Tu pourrais peut-être nous mettre le contenu de ton fichier /etc/x11/xorg.conf (en particulier ce qu'il y a autour de la ligne 50).
Evidemment si tu ne connais pas Linux/Unix et que tu n'as pas d'interface graphique cela risque d'être un peu compliqué...
Donc :
- tu peux visualiser le contenu du fichier avec "less /etc/X11/xorg.conf" ("q" pour quitter, ":50" pour aller ligne 50)
- si tu as les outils mtools (et un lecteur de disquette) tu peux copier le fichier sur une disquette avec "mcopy /etc/X11/xorg.conf a:"
Sinon, tu peux toujours essayer de reconfigurer le serveur X avec les commandes xorgcfg ou xorgconfig.
Un fil de discussion un peu vieux (2002), mais expliquant les règles iptables à mettre en place pour l'utilisation du FTP actif et passif (je pense que les explications sont toujours valides).
Je ne connais pas drakconf, alors je ne pourrais guère t'aider dans son utilisation, mais c'est déjà une piste...
Le protocole FTP est en effet un peu particulier. Dans le mode par défaut (dit mode actif), le client se connecte sur le port d'écoute P du serveur (en général le 21). Cette connexion TCP va servir aux échanges des commandes. Lorsque des données doivent être transférées (envoi/réception de fichier mais aussi listing d'un répertoire), le client fournit au serveur un numéro de port (et une adresse IP) et le serveur se connecte alors sur le client sur le port indiqué et avec un port source égal à P-1 (donc le port 20 en général).
Ce mode de fonctionnement pose quelques problèmes, en particulier lorsque le client est derrière un firewall ou un routeur, puisqu'il faut que la connexion du serveur vers le client réussise (avec éventuellement une translation d'adresse) [certains firewall font de l'analyse protocolaire du flux de commande FTP afin d'ouvrir les bons ports pour le canal de données]. On a donc mis au point le mode passif (c'est le client qui indique au serveur qu'il veut utiliser ce mode) : dans ce cas, le serveur fournit au client un numéro de port (quelconque, sauf configuration particulière du serveur, et différent à chaque fois) et c'est le client qui ouvre la deuxième connexion TCP sur le serveur (pour le transfert des données).
Donc, et pour répondre à ta question, il faut peut-être bien ouvrir le port 24999, mais dans le sens sortant si le client fait du FTP actif. En passif, il y a plusieurs possibilité :
- tu paramètre ton serveur pour lui indiquer une plage de ports à utiliser en mode passif et tu ouvres, au niveau du firewall, toute la plage indiquée.
- tu as un firewall qui gère le protocole FTP (IPSec doit le faire) et alors tu dois indiquer que le port 25000 est utilisé pour du FTP et qu'il faut donc analyser les paquets qui transitent afin d'ouvrir dynamiquement les bons accès (solution la meilleure, mais si je t'ai donné la partie théorique, il va falloir que tu cherches ailleurs pour la mise en ½uvre pratique ;-( )
En clair, depuis OP tu te connectes en SSH sur MPU avec une commande du genre :
ssh -R2222:localhost:22 -l user MPU
Ainsi, tant que cette session SSH est ouverte, tu peux, depuis MPU, te connecter en SSH sur OP avec la commande :
ssh -p2222 localhost
Evidemment tu peux adapter cela à d'autres protocoles que le SSH (dans le sens MPU vers OP). Pour en savoir un peu plus, va voir la documentation de SSH...
Dans le manuel utilisateur, en anglais, il est indiqué sur la dernière page que pour utiliser cet appareil il faut au minimum un PIII 500 avec Windows, MAC OS X, Linux ou BSD.
Donc apparemment ça doit marcher.
Evidemment, je n'ai pas résussi à voir s'il fallait utiliser un logiciel livré avec le produit pour que la PC soit accessible ou si leur lecteur utilisait un protocole "standard" (HTTP, partage Samba, FTP, ...)
Posté par JJD .
En réponse au message Robot de test.
Évalué à 2.
Salut,
J'avais un peu étudié le fonctionnemnt de webinject (http://www.webinject.org/(...) ) il y a quelques temps, essentiellement pour automatiser des contrôles en interface avec Nagios.
A mon avis ça demande quand même un travail de paramétrage un peu plus long qu'avec les outils de Rational. Les scénarii de navigation sont décrits dans des fichiers XML et le programme lui-même est en Perl (il existe une version binaire sus Windows).
A mon avis c'est très bien pour contrôler/surveiller le bon fonctionnement d'un site mais ça risque d'être un peu lourd dans le cas d'une utilisation pour du recettage (mais je ne l'ai pas utilisé dans ce cas de figure, donc tu peux toujours tester ...)
Est-ce que tu peux contrôler que mount (/bin/mount) a bien le bit SUID positionné. Lorsque tu fais un "ls -l /bin/mount", tu dois avoir les droits suivants : "-rwsr-xr-x". Si ce n'est pas le cas, un coup de
chmod 4755 /bin/mount
devrait régler le problème.
Sinon, il faut aussi noter que (très) souvent les clés USB sont formatés avec une partition occupant tout l'espace de la clé. Le device à utiliser est alors /dev/sda1 et non pas /dev/sda (mais si tu arrives à monter ta clé en root, le problème ne vient pas de là).
Enfin, tu peux aussi noter qu'en mettant users au lieu de user dans /etc/fstab, tu permets à un utilisateur différent de celui qui a monté la clé à la démonter (c'est pratique quand celui qui a monté la clé part en oubliant le unmount).
La commande "apt-get upgrade" va mettre à jour ton système partiellement, c'est à dire sans rajouter et surtout sans supprimer aucun paquet. Cela veut dire que certaines mises à jour n'ont pas été faites (ça arrive quand la mise à jour d'un paquet réclame, pour satisfaire les conflits de dépendances, la suppression d'une bibliothèque ou le remplacement d'un paquet par un autre).
La solution peut être de lancer un "apt-get dist-upgrade".
Mais ATTENTION (je ne le dirai jamais assez fort) : observe bien ce que cette commande va faire. Il est possible (probable) que apt-get te propose la suppression de logiciels dont tu as besoin (ou en tous cas que tu utilises). N'hésite pas alors à refuser la mise à jour. Tu auras au moins obtenu la liste des paquets qui ne sont pas à jour et tu peux, à ce moment-là, essayer de les mettre à jour un par un ("apt-get install nom_du_paquet").
Bon courage quand même et rassure toi : je suis en Debian sid et je suis donc passé par là il y a quelques semaines et je n'ai perdu aucun logiciel.
