Le beau est profond, artistique, réfléchi, simple. Le beau requiert une éducation, une difficulté. Un artisan chevronné s’émerveille devant la finesse et la simplicité d’un outil. Le consommateur décérébré lui préfère la version avec des paillettes. Le mélomane apprécie une interprétation dans une salle de concert là où votre enceinte connectée impose un bruit terne et sans relief à tous les passants dans le parc. Le joli rajoute au beau une lettre qui le transforme : le beauf !
# Le mépris, c'est pas joli...
Posté par PhRæD . Évalué à 2 (+1/-0).
Je pense qu'un peu de sociologie de la « beaufitude » ne peut pas faire de mal.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
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