Sortie des pilotes ATI et NVIDIA

Posté par  . Modéré par Mouns.
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19
août
2005
Matériel
Les deux grands constructeurs ont mis à jour récemment leurs pilotes propriétaires pour GNU/Linux (pour les architectures supportées).

ATI : Sortie le 18/08 de la version 8.16.20 pour X86 et X86-64
Une grosse mise à jour pour le constructeur canadien :
Au menu :

  • Amélioration des performances
  • Support du noyau 2.6.12
  • Support de GCC 4.0
  • Correction de certains bugs :

    • Résolution des problèmes systèmes avec HDTV et les gros fichiers vidéos.
    • Le curseur souris n'apparaît plus sur les deux écrans à la fois en multi-tête.
    • Le panoramique sur le deuxième écran est maintenant disponible en utilisant les pseudo-couleurs et le mode clone.
    • Les machines sous Red Hat Enterprise Linux workstation 4 Update 1 et possédant 4 Go ou plus de mémoire n'ont plus de problème lors du chargement du pilote.
    • Le support de l'Overlay est disponible sur les machines 64 bits
    • Des fuites mémoires pour PCIe ont été corrigés.




NVIDIA : le 09/08 sortait la version 1.0-7676 pour X86 et AMD64
Ce pilote n'est qu'un correctif du précédent, il règle le problème d'horloge pour les GeForce 7800 GTX (donc inutile pour tous ceux qui n'ont pas cette carte).

Aller plus loin

  • # euh !

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

    Faudrait voir à m'expliquer pourquoi il y 2 mois, on m'a refusé une dépeche sur la mise à disposition d'un installateur avec la nouvelle version des pilotes ATI !
    On m'avais alors renvoyé à mes chères études pretextent que cela ne méritait pas une dépèche !
    C'est à la tête du client ?
    • [^] # Re: euh !

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

      c'est l'été, il se passe rien. De toute façon, tout le monde sait que les pilotes proprio d'ATI c'est de la chiotte en barre.
      Vive le DRI http://dri.sf.net(...) .

      pouet
      • [^] # Re: euh !

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

        C'est pas encore dispo pour les cartes relativement récentes (Radeon 9500+, hum) mais bon, on attends avec les drivers 2D en attendant ^^

        Sinon pour les debianeux, il y a un package non officiel pour les drivers ATI:
        http://xoomer.virgilio.it/flavio.stanchina/debian/fglrx-installer.h(...)
        C'est pas encore à jour pour les derniers drivers, mais ça devrait arriver sous peu !
      • [^] # Re: euh !

        Posté par  . Évalué à 5.

        Et toujours RIEN pour l'architecture powerpc. Merci ATI, Apple (j'en oublie peut-être)

        Encore une fois, et parce qu'ils le méritent bien : vive le DRI http://dri.sf.net/(...)

        Ben oui, pourquoi ATI ne fait rien, et surtout pas de driver proprio sous Linux pour architecture powerpc (ben oui, rien ne les empêche a priori) ?

        --
        eric bachard
        • [^] # Re: euh !

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

          La seule raison valable c'est l'ignorance de la part de Linux/PPC qui existe réellement. A part ça je ne vois pas.

          C'est d'ailleurs aussi le cas pour pratiquement tout ce qui ne se compile pas sous GNU/Linux, les jeux en particulier: Q3A, WolfET, Savage, ... Tous ont un binaire x86, aucun PPC. Y a qu'Opera qui fait bande a part.
          • [^] # Re: euh !

            Posté par  . Évalué à 1.

            Une explication pourrait être l'usage intensif d'optimisations dans le drivers qui présupposerais la taille du boutiste et/ou de code assembleur
            • [^] # Re: euh !

              Posté par  . Évalué à 4.

              Je ne crois pas, car je pense que le noyau s'en charge. Je me souviens avoir compilé il y aura bientôt un an, le module radeon avec X.org + DRI CVS + l'état de l'art du site R300 à l'époque, et j'avais réussi à faire fonctionner X.org correctement sur mon powerbook (muni d'une radeon 9600).

              Pour glxgears, j'avais environ X2 par rapport à ce que j'ai sans rien. C'était pas terrible, mais quelque chose fonctionnait.

              IMHO, c'est délibéré : rien pour PowerPC. Après on peut imaginer plein de scénarios possibles.

              --
              eric bachard
  • # Valgrind et pilote NVIDIA

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    Juste une question comme ça, lorsque j'utilise valgrind avec une application OpenGL, j'obtiens une tonne d'erreurs (au moins 1000, mais souvent plus !) du côté libGL/libGLcore (avec les pilotes propriétaires NVIDIA, pas testé avec Mesa) et même des memory leaks. Je me demandais si c'était une limitation de valgrind, ou si les pilotes NVIDIA sont vraiment malpropres ? ou est-ce que je m'y prends comme un manche pour utiliser valgrind ?

    Essayez avec glxinfo ou glxgears.
    • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

      Posté par  . Évalué à 5.

      ou si les pilotes NVIDIA sont vraiment malpropres ?

      Tu en doutes vraiment ? ;)
      • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

        >> Tu en doutes vraiment ?