Bon et bien il y a quelques points à vérifier :
- la configuration du serveur ssh est-elle bonne ? Est-ce qu'elle accepte le forwarding X11 ? (X11Forwarding yes)
- lorsque tu te connectes en ssh avec l'option -X, est-ce que la variable DISPLAY est définie ? Est-ce que sur le serveur il y a un fichier .Xauthority ? Est-ce que sur le serveur la commande xauth existe ? Est-elle bien dans /usr/bin/X11/xauth ? (ou à l'endroit éventuellement spécifié par la directive XAuthLocation du fichier /etc/ssh/sshd_config)
- le serveur X sur le client est-il à l'écoute en TCP ? ( port TCP 6000 ouvert : en tapant la commande "netstat -tln" tu dois voir apparaître la ligne
tcp 0 0 0.0.0.0:6000 0.0.0.0:* LISTEN )
- si le serveur n'accepte pas le forward X11, tu peux essayer une connexion directe (et non encryptée) en suivant la méthode expliquée dans ce commentaire : http://linuxfr.org/comments/606931.html#606101(...)
Voilà ce qui me vient à l'esprit pour l'instant.
N'hésite pas à nous tenir informés de tes tests et de tes avancées.
Attention, l'option pour activer le forward de port et l'authentification X11 est -X (majuscule) alors que -x le désactive.
Sinon, je pense qu'avant de poster ce type de question et de jouer les assistés permanents un peu de recherche dans la documentation (pages de manuel de ssh et sshd, mécanismes d'authentification sous X, options du serveur X, ...) ne fait pas de pas. J'apprécie de donner des conseils, cela me permet même souvent d'apprendre et de progresser (parce que je cherche moi-même les solutions et les teste lorsque je le peux et que j'en ai le temps), mais il est assez agaçant de revenir régulièrement sur les mêmes sujets, maintes fois débatus...
Il est d'ailleurs possible de trouver des sujets similaires relativement récent sur ce même forum (http://linuxfr.org/forums/12/10373.html(...) ).
Attention dtsiss : je n'essaie pas de te vexer ou de t'envoyer bouler. Je pense simplement que rechercher un peu soi-même avant de s'en remettre à la communauté est salutaire pour tous. Après, si tu viens nous expliquer que tu as effectivement essayé les différentes pistes proposées ailleurs et que tu es toujours bloqué, je me ferai un plaisir de venir t'aider à trouver une solution.
Je n'avais pas d'accès au net ces derniers jours, alors je n'ai pas pu suivre le fil de la dicussion.
Quoi qu'il en soit, je t'avais signalé le problème de la disponibilité d'un serveur X pour que openoffice fonctionne. Il y a certainement moyen de contourner cette difficulté en offrant un serveur X à openoffice. Je vois deux solutions (je n'ai pas testé la première) :
1- tu lances un serveur X en précisant, dans la section Device
Driver "dummy"
puis tu dis à openoffice d'utiliser ce serveur
-> inconvénient (si ça marche) si openoffice "affiche" quoi que ce soit sur ce serveur X, tu ne pourras pas le voir
2- tu lances un serveur VNC : celui-ci se comporte comme un serveur X pour les applications et tu peux afficher ce display avec un client VNC. Il suffit encore une fois de fixer la variable DISPLAY avant de lancer openoffice et le tour est joué.
Dans les deux cas il te faudra installer un serveur X, mais il n'y aura pas d'affichage local sur le serveur.
Pour information, les paquets Debian disponibles sont :
- pour le serveur X : xserver-xorg (ou xserver-xfree86)
- pour le serveur vnc : vnc4server (ou vncserver ou tightvncserver)
Accessoirement, la beta de la version 2 d'openoffice.org est disponible chez Debian en experimental.
Il devrait être possible de faire cela avec openoffice.org : il faut définir une imprimante Postscript avec spadmin en donnant comme commande à exécuter un filtre qui ne fait rien (un simple cat doit suffire).
Ensuite, il suffit d'appeler openoffice avec les bonnes options :
ooffice -pt nom_imprimante_ps document.doc
pour récupérer le fichier postscript sur la sortie standard..enfin en théorie. J'ai fait quelques essais rapides, mais je n'ai pas (encore) réussi à aboutir complètement : ooffice réclame un serveur X accessible (variable DISPLAY) et spadmin semble un poil buggé (est-ce quelqu'un a la description du format du fichier psprint.conf ?). Mais bon, en théorie ça devrait marcher.
Il doit également être possible de faire cette conversion Word->Postcript (voire même des conversions entre tous les formats reconnus par openoffice) grace à des macros, mais là je te laisse fouiller dans la documentation.
Je ne sais pas si ces pistes te seront utiles, mais j'aurais essayé.
Comme je te l'avais indiqué dans le fil de discussion précédent, l'agrandissement d'un FS sur du LVM se fait en deux étapes : agrandissement du volume logique puis extension du système de fichiers.
Dans ton cas, il semble bien que le volume logique fait 100GO mais que le système de fichier n'occupe que 37GO.
Pour agrandir, la commande dépend de ton système de fichiers :
- avec reiserfs tu exécutes :
resize_reiserfs /dev/var/var
pour occuper tout l'espave du volume logique ou
resize_reiserfs -s +10G /dev/var/var
pour rajouter 10G
- avec ext2/ext3, il faut auparavant démonter ton volume avec
umount /dev/var/var ou umount /var
Il faudra évidemment arrêter toutes les applis qui accèdent à /var (en particulier tous les démons qui vont y écrire leurs logs : le plus simple est peut être de passer en mode single user). Ensuite tu agrandis ton système de fichiers avec
resize2fs /dev/var/var ou
resize2fs /dev/var/var 47G
et tu le remontes.
Regarde quand même ce que te donnent les commandes 'df -h' (espace disque sur les points de montage) et 'vgdisplay' (informations sur les volume groups).
Il faut simplement noter qu'il existe sur certains système de fichiers (comme ext2/ext3) une limite au nombre d'inodes (et donc de fichiers). Cette limite est fixée au moment de la création (formatage) du FS et n'est pas modifiable après coup. On peut la voir avec "df -i".
J'ai déjà rencontré le problème, sous AIX, de partitions sur lesquelles il restait de l'espace disque libre mais sans possibilité de créer de nouveaux fichiers parce qu'il n' y avait plus d'inodes libres (il y avait des répertoires avec beaucoup de petits fichiers).
