Ça ne serait pas par hasard acceptable en C99 ? Pour autant que je sache, C99 permet de déclarer les variables au milieu d'un bloc (alors que les versions plus anciennes du C ne le permettent qu'en début de bloc).
Le résultat ne sera probablement pas optimisé, mais pstops permet de manipuler les pages logiques et les réarranger sur des pages physiques. Selon la manière dont le PS original a été crée (c-à-d s'il a été crée à l'aide de pstops), on peut peut-être défaire ce que pstops a fait précédemment. La syntaxe est horrible, mais ça fait ce qu'on lui demande (pour peu qu'on arrive à le lui demander correctement :)
Mon expérience d'il y a fort longtemps montre que bzip2 s'en sort mieux que gnuzip pour les fichiers texte (ou un .tar composé de fichiers textes), alors que gnuzip est meilleur lorsqu'il s'agit de compresser du binaire (j'avais utilisé un exécutable ELF il me semble).
L'« industrie du disque », c'est bien plus d'entreprises que les 4 majors. Tout comme l'édition de logiciel, c'est bien plus que Microsoft, Sun et Oracle. Mais les gros sont les plus visibles et les plus avides et font le plus souvent parler d'eux, donc ils éclipsent les petits.
La qualité intrinsèque (telle que perçue par un individu, étant donné qu'il n'existe pas de mesure absolue de la qualité d'une oeuvre) de la musique n'est pas binaire: on peut trouver ça excellent, très bon, bon, moyen, mauvais, très mauvais et nul (par exemple). Le problème, c'est que quelle que soit la qualité intrinsèque d'un disque qu'on achète, le prix est le même. Pour la musique jetable, le rapport qualité/prix est plutôt mauvais, donc beaucoup cherchent à améliorer ce rapport en faisant baisser le prix. Le problème, c'est qu'il n'y a pas beaucoup de choix : soit payer plein pot en CD, soit ne rien payer en téléchargeant sur le net. La concurrence n'existe pas en matière de distribution de musique, donc les prix officiels ne sont pas près de baisser.
Donc c'est comme si, au moment de l'achat de la voiture, on te forçait à prendre un abonnement, forfaitaire, chez un garagiste bien particulier (chez qui tu ne veux pas forcément aller). Le système d'exploitation n'est plus considéré comme un produit (les logiciels ne sont pas des produits, malgré ce que les éditeurs essayent de faire croire), mais comme un service auquel on s'abonne (en achetant la license).
Pour le point 1, je dirais plutôt « l'utilisateur qui a les moyens d'acheter mais qui préfère ne pas dépenser un rond parce qu'il peut l'avoir gratuitement ». Comment est-ce que tu évalues ce que cette personne achèterait si il n'y avait absolument aucun moyen de craquer les protections ? C'est ça le manque à gagner, et c'est complètement impossible à évaluer.
Pareil. Sauf que lest autorités de référence en matière de programmation sont à l'autre bout de mon couloir, et en savent probablement plus long que le créateur de ce test. Ce test couvre tout ce qu'un débutant devrait savoir (sauf qui a crée C#, question à laquelle j'ai répondu au pif, et qui n'a pas vraiment d'intérêt si ce n'est de briller en société).
si tu demande à un ancien legionnaire a la retraite, à mon avis pour lui Casimir "c'est pas de la culture".
Tout à fait. J'ai été imprécis : chacun se fait sa culture, à partir de ses expériences et ses découvertes. La culture, c'est ce qui me reste quand j'ai tout oublié. Mais les choses dont un groupe de personnes se souvient lorsque tous les membres ont tout oublié, c'est aussi de la culture, la « culture générale », qui permet de briller en société et d'avoir des points de référence communs.
Je ne suis pas sûr que la plupart des P2Pistes passent à l'étape 2. Certains oui, sûrement, mais je doute que la majorité le fassent. Mon opinion (elle vaut ce qu'elle vaut) c'est qu'ils téléchargent les chansons qu'ils entendent à la radio et à la TV, parce que c'est moins cher que d'acheter le disque. Idem pour les films, qui sot dispo sur le réseau avant d'être en salle en Europe. Ou tout simplement parce que c'est plus facile de regarder un film sur la télé que de se déplacer et payer 10 EUR pour le voir au cinéma.