        Heuuu...je pense que les devs de chez NVidia doivent connaitre Valgrind eux aussi non ? Je vois pas pourquoi ils auraient laissé passer des tonnes d'erreurs et même des leaks. Faut pas oublier qu'ils doivent aussi supporter le monde pro avec leurs cartes Quadro donc j'espère qu'ils sont un poil sérieux.
        • [^] # Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

          Posté par  . Évalué à 9.

          C'est incroyable le nombre de personnes qui croient que des professionnels font forcement du meilleur travail que des amateurs, surtout en programmation logiciel.

          - Le professionnel est quelqu'un qui est payé pour faire ce qu'il fait.
          - L'amateur le fait pour le plaisir et/ou parce qu'il en a besoin.
          D'après vous qui fait le plus attention à ce qu'il fait ?

          Travaillant dans une equipe de développement soft (en propriétaire mais je travaille sur une version Linux du produit dans mon coin en réutilisant/améliorant plein de composants logiciel libres) je peux vous dire que mes collègues font ce qu'ils font pour bouffer, pas pour le plaisir ni, surtout, parce ce qu'ils ont besoin du soft qu'il développent.

          Une remarque provocative : avoir des bugs à corriger permet de continuer à avoir un boulot.
          • [^] # Un peu HS, mais je rebondis sur ta phrase

            Posté par  . Évalué à 3.

            Je suis interessé par ta remarque:
            avoir des bugs à corriger permet de continuer à avoir un boulot.
            je ne programme, ni ne travaille dans le milieu de l'informatique, et je me demande quelle est la part de vérité dans ta provocation ?

            Je suis sûr que vous êtes nombreux à pouvoir témoigner sur ce point: laisse-t-on des bugs pour faire durer le développement (et donc garder son job) ?
            • [^] # Re: Un peu HS, mais je rebondis sur ta phrase

              Posté par  . Évalué à 4.

              Je suis sûr que vous êtes nombreux à pouvoir témoigner sur ce point: laisse-t-on des bugs pour faire durer le développement (et donc garder son job) ?
              Les meilleurs bugs sont ceux qui "dorment" pendant un certain temps et qui se réveillent six mois après quand tu as fais une modif dans un moceau de soft qui n'a rien à voir.
              Ces bug là sont extrèmement difficiles à écrire volontairement. Le plus simple... pour les écrire est de travailler comme un porc... et le hasard fait le reste.
              Le problème, c'est que quand on aime son travail, (ce qui est mon cas), on a du mal à mal le faire... ... volontairement !!!!
            • [^] # Re: Un peu HS, mais je rebondis sur ta phrase

              Posté par  . Évalué à 10.

              en fait c'est un peu plus sournoi, un exemple vecu: le commercial vend un logiciel avec du materiel pour une entreprise francaise avec 40 site, le hic le materiel n'existe pas encore, le super logiciel non plus. Hop une fois la commande passé, construction du materiel, (facile ca marche), et pour le logiciel une personne qui si connait en informatique s'attelle a la tache. après de long mois a coder en MS C++ et moulte lettre recommandée du client,, un programme qui ne fonctionne toujours pas, la personne qui s'y connait en informatique s'en va. Appel à une SSII pour sauver les meubles, pour quelques millions d'euros, alors les bugs et le suivi de version :), un zip des sources avec la date sur un cd n'en demande pas plus.

              a ce jour le logiciel je dirais que ca va, pour imprimer nous conseillons de faire touche impr ecr, puis de faire coller dans wordpad.

              avant j'etais scandalisé, mais maintenant je vois à droite et a gauche des appli metier qui coute des euros qui ne peuvent pas imprimer, et tous le monde passe par impr ecran et coller dans word. Cela doit etre normal je pense.
              • [^] # Re: Un peu HS, mais je rebondis sur ta phrase

                Posté par  . Évalué à 2.

                un jour je causais devis avec un assureur, j'étais interessé par un écran intermédiaire mais l'application n'était pas prévue pour imprimer cette étape, ça s'est fini par un imprim-écran sous les yeux ravis de l'assureur qui apprenait un truc.
            • [^] # Re: Un peu HS, mais je rebondis sur ta phrase

              Posté par  . Évalué à 10.

              laisse-t-on des bugs pour faire durer le développement

              Même pas besoin. Le programmeur "professionnel" a à peu près toujours des deadlines intenables alors on fait le plus gros et si c'est bourré de bugs, tant pis on corrigera au fur et à mesure. Les commerciaux ont une forte proportion à vendre n'importe quoi, des choses qui n'existent pas encore, voire qui sont infaisable. On a eu le cas d'un connard fini qui avait vendu au client qu'on pourrait lui afficher dans son interface des infos qui ne sont pas disponibles (c'est à dire que le système qui fourni les données - sur lequel on n'a aucun contrôle - ne remonte pas ces infos et n'envisage pas de le faire) ! Evidemment, jamais on se se pose la question de la faisabilité de la chose. S'il y a une commission en jeu la réponse est "oui" quelque soit la question.

              Tout ça pour dire qu'on n'a pas besoin d'inventer des bugs. Il y a toujours de quoi faire.
            • [^] # Re: Un peu HS, mais je rebondis sur ta phrase

              Posté par  . Évalué à 3.

