Proposition d'entretien : Framasoft chez MS France

Posté par  . Modéré par Bruno Michel.
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fév.
2011
Éducation

N. D. M. : Proposition d'entretien récupérée de l'ancien site, elle a été oubliée par la migration qui n'avait pas prévu une proposition d'entretien active.

Framasoft (via aKa) a rendez-vous au siège de Microsoft France à Issy-les-Moulineaux, le 4 mars prochain, sur invitation de Thierry de Vulpillieres, directeur des partenariats éducation, suite à divers billets publiés : http://www.framablog.org/index.php/post/2011/02/16/framasoft-chez-microsoft

À l’heure qu’il est je [aKa] ne connais pas le programme des festivités et ne sais qui je vais rencontrer exactement en plus de Thierry de Vulpillieres avec qui, de toutes les façons, nous aurons des choses à nous dire concernant la situation de l’éducation en France et la stratégie de Microsoft à ce sujet.
J’en appelle aux lecteurs du blog pour préparer au mieux ce rendez-vous en terre inconnue (et ne pas me faire naïvement récupérer !). Si vous vous retrouviez à ma place, quelle attitude adopteriez-vous, et quelles questions (pertinentes et impertinentes) poseriez-vous à Monsieur Microsoft ?

Et vous, lecteurs de LinuxFr.org, quelles questions pertinentes poseriez-vous à Microsoft sur la thématique logiciels propriétaires/libres et éducation ?

Les admorelecteurs ont récupéré les commentaires pertinents depuis la proposition de dépêche sur l'ancien site, vous les trouverez ci-dessous.

Sommaire

Commentaire de JGO

Je ne connais pas l'offre de Microsoft en matière d'éducation, mais je me demanderais pourquoi les jeux de bureau livrés avec leurs systèmes d'exploitation n'intègrent rien de clairement éducatif (peut -être que les versions récentes le font ?). Je ne leur demande pas de livrer un produit complet (genre Adibou) gratuitement, mais les distributions libres le montrent, il est possible de faire des « petits jeux » très amusants pour les petits, sans investissement dans un scénario complexe ou de l'artwork, et qu'ils ne pourraient de toute façon pas vendre en magasin. (Le démineur ça m'a lassé depuis windows 3.1 et ce n'est pas adapté aux petits.)

Commentaire de pada

Après m'être fait "enfirouaper" plusieurs fois, j'ai appris qu'il ne faut pas négliger l'intelligence et le savoir faire de ceux qui sont à l'emploi de (par exemple Microsoft) surtout pour les relations publiques: j'écouterais, regarderais, accepterais les cadeaux pour les étudier, poserais quelques questions bien préparées pour en apprendre le plus possible, mais je ne répondrais pas à leurs questions.
On ne peut pas espérer convaincre au cours d'une telle rencontre, simplement apprendre et deviner leurs plans. Il faut considérer qu'un vendeur ou un avocat est presque toujours un mercenaire au service d'un chef auquel il doit être loyal et fidèle, inutile d'essayer de le convaincre sur le plan éthique et moral.

Commentaire de feloy

Tout pareil, profil et bas et rester concentré :

Tu discutes avec Thierry de Vulpillieres du sujet qui vous intéresse.

Et pour le reste, bouche cousue … tu peux toujours discuter de la pluie et du beau temps avec l'hôtesse d'accueil qui t'aura refilé un winphone avec pleins de pixels morts, mais sinon, inutile de s'étendre sur tes préférences en terme d'éditeur de texte ou autres considérations personnelles.

Tu es en mission pour défendre l'éducation en France. Pas pour défendre les logiciels libres ou dénigrer Microsoft. Donc tu apportes les arguments en faveur des logiciels libres d'un côté, et d'un autre côté ceux de Microsoft si tu as le temps de le faire avant eux ;) Tu dénonces les pratiques qui vont à l'encontre de l'éducation en France, d'où qu'elles viennent. Tu peux même lui concéder quelques points, si lui veut bien t'en concéder.