> Quelqu'un a-t-il des adresses pour télécharger
first post, un warez, c'est vraiment à désespérer.
Télécharger n'est pas un gros mot, il y a de nombreux sites qui proposent des téléchargements légaux et gratuits (cf. ma réponse au premier message), ou vraiment pas cher (allofmp3.com, même si l'offre est tellement alléchante que sa légitimité peut être mise en doute).
Ce n'est pas parce que tu n'aimes pas la musique classique que personne n'en écoute, et qu'il n'y a quasiment pas de compositeurs, hein.
Par ailleurs, je me suis bien abstenu de définir ce qu'est la culture, donc non, je ne considère pas la culture comme un truc d'élitistes. Pour moi, Casimir, aujourd'hui, c'est aussi de la culture.
Je suis d'accord avec toi lorsque tu dis que le P2P permet de faire connaître d'autres choses. Ce contre quoi je ralais (entre autres) c'était les gens qui disent hypocritement que le P2P c'est la culture, alors qu'ils téléchargent Lorie et Alysée.
Les majors, c'est aussi Deutsche Gramophon, un des plus connus éditeurs de Beethoven. BMG est l'éditeur de Trio Töykeät, un groupe de Jazz finlandais. Universal France a aussi publié des albums de musiques de films (je suis un grand amateur de musique de film, marché minuscule s'il en est) qui n'avaient jamais été éditées avant. Donc tout n'est pas pourri au royaume de Majors, mais c'est vrai qu'il faut remuer un tas de merde avant de tomber sur de véritables perles. Il est aussi probable que sans l'énorme fortune amassée grâce à la musique Kleenex, Unversal n'aurait peut-être pas osé publier des disques qui ont un marché minuscule (lesquels d'entre vous, lecteurs, ont acheté la musique de Fantomas et de La folie des grandeurs ? Qui d'entre vous connaît Trio Töykeät ?)
C'est comme Bill Gates qui donne des milliards à une oeuvre caritative : Microsoft, c'est mal, mais aider les pauvres c'est bien. Tout n'est jamais tout blanc ou tout noir (même si le gris dans le cas des Majors et plutôt un gris foncé).
Magnatune.com par exemple a un répertoire classique assez large, dont l'interprétation est sous licence Creative Commons, Non Comercial, Share Alike.
Le problème du classique (surtout du symphonique), c'est que c'est très cher à interpréter (un orchestre, ça coûte cher), et donc c'est pas gratuit même si la mélodie est dans le domaine public.
J'aime beaucoup la musique symphonique (plutôt que « le classique »), mais produire de la musique symphonique dans son garage, c'est pas évident, au contraire de la techno où tout se fait à l'interieur de l'ordinateur.
Ça ne me gène pas de payer les artistes pour leur travail (y compris le propriétaire du studio, l'ingénieur du son, la personne qui s'est chargée de rassembler les musiciens et d'organiser les répétitions et les enregistrements, les musiciens eux-mêmes, l'entreprise qui diffuse la musique, que ce soit en CD ou par le réseau), mais ça me gave de devoir payer la mafia Universal, la villa du patron et la marque du distributeur en même temps.
Je rêve d'un système qui me permettrait de déclarer les morceaux de musique que j'ai acquis sans avoir rémunéré les auteurs et être sûr que ce que je paye va directement aux gens qui ont travaillé pour amener la musique jusqu'à mes oreilles, sans passer par les poches des intermédiaires (qui sont inutiles dans ce cas), et de voir le détail de ce que je paye. Surtout de voir le détail. Cela dit, évaluer les coûts n'est pas évident : les musiciens perçoivent des droits d'auteur, de même que le compositeur (si l'oeuvre n'est pas dans le domaine public), mais les autres artisants d'un enregistrement sont payés une fois pour toutes. Cela consitue un coût fixe, qui devrait être divisé entre toutes les personnes qui écoutent la musique. Et plus il y a d'auditeurs, plus le coût par auditeur diminue... ou alors les revenus de celui qui a avancé l'argent pour l'enregistrement augmentent (ce qui est le cas actuellement avec les maisons de disque classiques).
