En France il n'y a pas de paiement à la source de l'impôt sur le revenu. Pour un français, le montant donné par le site est vraiment vu comme du salaire net, les impôts étant considérés comme des dépenses contraintes (comme l'alimentation, le logement, le transport…).
Concernant le logement, l'avis qui t'a été donné en dessous me semble un peu exagéré, mais il est vrai que comme dans toutes le villes à forte densité de population le logement à Paris est cher. Tu peux regarder sur des sites comme seloger ou leboncoin pour te faire une idée. Je ne sais pas quelles sont les pratiques actuelles, mais quand je cherchais mon logement il y a quelques années, les propriétaires demandaient que le locataire ait en revenu net trois fois le montant du loyer, ou bien qu'il ait un garant qui satisfasse cette condition, ou bien que son entreprise se porte garant.
Tu peux essayer de faire un script shell qui contient tout, avec Makeself ou équivalent.
Si les machines cibles sont sur un réseau local tu as d'autres options. Par exemple, tu peux créer un dépôt RPM sur un serveur HTTP et envoyer la configuration sur les machines cibles sous la forme d'un RPM (qui ajoute les fichiers qui vont bien dans /etc/yum/repos.d). Ensuite, tu peux déployer les RPM grâce à un meta-package RPM qui contient uniquement les Requires de ce qui t'intéresse, ou alors avec une solution comme Puppet ou Chef.
Ca ressemble à une traduction des notes de version - qui sont très bien. J'ai noté un souci dans la traduction : celle-ci utilise le mot Gradient à tort, le terme recherché est certainement "dégradé".
Mon expérience récente d'Inkscape 0.48 est une tentative de dessin d'icônes. Je me suis beaucoup battu avec le programme pour obtenir quelque chose de net (à défaut d'artistique). J'essayerai à nouveau avec cette 0.91 mais je pense que le résultat sera le même (en partie à cause de l'interface chaise-clavier).
Tu es certain que systemd est vraiment utilisé ? Par exemple un "cat /proc/cmdline" t'indique-t'il explicitement que l'init se fait avec systemd ?
Tes commentaires me donnent l'impression qu'il a été installé par le jeu des dépendances pour avoir un libsystemd.so ou quelque chose comme ça, mais qu'il n'est pas lancé au démarrage. Le "list-unit-files" t'indiquerait tout ce qui peut être potentiellement géré, et "list-unit" t'indiquerait ce qui l'est vraiment - c'est-à-dire rien du tout puisque c'est probablement upstart qui tourne.
Un outil comme FOSSology devrait répondre partiellement à tes attentes.
J'ai vu mieux (Black Duck Protex), mais en propriétaire et à plusieurs milliers d'euros. C'est plutôt pour les entreprises qui veulent éviter d'être infectées par un virus.
Il ne développe pas directement sur son poste. On lui a fourni un poste de type bureautique qui lui sert à accéder à distance à un environnement de développement - en gros il ne lance que Outlook et un client SSH. Visiblement le SI de son client a décidé d'avoir un unique serveur, probablement pour des raisons de sécurité (le code source se balade un peu moins) et de maintenance (sauvegardes, RAID…). L'auteur du journal remet en cause les choix techniques du SI de son client et va devoir convaincre qu'il ne s'agit pas que de confort mais aussi de productivité.
La partition en ext2 maximise la compatibilité avec les bootloaders. De plus, les avantages des systèmes de fichiers plus récents (journalisation…) n'apportent pas grand chose sur ce genre de partition.
La partition de 7,4 Go est vraisemblablement dédiée au swap.
Je recommande également de se limiter à deux partitions : une pour le swap, et une autre pour le reste (/).
OP, si tu as toujours le support d'installation (LiveCD ?), il devrait te permettre de sauvegarder tes données sur un disque externe (à éjecter proprement) puis de réinstaller.
La documentation de uClibc stipule qu'il faut une chaîne de compilation dédiée. Avant ce n'était pas nécessaire mais cela reposait sur des bricolages qui cassaient parfois. Les développeurs ont donc décidé d'adopter une solution pérenne et robuste consistant à imposer une chaîne de compilation croisée. Si tu veux utiliser uClibc, je ne vois pas comment tu peux y échapper (du moins en faisant les choses proprement).