Dans la problématique de cv_freex il faut prendre en compte ce paramètre, en particulier s'il y a plusieurs répertoires avec quelques dizaines de miliers de fichiers sur la même partition (chez moi, sur un FS ext3 de 1.5GO, formaté avec les options par défaut, il y a 175872 fichiers possibles)
A mon avis ça devrait passer sans trop de problème.
Attention toutefois à bien choisir son sytème de fichier pour ne pas avoir des performances qui se dégradent (en particulier si on fait un ls dans le répertoire ...) : par exemple reiserfs est certainement plus adapté à ce type d'utilisation que ext2/ext3.
Pour l'accès à un fichier particulier, dont on connaît ke nom, il ne devrait pas il y avoir de soucis.
En revanche, je ne sais pas ce que cela pourrait donner si l'on parcourt le répertoire avec un gestionnaire de fichiers graphique (nautilus, konquerror, ...) : là ça rique d'être plus problématique, surtout s'il faut afficher des vignettes !
mkfs.reiserfs correspond à du reiserfs version 3 et se trouve dans le paquet reiserfsprogs (il existe également un paquetage progsreiserfs, qui doit être -presque- équivalent : si quelqu'un peut m'expliquer la différence, je prends ...)
mkfs.reiser4 permet de créer un FS en reiserfs version 4 qui est une réécriture complète, incompatible avec la version précédente. Reiserfs4 n'a pas (encore) été intégrée officiellement au noyau (il y a eu de grandes discussions au sujet du code du pilote un peu trop intrusif) et le support n'est pas présent dans les noyaux Debian. Pour l'utiliser, il est nécessaire de patcher les sources du noyau et de recompiler : ça reste, à mon avis, encore réservé aux testeurs/bidouilleurs de tous poils.
Concernant ta dernière question, je pense que les systèmes utilisant LVM ne sont ni plus ni moins sensibles aux coupures de courant que les sytèmes ne l'utilisant pas. En revanche, l'utilisation d'un système de fichier journalisé (reiserfs, ext3, jfs, xfs, ...) doit (devrait) permettre de limiter les risques de pertes de données. [j'accepte tous les avis contradictoires].
Evidemment, si un VG s'étend sur plusieurs disques physiques, une détérioration d'un disque peut entrainer la perte de données de plusieurs File Systems [quelqu'un a-t-il déjà eu le problème ? comment s'en tirer dans ces cas-là ?]
Enfin pour le moment je croise les doigts : je tourne sur plusieurs machines (machines perso + bureau + serveurs) avec LVM + reiserfs ou ext3 depuis pas mal de temps (au moins 1an 1/2) et je n'ai eu aucun problème particulier malgrè des arrêts brutaux (pas sur les serveurs : eux ils sont bien protégés). J'ai même une de mes machines sur laquelle j'ai inclus dans un VG un disque complet non partitionné (c'est à dire /dev/hdb plutôt que /dev/hdb1) sans aucun soucis : est-ce que quelqu'un sait si ce genre de chose présente un risque particulier ?
Il n'est pas vraiment étonnant que tu aies récupéré autant de disque lors du redémarrage : comme l'a écrit John Smith au dessus, la place occupé par un fichier n'est pas libéré lorsqu'on l'efface si ce fichier est encore ouvert. J'ai même eu le cas ou l'espace disque libre sur une partition continuait de baisser alors que le fichier fautif avait été effacé : un process avait gardé un descripteur sur ce fichier et continuait à écrire dedans... -> l'espace disque n'estlibéré que lorsque le fichier est fermé (souvent à l'arrêt du processus). D'ailleurs, logrotate lui-même prévoit souvent l'arrêt/redémarrage des services lorsqu'il compresse les log (pour voir comment ça marche essaie le man et va voir le fichier /etc/logrotate.conf et le répertoire /etc/logrotate.d).
Concernant lvm, je t'avoue que je n'utilise pas d'outil graphique, mais je suis sûr qu'en cherchant un peu tu dois pouvois trouver...
Voici quand même la (une) façon de procéder en ligne de commande, et tu verras que ce n'est pas si compliqué que ça :
- d'abord il te faut les outils : "apt-get install lvm2".
- supposons que sur un disque tu as une partition hdax que tu veux utiliser avec LVM : il faut marque cette partition comme étant du type "LINUX LVM" (code 8E). Tu devrais pouvoir faire ça avec ton outil de partitionnement préféré (fdisk, cfdisk, ou autre)
- ensuite tu crées un PV (Physical Volume) avec la commande :
pvcreate /dev/hdax
- puis tu crées un VG (Volume Group) :
vgcreate vg1 /dev/hdax
Tu peux mettre ce que tu veux à la place de vg1 : c'est le nom de ton VG
- maintenant, tu peux demander la création d'un LV (Logical Volume) avec la commande :
lvcreate -n lvvar -L 10G vg1
lvvar est le nom du VG (tu peux mettre ce que tu veux) et l'option -L indique la taille (10GOctets ici). Ce VG s'utilise exactement comme une partition physique "standard". Simplement, au lieu de spécifier un nom de device du type /dev/hdax, tu devras indiquer /dev/vg1/lvvar.
- pour créer le système de fichier (formater), tu peux faire :
"mkfs.reiserfs /dev/vg1/lvvar" pour formater en reiserfs ou
"mkfs.ext2 /dev/vg1/lvvar" pour de l'ext3 (actuellement, je pense que reiserfs est plus souple : voir plus bas)
- pour finir, tu n'as plus qu'à indiquer le bon device dans /etc/fstab :
/dev/vg1/lvvar /var reiserfs defaults 0 2
Les avantages de la solution :
- tu peux gérer ton espace disque précisément en créant de "petites partition", car ...
- tu peux agrandir ta partition très facilement s'il reste de l'espace disque non utilisé dans ton Volume Group. Il suffit de tapper :
lvresize -L +2G /dev/vg1/lvvar
Pour rajouter 2GO au Volume Logique. Ensuite, il faut étendre le système de fichier avec la commande :
resize_reiserfs /dev/vg1/lvvar
Et tu peux faire tout cela sans rebooter ni même arrêter une quelconque application ! (si tu utilises ext3, il faut obligatoirement demonter la partition concernée pour la dernière étape qui serait alors "resize2fs /dev/vg1/lvvar")
- Si tu n'as plus assez d'espace disque dans un volume group, tu peux y rajouter des partitions (éventuellement sur d'autres disques physiques) : tu crées ton PV, dans /dev/hdb1 par exemple, comme ci-dessus et tu le rajoutes au VG avec :
vgextend vg1 /dev/hdb1
Ton VG se retouve agrandi, et tu peux ainsi agrandir les LV existant ou en créer d'autres. Cela permet même d'avoir des partitions logiques plus grandes que chacun de tes disques physiques.