              Le plus chiant dans le dev c'est la maintenance corrective. Si on pouvait écrire sans bugs on le ferait.
              Mais j'ai un ancien collègue qui m'a reconter qu'en 2000 il a intégré une startup qui développait un CRM en Java. Le soft avait des défauts de jeunesse, qui ont finies par agacer les clients (surtout leurs corrections tardives ou inexistante)
              Les commerciaux ont donc décidés d'introduire des bugs au niveau de l'interface que le client repérait rapidement en présence du commercial, une semaine plus tard la nouvelle version était dispo avec tous les bug mineures corrigés.
              Conclusion en 2002 la boîte dépose le bilan et le collègue a jurer de ne plus jamais faire de dev.

              C'est le seul cas dont j'ai entendu parlé, mais je ne doute plus qu'il pourrait y avoir d'autre cas.
            • [^] # Re: Un peu HS, mais je rebondis sur ta phrase

              Posté par  . Évalué à 2.

              J'ai en tête le nom d'une SSII dont c'est la politique officieuse :)

              (pas la peine d'essayer de m'extorquer son nom, j'ai pas envi de me prendre un procès)
              • [^] # Re: Un peu HS, mais je rebondis sur ta phrase

                Posté par  . Évalué à 3.

                d'un autre coté, c'est dommage, il y a tellement a faire pour qu'un logiciel soit bon, agreable.

                Quand je sauve la vie (c'est une image) d'un client desespéré de son systeme, le soir en rentrant du boulot j'ai une certaine satisfaction d'avoir vecu cette journée. C'est agreable.
          • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 7.

            >> C'est incroyable le nombre de personnes qui croient que des professionnels font forcement du meilleur travail que des amateurs

            je me suis sans doute mal exprimé (formule polie pour te dire que t'a rien capté ;-)
            Quand j'écris qu' ils doivent aussi supporter le monde pro avec leurs cartes Quadro cela signifie que les devs de NVidia vendent leurs cartes pro (et donc leurs drivers) a des gens qui ont un haut niveau d'exigence (pas le gamer boutonneux du coin) : les stations graphiques SGI ou les stations Catia de l'industrie aérospatiale...etc etc
            Je pense que ces gens sont capables de voir assez vite si un driver OpenGL est moisi ou non.
          • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

            Posté par  . Évalué à 2.

            C'est incroyable le nombre de personnes qui croient que des professionnels font forcement du meilleur travail que des amateurs, surtout en programmation logiciel.

            Oui mais il ne faut pas non plus tomber dans l'excès inverse: les amateurs ne font pas forcément du meilleurs boulot que les pros. Il faut bien voir aussi que les contraintes d'un pro et d'un amateur ne sont pas les mêmes.

            Travaillant dans une equipe de développement soft (en propriétaire mais je travaille sur une version Linux du produit dans mon coin en réutilisant/améliorant plein de composants logiciel libres) je peux vous dire que mes collègues font ce qu'ils font pour bouffer, pas pour le plaisir ni, surtout, parce ce qu'ils ont besoin du soft qu'il développent.

            Et toi tu le fais pourquoi? T'es pas payé? On le fait tous pour bouffer! Mais ça n'empêche pas d'aimer ce que l'on fait et d'essayer de le faire bien même si ce n'est pas source ouvert et que je n'utiliserai jamais le produit sur lequel je bosse!

            Une remarque provocative : avoir des bugs à corriger permet de continuer à avoir un boulot.

            ça c'est de plus en plus faut (si ça l'a été un jour...). De plus en plus la maintenance des softs n'est plus faite chez nous. Dans la boite ou je bosse ce sont des indiens qui corrigent mes bugs... en attendant qu'ils les créent eux-mêmes! :-<
          • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

            Posté par  . Évalué à 3.

            C'est peut être spécifique au métier de développeur, mais je crois que les développeurs sont des passionnés.
            C'est peut être une impression nombriliste mais c'était le cas de 99% des gens avec qui j'ai bossé.
            • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

              Posté par  . Évalué à 3.

              T'as bien de la chance. Moi, c'est beaucoup plus variable. Et ça a commencé dès les études : beaucoup se sont retrouvés là parce que "l'informatique était un secteur d'avenir", sans jamais avoir touché un PC de leur vie...
              • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                Posté par  . Évalué à 1.

                T'as bien de la chance. Moi, c'est beaucoup plus variable. Et ça a commencé dès les études : beaucoup se sont retrouvés là parce que "l'informatique était un secteur d'avenir", sans jamais avoir touché un PC de leur vie...

                Alors la je vois pas du tout le rapport!
                Ceux qui ne sont pas interesses par l'informatique s'en rendent assez vite compte, et changent de voie assez vite (s'ils ont d'autres perspectîves).

                Je ne vois donc pas du tout le rapport entre quelqu'un qui aime l'informatique et avoir eu un PC avant les etudes d'info. J'en connais suffisamment qui avaient deja un PC avant et qui font un travail beaucoup plus sale (pour ne pas dire porc) que ceux qui n'en avaient pas. Est-ce le premier effet BASIC? Ou alors ils se foutent simplement de la qualite de ce qu'ils font. A mon avis, la bonne reponse est la numero 2.
                • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                  Posté par  . Évalué à 1.