Ce n'est pas clair pour moi si l'objectif est de faire tourner certains programmes spécifiques sur la cible ou alors si c'est simplement éducatif.
Comme indiqué par les autres intervenants, tu devrais considérer que tu réalises de la compilation croisée car l'architecture de ta cible (i386-uclibc) est différente de l'architecture de ton poste de développement (i686-glibc). Voir aussi le point 10 de la FAQ de uClibc. Sinon, qu'est-ce que tu avais prévu de faire pour GCC - qui essaye le lier les exécutables à une libc à la fin de la compilation ? Ce point est abordé dans les questions 10 et 11 de la FAQ de uClibc.
Si tu es pressé d'avoir une solution qui fonctionne, tu peux essayer une chaîne de compilation déjà existante (point 12 de la FAQ uClibc). Si c'est à but éducatif, je te recommande de creuser les outils que tu connais déjà (crosstool-ng, buildroot).
Le mieux pour répondre à ta question est que tu compares le contenu du livre (de mémoire ou à partir de la table des matières) avec les thèmes abordés dans l'examen LPIC-2 (compilation du noyau, mise en place de LVM…). Il est probable que le livre ne couvre pas cet examen.
J'utilise aussi txt2tags, en passant par du LaTeX pour générer du PDF. La plupart du temps, je préfère fournir du HTML dans lequel je retouche un peu la feuille de style. C'est bien pour de la communication entre techos, mais je me vois mal utiliser cela pour faire de la mise en page avancée afin d'avoir un style très corporate. Voici un échantillon de points qui me poseraient problème:
élément type <PRE> dans une liste numérotée
élément type <PRE> multi-lignes dans une cellule d'un tableau
page de garde
en-têtes et pieds de page
notes de bas de page
filigranes sur les documents confidentiels
styles de numérotation différents pour les chapitres et les annexes
traitement différencié des pages paires et impaires
changement d'orientation d'une page pour un grand tableau
La comparaison était là pour répondre à une question et expliquer en quoi je voyais là une contrefaçon.
Je considère qu'il y a suffisamment d'éléments pour montrer une volonté délibérée de recréer un jeu Mario (pas uniquement un jeu inspiré de Mario), et quiconque prétendrait le contraire serait à mes yeux de mauvaise foi.
Vous semblez assez remonté contre le concept de propriété intellectuelle. Si le législateur a accordé des droits sur de l'immatériel, c'est pour essayer de favoriser les créations intellectuelles. Sans cela, la production artistique actuelle serait totalement différente; il est probable que vos films favoris n'auraient jamais existé et il est possible que d'autres œuvres auraient été créées et vous auraient touché. Quand je vois que les jeux libres ont du mal à avoir des artistes, je me dis qu'il serait difficile d'avoir des œuvres complexes sans soutien juridique derrière. Si vous me dites que les droits en question sont excessifs, je vous rejoins ; si vous me dites que vous êtes totalement opposé à la propriété intellectuelle, je ne vous suis plus.
Moralement, effectivement, j'aurais du mal à condamner les auteurs dans la mesure où ils ne causent pas de préjudice, sauf peut-être à eux-mêmes. Par contre, je n'ai pas du tout envie de les soutenir. Quitte à faire de la contrefaçon, autant faire des trucs originaux comme mari0 ou le My Little Pony mentionné précédemment, mais il ne faut pas se plaindre ensuite si les ayants droit se manifestent.
Il me semble évident que ce jeu est une copie des Mario.
Description du jeu de Nintendo. Super Mario World est un jeu de plate-formes où le joueur dirige un plombier habillé de rouge. Sur la carte du monde, le joueur choisit un niveau parmi ceux qu'il a débloqués. A l'intérieur d'un niveau, le joueur doit habilement mener le héros jusqu'à un objectif en évitant les pièges du décor et les ennemis. Pour progresser plus facilement, le héros peut s'aider de bonus, parmi lesquels un champignon qui grandit le héros et lui permet de se faire toucher une fois avant de rétrécir, une plante qui lui permet de tirer des boules de feu, et bien d'autres encore. Ces bonus sont cachés dans des briques que le héros doit taper par dessous pour faire apparaître le contenu. Le bestiaire compte entre autres un champignon sur pattes que l'on peut écraser, des plantes carnivores qui surgissent de tuyaux et aussi une tortue que l'on peut expulser de sa carapace pour se servir de cette dernière comme d'une arme.