J'espère que mes explications sont à peu près claires et que mes arguments te paraissent convaincants.
Pour info j'ai un disque de 120 Go en rabe, comment puis-je faire pour que celui ci vienne enrichir l'espace disque de /var sans tout péter ?
L'idéal pour rajouter de l'espace disque est d'utiliser LVM : tu prend ton disque physique, tu le branches puis tu le rajoutes au volume group concerné et tu étends ton volume logique et ton système de fichier. Le plus long dans tout ça, c'est l'intervention visant à brancher le disque, le reste ne prenant que quelques secondes et ne nécessitant ni reboot, ni même démontage du file system concerné (à condition d'utiliser un système de fichier qui va bien, comme reiserfs).
Evidemment, si lors de l'install on n'a pas prévu de LVM c'est un poil plus compliqué. Pour cela, je conseillerais de redémarrer un mode 'single user' (ou d'arrêter tous les daemons) afin que la partition concernée (/var) ne soit plus accédée. Ensuite, il faut (re)monter /var en read only. Tu crées alors, sur ton nouveau disque, une partition à la taille voulue, tu la montes (dans /mnt par exemple) et tu recopies tout /var dans /mnt (cp -a /var/* /mnt/). Une fois cela fait, tu peux remonter ta nouvelle partition à la place de l'ancienne et supprimer cette dernière (à toi de voir ce que tu fais de la place récupérée sur l'ancien disque).
Cependant, quitte à devoir recopier tes données, c'est peut être l'occasion justement de passer à LVM : tu y gagneras énormément en souplesse. Tu pourras par exemple agréger dans un même volume group des partitions des deux disques différents, tailler les file systems au plus juste et les agrandir ensuite facilement en fonction de tes besoins, ...
Si certains points ce dessus te paraissent un peu obscurs, n'hésite pas à demander plus d'explications : je pourrai détailler les points qui t'intéressent.
J'avoue que je ne comprend pas bien le rapport entre tes problèmes de connexion WIFI et le plantage de mozilla et konqueror.
Concernant shorewall, j'ai bien peur de ne pas pouvoir t'aider puisque je ne le connais pas (pas encore ?), mais il est bien évidemment possible d'accéder à internet avec shorewall lancé : il suffit de le configurer, mais je te renvoie à la documentation pour cela...
Cependant, je suis loin d'être convaincu de l'utilité d'un firewall dans ton cas : ta machine ne sert pas de routeur à un réseau local, elle n'est pas connectée directement sur internet, elle n'a donc même pas une adresse IP publique et en plus elle est déjà protégée par le routeur netgear, qui à même certainement un fonction firewall.
Conclusion : sauf si tu paramètres explicitement sur ton routeur un transfert de port ou d'adresse vers ta machine, celle-ci est injoignable depuis internet, tu n'as donc, AMHA, aucune raison d'installer un firewall sur ta Mandrake (mais bon, évidemment ça ne résoud pas la question du plantage des tes brouteurs ...)
@+ et bonne vacances
JJD
PS : bon d'accord c'est moi qui pars en congès, mais ça me faisait plasir de le dire :-)
Déjà pour ne pas être perturbé par la deuxième interface (etho : interface ethernet), débranche le cable et exécute la commande :
ifdown eth0
Après tu peux toujours essayer d'arrêter et de relancer ton interface WIFI :
ifdown wlan0
ifup wlan0
et là tu regardes ce qui s'affiche.
Est-ce que tu obtiens bien une adresse IP (ligne : bound to 192.168....) ?
Est-ce que l'interface est paramétrée en DHCP ? Dans le fichier /etc/network/interfaces, tu devrais avoir quelque chose qui ressemble à :
auto wlan0
iface wlan0 inet dhcp
Est-ce que tu arrives à faire un ping vers 192.168.0.1 (ta boîte Netgear qui fait office de routeur/serveur DHCP/Serveur DNS/...) ?
Est-ce que tu arrives à pinger www.google.com ?
Est-ce que tu arrives à pinger 64.233.167.99 ? (une des IP de www.google.com)
Question subsidiaire : ton routeur Netgear est-il configuré correctement ? Est-ce qu'en ethernet et/ou avec une autre machine cela fonctionne ?
Ces différents tests, avec éventuellement le contenu de /etc/resolv.conf et le résultat de ifconfig et route, devraient permettre de faire un diagnnostic précis de tes soucis (et donc de les résoudre).
Quelques idées quand même pour esayer de diagnostiquer ou de résoudre ton problème :
- il y a-t-il les même symptomes avec un autre utilisateur ?
- est-ce que la commande "xauth add :0 . `mcookie` s'exécute rapidement ?
- est-ce que "mcookie" s'exécute bien ?
- que donne un "xauth list" ou un
xauth add :0 00..000 (il faut 32 caractères hexadécimaux dans la chaine finale)
- efface ~/.Xauthority et recommence les tests.
Je vais peut être dire de grosses bêtises, mais j'ai eu un problème de lenteur similaire il y a quelques temps et tout cela était simplement causé par un système de fichiers rempli à 100%.
Donc, est-ce qu'avec la copie depuis ton portable tu n'aurais pas rempli ta partition /home ?
# Fichier de configuration
Posté par JJD . En réponse au message Pb avec mon interface graphique... Évalué à 4.
Tu pourrais peut-être nous mettre le contenu de ton fichier /etc/x11/xorg.conf (en particulier ce qu'il y a autour de la ligne 50).
Evidemment si tu ne connais pas Linux/Unix et que tu n'as pas d'interface graphique cela risque d'être un peu compliqué...
Donc :
- tu peux visualiser le contenu du fichier avec "less /etc/X11/xorg.conf" ("q" pour quitter, ":50" pour aller ligne 50)
- si tu as les outils mtools (et un lecteur de disquette) tu peux copier le fichier sur une disquette avec "mcopy /etc/X11/xorg.conf a:"
Sinon, tu peux toujours essayer de reconfigurer le serveur X avec les commandes xorgcfg ou xorgconfig.
Bon courage
JJD
[^] # Re: "Complexité" du protocole FTP
Posté par JJD . En réponse au message Changement de port pureftp. Évalué à 3.
Je ne connais pas drakconf, alors je ne pourrais guère t'aider dans son utilisation, mais c'est déjà une piste...
http://lists.debian.org/debian-user-french/2002/06/msg01057.html(...)
