• # non.

    Posté par  . Évalué à 7.

    non.
  • # Entendu sur France Infos

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    J'ai entendu cela sur France Infos en début de soirée.
    La présentatrice avait l'air de dire que le produit des recherches serait placé sous une licence de (je cite) "logiciel libre", mais je n'entends en fait parlé que de "gratuité". Si quelqu'un a plus d'informations, je suis preneur...

    Dépêche Reuters: http://actualite.free.fr/actu.pl?doc=multimedia/3_2005-04-26T154858(...)
    • [^] # Re: Entendu sur France Infos

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    • [^] # Re: Entendu sur France Infos

      Posté par  . Évalué à -1.

      Normalement tout ce qui est produit à l'INRIA est sous licence Cecill (une licence proche de la GPL) modulo les accords avec industriels, ne connaissant pas le modulo je ne peux pas te dire. Maintenant entre ce qui est lancé à l'INRIA et ce qui donne des résultats concrets ...

      Cecill : http://linuxfr.org/2004/07/07/16748.html(...)
      • [^] # Re: Entendu sur France Infos

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

        > Normalement tout ce qui est produit à l'INRIA est sous licence Cecill

        Tu aurais une source confirmant ça ? Ça me parait louche : Il y a plein de soft sous des licences autres que la Cecill distribués par l'INRIA, et pleins de logiciels pas distribués du tout.
      • [^] # Re: Entendu sur France Infos

        Posté par  . Évalué à 9.

        Tout ce qui est produit à l'INRIA passe d'abord par une étape de détermination des propriétés intellectuelles.
        En cas de partenariat avec un industriel, il y a souvent une double propriété.
        Partant de là, ils choisissent la licence affectées à ce qui est produit. Ce n'est pas forcément une licence libre.

        En ce qui concerne le partenariat avec Microsoft, voici des précisions :

        Extrait du communiqué du président INRIA (datant du 25/04) suite à une lettre ouverte :

        La direction de l'INRIA parle effectivement de la possibilité de construire un laboratoire commun avec Microsoft Research depuis le début de l'année 2005. Ces discussions ont tourné autour des questions naturelles que l'on peut se poser sur un tel laboratoire: quels thèmes de recherche, quelle méthode de travail, quel financement, quelles clauses de propriété intellectuelle. Le ministère de la recherche et le ministère des finances et
        de l'industrie ont été tenus au courant de l'existence de ces discussions.

        II y a une quinzaine de jours, nous avons appris que le Directeur général de Microsoft Steve Ballmer devait rencontrer deux ministres, MM. François d'Aubert et M. Thierry Breton à Paris le 26 Avril. Nous avons alors entrepris avec Microsoft, et avec le soutien du ministère de la recherche, la rédaction d'un "Protocole d'accord" entre Microsoft et l'INRIA. Ce document pose les principes d'un contrat que Microsoft et l'INRIA vont chercher à établir dans les mois qui viennent. Dans notre esprit, un contrat avec Microsoft mérite qu'on attache beaucoup de soin aux clauses de propriété intellectuelle et industrielle et il ne saurait être rédigé dans une atmosphère d'urgence. C'est donc l'intention de conclure un contrat que
        pourront annoncer le Ministre et M. Ballmer le 26 Avril.
        L'objectif de l'INRIA c'est de voir si des activités communes de grande qualité scientifique peuvent être montées en commun avec les chercheurs de Microsoft Research, renforçant ainsi la recherche en STIC en France et développant, dans une perspective clairement affichée par notre plan stratégique, la présence de centres de recherches industriels dans notre pays. De même, la localisation envisagée à Saclay s'inscrit dans notre politique de développement de l'UR Futurs.
        Pour que ceci soit possible, il faut se mettre d'accord sur des sujets assez larges qui permettront de développer des collaborations scientifiques effectives. Il faut permettre une diffusion des résultats, aussi bien sous forme de publications que de logiciels (y compris de logiciels libres), qui corresponde à l'état d'esprit des chercheurs de l'INRIA et de ses partenaires universitaires ou CNRS, protéger de manière appropriée le patrimoine de chacun pour que personne ne soit lésé, etc. L'INRIA a l'expérience de ce genre de négociation avec d'autres partenaires industriels, et il n'a jamais été question qu'un accord avec Microsoft suive des clauses standard toutes faites, rédigées unilatéralement. La question des "brevets logiciels", qui est incontestablement une préoccupation de notre communauté scientifique, n'est pas oubliée.
        L'inquiétude que manifestent certains chercheurs se comprend: l'INRIA est il dans une position de négocier des conditions de collaboration scientifique acceptables avec un industriel aussi puissant que Microsoft? Je crois que la très grande qualité des équipes de recherche que l'INRIA a montées, avec l'aide de ses partenaires, combinée avec une attitude nouvelle de la branche
        recherche de Microsoft, nous ouvrent une véritable opportunité.
        Une information en interne sur le "protocole d'accord" sera mise en place dès Mercredi 27 Avril. Nous ouvrirons alors une discussion, avec un pression de calendrier bien moindre, pour identifier avec précision des chercheurs qui souhaiteraient développer leurs interactions avec des chercheurs de Microsoft, quels sujets pourraient être plus précisément identifiés à court et moyen terme, comment organiser la gouvernance de la structure commune,
        comment associer nos partenaires à ce partenariat, comment préciser contractuellement des clauses concernant les résultats de nos recherches conjointes qui permettent aux chercheurs des deux parties de travailler librement et constructivement ensemble. Notons que ce partenariat étendra les coopérations actuelles, qui ont vu à la fois des échanges de chercheurs de l'INRIA vers Microsoft, de Microsoft vers l'INRIA, et des articles rédigés conjointement.
        Si tout se passe bien, nous signerons un accord à l'automne et nous aurons mis en place les conditions d'un partenariat de haute qualité scientifique. Bien entendu, cet accord sera soumis aux instances appropriées de l'INRIA, notamment son Conseil d'Administration.

