• # Ça ne fait aucun doute ! (je sors)

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 7 (+4/-0).

    Apparemment la méthodologie est curieuse et est de même nature que le "publish ou perish" en recherche scientifique.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

    • [^] # Re: Ça ne fait aucun doute ! (je sors)

      Posté par  . Évalué à 3 (+1/-0).

      Effectivement, et je ne cmprends pas qu'on se base encore sur ce genre de méthodologie aujourd'hui pour estimer la productiité des ingénieurs logiciels.

      • [^] # Re: Ça ne fait aucun doute ! (je sors)

        Posté par  . Évalué à 3 (+1/-0).

        Pour l'avoir déjà vu ailleurs (des journalistes qui extrapolent des études au point de leur faire dire autre chose que ce qu'elles souhaitent communiquer), je ne suis pas sûr que la description de l'article corresponde à la réalité de l'étude. Ils disent d'ailleurs

        Traditional metrics, such as LOC, story points, and function points, have been shown to incentivize practices that may not align with high-quality software development, such as prioritizing code quantity over quality or ignoring the true complexity of the development process [12] [13].

        Après, franchement 10% ce n'est pas beaucoup; que 10% des salariés d'une grande boîte (ingés ou pas) ne soient pas productifs je ne trouve pas ça choquant. Si on écoute Pareto, il y en aurait même 20% qui ne produisent rien de concret (pas qu'ils ne font rien, mais que leur travail n'est pas productif).

        • [^] # Re: Ça ne fait aucun doute ! (je sors)

          Posté par  . Évalué à 3 (+1/-0).

          Il y a aussi des gens avec profil d'ingénieur qui ne "produisent" rien ou peu de choses mesurable, mais qui sont plutôt des "facilitateurs" qui vont aider les autres à produire dans une équipe. Je ne sais pas combien il y en a dans les 10% en question, mais je pense que ce n'est pas négligeable.

    • [^] # Re: Ça ne fait aucun doute ! (je sors)

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 5 (+4/-1).

      C’est très clair : Il(s) mesure(nt) les commits mais il(s) ne mesurent pas les commits…

      Dans un thread sur X.com, il explique disposer de données sur les performances de plus de 50 000 ingénieurs dans des centaines d'entreprises ayant accepté de partager leurs dépôts Git privés avec son équipe, […]
      Quoi qu’il en soit, son équipe travaille sur un modèle qui quantifie la productivité en analysant le code source de dépôts Git, et en simulant un panel de 10 experts évaluant chaque livraison à travers de multiples dimensions.

      […]

      Il précise aussi que les commits ne leur servent pas de mesure de la productivité, et renvoie à un article de recherche publié en septembre dernier détaillant leur méthodologie, en vue de « Prédire les évaluations des experts dans les revues de code logiciel ».

      “It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

  • # Il n'y a pas que le code dans la vie

    Posté par  . Évalué à 6 (+5/-0).

    C'est embêtant ça, un ingénieur qui qui ne passe pas son temps à saisir du code, mais qui fait, peut être, de la relecture de code de ces collègues, de la documentation/spécification, de l'analyse du besoin, du débogage, de la gestion d'équipe, c'est forcement un mauvais ingénieur logiciel.

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