L'idéal serait une maison de disque associative, où chaque membre met une certaine quantité d'argent au départ (ou en rajoute régulièrement), et on utiliserait cet argent pour produire des albums, qui sont alors vendus aux membres pour le prix de la rétribution des musiciens et le coût du transfert par le réseau (pas de support physique pour éviter les coûts fixes liés au pressage)). Les coûts fixes restants sont couverts par la cotisation des membres : plus il y a de membres, plus le prix d'un album par membre diminue, et plus on peut produire de disques, avec une cotisation fixe.
Les nouveaux membres pourraient venir grâce au bouche-à-oreilles, les employés de l'association seraient payés par les cotisations (ça fait partie des frais fixes).
Ou alors il faut acheter des actions chez tous les Majors dont on achète les disques, et utiliser les dividendes pour se rembourser une partie du prix des disques (mais le problème ethique de la mafia reste entier).
Comment tu définis un vrai artiste ? Bon nombre d'artistes considérés comme de grand talent ont été totalement ignorés et incompris à leur époque, et ne sont devenus célèbres et célébrés qu'après leur mort.
Je n'aimerais probablement pas Lorie ou Alysée (je vis en Finlande, c'est bien, j'ai échappé au moins à ces deux plaies là :) donc je me range de ton coté pour dire que c'est (probablement) nul, mais qui es-tu pour oser affirmer que ce ne sont pas des artistes ? Ou pour dire que ce qu'elles font n'est pas de l'art ? Qui définit ce qu'est l'art ? Une bande de couillons dans une galerie de peinture moderne en train de se masturber l'intellect devant un tableau uniformément gris en criant au génie ?
Lorie et Alysée sont payées pour divertir les consomateurs, et les consomateurs en redemandent, donc elles font bien leur boulot (et les marketeux de leurs maisons de disque aussi). Après, que ce soit de l'art ou du cochon, je ne sais pas dire. Qu'elles se font exploiter par les maisons de disques qui les jetteront dès que leur cote de popularité baissera, c'est clair. Mais ça ne fait pas d'elles automatiquement des non-artistes.
Quand au préjudice, il est clairement défini par le code de la propriété intellectuelle: quand ça a été publié, l'utilisation est soumies à compensation. C'est le montant des compensations qui est parfois débile, mais comme dit un proverbe finlandais: « ce n'est pas celui qui demande un prix trop élevé qui est fou, mais celui qui accepte de payer ce prix ».
Cela dit, les noeuds (gordiens), ça se résoud de manière simple, d'un coup d'épée. Donc yaka leur taper dessus très fort à l'aide d'un object contendant, et ils finiront bien par s'arrêter.
Je ne pense pas. La traduction était une n-ième traduction en anglais, qui essayait de restituer le texte original au plus près. Pas une traduction à la va-vite pour pas cher, quoi.
[^] # Re: L'erreur
Posté par Matthieu Weber . En réponse au message Type pour un chiffre. Évalué à 3.
# pstops est ton ami
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Couper un document postscript/pdf en plusieurs parties. Évalué à 3.
[^] # Re: Petit regret sur ton comparatif
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Un port de 7-zip sur linux : p7-zip. Évalué à 2.
[^] # Re: Florilège de citations de Coluche
Posté par Matthieu Weber . En réponse au sondage Citation. Évalué à 2.
La démocratie, c'est « cause toujours ! »
[^] # Re: Pour moi, c'est ...
Posté par Matthieu Weber . En réponse au sondage Citation. Évalué à 9.
- I don't think you should drink that, it looks bad for you.
- Nonsense! (gloup gloup) It makes me feel great! Stronger! I feel like I could...like I could... (plop plop) TAKE OVER THE WORLD!''
(rhaa ! souvenirs, souvenirs...)
[^] # Re: la faute : l'abus de p2p
Posté par Matthieu Weber . En réponse à la dépêche Râleurs pessimistes ou visionnaires d'un avenir sombre ?. Évalué à 2.
