Malicia a écrit 176 commentaires

  • [^] # Re: Le CNRS s'émeut aussi du comportement des éditeurs scientifique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre accès et l'appel au boycott contre Elsevier. Évalué à 3. Dernière modification le 25 janvier 2012 à 18:48.

    Il parlait du cas de l'Allemagne.

    Elle...

    Et non, je ne parlais pas de l'Allemagne où le statut CR2 (ou CR1) n'existe pas. Donc, c'est plutôt 2100€/mois net que 2300€... :'(

  • [^] # Re: Le CNRS s'émeut aussi du comportement des éditeurs scientifique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre accès et l'appel au boycott contre Elsevier. Évalué à 7.

    Est-ce qu'on manque vraiment de cerveaux ?

    +1. Je ne pense pas qu'on manque de cerveaux. Mais on manque clairement de moyens. Autant un labo qui fait de la théorie (donc, très peu de manip, voire pas du tout) peut se contenter de budgets riquiquis, autant un labo expérimental ne le peut en aucun cas. Ou il tombe dans les labos de série B (voire, C ou D...) en moins de 5 ans. Or, 5 ans en termes de progrès, c'est juste énormissime.

    Et j'inclus bien les salaires dans les moyens. Désolée, mais c'est sûr que si j'ai un salaire médiocre ET des moyens insuffisants de faire ma recherche, je n'aurai aucune envie de me faire chier à faire une thèse, un post-doc, un autre, et un autre encore{*} pour finir maître de conf. Ce n'est pas de la science, c'est de la survie pénible.

    {*} J'avais vu à une conf l'an dernier une personne présenter le nombre d'employeurs par personne faisant de la recherche et sa dynamique. En gros, dans les années 1990, une telle personne avait en moyenne 2 employeurs différents avant de trouver un poste fixe : le labo de thèse + un post-doc. Depuis 2000 et jusqu'à 2010, ce nombre a doublé, ce qui signifié qu'on doit faire 2, voire 3 post-docs avant de trouver un poste fixe. Et les extrapolations que présentait la personne était que ça double au moins pour la décenie en cours, nous menant à 4 ou 5 post-docs... Alors, à un BAC+20, à 40 ans, être payé-e 2500€ si on a de la chance et changer de pays tous les 2 ans, ça commence à lasser.

  • [^] # Re: boycotter … jusqu'où ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre accès et l'appel au boycott contre Elsevier. Évalué à 1.

    Vous êtes le coupable

    Mmmm. Comme mon pseudo, mon avatar, les accords des participes que j'utilise, etc. le suggèrent, je fais partie de la gent féminine. Et je n'ai toujours pas de tendance à changer de sexe ou genre... Alors, merci de le respecter ;)

    OK, je tient mon explication. Vous êtes le coupable de toutes ces citations à contre ou faux sens qu'il m'arrive de relever lorsque j'étudie sérieusement la bibliographie d'un article.

    J'aime les assertions péremptoire... De un, vous dénoncez l'avalanche de papiers publiés, de deux, vous parlez de reviewers qui ne lisent pas les papiers, de trois vous mettez dans le tas des auteurs qui ont mal fait leur biblio. Je peine à voir la cohérence.

    Enfin, j'adore quand quelqu'un fasse des amalgames en me traitant de "coupable" o_O

    À moins que votre attitude vis-à-vis du travail de referee ne soit celle la plus généralement adoptée :-).

    Mon attitude est que je suis contactée pour reviewer des papiers dans mes domaines de recherche. Donc, les papiers qui sont cités par les gens sont des papiers que je lis et/ou j'ai lu pour mon travail. Ainsi, je connais ces travaux, je n'ai pas une mémoire de poisson rouge, je fais de la veille biblio, ce qui implique que je n'ai pas à lire à chaque review les papiers cités en référence... Mais visiblement, vous fonctionnez autrement et vous reviewez pour des journaux qui vous contactent sans que vous ayez connaissance du domaine spécifique, ce qui n'est pas le cas de tout le monde.