Le plus intéressant est sans doute de chercher des points d'entente. Entente veut dire ouverture, tu as des points d'avance sur le sujet, Mr Microsoft pâlit en général lorsqu'il entend parler d'ouverture ;)

Mais surtout ne pas attaquer le mammouth de front. C'est qu'il est lourd, le mammouth, et le cuir tané par le temps.

Mais enfin, c'est juste mes 2©. J'ai eu à faire à un Mr de Microsoft une seule fois, j'en ai pris plein la gueule pendant 1 heure, j'ai pas pu en placer une. Mais c'était pendant la phase II de raillement, il y a 10 ans. Jamais revu depuis …

Commentaire de napster2core

Petite question pour ces gentils employés de Microsoft :

  • Comment enseigner l'informatique avec des logiciels que l'étudiant ne pourra pas étudier, justement, sachant que pour être un bon programmeur il ne faut pas seulement écrire beaucoup de code mais aussi en lire beaucoup.

  • De même que pensent-ils du concept de "première dose", tel que nous l'appelons, lorsqu'ils offrent ou bradent leurs logiciels et comment l'expliquent-ils.

Merci et bonne chance pour cette rencontre !

Commentaire qui donne lieu à quelques remarques, dont la suivante, de 46464 :

Ils répondront qu'ils ont des accords avec plein d'universités pour que les étudiants accèdent au code.

Ils répondront qu'ils s'agit d'une offre afin que tout le monde ait accès aux mêmes outils, utilisés dans le monde professionnel, durant sa formation.

Commentaire de Sygne

Ne considérez-vous pas que la notion même d'éducation suppose le partage du savoir? N'est-il donc pas du devoir d'une entreprise qui veut promouvoir l'éducation de favoriser le partage du savoir? Favoriser le partage du savoir, dans le domaine de l'informatique, n'est-ce pas promouvoir les licences libres?

Bernard Stiegler met en évidence le fait que les prolétaires d'aujourd'hui sont ceux qui ont perdu la maîtrise des outils qu'ils utilisent au quotidien: les outils que nous utilisons au jour le jour, sont des outils dont nous ne sommes plus les producteurs, nous n'en sommes que des consommateurs, dès lors, notre quotidien est aliéné, soumis aux enjeux des industries qui les produisent. La libération de l'être humain que se donne pour but l'éducation, ne suppose-t-elle pas, aujourd'hui, de remettre en question la frontière parfois infranchissable entre producteurs et consommateurs d'un produit, pour trouver le moyen de fluidifier ce rapport, et redonner aux citoyens la maîtrise de leurs outils?

Commentaire de patrick_g

Etes-vous prêt à reconnaitre que l'Education nationale ne devrait pas former les élèves à des outils particuliers (Word ou Excel) mais plutôt baser son apprentissage sur une politique "d'agnosticisme" par rapport aux outils et donc former les élèves aux logiciels de traitements de texte ou aux tableurs en général ?

En tant que contribuable français comment vivez-vous le fait que l'argent de vos impôts est dépensé dans les licences de logiciels propriétaires alors qu'il existe des alternatives libres et gratuites ?

Si vous avez répondu à la question 2 quelque chose du style "Je ne vois pas ou est le problème" pourriez-vous commenter cette citation d'Upton Sinclair: "Difficile pour un homme de comprendre une chose si son salaire dépend de ce qu'il ne la comprenne pas".

Commentaire de tipi

Je pense qu'il faut bien étudier le contrat MSDNAA qui est proposé aux universités et autres grandes écoles et leur demander pourquoi l'étudiant paie les licences à l'achat de son ordinateur alors qu'elles lui sont fournies gratuitement à l'inscription à l'école.

Commentaire de guigui_42

J'ai vu quelques remarques quant au fait que l'interview pourrait virer dans un sens ou dans un autre, qui ne serait pas celui voulu par l'"interviewé". Or, j'ai sous la main depuis un moment les deux articles suivants, qui devraient permettre d'éviter les écueils :

Aller plus loin

  • # Que peut-il en sortir de bon ?