[^] # Re: "Complexité" du protocole FTP (correction)
Posté par JJD . En réponse au message Changement de port pureftp. Évalué à 2.
Je vais de ce pas me flageller !
# "Complexité" du protocole FTP
Posté par JJD . En réponse au message Changement de port pureftp. Évalué à 3.
Le protocole FTP est en effet un peu particulier. Dans le mode par défaut (dit mode actif), le client se connecte sur le port d'écoute P du serveur (en général le 21). Cette connexion TCP va servir aux échanges des commandes. Lorsque des données doivent être transférées (envoi/réception de fichier mais aussi listing d'un répertoire), le client fournit au serveur un numéro de port (et une adresse IP) et le serveur se connecte alors sur le client sur le port indiqué et avec un port source égal à P-1 (donc le port 20 en général).
Ce mode de fonctionnement pose quelques problèmes, en particulier lorsque le client est derrière un firewall ou un routeur, puisqu'il faut que la connexion du serveur vers le client réussise (avec éventuellement une translation d'adresse) [certains firewall font de l'analyse protocolaire du flux de commande FTP afin d'ouvrir les bons ports pour le canal de données]. On a donc mis au point le mode passif (c'est le client qui indique au serveur qu'il veut utiliser ce mode) : dans ce cas, le serveur fournit au client un numéro de port (quelconque, sauf configuration particulière du serveur, et différent à chaque fois) et c'est le client qui ouvre la deuxième connexion TCP sur le serveur (pour le transfert des données).
Donc, et pour répondre à ta question, il faut peut-être bien ouvrir le port 24999, mais dans le sens sortant si le client fait du FTP actif. En passif, il y a plusieurs possibilité :
- tu paramètre ton serveur pour lui indiquer une plage de ports à utiliser en mode passif et tu ouvres, au niveau du firewall, toute la plage indiquée.
- tu as un firewall qui gère le protocole FTP (IPSec doit le faire) et alors tu dois indiquer que le port 25000 est utilisé pour du FTP et qu'il faut donc analyser les paquets qui transitent afin d'ouvrir dynamiquement les bons accès (solution la meilleure, mais si je t'ai donné la partie théorique, il va falloir que tu cherches ailleurs pour la mise en ½uvre pratique ;-( )
Bon courage et tiens-nous au courant
JJD
[^] # Re: un tunnel
Posté par JJD . En réponse au message reverse ssh ou delire irrealisable??. Évalué à 8.
ssh -R2222:localhost:22 -l user MPU
Ainsi, tant que cette session SSH est ouverte, tu peux, depuis MPU, te connecter en SSH sur OP avec la commande :
ssh -p2222 localhost
Evidemment tu peux adapter cela à d'autres protocoles que le SSH (dans le sens MPU vers OP). Pour en savoir un peu plus, va voir la documentation de SSH...
A+
JJD
# Il faut lire les docs ...
Posté par JJD . En réponse au message Une platine Divx Wifi compatible avec un PC Linux ?. Évalué à 2.
Dans le manuel utilisateur, en anglais, il est indiqué sur la dernière page que pour utiliser cet appareil il faut au minimum un PIII 500 avec Windows, MAC OS X, Linux ou BSD.
Donc apparemment ça doit marcher.
Evidemment, je n'ai pas résussi à voir s'il fallait utiliser un logiciel livré avec le produit pour que la PC soit accessible ou si leur lecteur utilisait un protocole "standard" (HTTP, partage Samba, FTP, ...)
A+
JJD
# Webinject
Posté par JJD . En réponse au message Robot de test. Évalué à 2.
J'avais un peu étudié le fonctionnemnt de webinject (http://www.webinject.org/(...) ) il y a quelques temps, essentiellement pour automatiser des contrôles en interface avec Nagios.
A mon avis ça demande quand même un travail de paramétrage un peu plus long qu'avec les outils de Rational. Les scénarii de navigation sont décrits dans des fichiers XML et le programme lui-même est en Perl (il existe une version binaire sus Windows).
A mon avis c'est très bien pour contrôler/surveiller le bon fonctionnement d'un site mais ça risque d'être un peu lourd dans le cas d'une utilisation pour du recettage (mais je ne l'ai pas utilisé dans ce cas de figure, donc tu peux toujours tester ...)
A+
JJD
# A contrôler
Posté par JJD . En réponse au message problèmes de permission avec ma clé usb. Évalué à 4.
Est-ce que tu peux contrôler que mount (/bin/mount) a bien le bit SUID positionné. Lorsque tu fais un "ls -l /bin/mount", tu dois avoir les droits suivants : "-rwsr-xr-x". Si ce n'est pas le cas, un coup de
chmod 4755 /bin/mount
devrait régler le problème.
Sinon, il faut aussi noter que (très) souvent les clés USB sont formatés avec une partition occupant tout l'espace de la clé. Le device à utiliser est alors /dev/sda1 et non pas /dev/sda (mais si tu arrives à monter ta clé en root, le problème ne vient pas de là).
Enfin, tu peux aussi noter qu'en mettant users au lieu de user dans /etc/fstab, tu permets à un utilisateur différent de celui qui a monté la clé à la démonter (c'est pratique quand celui qui a monté la clé part en oubliant le unmount).
A+
JJD
# dist-upgrade
Posté par JJD . En réponse au message Testing et update libc6. Évalué à 4.
La commande "apt-get upgrade" va mettre à jour ton système partiellement, c'est à dire sans rajouter et surtout sans supprimer aucun paquet. Cela veut dire que certaines mises à jour n'ont pas été faites (ça arrive quand la mise à jour d'un paquet réclame, pour satisfaire les conflits de dépendances, la suppression d'une bibliothèque ou le remplacement d'un paquet par un autre).
La solution peut être de lancer un "apt-get dist-upgrade".
Mais ATTENTION (je ne le dirai jamais assez fort) : observe bien ce que cette commande va faire. Il est possible (probable) que apt-get te propose la suppression de logiciels dont tu as besoin (ou en tous cas que tu utilises). N'hésite pas alors à refuser la mise à jour. Tu auras au moins obtenu la liste des paquets qui ne sont pas à jour et tu peux, à ce moment-là, essayer de les mettre à jour un par un ("apt-get install nom_du_paquet").
Bon courage quand même et rassure toi : je suis en Debian sid et je suis donc passé par là il y a quelques semaines et je n'ai perdu aucun logiciel.
A+
JJD
[^] # Re: ssh -x
Posté par JJD . En réponse au message probleme lors d'un export display. Évalué à 2.