    Et votre propos me semble appuyer sensiblement (par l'exemple) mon point de vue — fondé sur une « très mauvaise connaissance de la façon dont le processus de review fonctionne » — sur la problématique en matière de rigueur des publications scientifique qui naît de la difficulté d'accès aux articles.

    Non. Pour moi, les problèmes majeurs de rigueur sont ailleurs, notamment dans la pression pour publier, ce qui fait qu'on propose un tas de m*rdes mal ficelées, sans congruence, etc.

    [...] si l'on admet qu'il faille accéder à la bibliographie d'une article pour bien en saisir la portée, la multiplication des revues payantes et des coûts d'abonnements pose nécessairement un problème pour l'évaluation rigoureuse.

    Je suis d'accord avec ça, mais la façon dont vous le développez ne parle pas clairement de ce point. Ensuite, vous extrapolez votre connaissance du domaine de la physique à tous les autres domaines qui ont leur particularités, surtout les sciences de la vie.

    Dans votre riposte à mon commentaire, vous soulignez à de multiples reprises à quel point il vous paraît inopportun de relire la bibliographie.

    Je ne vais pas répéter ce que j'ai déjà écrit plus haut. Si vous continuez à vous obstiner à ne pas lire ce qu'écrivent les autres et ne vouloir que leur faire dire que vous avez raison, ça ne sert à rien de discuter.

    Probablement travaillons dans des domaines scientifiques très disjoints ? Serait-ce l'explication du fait que le propos de N. Dumoulin me semble clair et pertinent alors qu'à vous et Arnaudus il semble paraître quasiment absurde ?

    C'est votre problème. Je ne suis pas d'accord avec les propos d'arnaudus tenus ici, par ailleurs, je ne dis pas la même chose que lui, mais vous avez le droit de continuer à faire dire aux gens ce qu'ils n'ont pas dit :) Cela mènera juste à une impasse parce que, en ce qui me concerne, je refuse de participer à un débat stérile.

  • [^] # Re: boycotter … jusqu'où ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre accès et l'appel au boycott contre Elsevier. Évalué à 4.

    Sur la multitude d'article que je mets dans ma pile « à lire », je commence naturellement par ceux que j'ai trouvé le plus facilement. Après perso, je n'attache que peu d'importance à la revue ou la conf dans laquelle l'article a été publié. Mais c'est sans doute assez différent pour la bio. Dans mon domaine les facteurs d'impact sont assez faibles, très différents des Nature, etc.

    Effectivement :) Il n'y a pas que le facteur d'impact qui joue en sciences de la vie, il y a aussi les thématiques. Disons qu'il y a les revues du Top 3 (Nature, Science, Cell) qui couvrent des thématiques différentes et visent -- dans leurs éditions phare à publier les études les plus novatrices. Ensuite, Nature Publishing Group est une maison d'édition qui a plusieurs titres : entre les revues en génétique, microbio ou neuro jusqu'au journaux dédiés à la physiologie neuronale... Ils avaient lancé Research Reports l'an dernier, devenant la risée des défenseurs de l'open access parce que ce journal copiait le modèle de PLoS ONE tandis que Nature l'avait assez violemment critiqué par le passé, y compris traitant les scientifiques publiant dans des journaux open access de médiocres.

    Tout ça pour dire que les thématiques sont "partagées" entre les journaux. Si on travaille sur des modèles mathématiques de l'évolution des espèces sauvages de tomate au Chili (les collègues du bout du couloir), ça n'a aucune chance de finir dans Nature ou Science. Au mieux, ça ira dans "Journal of Theoretical Biology" ou -- si certains sont un peu plus dégourdis et font des manips sympa -- dans un journal de plantes un peu mieux coté. Etc., etc. Donc, "facilement" pour nous ne veut rien dire...

  • [^] # Re: Le CNRS s'émeut aussi du comportement des éditeurs scientifique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre accès et l'appel au boycott contre Elsevier. Évalué à 4.

    Il est possible que ça n'existe plus, mais pour les étudiants qui ne faisaient pas le monitorat, certains instituts compensaient leur salaire (logique, vu qu'ils passent plus de temps à faire de la recherche dans l'institut).

    Si je ne m'abuse, les compensations restent malgré tout marginales étant donné au final le petit nombre d'étudiants faisant du monitorat, non ?