[^] # Re: la faute : l'abus de p2p
Posté par Matthieu Weber . En réponse à la dépêche Râleurs pessimistes ou visionnaires d'un avenir sombre ?. Évalué à 2.
[^] # Re: Parlons français
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Abus des logiciels de type wiki. Évalué à 2.
Il fallait bien sûr lire « défiguré ».
# Parlons français
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Abus des logiciels de type wiki. Évalué à 1.
Voici quelque jours que le site de cppunit est défacé
En bon français, on dit « defiguré »
</mode_chieur>
[^] # Re: rêve.
Posté par Matthieu Weber . En réponse à la dépêche Remboursement chez Dell suite au refus du CLUF Windows. Évalué à 4.
[^] # Re: Mais plutot...
Posté par Matthieu Weber . En réponse au sondage iTunes sous Linux ?. Évalué à 2.
[^] # Re: Lettre minimale : reference aux annexes !
Posté par Matthieu Weber . En réponse à la dépêche Brevets logiciels : envoi d'un appel urgent aux gouvernements et parlements nationaux. Évalué à 2.
[^] # Re: adjectifs...
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Revue de presse: article du Monde diplomatique. Évalué à 2.
[^] # Re: en effet ;-)
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Tout flatteur vit au dépend de celui qui l'écoute. Évalué à 2.
[^] # Re: nuances
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Industrie et culture : coup de gueule. Évalué à 2.
Tout à fait. J'ai été imprécis : chacun se fait sa culture, à partir de ses expériences et ses découvertes. La culture, c'est ce qui me reste quand j'ai tout oublié. Mais les choses dont un groupe de personnes se souvient lorsque tous les membres ont tout oublié, c'est aussi de la culture, la « culture générale », qui permet de briller en société et d'avoir des points de référence communs.
[^] # Re: un plus
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Industrie et culture : coup de gueule. Évalué à 2.
[^] # Re: Trouver du classique sur Intenet
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Industrie et culture : coup de gueule. Évalué à 4.
first post, un warez, c'est vraiment à désespérer.
Télécharger n'est pas un gros mot, il y a de nombreux sites qui proposent des téléchargements légaux et gratuits (cf. ma réponse au premier message), ou vraiment pas cher (allofmp3.com, même si l'offre est tellement alléchante que sa légitimité peut être mise en doute).
[^] # Re: nuances
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Industrie et culture : coup de gueule. Évalué à 2.
Par ailleurs, je me suis bien abstenu de définir ce qu'est la culture, donc non, je ne considère pas la culture comme un truc d'élitistes. Pour moi, Casimir, aujourd'hui, c'est aussi de la culture.
[^] # Re: Industrie et culture...
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Industrie et culture : coup de gueule. Évalué à 3.
[^] # Re: diffusion de la culture
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Industrie et culture : coup de gueule. Évalué à 2.
[^] # Re: ironie
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Industrie et culture : coup de gueule. Évalué à 4.
C'est comme Bill Gates qui donne des milliards à une oeuvre caritative : Microsoft, c'est mal, mais aider les pauvres c'est bien. Tout n'est jamais tout blanc ou tout noir (même si le gris dans le cas des Majors et plutôt un gris foncé).
[^] # Re: Trouver du classique sur Intenet
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Industrie et culture : coup de gueule. Évalué à 7.
Le problème du classique (surtout du symphonique), c'est que c'est très cher à interpréter (un orchestre, ça coûte cher), et donc c'est pas gratuit même si la mélodie est dans le domaine public.
J'aime beaucoup la musique symphonique (plutôt que « le classique »), mais produire de la musique symphonique dans son garage, c'est pas évident, au contraire de la techno où tout se fait à l'interieur de l'ordinateur.
Ça ne me gène pas de payer les artistes pour leur travail (y compris le propriétaire du studio, l'ingénieur du son, la personne qui s'est chargée de rassembler les musiciens et d'organiser les répétitions et les enregistrements, les musiciens eux-mêmes, l'entreprise qui diffuse la musique, que ce soit en CD ou par le réseau), mais ça me gave de devoir payer la mafia Universal, la villa du patron et la marque du distributeur en même temps.