Description du jeu présenté ici. Secret Maryo Chronicle est un jeu de plate-formes où le joueur dirige un pirate habillé de rouge. Sur la carte du monde, le joueur choisit un niveau parmi ceux qu'il a débloqués. A l'intérieur d'un niveau, le joueur doit habilement mener le héros jusqu'à un objectif en évitant les pièges du décor et les ennemis. Pour progresser plus facilement, le héros peut s'aider de bonus, parmi lesquels un champignon qui grandit le héros et lui permet de se faire toucher une fois avant de rétrécir, une plante qui lui permet de tirer des boules de feu, et bien d'autres encore. Ces bonus sont cachés dans des briques que le héros doit taper par dessous pour faire apparaître le contenu. Le bestiaire compte entre autres une boule de poils sur pattes que l'on peut écraser, des plantes carnivores qui surgissent de tuyaux et aussi une tortue que l'on peut expulser de sa carapace pour se servir de cette dernière comme d'une arme.
Ci dessous quelques captures d'écran des jeux Nintendo:
Il est clair que les auteurs ont souhaité faire une copie des jeux de Nintendo et ne le nieraient aucunement. Je trouve cela malheureux pour deux raisons:
C'est au niveau zéro de la créativité. C'est dommage car visiblement les auteurs ont été capables de faire un moteur de jeu qui marche accompagné d'une réalisation artistique correcte.
Ignorer la propriété intellectuelle risque de leur retomber dessus. Parfois il est possible de négocier avec les ayants droit (Wormux) et parfois non (My Little Poney: Fighting is Magic) ce qui fout en l'air tout le travail. Avec Nintendo, je pencherais pour la deuxième catégorie. Du coup, pour leur propre bien, je leur souhaite de rester discrets, ne jamais avoir de succès, ne jamais avoir de portage Android, n'apparaître jamais sur une Yinlinps, et je vous laisse compléter la liste.
En fait ce n'est pas très clair pour moi et je n'ai pas de quoi tester sous la main. Ma compréhension est que Xorg a de quoi calculer le DPI de chaque écran mais ne garde qu'un seul DPI pour l'ensemble. Du coup, si on pose un écran à 150 DPI à côté d'un autre à 100 DPI, les éléments n'ont pas la même taille (en cm) en fonction de l'écran sur lequel ils sont affichés. Cela veut dire aussi que l'on n'a pas le même affichage sur le portable suivant qu'on l'utilise seul (150 DPI) ou à côté de l'autre écran (100 DPI). Je me demandais si cela était géré par les toolkits (Qt, GTK, EFL…) et si oui, comment ils traitaient le cas de la fenêtre à cheval sur deux écrans. Je ne sais pas non plus comment cela se passe dans le monde propriétaire.
J'imagine qu'avec deux écrans assez proches en terme de densité de pixels, ça passe sans se poser trop de questions ("bah, oui, c'est écrit un peu plus petit sur l'écran de gauche"), mais ça doit être inutilisable avec un écran "retina" à côté d'un écran classique.
J'ai acheté une imprimante de ce genre, à fonctionnalités équivalentes moins chère qu'une laser, pour une utilisation semi-professionnelle. L'impression en noir et blanc est assez économique (12€ pour 1000 pages), la couleur beaucoup moins (80€). Malheureusement je dois faire face aux problèmes liés à la technologie jet d'encre. Là par exemple, il n'y a rien qui sort en couleur. Pourtant la cartouche est neuve et j'ai essayé les cycles de nettoyage. Il est bien possible qu'elle se soit bouchée parce que je n'imprime pas assez. Autre souci en utilisation bureautique: l'impression recto-verso introduit une attente pour que l'encre ait le temps de sécher. Cela rend une bête impression de 30 pages interminable.