        Cordialement,
        Gilles Kahn
        Président Directeur Général
        • [^] # Re: Entendu sur France Infos

          Posté par  . Évalué à 4.

          La question des "brevets logiciels", qui est incontestablement une préoccupation de notre communauté scientifique, n'est pas oubliée.

          Ah oui, ils s'en préoccupent beaucoup des brevets logiciels à l'INRIA. En tout cas ils en déposent. Exemple ici, à la fin (« Exemple pratique : l’INRIA privatise la connaissance sur un protocole de l’Internet ») :
          http://www.libroscope.org/Recherche-publique-contre(...)
  • # stanblog

    Posté par  . Évalué à 6.

    Tristan Nitot a fait un journal interessant sur le sujet http://standblog.org/blog/2005/04/21/93114129-laboratoire-microsoft(...)
    • [^] # Re: stanblog

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

      En résumé, Microsoft ne se paye pas un département de R&D pour pas chère. Mais il se paye une campage de redorage d'image pour pas chère trop chère.

      "La première sécurité est la liberté"

      • [^] # Re: stanblog

        Posté par  . Évalué à 2.

        En resume Tristan Nitot FUD sur MS comme a son habitude.

        Il s'amuse a comparer les 10 millions au budget de MS Research et MS en general pour dire que c'est infime, mais bien sur il oublie de dire que MS / MS Research ont bcp d'autre depenses, des accords avec plein d'autres centres de recherche, etc... et que ces 10 millions ne sont pas forcement moins que ce que MS Research depense avec les autres centres de recherche.
        • [^] # Re: stanblog

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

          N'empèche que sa comparaison avec le budget dépensé par chercheur est assez révélateur je trouve.

          Ensuite, ne me fait pas croire que MS donne 10 millions à l'inria juste parce que l'INRIA excele dans son domaine et surtout pas parce que c'est un nid de défenseur du logiciel libre et un future bon moyen de pression (cf la disparition de l'université du libre à poitier après "l'investissement" de MS dans le futuroscope).

          "La première sécurité est la liberté"

          • [^] # Re: stanblog

            Posté par  . Évalué à 2.

            N'empèche que sa comparaison avec le budget dépensé par chercheur est assez révélateur je trouve.

            Revelateur de quoi ? Faut automatiquement depenser 1 milliard pour que ce soit qqe chose de serieux ?

            D'autre part, tu vois ou qu'ils "donnent" 10 millions ? Ces 10 millions sont un investissement pour la recherche entre les 2 groupes (MSR & INRIA), c'est pas un don.

            Si tu avais la moindre idee de la maniere dont fonctionne MS Research, tu te rendrais vite compte que Tristan FUD, MSR est un centre de recherche, extremement independant de MS lui-meme, et qui a une reputation incroyable dans le monde de la recherche, ils ne s'amusent pas a gaspiller leur argent pour de la pub eux, ils font de la recherche.
            • [^] # Re: stanblog

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

              T'inquiètes, si MS avait donné 1 milliard, Linuxfr aurait titré "MS met le paquet et rachète l'INRIA" et tout le monde aurait gueulé aussi.
  • # Mais ils sont fous !

    Posté par  . Évalué à 1.

    MS viendrait faire (1) de la recherche en france ? En europe ! Mais ils s'exposent, là : les brevets logiciels sont même pas encore passés.

    </sardonique>

    (1) Insérez éventuellement un « plus » ici, je les connais pas assez ;)
  • # du travail !!!

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    si ca donne du boulot a des personnes et bien tant mieux !
  • # Bah

    Posté par  . Évalué à 2.

