionnaire de paquets plutôt que d'élaborer une spécification particulière à un gestionnaire logiciel lambda.
Gentoo ?
Aucun logiciel n'indexera automatiquement « PlayIt » puisque « l'overlay BetaRays » n'est pas listé par Gentoo. En outre, les overlays ne sont pas supportés par la communauté Gentoo.
[^] # Re: Version LTS ?
Posté par flexop . En réponse à la dépêche LineageOS 16. Évalué à 2.
La documentation « Requesting LineageOS for your device » expose clairement la démarche du projet et informe explicitement en quoi vos attentes ne concordent pas.
[^] # Modification d'un terme
Posté par flexop . En réponse à la dépêche LineageOS 16. Évalué à -3.
Je voulais employer le terme neutre « technologue » plutôt que le terme connoté « ingénieur ».
# Entrez dans l'impasse !
Posté par flexop . En réponse à la dépêche LineageOS 16. Évalué à -4.
Cette dépêche est développée de façon inversée. À qui est adressée cette dépêche ? (c.f. la section « C'est à vous ») Cette dépêche est intéressante pour les ingénieurs ou les développeurs expérimentés. Pourquoi ? Les téléphones non supportés doivent être pris en charge par l'utilisateur. Êtes-vous un développeur système ? Non. Une partie fondamentale du propos est placée en arrière-plan (c.f. Comment est fait le choix des plateformes ?).
[^] # Arrêt de la polémique
Posté par flexop . En réponse à la dépêche Linux From Scratch 8.4 : sortez vos tabliers !. Évalué à -4.
Au temps pour moi. Non, ces traductions ne pas insensées comme vous l'insinuez. Pour ma part, la polémique est close : ce n'est pas l'endroit (voyez plutôt le forum). De plus, je ne souhaite pas polémiquer. Que chacun assume ses choix.
[^] # Re: Caractéristiques de Linux From Scratch
Posté par flexop . En réponse à la dépêche Linux From Scratch 8.4 : sortez vos tabliers !. Évalué à -1.
La première partie est aussi valable pour un système LFS : configurer, construire, installer, vérifier, corriger. Je crois que ces tâches sont effectuées par le gestionnaire de paquets des distributions Linux.
L'usage de ALFS pour élaborer systématiquement une distribution basée sur LFS me rend perplexe. Actuellement, je ne suis pas en capacité d'étudier les scripts. Diverses distributions sont générées automatiquement (Kikstart, Preseed).
# Initiation à Linux From Scratch
Posté par flexop . En réponse à la dépêche Linux From Scratch 8.4 : sortez vos tabliers !. Évalué à -2.
À mon avis, l'introduction originale du projet élude l'inadéquation potentielle entre les attentes des utilisateurs et leurs progressions effectives.
LFS Book (section Prerequisites)
LFS FAQ (current)
LFS essential prereading (2004-12-28)
Effectivement, une personne ayant des notions d'administration système n'est plus débutante. En bref, les propos sont contradictoires ou divergents.
DistroWatch (2017-10-30)
LFS FAQ (current)
LFS book (current)
L'information est disponible pour tous mais est surtout accessible aux utilisateurs intermédiaires et avancés. Pour conclure, il faudrait réviser (clarifier) l'introduction.
[^] # Re: Caractéristiques de Linux From Scratch
Posté par flexop . En réponse à la dépêche Linux From Scratch 8.4 : sortez vos tabliers !. Évalué à 0.
Gentoo Linux et LFS ont des principes similaires, leurs organisations diffèrent, leurs communautés se ressemblent. Je suis persuadé qu'un expert Gentoo peut obtenir un contrôle équivalent à celui de LFS. Cependant, il faudrait sûrement concevoir un gestionnaire de paquets pour un usage mono-utilisateur. Toutefois, ces deux partis ont une orientation différente.
Les développeurs Gentoo ont structuré leur activité par domaines de compétences. Par contre, je ne sais pas comment s'est organisée la communauté LFS. Toutefois, ce qui m'ennuie le plus avec LFS semble être l'absence d'utilitaires, de méthodes alternatives [How To Become A Hacker].
[^] # Re: Caractéristiques de Linux From Scratch
Posté par flexop . En réponse à la dépêche Linux From Scratch 8.4 : sortez vos tabliers !. Évalué à 2.
Merci d'avoir répondu. Vos propos confirment mes doutes : le lecteur exploite systématiquement le manuel en reproduisant les même opérations sauf lorsqu'il s'agit d'expérimentations personnelles.
[^] # Mise au point (grammaticale)
Posté par flexop . En réponse à la dépêche Linux From Scratch 8.4 : sortez vos tabliers !. Évalué à -10.
À vous de voir quelle attitude adopter. Néanmoins, vous ne semblez pas enclin à apprendre la grammaire française (Ne vous emportez pas.).
J'ai fais une erreur de majuscule pour le mot "québécois". Je ne maîtrise pas toutes les règles grammaticales. J'ai mis la lettre "q" en majuscule à cause du sigle OQLF.
[^] # Corrections linguistiques
Posté par flexop . En réponse à la dépêche Linux From Scratch 8.4 : sortez vos tabliers !. Évalué à -10.
« Je suis en train de créer ma distribution en me basant sur LFS. C'est vraiment instructif. Notamment, la construction d'une chaîne de compilation, en plusieurs phases, qui me paraît complexe bien que j'ai seize ans d'expériences sous Linux. »
Voir aussi :
[^] # Re: Caractéristiques de Linux From Scratch
Posté par flexop . En réponse à la dépêche Linux From Scratch 8.4 : sortez vos tabliers !. Évalué à 0.
Je suis aussi étonné par la structure du projet. J'ai l'impression que le projet consiste essentiellement à réaliser un manuel technique pour chaque variante du système. En fait, le lecteur ne définit pas un système personnalisé mais choisit un manuel particulier. En d'autres termes, on applique un protocole rigide plutôt que de suivre un guide d'installation.
# Caractéristiques de Linux From Scratch
Posté par flexop . En réponse à la dépêche Linux From Scratch 8.4 : sortez vos tabliers !. Évalué à 0.
Des distributions originales sont prises en charge par seulement quelques personnes (création, maintenance, aide…). Par exemple, Void Linux était majoritairement développée par un développeur et malgré le peu de contributeurs, Funtoo Linux se démarque de Gentoo Linux (une méta-distribution).