                  Je vois ce que veut dire Dring Dring, effectivement beaucoup de gens sont arrivés dans l'informatique en 1999/2000. C'était des personnes qui avaient suivies un cursus totalement différent. Elles ont été formées par les SSII à l'aide de l'ANPE.

                  Dans la SSII ou j'étais à l'époque, elle faisait rembourser la formation. Et beaucoup de ces 'ingénieurs 2000' étaient déroutés. Formés comme dev (sur PowerBuilder et rien d'autre) ils se sont trouvés à faire de la qualif, ou du mini-dev (des états ou masque de saisie).
                  Sur environs 25 personnes j'en connais que 4 qui soient aujoud'hui contents de leurs sort mais après une longue bataille pour avoir un formation plus décente et puis avoir quitté la société.
                  • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                    Posté par  . Évalué à 3.

                    Ben c'est vrai qu'il y a aussi ce cas là, mais quand j'ai commencé mes études d'info (en 1991 déjà), je me suis retrouvé avec une ribambelles d'étudiants qui ignoraient tout d'un ordinateur, et n'en avaient que faire. Ils voulaient un débouché professionnel, n'importe lequel.

                    A noter que je ne sors pas d'une école d'ingénieur, mais d'un BTS informatique de gestion, accessible à presque tous les bacs (j'ai un bac de compta - G2 à l'époque).

                    Donc, j'ai pu observer une foule hétérogène tenter de se faire à l'info. Certains ont effectivement abandonné, d'autres ont insistés et ont décroché un job dans ce secteur.

                    Mais peu se sont réellement découvert une passion. Seuls ceux qui étaient déjà des mordus en entrant l'étaient en sortant, les autres se sont contentés "d'apprendre un métier pour gagner sa vie".

                    Je persiste et signe donc : le fait d'avoir un PC (raccourci pour désigner les personnes s'intéressant à l'informatique) avant de commencer les études participe à discerner qui a la passion et qui ne l'a pas.
                    • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                      Posté par  . Évalué à 1.

                      Oui, mais ne pas avoir la passion peut faire de bons professionnels.
                      • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                        Posté par  . Évalué à 4.

                        Ne pas avoir la passion n'empêche pas d'être consciencieux, mais limite la plus value apportée par la curiosité.

                        Le manque de curiosité est une lacune importante pour un développeur. C'est comme ça qu'on se retrouve avec du code certes propre, bien présenté, mais totalement inutile et/ou factorisable aisément - par exemple.

                        Et la curiosité ne vient que si on a la passion. Pourquoi j'irais chercher à quoi sert Struts, les Design Patterns, les Templates C++, les bulk copy d'Oracle, etc. si je n'ai pas la curiosité. Je peux vivre sans, et faire "comme on m'a appris".

                        Ca n'a pas que des inconvénients (on stagne certes, mais sur des technologies/méthodes éprouvées). Mais à long terme, cela devient un problème - à mon avis - et ça nuit à la qualité du code généré.
                        • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                          Posté par  . Évalué à 2.

                          Et la curiosité ne vient que si on a la passion


                          Je ne suis pas tout a fait d'accord. on peut etre curieux de nature ; et donc dans le domaine sur lequel on bosse , sans que l'on soit passionne par ce domaine.

                          On peut etre curieux parcequ'on est justement professionnel et qu'on veut avoir le meilleur rapport qualite/prix/rendement

                          etc...

                          La passion engendre des avantages et aussi des inconvenients. C'est comme tout ; chaque chose a ses bons et ses mauvais cotes.

                          tu dis qu'un professionnel sans passion c'est
                          faire "comme on m'a appris".
                          (en tout cas c'est ce que j'ai compris) et encore une fois je ne suis pas d'accord. Un professionnel est quelqu'un qui a des connaissances dans un domaine. On lui demande de resoudre un problème dans son domaine. Il y a de fortes chances qu'il ait developpe une experience qui s'ajoute a ce qu'on lui a appris et, avec sa conscience professionnelle il essaie de faire la meilleure reponse au problème pose; et je doute qu'il puisse le faire avec juste "ce qu'on lui a appris" (j'entend la meilleure reponse; une reponse si sans doute))
                          • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                            Posté par  . Évalué à 2.

                            Voilà un fil de discussion qui s'étale dans le temps...

                            on peut etre curieux de nature

                            C'est vrai, mais dans ce cas, on peut considérer qu'on est passionné par tout, non ? Je caricature un peu, certes, mais dans le principe c'est ça.

                            Pour le second point, je maintiens mes propos. Un professionnel sans passion fera "comme on lui a appris", et cela englobe son expérience. Il n'apportera jamais à son travail un élément acquis en dehors ; il se contentera de réutiliser, réutiliser, réutiliser.

                            Ce n'est pas un mal en soi, mais personnellement, je préfère un gars "innovant", qui cherche de nouvelles solutions, qui observe les technologies qui l'entourent et leur trouve des applications dans son activité professionnelle.
              • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                Posté par  . Évalué à 2.

                Je pense que c'est valable pour toutes les études.
                Mais dans la dev et la prod, mon sentiement, et que la majorité est passionée, hormis à l'époque 1999/2000.
          • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

            Posté par  . Évalué à 2.

