Il semble évident qu’à l’école on veuille nous faire comprendre qu’il n’y a pas de domaine public qui vaille avec les cours. En effet le savoir est si important qu’il s’agit d’écouter le professeur. On fait comprendre qu’il est interdit de copier, alors que les enfants savent qu’il faut recopier le cours pour avoir une bonne note. Notez l’incompréhension de l’enfant face à ce dilemme. Seules les meilleures et les plus mauvaises copies seront lues. Ainsi, celui qui a écrit comme il fallait, c’est à dire en répondant à la question, sans forcément évoluer, là n’est pas la question, sera félicité. La jalousie s’installera donc facilement. Les ricanements seront plus sévères à l’égard des bons. Le mauvais sera moqué par les moyens, qui eux se cacheront en essayant de trouver la bonne réponse. Ainsi l’écolier sera mis contre l’écolier.
On enseigne à l’enfant qu’il faut copier tout en lui disant qu’il ne faut pas le voir. L’invention nouvelle seule permettra à l’élève de se sortir de cette situation. C’est pourquoi nous avons beaucoup d’ingénieurs de génie en France. Seulement le domaine public, avec un brevet de dix ans uniquement, institué partout, permettrait de faire mieux, créer des génies chercheurs. En effet, le copié-collé ça ne fonctionne pas pour apprendre, surtout quand on ne parle pas de quotidien. Même l’histoire peut être dans le quotidien. En effet des humains ont créé notre monde d’aujourd’hui. Cela va de l’antiquité à notre période. Il s’agit en réalité d’une société, pas d’une unique personne, car nous dépendons des autres pour créer le monde de demain. Avec les robots nous pouvons tous être des chercheurs producteurs, dans notre passion. Il suffit de la réveiller.
Il est permis de réutiliser le travail du domaine public. Ne serait-il pas plus saint d’enseigner cela* ? N’est-il pas important pour les autres élèves que l’on trouve une citation pour faire des recherches historiques ensuite* ? N’a-t-on pas le droit de faire comme nos orateurs, qui répètent un discours écrit par quelqu’un d’autre* ? N’est-il pas plus important pour l’enfant d’être heureux en apprenant aux autres, ou en comprenant quelque chose du quotidien* ? N’est-on pas serein lorsqu’on réussit à étonner son papa, plutôt que son professeur* ? N’est-il pas plus intéressant de demander beaucoup aux meilleurs et peu à ceux qui commencent à s’intéresser à l’école* ?
D’après un livre de Johann Friedrich Herbart, le père de la révolution éducative allemande
# La drogue c'est mal m'voyez
Posté par dani . Évalué à 10.
C'est de la bonne !
# Hello
Posté par Marotte ⛧ . Évalué à 5. Dernière modification le 27 juillet 2017 à 19:39.
Qu’entends-tu par-là ? Toutes les copies sont lues, puisqu’elles sont corrigées.
J’ai pas compris grand chose, ni à tes deux autres journaux… Par contre ça :
Ça me laisse encore plus dubitatif que le reste. Que se passe-t-il aux termes des dix ans ?
[^] # Re: Hello
Posté par Zenitram (site web personnel) . Évalué à 6.
De ce que j'arrive à décrypter (et la c'est clairement pas du déchiffrement, mais bien du décryptage), il propose de passer le brevet de 20 ans (actuel) à 10 ans, puis ça va dans le domaine public (comme maintenant).
Ce qui, à la vitesse où va le monde de nos jours, avec des entreprises valant des milliards en quelques années (impossible avant), ne serait pas illogique. Mais on n'est pas à ce niveau de réflexion au niveau étatique, et comme le premier Etat à le faire perdra tout (ben oui, tous les chercheurs partiront sous des cieux plus protecteurs pour eux), c'est un serpent qui se mort la queue tant que ce ne sera pas décidé par tous les plus gros pays en un coup (on voit le problème déjà avec un truc "petit" en terme de clivage comme le climat, alors pour cet enjeu financier…)
Sinon, compte créé aujourd'hui (un qui ose pas utiliser son compte, ou un nouveau vraiment nouveau?), du texte incompréhensible, il y en a des pas tristes…
[^] # Re: Hello
Posté par Renault (site web personnel) . Évalué à 7.
Les brevets ne sont pas si rigides qu'on pourrait le croire.
En France, si un brevet n'a pas été exploité durant la première moitié de sa vie, finit directement dans le domaine public.
Aux USA, et même ailleurs, de nombreux brevets considérés comme fondamentaux pour un secteur donné donne lieu à une obligation d'autoriser l'exploitation par la concurrence sous forme de licence. Après la question du montant de la licence fait souvent débat et les grandes entreprises n'hésitent pas à s'attaquer sur ce point. Mais un brevet technologique ne peut pas forcément bloquer tout un secteur d'activité u profit d'une seule entreprise.
Après il y aurait sans doute à faire en adaptant la question du brevet par secteur, le rythme dans les nouvelles technologies n'a rien à voir avec celle de la chimie ou de la mécanique. Mais sans unification internationale, cela s'annonce compliqué. Le brevet unifié européen pourrait être un moyen de pousser ce genre de choses.
[^] # Re: Hello
Posté par cyberjunkie . Évalué à 2.
Je me demande même s'il ne s'agirait pas d'un bot, tellement c'est mal écrit ! :-/
Suivre le flux des commentaires
Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.