    Si c'est pour les impôts, la loi TEPA permets aux étudiants salariés de déduire trois SMIC de la déclaration, et donc d'arriver dans l'échellon prime à l'emploi...

    Oh, tiens, je veux bien un peu de détails là-dessus :) Merci !

  • [^] # Re: Le CNRS s'émeut aussi du comportement des éditeurs scientifique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre accès et l'appel au boycott contre Elsevier. Évalué à 5.

    [...] salaire moyen des chercheurs ?

    Rapidement là-dessus : en fonction du niveau, du domaine et du pays, ça varie. En France, un thésard (35 heures, salarié normal) touche dans les 1200€ net (s'il/elle est sélectionné-e pour faire du monitorat == enseignement en TP/TD, le salaire augmente en le faisant passer dans la tranche supérieure pour très peu...). En France, un ingé d'études (donc, BAC+5 au bas mot) est à ~1900€/mois brut (INRA, CNRS, surtout, parfois un peu plus côté Pasteur ou Curie). Un post-doc : ça dépend de la grant qu'il/elle a, sachant que les grants type Marie Curie ou EMBO (je parle des sciences de la vie) sont meilleures niveau salaire, mais n'assurent pas les sous pour les manips. Dans ces cas, on est dans du 1900-2100€/mois net. Sinon, dans les 200-300€ moins. Après, toujours en France, quand on commence à aller dans les CR1 ou CR2, ça reste du moins intéressant par rapport à l'Allemagne par exemple : un CR2 (chargé de recherche niveau 2, le plus bas poste statutaire de chercheur qu'on puisse obtenir) est dans les 2300€/mois net.

    Après, si on regarde en Allemagne, ça change un peu, genre certaines thèses sont payées à mi-temps (genre, celles en sciences de la vie souvent, donc c'est 1000€/mois net pour 20 ou 22h hebdomadaires payées et en fait le double travaillées). Ainsi, des thèses du genre info peuvent être payées le double pour un vrai temps complet (37-40h/semaine payées). C'est plutôt étrange comme système, l'idée est quelle grant le boss aura. En Allemagne, ce qui fait énormément baisser les chiffres du chômage en partie, est un système particulier qui fait qu'on peut bosser à temps partiel (max 8h/semaine) pour un salaire non-imposé n'ouvrant pas droit à la sécu de l'état de 400€/mois. Aussi, si les thésards enseignent (ça dépend de combien le boss déteste ça, en général beaucoup, donc il file aux thésards), ils ne sont pas systématiquement payés : ainsi, on peut être sous contrat type HiWi (donc, 400€/mois, même si c'est rarement 8h d'enseignement par semaine...) ou pas payé du tout (comme le sont pratiquement tous les gens que je connais). Dans des cas rares, la grant que le boss a permet de payer le thésard de façon un peu plus respectueuse pour ce travail.

    Bref, c'est très variable, mais faut voir par rapport au coût du reste de l'entretien du labo. Si c'est un labo qui fait des manips, ça charcle sévère. Il faut également prévoir de l'argent pour aller en conf, ce qui commence à devenir plutôt un luxe (avec le prix d'inscription à la conf de 350€ en moyenne pour un thésard, 40 à 80% de plus pour un post-doc/chercheur/prof) + les frais de déplacement + les frais d'hébergement...

    1,6 milliards, c'est énorme ce qu'on pourrait faire avec :)

  • [^] # Re: boycotter … jusqu'où ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre accès et l'appel au boycott contre Elsevier. Évalué à 2. Dernière modification le 24 janvier 2012 à 18:45.

    La qualité scientifique d'un article est évaluée par des pairs qui relisent l'article. Pour ce faire ils ont besoin d'avoir accès aux articles cités en référence. Citer un article « fermé » c'est compromettre le travail du relecteur. Bien entendu, s'il est sérieux ce dernier pourrait simplement retourner l'œuvre sans l'évaluer. Mais sinon, il peut considérer comme naturel de ne pouvoir accéder à l'intégralité des sources, et du coup produire donner une évaluation mal fondée. Hors c'est précisément ce qui se passe dans le système actuel : trop d'articles, trop d'éditeurs, trop d'abonnements …

    Elle dit qu'elle ne comprend pas. Allons-y pas à pas :

    1.