Je rêve d'un système qui me permettrait de déclarer les morceaux de musique que j'ai acquis sans avoir rémunéré les auteurs et être sûr que ce que je paye va directement aux gens qui ont travaillé pour amener la musique jusqu'à mes oreilles, sans passer par les poches des intermédiaires (qui sont inutiles dans ce cas), et de voir le détail de ce que je paye. Surtout de voir le détail. Cela dit, évaluer les coûts n'est pas évident : les musiciens perçoivent des droits d'auteur, de même que le compositeur (si l'oeuvre n'est pas dans le domaine public), mais les autres artisants d'un enregistrement sont payés une fois pour toutes. Cela consitue un coût fixe, qui devrait être divisé entre toutes les personnes qui écoutent la musique. Et plus il y a d'auditeurs, plus le coût par auditeur diminue... ou alors les revenus de celui qui a avancé l'argent pour l'enregistrement augmentent (ce qui est le cas actuellement avec les maisons de disque classiques).
L'idéal serait une maison de disque associative, où chaque membre met une certaine quantité d'argent au départ (ou en rajoute régulièrement), et on utiliserait cet argent pour produire des albums, qui sont alors vendus aux membres pour le prix de la rétribution des musiciens et le coût du transfert par le réseau (pas de support physique pour éviter les coûts fixes liés au pressage)). Les coûts fixes restants sont couverts par la cotisation des membres : plus il y a de membres, plus le prix d'un album par membre diminue, et plus on peut produire de disques, avec une cotisation fixe.
Les nouveaux membres pourraient venir grâce au bouche-à-oreilles, les employés de l'association seraient payés par les cotisations (ça fait partie des frais fixes).
Ou alors il faut acheter des actions chez tous les Majors dont on achète les disques, et utiliser les dividendes pour se rembourser une partie du prix des disques (mais le problème ethique de la mafia reste entier).
[^] # Re: un plus
Posté par Matthieu Weber . En réponse au journal Industrie et culture : coup de gueule. Évalué à 5.
Je n'aimerais probablement pas Lorie ou Alysée (je vis en Finlande, c'est bien, j'ai échappé au moins à ces deux plaies là :) donc je me range de ton coté pour dire que c'est (probablement) nul, mais qui es-tu pour oser affirmer que ce ne sont pas des artistes ? Ou pour dire que ce qu'elles font n'est pas de l'art ? Qui définit ce qu'est l'art ? Une bande de couillons dans une galerie de peinture moderne en train de se masturber l'intellect devant un tableau uniformément gris en criant au génie ?
Lorie et Alysée sont payées pour divertir les consomateurs, et les consomateurs en redemandent, donc elles font bien leur boulot (et les marketeux de leurs maisons de disque aussi). Après, que ce soit de l'art ou du cochon, je ne sais pas dire. Qu'elles se font exploiter par les maisons de disques qui les jetteront dès que leur cote de popularité baissera, c'est clair. Mais ça ne fait pas d'elles automatiquement des non-artistes.
Quand au préjudice, il est clairement défini par le code de la propriété intellectuelle: quand ça a été publié, l'utilisation est soumies à compensation. C'est le montant des compensations qui est parfois débile, mais comme dit un proverbe finlandais: « ce n'est pas celui qui demande un prix trop élevé qui est fou, mais celui qui accepte de payer ce prix ».
[^] # Re: Creativite ?
Posté par Matthieu Weber . En réponse à la dépêche John Carmack victime des brevets logiciels. Évalué à 1.
C'est bien là tout le noeud du problème.
Cela dit, les noeuds (gordiens), ça se résoud de manière simple, d'un coup d'épée. Donc yaka leur taper dessus très fort à l'aide d'un object contendant, et ils finiront bien par s'arrêter.
[^] # Re: affreux
Posté par Matthieu Weber . En réponse à la dépêche Autonomy : un roman Libre pour emporter à la plage. Évalué à 1.