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

    Honnètement, j'ai du mal à imaginer qu'il puisse sortir quelque chose d'utile d'une rencontre avec des gens de microsot. Quelle que soit la qualité de interlocuteurs, la partie ne semble-t-elle pas jouée d'avance ? D'une part comme le fait remarqué patrick_g la solde des mercenaires dépend de leur employeur. Cela oblige donc l'une des parties à un aveuglement (le « miro » dans le nom du patron n'est pas fortui) de mauvais aloi. D'autre part, que pourrait-on apprendre que l'on ne sache déjà ; ou plutôt, connaissant a priori toutes les prémices des actions de mirosoft et ayant déjà observé leurs agissement, qu'est ce qui pourrait surprendre ?

    Les qualités de leurs commerciaux sont louées par tous depuis des décennies. Leur capacité de lobbying capable de renverser des institutions aussi puissantes que l'ANSI ne sont plus à démontrer. Leur volonté d'hégémonie est public. Leur capacité à enfreindre les lois et à imposer leurs produits partout sera un jour légendaire… Devraient-ils même ouvrir, honnètement, au grand jour les arcanes de leur stratégie de conquète des cerveaux de nos jeunes, que l'on aurait sans doute du mal à être surpris par quelque plan machiavélique. Non ?

    PS: si vous avez des lecteurs flashs évitez peut-être les liens du bas de l'article vers www.lestrucsdunjournaliste.com. J'ai rarement rencontré des pages webs qui demandent/imposent autant de présumés malwares.

    « IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace

    • [^] # Re: Que peut-il en sortir de bon ?

      Posté par  . Évalué à 4.

      Je trouve très pertinent le commentaire de pada.

      Je pense en effet que l'intérêt de Microsoft dans cette rencontre est d'en apprendre plus sur vous, peut-être vous faire douter, ou pour mieux s'armer. Je dirai que c'est comme une rencontre diplomatique, le but est d'en apprendre le plus sur le camp d'en face, en en disant le moins possible sur sois (de toute façon ils ont du déjà en lire pas mal sur le framablog si ils vous invitent non ?).

      Le plus intéressant serait donc d'inverser les rapports, et d'essayer de mieux les connaître eux, en évitant de trop dévoiler vos propres avis. Vous ne pourrez pas les convertir en direct. Poser des questions déstabilisantes ou non est aussi un bon moyen de savoir ce qu'ils veulent. Et je dirai qu'il faut garder en tête de ne pas se laisser emporter par ses propres idéologies (on part vite en troll et on perd le contrôle du dialogue).

      C'est eux qui veulent vous voir, donc quelque part ce sont eux les clients :-) Garder en tête que le "Embrace,_Extend and Extinguish" est je pense toujours la stratégie là bas. Il ne faut donc pas se perdre à vouloir les convaincre, mais plutôt rester simple, les laisser penser ce qu'ils veulent et récupérer pour sois un maximum d'info.

      • [^] # Re: Que peut-il en sortir de bon ?

        Posté par  . Évalué à 7.

        Le truc, c'est que si les gens de Microsoft lisent Framasoft, il y a de fortes chances qu'ils lisent aussi LinuxFr et tombent sur cette dépêche.

        Du coup, chacun voudra en apprendre sur l'autre sans se dévoiler, et tout en sachant que c'est la même chose pour l'autre. Je suis curieux de savoir si ça parlera d'informatique et d'éducation et si quelque chose en sortira réellement.

        Article Quarante-Deux : Toute personne dépassant un kilomètre de haut doit quitter le Tribunal. -- Le Roi de Cœur

        • [^] # Re: Que peut-il en sortir de bon ?

          Posté par  . Évalué à 5.

          C'est pas comme si les activités de Framasoft étaient bien mystérieuses non plus. C'est quand même relativement transparent.

          • [^] # Re: Que peut-il en sortir de bon ?

            Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 8.

            Tout d'abord merci d'avoir remis cette proposition d'entretien, car cela m'était fort utile pour préparer le rendez-vous ;-)

            Et merci aussi pour ces conseils avisés.

            Microsoft se fout évidemment de Framasoft comme de sa première chemise. Par contre dans le domaine très précis de l'éducation en France, nous avons pondu quelques articles qui ont été des petites épines dans le pied de la mécanique bien huilée des partenariats avec l'Institution et certaines associations. D'où cette invitation émanant du responsable de ces partenariats.