- la configuration du serveur ssh est-elle bonne ? Est-ce qu'elle accepte le forwarding X11 ? (X11Forwarding yes)
- lorsque tu te connectes en ssh avec l'option -X, est-ce que la variable DISPLAY est définie ? Est-ce que sur le serveur il y a un fichier .Xauthority ? Est-ce que sur le serveur la commande xauth existe ? Est-elle bien dans /usr/bin/X11/xauth ? (ou à l'endroit éventuellement spécifié par la directive XAuthLocation du fichier /etc/ssh/sshd_config)
- le serveur X sur le client est-il à l'écoute en TCP ? ( port TCP 6000 ouvert : en tapant la commande "netstat -tln" tu dois voir apparaître la ligne
tcp 0 0 0.0.0.0:6000 0.0.0.0:* LISTEN )
- si le serveur n'accepte pas le forward X11, tu peux essayer une connexion directe (et non encryptée) en suivant la méthode expliquée dans ce commentaire : http://linuxfr.org/comments/606931.html#606101(...)
Voilà ce qui me vient à l'esprit pour l'instant.
N'hésite pas à nous tenir informés de tes tests et de tes avancées.
JJD
[^] # Re: ssh -x
Posté par JJD . En réponse au message probleme lors d'un export display. Évalué à 3.
Attention, l'option pour activer le forward de port et l'authentification X11 est -X (majuscule) alors que -x le désactive.
Sinon, je pense qu'avant de poster ce type de question et de jouer les assistés permanents un peu de recherche dans la documentation (pages de manuel de ssh et sshd, mécanismes d'authentification sous X, options du serveur X, ...) ne fait pas de pas. J'apprécie de donner des conseils, cela me permet même souvent d'apprendre et de progresser (parce que je cherche moi-même les solutions et les teste lorsque je le peux et que j'en ai le temps), mais il est assez agaçant de revenir régulièrement sur les mêmes sujets, maintes fois débatus...
Il est d'ailleurs possible de trouver des sujets similaires relativement récent sur ce même forum (http://linuxfr.org/forums/12/10373.html(...) ).
Attention dtsiss : je n'essaie pas de te vexer ou de t'envoyer bouler. Je pense simplement que rechercher un peu soi-même avant de s'en remettre à la communauté est salutaire pour tous. Après, si tu viens nous expliquer que tu as effectivement essayé les différentes pistes proposées ailleurs et que tu es toujours bloqué, je me ferai un plaisir de venir t'aider à trouver une solution.
A+
JJD
[^] # Serveur X
Posté par JJD . En réponse au message convertir du word vers du ps.. Évalué à 2.
Je n'avais pas d'accès au net ces derniers jours, alors je n'ai pas pu suivre le fil de la dicussion.
Quoi qu'il en soit, je t'avais signalé le problème de la disponibilité d'un serveur X pour que openoffice fonctionne. Il y a certainement moyen de contourner cette difficulté en offrant un serveur X à openoffice. Je vois deux solutions (je n'ai pas testé la première) :
1- tu lances un serveur X en précisant, dans la section Device
Driver "dummy"
puis tu dis à openoffice d'utiliser ce serveur
-> inconvénient (si ça marche) si openoffice "affiche" quoi que ce soit sur ce serveur X, tu ne pourras pas le voir
2- tu lances un serveur VNC : celui-ci se comporte comme un serveur X pour les applications et tu peux afficher ce display avec un client VNC. Il suffit encore une fois de fixer la variable DISPLAY avant de lancer openoffice et le tour est joué.
Dans les deux cas il te faudra installer un serveur X, mais il n'y aura pas d'affichage local sur le serveur.
Pour information, les paquets Debian disponibles sont :
- pour le serveur X : xserver-xorg (ou xserver-xfree86)
- pour le serveur vnc : vnc4server (ou vncserver ou tightvncserver)
Accessoirement, la beta de la version 2 d'openoffice.org est disponible chez Debian en experimental.
A+
JJD
# Avec openoffice
Posté par JJD . En réponse au message convertir du word vers du ps.. Évalué à 2.
Il devrait être possible de faire cela avec openoffice.org : il faut définir une imprimante Postscript avec spadmin en donnant comme commande à exécuter un filtre qui ne fait rien (un simple cat doit suffire).
Ensuite, il suffit d'appeler openoffice avec les bonnes options :
ooffice -pt nom_imprimante_ps document.doc
pour récupérer le fichier postscript sur la sortie standard..enfin en théorie. J'ai fait quelques essais rapides, mais je n'ai pas (encore) réussi à aboutir complètement : ooffice réclame un serveur X accessible (variable DISPLAY) et spadmin semble un poil buggé (est-ce quelqu'un a la description du format du fichier psprint.conf ?). Mais bon, en théorie ça devrait marcher.
Il doit également être possible de faire cette conversion Word->Postcript (voire même des conversions entre tous les formats reconnus par openoffice) grace à des macros, mais là je te laisse fouiller dans la documentation.
Je ne sais pas si ces pistes te seront utiles, mais j'aurais essayé.
A+
JJD
[^] # Re: lvextend ?
Posté par JJD . En réponse au message problème d'espace disque. Évalué à 3.
Je plussoie pleinement au comentaire de David.
Comme je te l'avais indiqué dans le fil de discussion précédent, l'agrandissement d'un FS sur du LVM se fait en deux étapes : agrandissement du volume logique puis extension du système de fichiers.
Dans ton cas, il semble bien que le volume logique fait 100GO mais que le système de fichier n'occupe que 37GO.
Pour agrandir, la commande dépend de ton système de fichiers :
- avec reiserfs tu exécutes :
resize_reiserfs /dev/var/var
pour occuper tout l'espave du volume logique ou
resize_reiserfs -s +10G /dev/var/var
pour rajouter 10G
- avec ext2/ext3, il faut auparavant démonter ton volume avec
umount /dev/var/var ou umount /var
Il faudra évidemment arrêter toutes les applis qui accèdent à /var (en particulier tous les démons qui vont y écrire leurs logs : le plus simple est peut être de passer en mode single user). Ensuite tu agrandis ton système de fichiers avec
resize2fs /dev/var/var ou
resize2fs /dev/var/var 47G
et tu le remontes.
A+
JJD
[^] # Re: Remarques sur reiserfs et LVM
Posté par JJD . En réponse au message A l'aide -> plus de place dans /var. Évalué à 2.
Regarde quand même ce que te donnent les commandes 'df -h' (espace disque sur les points de montage) et 'vgdisplay' (informations sur les volume groups).
