Il est compliqué de mesurer l’impact de l’informatique sur le climat. Si bien que les études qui alimentent les débats sur ce sujet se basent sur des estimations à grande échelle et sont parfois contradictoires. On entend, par exemple, parler des émissions de gaz à effets de serre liées à l’envoi d’un courriel, mais comment être sûr de pouvoir s’appuyer sur ces données ?
Scaphandre devrait pouvoir (enfin) nous donner des réponses crédibles.