marzoul a écrit 52 commentaires

  • # Obligation d'avoir acheté plusieurs fois pour un même foyer...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La redevance pour copie privée : qui paie quoi ?. Évalué à 10.

    Bonjour, voilà mes 2 centimes.

    Moi dans la notion de copie privée j'y vois une gigantesque montagne de mauvaise foi de la part de ceux qui se disent lésés.

    Réparer un "manque à gagner" signifie tout de même que pour un même foyer, on considère que les gens sont censés acheter plusieurs fois la même chose s'il y a une petite différence dans la manière dont ils aiment l'utiliser.
    Mais on ne couvre qu'une seul situation, celle où on veut utiliser un autre support. Cas classique : j'achète un CD, mais j'écoute de la musique depuis ma playlist sur mon pc. Alors je copie le CD, et plus jamais après je ne le touche.

    Je ne suis pas en train de prêter le CD à mon voisin ou quoi, juste en train de lire ce que j'ai acheté. Moi tout seul. Le manque à gagner, c'est une pure invention de mauvaise foi que les fabricants de supports et ayants droit on réussi à faire passer aux législateurs à coups de lobbying. Z'ont même réussi à faire passer qu'on est tous coupables par défaut, vu que c'est sur tous supports, y compris pro (quelle est le proportion de supports pro que les employés peuvent emporter chez eux d'ailleurs ? kédal).

    On va bientôt avoir de la copie privée parce que j'ai 2 lecteurs CD dans ma maison et que changer de pièce c'est illégal. Comble de la filouterie, ces immondes citoyens ont aussi un autoradio CD ! C'est une faille du système ! Tatatatatataxxx !

    Il faut vraiment faire abroger toute ces co****ies rapidement avant que ça soit trop considéré comme légitime, y'a du lavage de cerveau de citoyen en cours.

  • # Farpaitement !

    Posté par  . En réponse au journal Dons, réductions d'impôts et brevets. Évalué à 3. Dernière modification le 27 novembre 2013 à 19:40.

    Le brevet interdit la libre utilisation de ce qu'il décrit. Je pense également que le brevet n'a pas sa place dans le contexte décrit.

    À la place, des publications (scientifiques ou non, dans des journaux spécialisés, conférences etc) peuvent être effectuées. Le public est beaucoup plus large.

    Le simple fait de choisir la voie de la publication plutôt que le brevet est nettement plus approprié quand on est supposé faire voeu d'ouverture, de philanthropisme, de non-lucrativité et de tout le tintouin. La voie du brevet est exactement le contraire.

    En conséquence, il serait absolument normal et raisonnable d'interdire la voie du brevet lors du recours aux réductions d'impôt, et je suis tout-à-fait d'accord avec l'auteur de ce journal.