[^] # Re: /etc/security/limits.conf
Posté par JJD . En réponse au message La quantité de fichier par dossier est-elle limitée?. Évalué à 3.
J'ai déjà rencontré le problème, sous AIX, de partitions sur lesquelles il restait de l'espace disque libre mais sans possibilité de créer de nouveaux fichiers parce qu'il n' y avait plus d'inodes libres (il y avait des répertoires avec beaucoup de petits fichiers).
Dans la problématique de cv_freex il faut prendre en compte ce paramètre, en particulier s'il y a plusieurs répertoires avec quelques dizaines de miliers de fichiers sur la même partition (chez moi, sur un FS ext3 de 1.5GO, formaté avec les options par défaut, il y a 175872 fichiers possibles)
[^] # Re: Il suffit de tester
Posté par JJD . En réponse au message La quantité de fichier par dossier est-elle limitée?. Évalué à 4.
Attention toutefois à bien choisir son sytème de fichier pour ne pas avoir des performances qui se dégradent (en particulier si on fait un ls dans le répertoire ...) : par exemple reiserfs est certainement plus adapté à ce type d'utilisation que ext2/ext3.
Pour l'accès à un fichier particulier, dont on connaît ke nom, il ne devrait pas il y avoir de soucis.
En revanche, je ne sais pas ce que cela pourrait donner si l'on parcourt le répertoire avec un gestionnaire de fichiers graphique (nautilus, konquerror, ...) : là ça rique d'être plus problématique, surtout s'il faut afficher des vignettes !
[^] # Remarques sur reiserfs et LVM
Posté par JJD . En réponse au message A l'aide -> plus de place dans /var. Évalué à 2.
mkfs.reiser4 permet de créer un FS en reiserfs version 4 qui est une réécriture complète, incompatible avec la version précédente. Reiserfs4 n'a pas (encore) été intégrée officiellement au noyau (il y a eu de grandes discussions au sujet du code du pilote un peu trop intrusif) et le support n'est pas présent dans les noyaux Debian. Pour l'utiliser, il est nécessaire de patcher les sources du noyau et de recompiler : ça reste, à mon avis, encore réservé aux testeurs/bidouilleurs de tous poils.
MORALITÉ : utilise plutôt reiserfs3 (apt-get install reiserfsprogs).
Concernant ta dernière question, je pense que les systèmes utilisant LVM ne sont ni plus ni moins sensibles aux coupures de courant que les sytèmes ne l'utilisant pas. En revanche, l'utilisation d'un système de fichier journalisé (reiserfs, ext3, jfs, xfs, ...) doit (devrait) permettre de limiter les risques de pertes de données. [j'accepte tous les avis contradictoires].
Evidemment, si un VG s'étend sur plusieurs disques physiques, une détérioration d'un disque peut entrainer la perte de données de plusieurs File Systems [quelqu'un a-t-il déjà eu le problème ? comment s'en tirer dans ces cas-là ?]
Enfin pour le moment je croise les doigts : je tourne sur plusieurs machines (machines perso + bureau + serveurs) avec LVM + reiserfs ou ext3 depuis pas mal de temps (au moins 1an 1/2) et je n'ai eu aucun problème particulier malgrè des arrêts brutaux (pas sur les serveurs : eux ils sont bien protégés). J'ai même une de mes machines sur laquelle j'ai inclus dans un VG un disque complet non partitionné (c'est à dire /dev/hdb plutôt que /dev/hdb1) sans aucun soucis : est-ce que quelqu'un sait si ce genre de chose présente un risque particulier ?
A+
JJD
[^] # Re: Rajout de disque
Posté par JJD . En réponse au message A l'aide -> plus de place dans /var. Évalué à 2.
Concernant lvm, je t'avoue que je n'utilise pas d'outil graphique, mais je suis sûr qu'en cherchant un peu tu dois pouvois trouver...
Voici quand même la (une) façon de procéder en ligne de commande, et tu verras que ce n'est pas si compliqué que ça :
- d'abord il te faut les outils : "apt-get install lvm2".
- supposons que sur un disque tu as une partition hdax que tu veux utiliser avec LVM : il faut marque cette partition comme étant du type "LINUX LVM" (code 8E). Tu devrais pouvoir faire ça avec ton outil de partitionnement préféré (fdisk, cfdisk, ou autre)
- ensuite tu crées un PV (Physical Volume) avec la commande :
pvcreate /dev/hdax
- puis tu crées un VG (Volume Group) :
vgcreate vg1 /dev/hdax
Tu peux mettre ce que tu veux à la place de vg1 : c'est le nom de ton VG
- maintenant, tu peux demander la création d'un LV (Logical Volume) avec la commande :
lvcreate -n lvvar -L 10G vg1
lvvar est le nom du VG (tu peux mettre ce que tu veux) et l'option -L indique la taille (10GOctets ici). Ce VG s'utilise exactement comme une partition physique "standard". Simplement, au lieu de spécifier un nom de device du type /dev/hdax, tu devras indiquer /dev/vg1/lvvar.
- pour créer le système de fichier (formater), tu peux faire :
"mkfs.reiserfs /dev/vg1/lvvar" pour formater en reiserfs ou
"mkfs.ext2 /dev/vg1/lvvar" pour de l'ext3 (actuellement, je pense que reiserfs est plus souple : voir plus bas)
- pour finir, tu n'as plus qu'à indiquer le bon device dans /etc/fstab :
/dev/vg1/lvvar /var reiserfs defaults 0 2
Les avantages de la solution :
- tu peux gérer ton espace disque précisément en créant de "petites partition", car ...
- tu peux agrandir ta partition très facilement s'il reste de l'espace disque non utilisé dans ton Volume Group. Il suffit de tapper :
lvresize -L +2G /dev/vg1/lvvar
Pour rajouter 2GO au Volume Logique. Ensuite, il faut étendre le système de fichier avec la commande :
resize_reiserfs /dev/vg1/lvvar
Et tu peux faire tout cela sans rebooter ni même arrêter une quelconque application ! (si tu utilises ext3, il faut obligatoirement demonter la partition concernée pour la dernière étape qui serait alors "resize2fs /dev/vg1/lvvar")
- Si tu n'as plus assez d'espace disque dans un volume group, tu peux y rajouter des partitions (éventuellement sur d'autres disques physiques) : tu crées ton PV, dans /dev/hdb1 par exemple, comme ci-dessus et tu le rajoutes au VG avec :
vgextend vg1 /dev/hdb1
Ton VG se retouve agrandi, et tu peux ainsi agrandir les LV existant ou en créer d'autres. Cela permet même d'avoir des partitions logiques plus grandes que chacun de tes disques physiques.
