Jean-Christophe ARNU a écrit 5 commentaires

  • [^] # Re: En complément

    Posté par  . En réponse à la dépêche PostgreSQL 9.0 est sorti. Évalué à 1.

    Je me réponds : quand je dis problématique je ne dis pas infaisable.
  • [^] # Re: En complément

    Posté par  . En réponse à la dépêche PostgreSQL 9.0 est sorti. Évalué à 2.

    Oui, car tout est fonction de design.

    Le seul cas d'étude qui me semble problématique est le master-master replication ou le cluster de type RAC.
  • [^] # Re: En complément

    Posté par  . En réponse à la dépêche PostgreSQL 9.0 est sorti. Évalué à 10.

    Ce n'est qu'une impression. Et c'est une chose vérifiable, la plupart des utilisateurs et des DBA que j'ai formé ou rencontré au cours de mes différentes interventions ou formations m'ont fait le retour inverse : PostgreSQL est bien plus performant qu'Oracle sur bien des aspects.

    Par contre un point important est de bien définir ce qu'est la performance. Lorsque j'en parle avec ces personnes, la performance a trois visages :

    - La performance de réponse à une requête : PostgreSQL est jugé plus performant dans la plupart des cas
    - La performance à la prise en main, ce qui comprend l'installation, la mise en œuvre d'une manière générale : PostgreSQL est jugé également plus simple et plus rapide à maîtriser
    - La performance à la résolution de problèmes (troubleshooting) et au tuning : comment résoudre un problème posé par PostgreSQL, comment se sortir des situations de non performances etc. PostgreSQL est bien outillé pour fournir les informations nécessaires au tuning et à la gestion des cas d'erreur. De ce point de vue, Oracle fait plutôt appel à l'expérience et à des recettes de tuning. L'outillage idoine d'Oracle est effectivement plus évolué de ce point de vue.

    Donc dire qu'Oracle est choisi pour sa performance est une phrase gratuite (pas forcément la tienne d'ailleurs) qui cache souvent une méconnaissance de PostgreSQL d'une part et peut être aussi, d'autre part, une sorte de mauvaise foi de certains DBA qui, sous le couvert de formations coûteuses, ne veulent pas dévoyer leurs compétences/rayon d'action qu'ils ont acquis à grand prix. (comme quoi, il est aussi possible de troller dans l'autre sens). Cette dernière remarque ne s'applique qu'à une population de moins en moins grande de DBA par ailleurs.


    Pour finir, là où Oracle a encore des avantages, c'est l'étendue fonctionnelle. Certes, la différence d'étendue fonctionnelle entre PostgreSQL et Oracle tend à se réduire. Il est donc plus performant fonctionnellement (ou pourra parler de richesse).

    Oracle dispose aussi d'offres de support (coûteuses) intégrées. Mais l'offre de service PostgreSQL tend à se diversifier et nous trouvons dans le monde et en France de plus en plus de société prêtes à s'engager et à s'impliquer assez profondément dans la communauté et dans le code même du moteur. On peut dire que l'offre de service et de support PostgreSQL est en train de s'épanouir et que la recherche de prestataire est maintenant une chose aisée pour un grand compte par exemple.
  • [^] # Swing-in'

    Posté par  . En réponse à la dépêche Java 1.4.0 releas candidate. Évalué à 5.

    OK swing n'est pas rapide à la base mais là ils ont fait un réel effort sur la présentation :)



    Nos applis s'en ressentent et deviennent beaucoup plus snappy!
  • [^] # Re: IBM is watching you

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les Gouvernements choisissent Linux. Évalué à 10.

    Pas si sûr en fait. IBM a "créé" MS, ou MS a su profiter de la vague. Mais le bébé leur a un peu échappé.

    IBM serait effectivement à même de défaire Microsoft si il existait encore une relation de dépendance économique ou industrielle (technologique) entre les deux. Ce n'est plus le cas et depuis trés longtemps. Et c'est là où on voit l'intelligence économique de Bill Gates : savoir se défaire des plus gros que lui le plus rapidement possible.

    Il ne faut pas oublier que la stratégie de MS était uniquement basée sur des marchés verticaux. C'est l'évolution de la technologie combiné à des choix technologiques et financiers (par exemple la main-mise sur citrix) leur permettant de se dissocier des partenaires et concurrents qui a permis à MS d'horizontaliser son marché.