    Vu l'argent que leur donne l'État, il faut bien qu'ils se démerdent pour trouver d'autres moyens de faire de la recherche...
  • # mon avis

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

    Quand 2 centres de recherches réputés s'associe pour mettre en commun leurs atouts et faire progresser l'informatique, je n'y vois absolument aucun inconvénient.
    • [^] # Re: mon avis

      Posté par  . Évalué à 4.

      Bonjour,

      le problème qui se pose à moi est que ce n'est pas une société française ou européenne qui s'associe à l'Inria: c'est dramatique pour l'Europe et la France.

      Là, on pourrait s'extasier sur cette association.

      Et ensuite, il y aura des "pressions" de Microsoft pour les brevets logiciels (ou autre)? Comme cette société l'a fait au Danemark ou en Pologne ....

      Pour moi, c'est faire entrer le loup dans la bergerie.

      C'est nul et non avenu.


      Eric!
      ---------
      • [^] # Re: mon avis

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

        c'est dramatique pour l'Europe et la France.
        D'abord Microsoft est une entreprise internationale, c'est aussi Microsoft UK, Microsoft France, Microsoft Belgique, etc.
        Ensuite dans le cadre de la recherche un partenariat international n'a rien de dramatique, je dirais même le contraire.
        Refuser de mettre en commun des moyens de recherche tout simplement parcque ce n'est pas assez français ou européen est vraiment une réaction primaire, heuresement que les chercheurs sont au dessus de ces considérations "patriotiques", sinon ca n'avancerait pas des masses, surtout quand on voit l'état actuel de la recherche en France.

        Et ensuite, il y aura des "pressions" de Microsoft pour les brevets logiciels (ou autre)? Comme cette société l'a fait au Danemark ou en Pologne ....
        Se résume en 3 lettres : FUD

        Pour moi, c'est faire entrer le loup dans la bergerie.
        Ne pas confondre Microsoft Research avec le reste des divisions MS, notamment la division commerciale. MS Research est réputé dans le monde entier pour son apport à l'informatique, ses nombreux partenariats avec des universités, ses publications, etc.

        C'est nul et non avenu.
        Ta remarques effectivement.
        • [^] # Re: mon avis

          Posté par  . Évalué à 3.

          Tu devrai plutôt jeter un coup d'oeil sur le lien vers standblog posté un peu plus haut avant de t'extasier dès qu'il y a le mot Microsoft. Ça ressemble bien plus à de la publicité à bon compte, que d'une réel volonté de faire avancer la recherche, vu les petites sommes mises en jeu.
          • [^] # Re: mon avis

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

            Qu'est-ce qui faut pas entendre comme bêtise.
            10 millions d'euros c'est peu. Bah tiens.
            Le but est de faire un labo, pas de faire une multinationale, et 10 millions pour un labo c'est loin d'être "peu".
            Faut arrêter de dire n'importe quoi sous pretexte que c'est MS.
            • [^] # Re: mon avis

              Posté par  . Évalué à -2.

              10 millions, mais c'est des peanuts! pour Microsoft.
              Rappelez-vous le prix du règlement à l'amiable entre Sun et Microsoft: 70 fois plus (de mémoire, me corriger si je me trompe). Et si on cherchait le prix de la campagne de lancement de XP (on a parlé de bien plus que 10 millions).
              • [^] # Re: mon avis

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

                Et donc ? Faut que Microsoft mette 10x plus pour que les chercheurs puisse s'assoir sur des chiottes en or massif ?
                Messieurs, si MS ne donne pas systématiquement la moitié de son chiffre d'affaire annuel pour un projet de recherche, c'est que des pourris qui cherchent à se faire de la pub. Si si.
                • [^] # Re: mon avis

                  Posté par  . Évalué à 6.

                  Ce qui me trouble dans cette association est le sort réservés aux inventions et résultats de ce partenariat, bien entendu vis à vis des brevets logiciels.
                  Si une trouvaille, une technique, une invention ou quoi que ce soit fait intervenir un brevet MS, alors quid de l'exploitation de ce résultat ?
                  C'est un peu la question qu'on pourrait se poser après le dépot d'un brevet Sony sur les informations sensorielles.
                  http://fr.news.yahoo.com/050407/290/4cp59.html(...)
                  Que va-t-il se passer pour les chercheurs et docteurs travaillant sur ces projets (je pense plus particulièrement au milieu médical) ? Devront-ils payer une redevance à sony, un droit d'exploitation, laisser tomber cette branche, ou Sony leur permettra de continuer les recherches sans faire valoir ses droits ?