    La qualité scientifique d'un article est évaluée par des pairs qui relisent l'article.

    Vous faites référence aux reviewers ? Si oui, la suite de votre commentaire montre une très mauvaise connaissance de la façon dont le processus de review fonctionne...

    2.

    Pour ce faire ils ont besoin d'avoir accès aux articles cités en référence.

    De quels articles de référence parlez-vous ? De ceux cités par le papier à reviewer ?

    3.

    Citer un article « fermé » c'est compromettre le travail du relecteur. Bien entendu, s'il est sérieux ce dernier pourrait simplement retourner l'œuvre sans l'évaluer.

    Gni ? Un reviewer, c'est un scientifique. Donc, comme les autres pairs scientifiques, il a accès aux ressources en général parce qu'il/elle fait partie d'un établissement qui fonctionne comme celui où sont les auteurs ayant soumis l'article pour review, à savoir par abonnement. Enfin, le reviewer est un-e spécialiste du domaine en question, donc n'a généralement pas besoin d'aller lire tous les articles cités pour évaluer le travail soumis pour appréciation. En fait, lors de l'appréciation, on n'évalue pas combien bien Mr./Mme Tartampion, PhD, a bien compris toute la biblio cité, mais quelles pertinence, nouveauté et rigueur apportent l'étude soumise pour évaluation. Si vous pensez qu'à chaque fois qu'un reviewer reçoit un papier, il lit les (souvent) dizaines et dizaines de références, vous vous trompez.

    4.

    il peut considérer comme naturel de ne pouvoir accéder à l'intégralité des sources, et du coup produire donner une évaluation mal fondée. Hors c'est précisément ce qui se passe dans le système actuel : trop d'articles, trop d'éditeurs, trop d'abonnements …

    Gni ? D'une, ce n'est pas parce qu'un reviewer lira toutes les réfs citées par une étude soumise à l'évaluation de l'article soumis sera bien fondée. Il ne faut pas oublier que les auteurs citent des travaux précédents pour expliquer/enrichir/situer leurs motivations et l'interprétation de leurs résultats. Autrement dit, ce n'est pas parce que je prendrai un cours de programmation en C que je saurai à sa fin écrire des drivers noyau...

    Enfin, vous mélangez plusieurs problématiques qui sont le paper glut ou l'avalanche d'articles à laquelle on assiste depuis quelques décennies, mais qui n'a pas grand-chose à voir avec l'accès ouvert. Je n'ai pas bien compris pourquoi un nombre important d'éditeurs devrait obligatoirement poser problème, comme vous semblez le dire... Ou encore le nombre d'abonnements...

    Bref, ce serait cool que vous précisiez votre pensée :)

  • [^] # Re: boycotter … jusqu'où ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre accès et l'appel au boycott contre Elsevier. Évalué à 4.

    [...] comme on ne peut pas tout lire et tout citer, on lit d'abord ceux qui sont le plus facilement accessibles.

    Mmmmm, les plus facilement accessibles dans quel sens ? Pour mon domaine de recherche, si on veut une excellente revue, on prend la série "Nature [nom de discipline] Reviews". Celles de Cell sont excellentes aussi. Idem si on veut des articles de méthodes qui tachent ou tout simplement un peu nouvelles : Nature Methods. Bon, inutile de dire qu'elles ne sont pas à accès ouvert.

    Donc, je veux bien ne lire que du libre accès, mais ce n'est juste pas possible. Ensuite, il est toujours plus cool de citer un papier de recherche et non pas la revue d'où on l'a trouvé, pour contribuer un peu à l'augmentation de l'impact factor de l'auteur de l'article de recherche. (Il y a des éditeurs qui s'occupent de ça, ceux que je connais d'EMBO par exemple le demandent systématiquement.) Dans ce cas, on peut justement citer un papier publié en accès ouvert plutôt qu'une revue derrière un paywall.

  • [^] # Re: pourquoi pas les autres ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre accès et l'appel au boycott contre Elsevier. Évalué à 4.