            - Le professionnel est quelqu'un qui est payé pour faire ce qu'il fait.
            - L'amateur le fait pour le plaisir et/ou parce qu'il en a besoin.
            D'après vous qui fait le plus attention à ce qu'il fait ?


            D'un côté tu as raison, le professionnel est quelqu'un qui est payé pour faire ce qu'il fait. Mais de l'autre, je ne vois pas ce qui interdirait à un professionnel d'aimer son métier et le faire correctement.

            Personnellement, j'estime que beaucoup de gens font aujourd'hui un métier qui leur plaît, du moins dans l'informatique, et qu'ils ont donc une certaine propension à bien faire leur travail. Ça s'appelle la passion, mais ça peut aussi tout simplement être de la conscience professionnelle.

            Moi mon avis, c'est qu'entre 2 programmeurs passionnés, c'est certainement le programmeur professionnel le meilleur, car lui programme à longueur de journée et est donc censé acquérir davantage d'expérience.

            Toi, ta comparaison concerne un mauvais programmeur professionnel et un bon programmeur amateur, ce qui est loin d'être le cas en général.

            Une remarque provocative : avoir des bugs à corriger permet de continuer à avoir un boulot.


            Une réplique provocative :
            Un programmeur amateur, c'est un programmeur qui était trop nul pour être embauché en tant que programmeur professionnel.
            • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

              D'un côté tu as raison, le professionnel est quelqu'un qui est payé pour faire ce qu'il fait. Mais de l'autre, je ne vois pas ce qui interdirait à un professionnel d'aimer son métier et le faire correctement.

              Personnellement, j'estime que beaucoup de gens font aujourd'hui un métier qui leur plaît, du moins dans l'informatique, et qu'ils ont donc une certaine propension à bien faire leur travail. Ça s'appelle la passion, mais ça peut aussi tout simplement être de la conscience professionnelle.


              Tu semble oublier que le programmeur professionnel a des délais, des impératifs divers qui font que : il faut se débrouiller pour que ça marche au moment voulu, a tout prix, parceque le commercial l'a promis au client. Du coup, pour tenir les délais, on abandonne un peu la beauté du code, le soin qu'on apporte avec amour passionné au programme, pour faire fonctionner le bouzin, a coup de gros hacks immondes, parcequ'on a pas le temps de faire plus joli, en tous cas, c'est ce que j'ai TOUJOURS constaté dans les différentes boites ou je suis passé...
              Donc passionné ou pas, le programmeur professionnel crachera du code immonde et inmaintenable, probablement plus buggué que le programmeur amateur passionné (et tout aussi compétent) qui n'est pas pressé par des délais bien trop courts.
              • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                Posté par  . Évalué à 4.

                Il ne faudrait pas oublier qu'il y a des programmeurs professionnels dont l'imperatif principal est le bon fonctionnement du logiciel, avec comme objectifs secondaires la perennité et la maintenabilité.

                J'ai peut-être de la chance, mais c'est comme cela que je bosse.
                • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                  Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

                  > Il ne faudrait pas oublier qu'il y a des programmeurs
                  > professionnels dont l'imperatif principal est le bon
                  > fonctionnement du logiciel, avec comme objectifs secondaires la
                  > perennité et la maintenabilité.

                  > J'ai peut-être de la chance, mais c'est comme cela que je bosse.

                  Et tu appelles ça avoir de la chance? Moi je trouve ça plutôt désolant.
            • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

              Posté par  . Évalué à 2.

              Un programmeur amateur, c'est un programmeur qui était trop nul pour être embauché en tant que programmeur professionnel.

              Ouarf! Alors celle la elle est gratinee!! ;)
              Ca depend du point de vue: Dans le monde du libre beaucoup de programmeur professionnels sont egalement programmeur amateur selon la perspective:
              Ils peuvent etre payes pour developper un logiciel (libre ou proprio, ca ne change rien au probleme), mais se retrouver benevole sur un projet libre.

              Si ce n'etait pas ce que tu voulais dire, toutes mes excuses pour avoir mal interprete tes dires.
          • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

            > C'est incroyable le nombre de personnes qui croient que des professionnels font
            > forcement du meilleur travail que des amateurs, surtout en programmation logiciel.

            Dans les boîtes dignes de ce nom, il y a des normes d'assurances qualité et un budget qui va avec que les amateurs sont loin d'avoir. (Maintenant, plein de petites boîtes n'en aucune...)
            • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

              Posté par  . Évalué à 7.

              Dans les boîtes dignes de ce nom, il y a des normes d'assurances qualité et un budget qui va avec que les amateurs sont loin d'avoir
              Et dans les _grosses_ boîtes, il y a un système d'assurance Qualité tellement complet et mis au point par tellement d'experts Qualité, qu'il en devient totalement contre-productif.

              Est-il normal de faire plus de doc (en nombre de lignes) que de code ? Sans doute. Mais quand on voit de rendement de cette doc (le ratio lignes utiles sur nombre total de lignes) quand on respecte les plans-type de l'assurance Qualité, c'en est à désepérer de commenter son code. (Je milite pour Doxygen au boulot). Le temps perdu en paperasses inutiles, en formulaires obscurs et en références croisées dans la base de données, c'est ca en moins pour concevoir un produit de qualité qui marche.