Pour moi, la prochaine sera une laser. Cela dit, je n'ai jamais testé en semi-professionnel et je serai peut-être gêné par d'autres problèmes (temps de chauffe, consommation électrique…).
J'ai peut-être mal interprété tes propos. Ma remarque n'était pas dirigée contre toi en particulier car il y a plus bas d'autres commentaires suggérant qu'un voyageur ne devrait pas utiliser de guide mais se débrouiller sur place, et j'entends régulièrement ce genre de propos. Cela me semble exagéré car il est tout fait légitime de vouloir faire en sorte de ramener de bons souvenirs. Comme tu l'expliques, un guide permet de jouer la carte de la sécurité, certes en se privant de surprises bonnes comme mauvaises.
Mais je n'ai en fait rien contre les gens qui utilisent les guides. Chacun fait comme il veut.
Je sens un peu de mépris vis-à-vis des utilisateurs de guides touristiques. Là ça fait un peu "oh le n00b, il a un guide vert entre les mains !". Pourtant, quand on voyage il y a beaucoup d'informations à trier et les guides fournissent un condensé d'informations utiles. Évidemment, il est tout à fait possible de croiser ces informations avec celles provenant d'autres sources.
Au cas où le paragraphe précédent ne serait pas suffisamment clair, je précise que je fais partie de ces gens qui planifient leur séjour (transport, logement, visites principales). Je fais cela en particulier à cause des contraintes temporelles et budgétaires.
Le "sans contrepartie" veut dire qu'il n'y a pas de transaction commerciale déguisée. Là par exemple, le fisc pourrait considérer que les dons sont en réalité des pré-commandes, avec tout ce que cela implique (notamment la TVA).
Voici un exemple de ce qui est attendu : ditaa. C'est une page web très claire, avec un exemple de document en entrée et de la sortie correspondante. Ce n'est quand même pas insurmontable de faire la même chose pour le format proposé dans le journal.
[^] # Re: Premiers résultats
Posté par nigaiden . En réponse au message Salaire Paris bac+3 développeur. Évalué à 2.
En France il n'y a pas de paiement à la source de l'impôt sur le revenu. Pour un français, le montant donné par le site est vraiment vu comme du salaire net, les impôts étant considérés comme des dépenses contraintes (comme l'alimentation, le logement, le transport…).
Concernant le logement, l'avis qui t'a été donné en dessous me semble un peu exagéré, mais il est vrai que comme dans toutes le villes à forte densité de population le logement à Paris est cher. Tu peux regarder sur des sites comme seloger ou leboncoin pour te faire une idée. Je ne sais pas quelles sont les pratiques actuelles, mais quand je cherchais mon logement il y a quelques années, les propriétaires demandaient que le locataire ait en revenu net trois fois le montant du loyer, ou bien qu'il ait un garant qui satisfasse cette condition, ou bien que son entreprise se porte garant.
# Ebauches de solutions
Posté par nigaiden . En réponse au message RPM dans un RPM. Évalué à 2.
Des RPM dans un RPM… c'est assez acrobatique.
Tu peux essayer de faire un script shell qui contient tout, avec Makeself ou équivalent.
Si les machines cibles sont sur un réseau local tu as d'autres options. Par exemple, tu peux créer un dépôt RPM sur un serveur HTTP et envoyer la configuration sur les machines cibles sous la forme d'un RPM (qui ajoute les fichiers qui vont bien dans /etc/yum/repos.d). Ensuite, tu peux déployer les RPM grâce à un meta-package RPM qui contient uniquement les Requires de ce qui t'intéresse, ou alors avec une solution comme Puppet ou Chef.
[^] # Re: Excellente dépêche
Posté par nigaiden . En réponse à la dépêche Sortie d’Inkscape 0.91. Évalué à 7.
Ca ressemble à une traduction des notes de version - qui sont très bien. J'ai noté un souci dans la traduction : celle-ci utilise le mot Gradient à tort, le terme recherché est certainement "dégradé".