    C'est dans quel domaine de recherche ?

    Sciences de la vie. En médecine, c'est pire...

    Il y a des différences à prendre en compte entre les domaines, donc éviter d'extrapoler à outrance. Genre, en info (et ça a de plus en plus tendance à se faire en bio-info), on peut publier des articles soumis pour une conf. En bio, c'est même pas en rêve. Je passe sur le fait que parfois certains abstracts (résumés) sont carrément réservés uniquement au comité scientifique, càd ne figurent pas dans l'abstract book de la conf.

    En fait, à voir comment sont les choses côté physique théorique ou astronomie où j'ai des potes chercheurs, c'est le domaine des sciences de la vie (où il y a une consanguinité assez importante entre groupes de recherche-agence de financement-éditeurs de journaux) qui font une bonne partie du problème : le secret de la recherche est absolument requis, tout le monde est parano sur la question...

  • [^] # Re: pourquoi pas les autres ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre accès et l'appel au boycott contre Elsevier. Évalué à 7.

    Ton labo a payé 1000€ pour la publication de ton article ???

    Ce sont les prix pour un article... Et encore, il y a des journaux qui font payer davantage :
    - si tu veux des couleurs ;
    - si tu veux rendre l'article en accès ouvert.

    Welcome home (sanitarium), comme qu'y dirait.

  • [^] # Re: Hébergement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à l’entrée du suivi Modifier la taille des images insérées dans les dépêches. Évalué à 3 (+0/-0).

    Je suis d'accord, mais je ne peux pas me prononcer sur la faisabilité. Les admins ?

  • # Autres pads dispos aussi

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à l’entrée du suivi Installer un etherpad pour l'équipe. Évalué à 4 (+0/-0).

    Il y a un tas de pads dispos ailleurs, pas seulement celui de Framasoft : quadpad (celui de LQDN), piratepad,... Je suis moyennement convaincue de la nécessité d'installation et administration d'un outil supplémentaire pour lequel jusque là je n'ai vu qu'une utilisation occasionnelle.

  • # Besoin de SMARTiser :)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à l’entrée du suivi Tribune : feedback modéros. Évalué à 3 (+0/-0).

    Je trouve ça pertinent comme idée, mais je ne vois pas trop quelle forme donner. Donc, peux-tu SMARTiser ton idée ? :)

  • [^] # Re: Manuellement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à l’entrée du suivi Voter pour qu'un contenu passe en dépêche.. Évalué à 3 (+0/-0).

    On ferait quoi, un bouton « Pousser en dépêche » ?

    Why not :) Ainsi, à partir de M votes, le journal est soumis en dépêche dans l'espace de rédaction.

    On peut expérimenter un tel truc pour voir quel est la valeur de M optimale et combien de temps ça prend dans l'espace de modé. On peut imaginer baisser le seuil de validation pour ce type de propal pour ne pas ralentir la publication.

    D'autres avis ?

  • [^] # Re: Pas mal ! Mais du taf en plus...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à l’entrée du suivi Visibilité en une page de la disponibilité de l'équipe AMR. Évalué à 3 (+0/-0).

    Mais ça fait un peu flicage, certains ne vont pas adhérer...

    Beh les gens le font s'ils veulent. Mais cela participe à la création d'un lien social en quelque sorte. Je trouve que c'est une bonne idée de faire un tableau, comme le propose Floxy.

  • [^] # Re: Qui est intéressé ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à l’entrée du suivi Ajouter un bouton preview pour l'édition de paragraphe. Évalué à 3 (+0/-0).

    Je pense que c'est une bonne idée mais que ce ne soit pas une étape obligatoire.

    +1.
    La fonction preview pourrait être intéressante pour les images surtout, je pense.

  • [^] # Re: Modération

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à l’entrée du suivi Nouvelles stats pour la partie modération. Évalué à 3 (+0/-0).

    Et aussi, à mon humble avis, cela aurait plus de sens de commencer à compter le temps à partir du passage en modération et pas à partir de la création.

    Je plussoie.