              C'est bien connu, si la doc n'est pas signée par l'ingénieur Qualité, ca ne peut pas marcher. Par contre, si il a signé ton torchon parce que les indicateurs sur les indicateurs étaient favorables, alors tu n'as certainement laissé passer aucun bug.

              [Vous remarquerez la nuance entre "l'assurance Qualité" et un "produit de qualité". C'est à peu près la même qu'entre gratuit et libre, sauf qu'en français les deux se prononcent pareil.]
              • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                Posté par  . Évalué à 6.

                Je ne peux que te pertinentisifier. Exemple concret :
                cf un de mes posts plus bas, je travaille a l'integration d'un accelearateur graphique dans une plateforme de telephone mobile (plus precisement JPEG et appareil photo pour mon cas), le chip acccelerateur venant avec un bout de soft par-dessus et fournit de jolies API. Donc en gros, mon boulot se resume a ecrire un beau wrapper entre 2 API.

                Concretement, la partie JPEG, ca prend 400 lignes. Avec ca je vois large, c'est pour tout le fichier, bien aere, avec plein de commentaires, limitiation 80 colonnes.
                Avant d'avoir le droit de commencer officiellement a coder, je dois passer par toute une serie de documents expliquant ce que mon bout de code va faire, le comment du pourquoi, la liste des documents relatifs (qui sont absolument introuvables dans le systeme interne), etc, etc... Le template vide pour ce type de document fait 17 pages.
                Une fois qu'on a tout reussi a retrouver ses petits pour ecrire le foutu document (que personne n'ira lire par la suite), ce qui est plus long qu'ecrire un malheureux wrappeur pour 3 fonctions, on passe a la review. Bien entendu, la review, on va s'attarder sur le fait que "la version du document cite a la page 12 c'est XXXXXXXX-rc2 et pas XXXXXXXX-rc1", la virgule a la page 4 est mal placee, et sur le schema illisible sans loupe ou il y a une faute de typo au nom de la fonction. Vient ensuite la validation du document, puis sa publication. Apres seulement on a le droit de commencer a ecrire du code.
                Pour le code pareil. D'abbord on code, ensuite on fait la review du code, et seulement apres on le test (sic).

                Bilan des operations, je passe environ 70% de mon temps a faire de la paperasserie. Et pour une equipe de 5 ingenieurs (faisant leurs 70% de fichiers Word chacun), on a un "object leader", un "project leader", un "line manager", et une autre dont je n'ai aucune idee de ce qu'elle fait.

                Naturellement, il est absolument necessaire d'utiliser les termes idoines pour que tout le monde comprenne bien ce qu'on fait. J'ecris donc le MDS en fonction des UCDS, SRS, MRS generes par DOORS en fonction des DP pour le CNH integre au au CRH de CME pour lequel je suis MKR avec suivi dans FIDO.

                Demain, ca fera 5 mois que j'y suis. Pas dit que je tienne jusqu'a la fin de la periode d'essai de 6 mois.
                • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                  Posté par  . Évalué à 4.

                  Merci.
                  Je me sens moins seul, maintenant.

                  PS : vos sigles sont différents, mais ils ont l'air tout aussi imbitables que les nôtres.
                  PS/2 : rassure-toi, une fois qu'on a fait une ou deux docs de chaque, on ressert toujours les mêmes en changeant juste le titre et les infos utiles, le blabla c'est one-shot. Comme au bon vieux temps des rapports de TP.
                  • [^] # Re: Qualité des développeurs de soft propriétaires ?

                    Posté par  . Évalué à 2.

                    Ben on va dire qu'avec un peu de chance, dans la semaine j'aurai des nouvelles du Taureau Rouge a qui j'ai rendu visite il y a huit jours... Auquel cas je donne ma petite semaine de preavis pour rejoindre un departement electronique d'une dizaine de personnes.
    • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

      Posté par  . Évalué à 3.

      Je crois qu'il y avait un problème justement avec les drivers NVidia. Après une rapide recherche sur le net pour vérification, il faudrait mettre la variable d'environnement __GL_FORCE_GENERIC_CPU à 1.
      A tester donc...
    • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

      Posté par  . Évalué à 7.

      et même des memory leaks


      Et alors, tu t'en fous, la RAM ca coute quedale. Alors tu achetes une barrette de 1Go en DDR4 CAS 1.2098 1-4-6-3-2-4-5 a pré-anticipation hyperbolique poly-segmentisée subliminale post-conductive, et t'as plus de probleme.
      • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

        Posté par  . Évalué à 10.

        Et alors, tu t'en fous, la RAM ca coute quedale

        Le pire c'est que ce genre de chose est de plus en plus enseigné. J'ai mis les pieds récemment dans une formation d'un organisme spécialisé Windows. La conversation a tourné sur nos problèmes de consommation mémoire et zou il nous sort texto la même chose. "Vous avez des problèmes de mémoire ? Si vous pouvez vivre avec pas la peine de dépenser des jours-homme. Au pire faites exploser le process fautif de temps en temps pour le relancer."