Mon expérience récente d'Inkscape 0.48 est une tentative de dessin d'icônes. Je me suis beaucoup battu avec le programme pour obtenir quelque chose de net (à défaut d'artistique). J'essayerai à nouveau avec cette 0.91 mais je pense que le résultat sera le même (en partie à cause de l'interface chaise-clavier).
[^] # Re: systemctl list-unit-etc.
Posté par nigaiden . En réponse au journal systemd: je me lance. Évalué à 6.
Tu es certain que systemd est vraiment utilisé ? Par exemple un "cat /proc/cmdline" t'indique-t'il explicitement que l'init se fait avec systemd ?
Tes commentaires me donnent l'impression qu'il a été installé par le jeu des dépendances pour avoir un libsystemd.so ou quelque chose comme ça, mais qu'il n'est pas lancé au démarrage. Le "list-unit-files" t'indiquerait tout ce qui peut être potentiellement géré, et "list-unit" t'indiquerait ce qui l'est vraiment - c'est-à-dire rien du tout puisque c'est probablement upstart qui tourne.
# FOSSology
Posté par nigaiden . En réponse au message Outils pour gérer les licences des fichiers utilisés?. Évalué à 2.
Un outil comme FOSSology devrait répondre partiellement à tes attentes.
J'ai vu mieux (Black Duck Protex), mais en propriétaire et à plusieurs milliers d'euros. C'est plutôt pour les entreprises qui veulent éviter d'être infectées par un virus.
[^] # Re: développement n'est pas de la bureautique
Posté par nigaiden . En réponse au journal Besoin d'arguments pour obtenir une station de travail sous GNU/Linux ?. Évalué à 4.
Il ne développe pas directement sur son poste. On lui a fourni un poste de type bureautique qui lui sert à accéder à distance à un environnement de développement - en gros il ne lance que Outlook et un client SSH. Visiblement le SI de son client a décidé d'avoir un unique serveur, probablement pour des raisons de sécurité (le code source se balade un peu moins) et de maintenance (sauvegardes, RAID…). L'auteur du journal remet en cause les choix techniques du SI de son client et va devoir convaincre qu'il ne s'agit pas que de confort mais aussi de productivité.
[^] # Re: ext2 ? 7,4Go en inconnu ?
Posté par nigaiden . En réponse au message Déplacer données d'un disque dur sur un autre. Évalué à 1.
La partition en ext2 maximise la compatibilité avec les bootloaders. De plus, les avantages des systèmes de fichiers plus récents (journalisation…) n'apportent pas grand chose sur ce genre de partition.
La partition de 7,4 Go est vraisemblablement dédiée au swap.
# Pastèque
Posté par nigaiden . En réponse au message caisse autonome. Évalué à 4.
La suite Pastèque a fait l'objet d'articles sur le site et devrait correspondre à tes attentes (jamais testé cela dit).
[^] # Re: pourquoi ?
Posté par nigaiden . En réponse au message Home séparé. Évalué à 0.
Je recommande également de se limiter à deux partitions : une pour le swap, et une autre pour le reste (/).
OP, si tu as toujours le support d'installation (LiveCD ?), il devrait te permettre de sauvegarder tes données sur un disque externe (à éjecter proprement) puis de réinstaller.
[^] # Re: cross-compilation ?
Posté par nigaiden . En réponse au message Comment configurer et compiler uClibc?. Évalué à 2.
La documentation de uClibc stipule qu'il faut une chaîne de compilation dédiée. Avant ce n'était pas nécessaire mais cela reposait sur des bricolages qui cassaient parfois. Les développeurs ont donc décidé d'adopter une solution pérenne et robuste consistant à imposer une chaîne de compilation croisée. Si tu veux utiliser uClibc, je ne vois pas comment tu peux y échapper (du moins en faisant les choses proprement).
[^] # Re: cross-compilation ?
Posté par nigaiden . En réponse au message Comment configurer et compiler uClibc?. Évalué à 2.
Ce n'est pas clair pour moi si l'objectif est de faire tourner certains programmes spécifiques sur la cible ou alors si c'est simplement éducatif.
