• # Le SMS, la Data et le RCS (ouin ouin ouin, fuuuu fuuu)

    Posté par  . Évalué à 3.

    D'ailleurs, il y a une chose qui m’exaspère au plus au point, c'est le fait qu'il faille être connecté à la data pour recevoir ou envoyer des SMS.
    Comme, je ne suis pratiquement jamais connecté à la data, je ne recevais jamais les SMS (sauf quand je me connectais à la data donc pas souvent).

    Pour revenir au SMS "old school", il faut désactiver le RCS …

    Pour le référence du titre : https://video-streaming.orange.fr/musique/le-bon-la-brute-et-le-truand-sergio-leone-1968-ennio-morricone-theme-du-film-CNT000001ah45X.html

  • # Déjà signalé

    Posté par  . Évalué à 10.

    Le titre putaclic laisse penser que Google récupère le contenu des SMS alors qu'il s'agit d'une partie de l’empreinte SHA256 du SMS.

    J'avais déjà indiqué un lien vers l'article de developpez.com qui est plus complet.

    • [^] # Re: Déjà signalé

      Posté par  . Évalué à 10.

      Et c'est fort dommage car le titre mensonger masque des soucis réels :

      ces applications indiquent à Google quand un message ou un appel téléphonique est émis ou reçu. », précise Douglas Leith, professeur d'informatique au Trinity College de Dublin. Les données envoyées par Google Messages comprennent un hachage du texte du message, ce qui permet d'établir un lien entre l'expéditeur et le destinataire dans un échange de messages, et par Google Dialer, l'heure et la durée de l'appel, ce qui permet également de relier les deux combinés engagés dans un appel téléphonique.
      Les numéros de téléphone sont également envoyés à Google. En outre, l'heure et la durée des interactions de l'utilisateur avec les applications sont envoyées à Google.

      Je m'y connais peu mais je doute que Google ait besoin de faire transiter ces infos par ces serveurs pour que la téléphonie/SMS fonctionne. À la limite pour la détection du spam mais ça pourrait très bien fonctionner avec une base locale comme les antivirus. Sans avoir à envoyer le n° appelant donc. On est en droit de se demander ce qu'ils font avec la durée et l'heure de l'appel, ainsi que la toile des connaissances de l'usager. En particulier quand c'est fait par défaut et sans consentement.

  • # Téléphone sans Google

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

    D'où la nécessité d'utiliser un téléphone sans Google, par exemple LineageOS ou GrapheneOS.

    Je citerai bien /e/, mais un projet qui aurait choisi un nom aussi court, aussi générique, et aussi difficile à rechercher sur un moteur de recherche ne peut pas être sérieux.

    J'ai deux téléphones, tous deux sous LineageOS. Un Lenovo P2 et un Moto G7 power.

    • [^] # Re: Téléphone sans Google

      Posté par  . Évalué à 4. Dernière modification le 29 mars 2022 à 16:40.

      Ça s'appelle maintenant Murena (annonce de Gaël Duval), tu peux donc maintenant chercher des Murena-phones, et les citer dans tes messages ;-).

      • [^] # Re: Téléphone sans Google

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

        Merci, tant mieux.

        Je suis étonné à chaque fois qu'une société décide un nom de produit sans penser aux moteurs de recherches et autres joyeusetés.

        • [^] # Re: Téléphone sans Google

          Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2. Dernière modification le 29 mars 2022 à 20:36.

          Pourquoi C ou Go ou Apple ou Mac ou DOS ou DR ou GNU etc se seraient conditionné par rapport aux moteurs de recherche …qui accessoirement sont supposés s'adapter aux écrits indexés ?
          Et puis, tu penses par rapport à ta(s) langue(s) exclusivement ; mais chaque nom/néologo a de fortes chances d'être un mot commun dans l'une des langues existantes. Murena marche peut-être pour toi mais s'avèrera inadapté dans ma tribu par exemple.

          “It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume

      • [^] # Re: Téléphone sans Google

        Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 4.

        Oui mais le SE et la structure s'appellent toujours /e/.

        « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

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