            • [^] # Re: Que peut-il en sortir de bon ?

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

              nous avons pondu quelques articles qui ont été des petites épines dans le pied de la mécanique bien huilée des partenariats avec l'Institution et certaines associations.

              Et je ne suis pas certains qu'il soit possible de dénombrer la foule de gens qui vous en savent gré, pas plus que de quantifier la dette de reconnaissance qui vous échoie pour ces actions et quelques autres.

              On ne peut que vous remercier pour le travail accompli et vous souhaiter bon courage dans l'épreuve qui vient. Même, et surtout, si cela s'annonce plus comme les charmes de Circé que comme une escale chez le cyclopes.

              « IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace

    • [^] # Re: Que peut-il en sortir de bon ?

      Posté par  . Évalué à 6.

      Idem. Ce que fait Microsoft c'est ce qu'a fait Sarkozy en invitant des bloggers à l'Elysée en pleine Lopsi2, c'est de la communication. Un moyen de légitimer leur politique de fermeture et monopolistique. En acceptant de discuter avec ces gens, vous acceptez qu'on utilise vos propos et votre image pour leur faire gagner des points chez les libristes les moins convaincus. C'est une perte de temps.

    • [^] # Re: Que peut-il en sortir de bon ?

      Posté par  . Évalué à -2.

      Idem Anglade Pierre-Matthieu. Ce que fait Microsoft c'est ce qu'a fait Sarkozy en invitant des bloggers à l'Elysée en pleine Lopsi2, c'est de la communication. Un moyen de légitimer leur politique de fermeture et monopolistique. En acceptant de discuter avec ces gens, vous acceptez qu'on utilise vos propos et votre image pour leur faire gagner des points chez les libristes les moins convaincus. C'est une perte de temps.

    • [^] # Re: Que peut-il en sortir de bon ?

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 0.

      Je partage ce sentiment. Microsoft fait son boulot de vendeur de logiciels tant que ça lui rapporte, en suivant le modèle économique qu'il s'est choisi. Aucune rencontre ne le fera changer d'avis. Toutefois cette rencontre me semble indispensable, juste pour éviter une opération de comm du genre: "les intégristes du libre refusent le dialogue".

      Ensuite, si, comme moi, vous trouvez dommage que nos petites têtes blondes soient éduquées avec des logiciels propriétaires les rendant captifs en évitant soigneusement de leur parler des alternatives, je ne pense pas qu'il faille s'en prendre à Microsoft qui joue son rôle.

      L'effort doit être porté vers le ministère de l'éducation national et vers les acteurs de terrains, les premiers en les informant de l'alternative et de ses avantages sans oublier les aspects déontologiques, les seconds en les aidant à mettre en oeuvre des solutions libres encore plus facilement que les propriétaires. Mais je ne vois pas où serait l'intérêt de Microsoft là-dedans, à part éviter une nouvelle condamnation pour monopole ?

  • # Bigleux

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    Dire qu'il n'y a que maintenant que je me rends compte que l'entretien avait comme thème "logiciels propriétaires/libres et éducation".

    J'avais simplement zappé "éducation", je vais donc aller retourner apprendre à lire.

    Prochainement, je vous proposerai peut-être un commentaire constructif.

  • # win phone et GPL

    Posté par  . Évalué à 2.

    J'ai vu il n'y a pas longtemps que des logiciels libre (la GPL) seraient bannis de windows phone.

    Peut-etre qu'on pourrait trouver des questions là-dessus :
    – Que pensez-vous de la volonté de MS de bannir la GPL des windows phone ?

    Autres questions :
    – pensez-vous que MS puisse un jour utiliser des logiciels libres, comme par exemple des jeux libres avec windows, voire vlc ou firefox ?

    – d'une manière générale, pensez-vous que le futur sera vers un rapprochement entre MS et les valeurs défendues par le logiciel libre (partage, ouverture, transparence) ou plutôt un affrontement ?

  • # patrick_g est devenu fou

    Posté par  . Évalué à 7.