        C'est amusant de temps en temps de voir ce qui se fait ailleurs. On se rend compte que ce qui semble avoir de l'importance pour nous, d'autres s'assoient allègrement dessus. Le gars en question était un intoxiqué des produits MS. Il n'a jamais connu que ça et ne sais pas trop ce qui se passe à l'extérieur de cette sphère. Il s'est d'ailleurs laché sur les merveilles de la "nouvelle version de l'OS" (longhorn, enfin Vista. bah oui, il n'y a en qu'un au monde d'OS, les autres n'existent pas) et sur le fait qu'IIS allait faire partie du noyau et que ce noyau gèrerait de base les web services. Tant qu'à bourrer la poubelle jusqu'à ras la gueule...
        • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

          Posté par  . Évalué à 6.

          C'est un peu pour ca que je me suis oriente vers l'embarque. Je me disais que la, au moins, on etait oblige de coder proprement. Malheureusement, j'ai un peu eu tendance a dechanter. Dans ma precedente boite, compiler generait quelques 60.000 warning (je ne citerai pas la marque, mais c'etait des telephones "precis, pointus, affutes"). Dans l'actuelle, au mec qui expliquait que ce serait bien de valider avec lint tout ce qu'on fait, j'ai vu repondre "oui, c'est bien gentil votre truc, mais est-ce que je peux desactiver les warning, parce que les afficher ca fait perdre du temps a la compilation".

          Du coup, j'essaie de quitter les telecom pour retourner en F1. La-bas au moins, il n'y a vraiment pas le choix, il faut savoir exactement ce qu'on fait. Et puis avec 750 ko de RAM pour stoquer programme et donnees, on a une bonne raison de faire attention a la memoire...
          • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

            Posté par  . Évalué à 2.

            [...]mais c'etait des telephones "precis, pointus, affutes"[...]
            j'essaie de quitter les telecom pour retourner en F1. [...] Et puis avec 750 ko de RAM pour stoquer programme et donnees, on a une bonne raison de faire attention a la memoire...


            Parce que tu avais plus de 750Ko de RAM dans le téléphone????
            Moi je suis dans la téléphonie également et on n'a que 512Ko de RAM...
            • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

              Posté par  . Évalué à 3.

              Ah, mais c'est de la telephonie mobile moderne mon pauvre amis, vous ne semblez point au gout du jour et devez travailler sur des technologies obsoletes ;-).

              La quantite de memoire totale des telephones actuels, je ne suis pas sur, je crois que ca tourne autour des 32 Mo. C'est qu'il faut le caser tout le bordel. Remarque, meme avec toute cette memoire, je me demande ce qu'il y a des fois... Ca doit etre pour les fonctions micro-onde et lave-vaisselle.
              En ce moment, je bosse sur l'integration d'un chip accelerateur dans la plateforme Ericsson. De base, 600ko dans le chip graphique, mais on peut passer a 2 ou 8 Mo pour pouvoir faire de la super 3D, lire du MPEG4 a 30fps, prendre des photos a 5 Mpixels, etc...

              Alorsavec tes 512 ko ou mes 750, ca fait vraiment petit joueur...
              • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

                Posté par  . Évalué à 4.

                Ah, mais c'est de la telephonie mobile moderne mon pauvre amis, vous ne semblez point au gout du jour et devez travailler sur des technologies obsoletes ;-).

                :-) Ben nous aussi c'est du mobile que l'on fait. Mais bon il faut avouer que l'on a abandonné le marché du handset depuis 1 an et demi. On s'est recentré sur le M2M et sur l'automobile principalement. Mais du coups on embarque l'appli du client en plus de la stack GSM/GPRS/EDGE et de la stack Bluetooth (Ericsson) et on a toujours que 512Ko de RAM et 8 Mo de ROM. Mais l'année prochaine on passe à 1Mo!!! Faut accueillir l'UMTS, et les applis clientes sont de plus en plus gourmandes.

                La quantite de memoire totale des telephones actuels, je ne suis pas sur, je crois que ca tourne autour des 32 Mo. C'est qu'il faut le caser tout le bordel. Remarque, meme avec toute cette memoire, je me demande ce qu'il y a des fois... Ca doit etre pour les fonctions micro-onde et lave-vaisselle.
                En ce moment, je bosse sur l'integration d'un chip accelerateur dans la plateforme Ericsson. De base, 600ko dans le chip graphique, mais on peut passer a 2 ou 8 Mo pour pouvoir faire de la super 3D, lire du MPEG4 a 30fps, prendre des photos a 5 Mpixels, etc...


                Boudiou ça a bien évolué depuis 2 ans le téléphone!!! Et on peut encore téléphoner avec ou c'est une option?

                Alorsavec tes 512 ko ou mes 750, ca fait vraiment petit joueur...

                Effectivement!! :-)
      • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

        Posté par  . Évalué à -4.

        BON SANG ! dans bien des cas PROFESSIONNELS ca ne MARCHE PAS ce jmenfoustisme de foutre 46456756TO de mémoire vive !

        y a des cas on a pas le loisir de crasher le service pour repartir à neuf !!!

        bref non et non et encore NON, qu'on arrête de colporter ces mythes à la con.

        ptain, si c'était si simple, je pourrais rien foutre dans mon boulot et j'aurais 43 000 eurobrouzoufs par mois aussi ?
      • [^] # Re: Valgrind et pilote NVIDIA

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

        > Et alors, tu t'en fous, la RAM ca coute quedale.