J'espère que mes explications sont à peu près claires et que mes arguments te paraissent convaincants.
A+
JJD
# Rajout de disque
Posté par JJD . En réponse au message A l'aide -> plus de place dans /var. Évalué à 3.
Pour info j'ai un disque de 120 Go en rabe, comment puis-je faire pour que celui ci vienne enrichir l'espace disque de /var sans tout péter ?
L'idéal pour rajouter de l'espace disque est d'utiliser LVM : tu prend ton disque physique, tu le branches puis tu le rajoutes au volume group concerné et tu étends ton volume logique et ton système de fichier. Le plus long dans tout ça, c'est l'intervention visant à brancher le disque, le reste ne prenant que quelques secondes et ne nécessitant ni reboot, ni même démontage du file system concerné (à condition d'utiliser un système de fichier qui va bien, comme reiserfs).
Evidemment, si lors de l'install on n'a pas prévu de LVM c'est un poil plus compliqué. Pour cela, je conseillerais de redémarrer un mode 'single user' (ou d'arrêter tous les daemons) afin que la partition concernée (/var) ne soit plus accédée. Ensuite, il faut (re)monter /var en read only. Tu crées alors, sur ton nouveau disque, une partition à la taille voulue, tu la montes (dans /mnt par exemple) et tu recopies tout /var dans /mnt (cp -a /var/* /mnt/). Une fois cela fait, tu peux remonter ta nouvelle partition à la place de l'ancienne et supprimer cette dernière (à toi de voir ce que tu fais de la place récupérée sur l'ancien disque).
Cependant, quitte à devoir recopier tes données, c'est peut être l'occasion justement de passer à LVM : tu y gagneras énormément en souplesse. Tu pourras par exemple agréger dans un même volume group des partitions des deux disques différents, tailler les file systems au plus juste et les agrandir ensuite facilement en fonction de tes besoins, ...
Si certains points ce dessus te paraissent un peu obscurs, n'hésite pas à demander plus d'explications : je pourrai détailler les points qui t'intéressent.
A+
JJD
[^] # Re: route et resolv.Conf
Posté par JJD . En réponse au message WIFI : impossible de faire fonctionner Netgear WG111 USB avec Mandrake 10.0. Évalué à 2.
J'avoue que je ne comprend pas bien le rapport entre tes problèmes de connexion WIFI et le plantage de mozilla et konqueror.
Concernant shorewall, j'ai bien peur de ne pas pouvoir t'aider puisque je ne le connais pas (pas encore ?), mais il est bien évidemment possible d'accéder à internet avec shorewall lancé : il suffit de le configurer, mais je te renvoie à la documentation pour cela...
Cependant, je suis loin d'être convaincu de l'utilité d'un firewall dans ton cas : ta machine ne sert pas de routeur à un réseau local, elle n'est pas connectée directement sur internet, elle n'a donc même pas une adresse IP publique et en plus elle est déjà protégée par le routeur netgear, qui à même certainement un fonction firewall.
Conclusion : sauf si tu paramètres explicitement sur ton routeur un transfert de port ou d'adresse vers ta machine, celle-ci est injoignable depuis internet, tu n'as donc, AMHA, aucune raison d'installer un firewall sur ta Mandrake (mais bon, évidemment ça ne résoud pas la question du plantage des tes brouteurs ...)
@+ et bonne vacances
JJD
PS : bon d'accord c'est moi qui pars en congès, mais ça me faisait plasir de le dire :-)
[^] # Re: route et resolv.Conf
Posté par JJD . En réponse au message WIFI : impossible de faire fonctionner Netgear WG111 USB avec Mandrake 10.0. Évalué à 2.
ifdown eth0
Après tu peux toujours essayer d'arrêter et de relancer ton interface WIFI :
ifdown wlan0
ifup wlan0
et là tu regardes ce qui s'affiche.
Est-ce que tu obtiens bien une adresse IP (ligne : bound to 192.168....) ?
Est-ce que l'interface est paramétrée en DHCP ? Dans le fichier /etc/network/interfaces, tu devrais avoir quelque chose qui ressemble à :
auto wlan0
iface wlan0 inet dhcp
Est-ce que tu arrives à faire un ping vers 192.168.0.1 (ta boîte Netgear qui fait office de routeur/serveur DHCP/Serveur DNS/...) ?
Est-ce que tu arrives à pinger www.google.com ?
Est-ce que tu arrives à pinger 64.233.167.99 ? (une des IP de www.google.com)
Question subsidiaire : ton routeur Netgear est-il configuré correctement ? Est-ce qu'en ethernet et/ou avec une autre machine cela fonctionne ?
Ces différents tests, avec éventuellement le contenu de /etc/resolv.conf et le résultat de ifconfig et route, devraient permettre de faire un diagnnostic précis de tes soucis (et donc de les résoudre).
@+
JJD
[^] # Quelques idées
Posté par JJD . En réponse au message Un problème d' XAuthority. Évalué à 2.
Bon, je séche un peu...
Quelques idées quand même pour esayer de diagnostiquer ou de résoudre ton problème :
- il y a-t-il les même symptomes avec un autre utilisateur ?
- est-ce que la commande "xauth add :0 . `mcookie` s'exécute rapidement ?
- est-ce que "mcookie" s'exécute bien ?
- que donne un "xauth list" ou un
xauth add :0 00..000 (il faut 32 caractères hexadécimaux dans la chaine finale)
- efface ~/.Xauthority et recommence les tests.
Bonne chance
JJD
# Et pourtant ...
Posté par JJD . En réponse au message WIFI : impossible de faire fonctionner Netgear WG111 USB avec Mandrake 10.0. Évalué à 2.
ifconfig te montre que l'interface wlan0 est up et que tu as l'adresse IP 192.168.0.4.
Que te faut-il de plus ?
Il est donc normal que tu aies une erreur lorsque tu fais "ifup wlan0".
En résumé : il n'y a pas de problème.
Bonne soirée
JJD
# Contrôles FS
Posté par JJD . En réponse au message Un problème d' XAuthority. Évalué à 2.
Je vais peut être dire de grosses bêtises, mais j'ai eu un problème de lenteur similaire il y a quelques temps et tout cela était simplement causé par un système de fichiers rempli à 100%.
Donc, est-ce qu'avec la copie depuis ton portable tu n'aurais pas rempli ta partition /home ?
A+
JJD