Comme indiqué par les autres intervenants, tu devrais considérer que tu réalises de la compilation croisée car l'architecture de ta cible (i386-uclibc) est différente de l'architecture de ton poste de développement (i686-glibc). Voir aussi le point 10 de la FAQ de uClibc. Sinon, qu'est-ce que tu avais prévu de faire pour GCC - qui essaye le lier les exécutables à une libc à la fin de la compilation ? Ce point est abordé dans les questions 10 et 11 de la FAQ de uClibc.
Si tu es pressé d'avoir une solution qui fonctionne, tu peux essayer une chaîne de compilation déjà existante (point 12 de la FAQ uClibc). Si c'est à but éducatif, je te recommande de creuser les outils que tu connais déjà (crosstool-ng, buildroot).
[^] # Re: je ne vois pas le probleme
Posté par nigaiden . En réponse au message Bitcoin : bulle spéculative instable et volatile ?. Évalué à 3.
Les prix en BT seront aussi très volatils chez Dell, le client ne disposant que de 10 minutes pour valider sa transaction.
Source: NEXT INpact
# Use the source
Posté par nigaiden . En réponse au message [Résolu] Préparation certification LINUX. Évalué à 6.
Chez moi l'image renvoie vers un 404…
Le mieux pour répondre à ta question est que tu compares le contenu du livre (de mémoire ou à partir de la table des matières) avec les thèmes abordés dans l'examen LPIC-2 (compilation du noyau, mise en place de LVM…). Il est probable que le livre ne couvre pas cet examen.
[^] # Re: txt2tags
Posté par nigaiden . En réponse au message Langage de balisage léger pour rapport. Évalué à 2.
J'utilise aussi txt2tags, en passant par du LaTeX pour générer du PDF. La plupart du temps, je préfère fournir du HTML dans lequel je retouche un peu la feuille de style. C'est bien pour de la communication entre techos, mais je me vois mal utiliser cela pour faire de la mise en page avancée afin d'avoir un style très corporate. Voici un échantillon de points qui me poseraient problème:
<PRE>
dans une liste numérotée<PRE>
multi-lignes dans une cellule d'un tableau# Paquet de développement
Posté par nigaiden . En réponse au message Installation de la libraire atlas / blas / lapack. Évalué à 6.
Il faut que tu installes le paquet atlas-devel
[^] # Re:Contrefaçon
Posté par nigaiden . En réponse à la dépêche Secret Maryo Chronicle, 10 ans déjà !. Évalué à 2.
La comparaison était là pour répondre à une question et expliquer en quoi je voyais là une contrefaçon.
Je considère qu'il y a suffisamment d'éléments pour montrer une volonté délibérée de recréer un jeu Mario (pas uniquement un jeu inspiré de Mario), et quiconque prétendrait le contraire serait à mes yeux de mauvaise foi.
Vous semblez assez remonté contre le concept de propriété intellectuelle. Si le législateur a accordé des droits sur de l'immatériel, c'est pour essayer de favoriser les créations intellectuelles. Sans cela, la production artistique actuelle serait totalement différente; il est probable que vos films favoris n'auraient jamais existé et il est possible que d'autres œuvres auraient été créées et vous auraient touché. Quand je vois que les jeux libres ont du mal à avoir des artistes, je me dis qu'il serait difficile d'avoir des œuvres complexes sans soutien juridique derrière. Si vous me dites que les droits en question sont excessifs, je vous rejoins ; si vous me dites que vous êtes totalement opposé à la propriété intellectuelle, je ne vous suis plus.
Moralement, effectivement, j'aurais du mal à condamner les auteurs dans la mesure où ils ne causent pas de préjudice, sauf peut-être à eux-mêmes. Par contre, je n'ai pas du tout envie de les soutenir. Quitte à faire de la contrefaçon, autant faire des trucs originaux comme mari0 ou le My Little Pony mentionné précédemment, mais il ne faut pas se plaindre ensuite si les ayants droit se manifestent.
[^] # Re:Contrefaçon
Posté par nigaiden . En réponse à la dépêche Secret Maryo Chronicle, 10 ans déjà !. Évalué à 8.