    Etes-vous prêt à reconnaitre que l'Education nationale ne devrait pas former les élèves à des outils particuliers (Word ou Excel) mais plutôt baser son apprentissage sur une politique "d'agnosticisme" par rapport aux outils et donc former les élèves aux logiciels de traitements de texte ou aux tableurs en général ?

    Vlà qu'il prône l'agnosticisme mou au lieu de l'athéisme de combat: http://linuxfr.org/users/patrick_g/journaux/hs-pour-un-ath%C3%A9isme-de-combat

    • [^] # Re: patrick_g est devenu fou

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

      Je pense qu'il faudrait surtout mettre en lumière le fait que « former » les élèves à l'informatique en ne faisant que les mettre sur Google et MS Office, c'est leur donner une vision extrêmement réduite des possibilités énormes qu'offre un ordinateur en matière de création (artistique ou technique), de communication et de manipulation de données. Bon Microsoft n'y est officiellement pour rien là-dedans (quoique leur lobbying doit y contribuer fortement) mais autant leur faire comprendre clairement que leurs logiciels ne sont que très peu éducatifs ! :p Le problème c'est qu'après il faudra essayer d'avoir un rendez-vous avec l'Éducation Nationale pour leur faire comprendre la même chose…

  • # Test weboob

    Posté par  . Évalué à -5.

    Ceci est un test.

  • # Le problème de l'interopérabilité

    Posté par  . Évalué à 3.

    Je pense que la question de l'interopérabilité entre les logiciels utilisés à la maison et ceux utilisés à l'école est un point important, et ne repose pas uniquement sur des questions d'existence de formats standards, mais aussi sur l'information associée à leur utilisation. Déjà, commencer par informer les enseignants que leur .doc contenant formules mathématiques et formulaires ne pourra pas être lu par tout le monde serait un bon début.

    Or Microsoft a toujours eu une politique visant à privilégier leurs formats fermés, la preuve se voit au quotidien dans les usages (et ne parlons pas de l'affaire OpenXML qui a permis de tuer l'existence d'un standard bureautique).

    À mon avis, la thématique logiciels libres/propriétaires et éducation n'a aucun sens tant que la question de l'interopérabilité n'est pas résolue. Et distribuer à moindre coût les logiciels utilisés à l'école n'est pas une solution: même si Microsoft me donnait les licences des logiciels que mon fils utilise à l'école, je ne vois pas pourquoi toute la famille devrait se mettre à Windows (surtout que linux est utilisé dans le collège de ma fille). La seule solution ne peut que passer par l'utilisation de formats ouverts, associés à une information claire quant à leur universalité.

    J'aimerais connaitre le point de vue de Microsoft là-dessus.

    • [^] # Commentaire supprimé

      Posté par  . Évalué à 0. Dernière modification le 25 février 2011 à 14:52.

      Ce commentaire a été supprimé par l’équipe de modération.

      • [^] # Re: Le problème de l'interopérabilité

        Posté par  . Évalué à 0.

        Il y a une méprise: l'exemple que j'ai rencontré ne concernait pas la diffusion d'un document ; l'élève devait effectuer une recherche sur Internet et en faire une synthèse.

        Pour cela, l'enseignant lui fournissait une trame, sous forme de fichier MS-Word, contenant des questions auxquelles il fallait répondre, avec quelques cases à cocher, quelques champs texte, au dessus d'une large zone où la rédaction était libre. L'enseignant demandait d'éditer et de remplir ce document, sous forme électronique, pas de l'imprimer et le remplir manuellement (il fallait aussi y copier-coller des images, du texte, …) Quel outils peut-on suggérer, qui soient rapides à mettre en œuvre (impossible de passer des dizaines d'heures à préparer une séquence d'une heure ou deux) ?

        • [^] # Commentaire supprimé

          Posté par  . Évalué à 0.

          Ce commentaire a été supprimé par l’équipe de modération.

  • # blablabla

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à -4.

    Bien beau tout ça, mais en attendant moi windows permet à ma famille de bouffer. Ce qui m'empêche pas de faire du libre à côté et d’espérer pour voir en vivre un jour.

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