        Bon c'est de l'humour, mais certains doivent certainement se dire cela. Il y a des applis qui leakent constamment et au bout de quelques jours tu as plus de RAM. Ce qui est bien c'est quand c'est un driver qui leak: quand tu as plus de RAM le kernel se met en mode tueur et commence à tuer au hasard les applis de ton système pour récupérer un peu de mémoire.
  • # Support agp-nvidia dans 2.6.12 problématique ?

    Posté par  . Évalué à 1.

    Je viens de tester ce dernier pilote ATI pour mon noyau 2.6.12.2. Et j'obtiens une erreur xf86_ENODEV en lançant mon serveur X. Pourtant, le driver agp-nvidia de ma carte mère est bien chargé, et tout fontionne convenablement avec un noyau 2.6.11...

    Ma question est : quelqu'un a-t-il le même problème ? Aurait-on modifier le support AGP des cartes mère avec chip nforce2 ?
  • # Overclocking cartes ATI

    Posté par  . Évalué à 6.

    Pour ceux que cela intéresse, il existe un petit outil formidable pour overclocker une carte ATI Radeon : rovclock

    Le howto :
    http://forums.gentoo.org/viewtopic-t-343029.html(...)

    Pour télécharger :
    http://www.hasw.net/linux/rovclock-0.6c.tar.bz2(...)

    Pour ma carte (Radeon9200), je peux passer de 1800fps à 2000fps avec glxgears sans problème (oui je sais glxgears n'est pas un indicateur de perfs).
    • [^] # Re: Overclocking cartes ATI

      Posté par  . Évalué à 2.

      On peut aussi "downclocker" ?
      J'aimerais bien augmenter un peu l'autonomie de mon portable muni d'une Radeon 9600 Mobility, et je ne l'utilise qu'en 2D avec les drivers lilbres ...
      • [^] # Re: Overclocking cartes ATI

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

        ca fonctionne TB, la CG de mon portable qui est a 350/300 MHz a pu fonctionner a 40MHz et 40MHz (core et memoire)
        Je ne connais pas l'impact sur la conso... et sur les perfs en 2D... y'en a pas eu bcp
  • # Le journal à propos du pilote nVidia

    Posté par  . Évalué à 2.

    Comme je vois que vous mettez en lien le journal à propos du pilote ATI, je me permets de mettre en lien le journal à propos du pilote nVidia :

    https://linuxfr.org/~Muscophile/19098.html(...)
    http://linuxfr.org/~Muscophile/19098.html(...)
  • # ATI + Amd64 + Gcc 4 ?

    Posté par  . Évalué à 2.

    En passant, quelqu'un a réussi à installer le pilote Ati sur un Amd64 avec Gcc 4 et noyau 2.6.12 ?

    Non, je demande parce que, chez moi, ça merdoie :

    1. il y a un #include <asm/ioctl32.h> que j'ai dû remplacé par un #include <linux/ioctl32.h> pour que ça compile (ben oui, sur debian sid, c'est là qu'il est) ;

    2. sur une Debian sid (toujours, j'ai pas changé en cours de route ;o) ), j'ai dû commenter le dh_shlibdeps dans le rules qui allait chercher des bibliothèques dans des répertoires inexistants (c'est pas trop grave, cette commande sert juste à vérifier les dépendances de bibliothèques) ;

    [ il va sans dire, mais je le dirai quand même, que pour tout cela, il faut éviter l'installateur, préférer la décompression et la fouille manuelle ]

    3. après ces durs efforts, cela ne fonctionne pas : Xorg refuse de démarrer car une floppée de symboles de fglrx_drv.o dupliquent ceux de libint10a (module int10 de Xorg, qu'il ne vaut mieux pas oublier de charger si l'on veut que ça fonctionne un petit peu¹). Or, ce fglrx_drv.o est fourni précompilé dans le .run de chez Ati (donc, rien à voir avec les points 1 ou 2).

    Encore du beau boulot...

    (Oui, j'ai merdé, j'avais besoin d'une pci express pas chère et j'ai pris une Ati au lieu d'un Nvidia, mais bon, c'est un peu l'hôpital et la charité...)

    ¹ : j'ai essayé pour voir : ça fonctionne presque, sauf que X se prend un signal 11 dès qu'on remue la souris :oD
    • [^] # Re: ATI + Amd64 + Gcc 4 ?

      Posté par  . Évalué à 2.

      Bon, vu que j'ai réussi à me dépatouiller, je me réponds, pour les archives :

      il faut absolument faire le lien symbolique /usr/X11R6/lib64 --> /usr/X11R6/lib : le paquet créé par l'installateur d'ATI ne le fait pas (contrairement à ceux de Flavio Stanchina).

      Une fois ce lien fait et le module int10 désactivé¹, ça a l'air de fonctionner (pour le moment).

      ¹ : ATI a dû trouver que refaire libint10 et l'intégrer dans fglrx_drv.o était la meilleure solution, plutôt que de remplacer libint10 comme c'est fait pour les libGL...

      C'est super bien écrit comme pilote. L'installateur est parfait...

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