Il me semble évident que ce jeu est une copie des Mario.
Description du jeu de Nintendo. Super Mario World est un jeu de plate-formes où le joueur dirige un plombier habillé de rouge. Sur la carte du monde, le joueur choisit un niveau parmi ceux qu'il a débloqués. A l'intérieur d'un niveau, le joueur doit habilement mener le héros jusqu'à un objectif en évitant les pièges du décor et les ennemis. Pour progresser plus facilement, le héros peut s'aider de bonus, parmi lesquels un champignon qui grandit le héros et lui permet de se faire toucher une fois avant de rétrécir, une plante qui lui permet de tirer des boules de feu, et bien d'autres encore. Ces bonus sont cachés dans des briques que le héros doit taper par dessous pour faire apparaître le contenu. Le bestiaire compte entre autres un champignon sur pattes que l'on peut écraser, des plantes carnivores qui surgissent de tuyaux et aussi une tortue que l'on peut expulser de sa carapace pour se servir de cette dernière comme d'une arme.
Description du jeu présenté ici. Secret Maryo Chronicle est un jeu de plate-formes où le joueur dirige un pirate habillé de rouge. Sur la carte du monde, le joueur choisit un niveau parmi ceux qu'il a débloqués. A l'intérieur d'un niveau, le joueur doit habilement mener le héros jusqu'à un objectif en évitant les pièges du décor et les ennemis. Pour progresser plus facilement, le héros peut s'aider de bonus, parmi lesquels un champignon qui grandit le héros et lui permet de se faire toucher une fois avant de rétrécir, une plante qui lui permet de tirer des boules de feu, et bien d'autres encore. Ces bonus sont cachés dans des briques que le héros doit taper par dessous pour faire apparaître le contenu. Le bestiaire compte entre autres une boule de poils sur pattes que l'on peut écraser, des plantes carnivores qui surgissent de tuyaux et aussi une tortue que l'on peut expulser de sa carapace pour se servir de cette dernière comme d'une arme.
Ci dessous quelques captures d'écran des jeux Nintendo:
Comparer aussi:
Musiques:
Il est clair que les auteurs ont souhaité faire une copie des jeux de Nintendo et ne le nieraient aucunement. Je trouve cela malheureux pour deux raisons:
C'est au niveau zéro de la créativité. C'est dommage car visiblement les auteurs ont été capables de faire un moteur de jeu qui marche accompagné d'une réalisation artistique correcte.
Ignorer la propriété intellectuelle risque de leur retomber dessus. Parfois il est possible de négocier avec les ayants droit (Wormux) et parfois non (My Little Poney: Fighting is Magic) ce qui fout en l'air tout le travail. Avec Nintendo, je pencherais pour la deuxième catégorie. Du coup, pour leur propre bien, je leur souhaite de rester discrets, ne jamais avoir de succès, ne jamais avoir de portage Android, n'apparaître jamais sur une Yinlinps, et je vous laisse compléter la liste.
# Contrefaçon
Posté par nigaiden . En réponse à la dépêche Secret Maryo Chronicle, 10 ans déjà !. Évalué à -10.
Je trouve dommage que Linuxfr fasse la promotion de contrefaçons, fussent-elles libres et sous Linux.
[^] # Re: Un peu de tout
Posté par nigaiden . En réponse au sondage Quel type d'écran utilisez vous pour votre ordinateur ?. Évalué à 1.
En fait ce n'est pas très clair pour moi et je n'ai pas de quoi tester sous la main. Ma compréhension est que Xorg a de quoi calculer le DPI de chaque écran mais ne garde qu'un seul DPI pour l'ensemble. Du coup, si on pose un écran à 150 DPI à côté d'un autre à 100 DPI, les éléments n'ont pas la même taille (en cm) en fonction de l'écran sur lequel ils sont affichés. Cela veut dire aussi que l'on n'a pas le même affichage sur le portable suivant qu'on l'utilise seul (150 DPI) ou à côté de l'autre écran (100 DPI). Je me demandais si cela était géré par les toolkits (Qt, GTK, EFL…) et si oui, comment ils traitaient le cas de la fenêtre à cheval sur deux écrans. Je ne sais pas non plus comment cela se passe dans le monde propriétaire.