                  Perso je ne saurai répondre, donc si les personnes concernées pouvaient un peu éclaircir le débat, ce serait vraiment bénéfique.
                  • [^] # Re: mon avis

                    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

                    Si une trouvaille, une technique, une invention ou quoi que ce soit fait intervenir un brevet MS, alors quid de l'exploitation de ce résultat ?
                    Je comprends pas bien... Si un laboratoire IBM ou INRIA indépendant fait une trouvaille, une technique ou une invention qui fait intervenir un brevet MS, quid de l'exploitation des résultats ?
                    C'est exactement le même problème.
                    Je suis bien d'accord que les brevets logiciels font chier mais ce partenariat INRIA/MS ne change rien.

                    A la limite tout ce qui pourrait être breveter dans le cadre de ces recherches auraient l'avantage d'être sous la double propriété INRIA/MS, l'INRIA ayant alors son mot à dire. Malheureusement l'INRIA est composé de chercheurs, et bien souvent un brevet est synonyme pour eux de gratitude, pratiquement "d'objectif", qu'on peut compter à la fin de l'année dans les résultats. J'ai vu ça à l'IRISA (branche de l'INRIA à Rennes), et ça m'a passablement dégoûté.
                    • [^] # Re: mon avis

                      Posté par  . Évalué à 2.

                      "mais ce partenariat INRIA/MS ne change rien."

                      T'inquiètes, ce n'est pas un journal CONTRE microsoft comme tu sembles le croire ;)
                      C'eut été IBM/INRIA, Sun/INRIA ou multideskOS/INRIA, j'aurai posté le même journal :D
                      • [^] # Re: mon avis

                        Posté par  . Évalué à 1.

                        Excuse-moi de te contredire mais je crois bien qu'au contraire le problème est bien là. Beaucoup de gens cassent volontier du sucre sur le dos de MS (quel jeu de mot) tout en ventant les mérites de Sun. On retombe dans le problème des "fans du GNU pour la technique vs. les fans de la free as in free speech not in free beer".

                        M'enfin, je partage ton avis.
                  • [^] # Re: mon avis

                    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

                    Exactement, le problème est la. La gestion des brevets et les licences des logiciels qui seront le résultat de l'effort commun INRIA/Microsoft est le point sur lequel il faut rester vigilant. Et ce n'est pas encore fixé, puisque l'accord définitif devrait seulement voir le jour à l'automne. Il y aura apparemment des discussions au moins en interne à ce sujet. Espérons que l'accord final ira dans le sens d'une ouverture, à la fois des licences, et des brevets qui pourraient être déposés.
              • [^] # Re: mon avis

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

                mais c'est des peanuts! pour Microsoft.
                Je serais presque tente de croire que Peillon traine sur LinuxFr.
        • [^] # Re: mon avis

          Posté par  . Évalué à 3.

          D'abord Microsoft est une entreprise internationale...

          D'accord, MS fait bosser beaucoup de monde un peu partout... mais ca reste une boite américaine... c'est aux US que l'industrie automobile a pris un coup de fouet garce aux dividendes reversés !!!
  • # Et Lang ?

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

    C'est pas Bernard Lang, qui bosse là-bas, à l'INRIA. Il doit être bien vert, ce digne militant du logiciel libre.
  • # Un petit effort

    Posté par  . Évalué à 10.

    Ces derniers temps on voit fleurir de plus en plus de journaux ne contenant qu'un lien sans autre information. C'est si difficile que ça de mettre une phrase ou deux pour expliquer de quoi il s'agit ? Va-t-on devoir mettre en place un filtre qui oblige à taper un minimum de mot avant de pouvoir poster un journal ? Ce serait quand même dommage d'en arriver là.
  • # Et alors la note interne

    Posté par  . Évalué à 2.

    Y'a pas quelqu'un qui peut nous forwarder la fameuse lettre interne que l'INRIA est censée avoir diffusée le 27 ?
    • [^] # Re: Et alors la note interne

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

      Dans 'lettre interne', il y a interne ;-)
      Ceci dit le communiqué du 27 reprend en grande partie les termes d'une lettre de Gilles Kahn déja diffusé par d'autres.
      Le Memorandum Of Understanding qui a été cosigné par l'INRIA et Microsoft le 26 est confidentiel. Il est consultable uniquement à l'INRIA par les chercheurs de l'INRIA qui le demandent apparemment.
      • [^] # Re: Et alors la note interne

        Posté par  . Évalué à 3.

        :)
        Bon je vais devoir mailer un pote de l'INRIA et le diffuser moi-même :)

        Vu ta réponse, j'imagine qu'ils restent aussi vague concernant la propriété intellectuelle que ce qui était dit dans le message un peu plus haut.

        M'enfin beaucoup de chercheurs, y compris des Unixiens convaincus s'accomodent très bien d'un Windows et de brevets logiciels quand il s'agit de récupérer des fonds pour leur équipe.

        Je ne citerait pas de nom, mais un de mes enseignants de système qui cassait du Windows à tout bout de champs pendant les cours était responsable d'une équipe Windowsienne.

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