    Et j'aimerais remarquer qu'une moyenne n'a que peu de sens sans l'écart-type. Je serais donc pour qu'on incorpore cette mesure. Elle permettra de rendre compte des cas extrêmes tels les dépêches noyal (dépendant de la sortie du bousin, donc en dehors de notre prise).

  • [^] # Re: Pas si mortes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal SOPA et PIPA refusées. Évalué à 4.

    j'espère que l'âge

    Rhoooo, papy, tu as pris ton cachet aujourd'hui ? :)

    Fait en plein des comme toi :)

    Euh... Tu parles de mioches, là ?

  • [^] # Re: Pas si mortes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal SOPA et PIPA refusées. Évalué à 5.

    appartée personnelle : je suis de ceux pensant encore que les imperfections du système ne valent pas le risque d'une remise à plat. (parceque je vois le problème essentiel comme humain et non organisationnel). donc je penche plutôt vers une participation plutôt qu'une rébellion (par insoumission, par autonomisation maximale, par manifestation : quelle que soit la forme qu'elle prendra)

    Je pense exactement le contraire :) Dire que le problème est humain, c'est tomber dans le fatalisme misanthrope : "ah beh, c'est la nature humaine, ma bonne dame, que voulez-vous... ?" et on aboutit directement à des natures humaines plus capables de réguler d'autres natures humaines. Ce qui est illogique, pour le moins.

    Mais je t'avoue que j'ai de plus en plus de doutes.

    ;)

  • [^] # Re: Pas si mortes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal SOPA et PIPA refusées. Évalué à 7.

    Sans analyse partisanne : il est fort probable que les trois (blackout du monde du tech + affaire megaupload + actions anonymes) aient influencés le rejet de sopa & pipa. Autant le blackout que la fermeture de megaupoad.

    Sans doute. La seule question que je me pose cependant est : ok, la prochaine fois quand ça reviendra à l'ordre du jour, on fera pareil... mais jusqu'où s'arrêteront-ils ? Même si #OpMegaUpload a été un franc succès, ce n'est pas une façon de faire pérenne. C'est une guerre mais on ne peut pas la gagner en bombardant comme des dingues à chaque fois qu'il y ait un souci sans rien faire de plus. Donc, what's next? Parce que, je rappelle tout de même qu'Obama s'est opposé à SOPA, mais pas à PIPA... (Concernant ses chances énormes de ré-élection, je n'en sais rien : vaut toujours mieux Obama qu'un Mormon, c'est sûr, mais combien des centaines de millions de Ricains vont le penser aussi ?)

  • [^] # Re: AWS ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Congrès FOSDEM 2012 . Évalué à 2.

    Ajouté. Merci de l'avoir pointé :)

  • [^] # Re: Cachez ce lien que je ne saurais voir

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Quand les compteurs électriques font des étincelles. Évalué à 10.

    FBI, c'est eux les Mega-régulateurs...

  • [^] # Re: Cachez ce lien que je ne saurais voir

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Quand les compteurs électriques font des étincelles. Évalué à 10.

    C'est incroyable qu'en 2011,

    s/2011/2012/ :)

  • [^] # Re: Mhh

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal SOPA pénible. Évalué à 7.

    Je réponds avec un peu de retard. C'est moi qui ai fait cette image, totalement exprès. Elle est moche, sexiste, cache des choses pas spécialement compréhensibles, etc.

    Mais c'est voulu. La loi et ses intentions sont moches, arbitraires (comme le sexisme), prévoit de censurer un peu tout et n'importe quoi. Donc, au risque de froisser vos soudaines sensibleries à l'encontre du sexisme ;) un grand nombre de personnes ont trouvé l'image très pertinente. En fin du compte, une image du genre est faite pour transmettre un signal à travers de choses symboliques... (L'autre image que j'avais faite concernait "Les trois grâces" de Raphaello ou encore un autre tableau de la Renaissance, mais le signal était nettement moins fort.)

  • [^] # Re: Fait

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à l’entrée du suivi Action de protestation contre SOPA et PIPA. Évalué à 2 (+0/-0).

    Beh avoir quelqu'un qui décide arbitrairement de ce que tu vois et de la façon dont tu accèdes aux contenus est chiant, hein ;) C'est justement l'idée.