J'imagine qu'avec deux écrans assez proches en terme de densité de pixels, ça passe sans se poser trop de questions ("bah, oui, c'est écrit un peu plus petit sur l'écran de gauche"), mais ça doit être inutilisable avec un écran "retina" à côté d'un écran classique.
[^] # Re: Un peu de tout
Posté par nigaiden . En réponse au sondage Quel type d'écran utilisez vous pour votre ordinateur ?. Évalué à 1.
L'écran du portable et l'écran externe ont des DPI différents. Comment tu vis ça au quotidien ?
# Pas convaincu
Posté par nigaiden . En réponse au message Imprimantes jet d'encre bureautique pro, des progrès ?. Évalué à 1.
J'ai acheté une imprimante de ce genre, à fonctionnalités équivalentes moins chère qu'une laser, pour une utilisation semi-professionnelle. L'impression en noir et blanc est assez économique (12€ pour 1000 pages), la couleur beaucoup moins (80€). Malheureusement je dois faire face aux problèmes liés à la technologie jet d'encre. Là par exemple, il n'y a rien qui sort en couleur. Pourtant la cartouche est neuve et j'ai essayé les cycles de nettoyage. Il est bien possible qu'elle se soit bouchée parce que je n'imprime pas assez. Autre souci en utilisation bureautique: l'impression recto-verso introduit une attente pour que l'encre ait le temps de sécher. Cela rend une bête impression de 30 pages interminable.
Pour moi, la prochaine sera une laser. Cela dit, je n'ai jamais testé en semi-professionnel et je serai peut-être gêné par d'autres problèmes (temps de chauffe, consommation électrique…).
[^] # Re: Vitrines à pubs
Posté par nigaiden . En réponse à la dépêche Wikivoyage lancé officiellement. Évalué à 2.
J'ai peut-être mal interprété tes propos. Ma remarque n'était pas dirigée contre toi en particulier car il y a plus bas d'autres commentaires suggérant qu'un voyageur ne devrait pas utiliser de guide mais se débrouiller sur place, et j'entends régulièrement ce genre de propos. Cela me semble exagéré car il est tout fait légitime de vouloir faire en sorte de ramener de bons souvenirs. Comme tu l'expliques, un guide permet de jouer la carte de la sécurité, certes en se privant de surprises bonnes comme mauvaises.
J'adhère pleinement à ta conclusion.
[^] # Re: Vitrines à pubs
Posté par nigaiden . En réponse à la dépêche Wikivoyage lancé officiellement. Évalué à 6.
Je sens un peu de mépris vis-à-vis des utilisateurs de guides touristiques. Là ça fait un peu "oh le n00b, il a un guide vert entre les mains !". Pourtant, quand on voyage il y a beaucoup d'informations à trier et les guides fournissent un condensé d'informations utiles. Évidemment, il est tout à fait possible de croiser ces informations avec celles provenant d'autres sources.
Au cas où le paragraphe précédent ne serait pas suffisamment clair, je précise que je fais partie de ces gens qui planifient leur séjour (transport, logement, visites principales). Je fais cela en particulier à cause des contraintes temporelles et budgétaires.
[^] # Re: Clef du succès?
Posté par nigaiden . En réponse à la dépêche Project Eternity : un jeu de rôle à l’ancienne bientôt sur GNU/Linux. Évalué à 2.
Le "sans contrepartie" veut dire qu'il n'y a pas de transaction commerciale déguisée. Là par exemple, le fisc pourrait considérer que les dons sont en réalité des pré-commandes, avec tout ce que cela implique (notamment la TVA).
[^] # Re: DocBook ?
Posté par nigaiden . En réponse au journal Comment jouer sa feignasse avec DITA von…, heu, DITA XML. Évalué à 3.
Voici un exemple de ce qui est attendu : ditaa. C'est une page web très claire, avec un exemple de document en entrée et de la sortie correspondante. Ce n'est quand même pas insurmontable de faire la même chose pour le format proposé dans le journal.