• # debut

    Posté par  . Évalué à 6. Dernière modification le 06 janvier 2022 à 12:31.

    150 M et 60 M c'est tellement une goutte d'eau dans l'océan. Cette notion de "lourdes" sanction est tellement relative….

    Les sanctions financières ne servent à pas grand chose. La seule réponse qui pourrait commencer à faire peur c'est la réponse pénale.

    • [^] # Re: debut

      Posté par  . Évalué à 7.

      Moi j'aime bien la sanction publicitaire.

      Un communiqué en page d'accueil et de résultat disant « On a été condamné parce qu'on a pas été foutu de mettre un bouton de plus », pendant 72h.

      • [^] # Re: debut

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

        Perso ça serait plutôt une amende en % entier non borné, qui augmente à chaque infraction dans le temps. A un moment, par définition même, ils obéiront à la loi.

        Car les amendes en valeurs absolues ça n'a pas de sens avec de tels géants. Au pire si un montant leur fait mal l'année N, 1 an plus tard c'est déjà beaucoup moins douloureux vu l'augmentation de leur CA, et ne parlons même pas des années suivantes.

        • [^] # Commentaire supprimé

          Posté par  . Évalué à 4.

          Ce commentaire a été supprimé par l’équipe de modération.

          • [^] # Re: debut

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

            C'est une valeur à taille fixe, qui ne prends pas en compte qu'ils ont déjà eu des amendes dans le passé. Donc 100K/jour, je doute que ça les fasse bouger. 0.01% du CA par jour qui fait x2 régulièrement, là oui ^

          • [^] # Re: debut

            Posté par  . Évalué à 3.

            Soit environ un millième de l'amende initiale. Il faudra plusieurs années pour doubler l'amende. Pas besoin de se presser pour la correction.

    • [^] # Re: debut

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 5.

      Alors, c'est d'un coté rien, mais c'est que le début.

      La première fois, c'est pas grand chose. La deuxième fois, l'état voit que le montant d'avant n'était pas assez, donc il augmente.

      Ça va peut être pas faire grand chose pour Google non plus, mais ça rajoute un signal de plus. Et puis la 3eme fois, la boite risque encore plus.

      Et bon, à l’échelle de Google, ça semble rien, mais faut aussi voir que ça indique aussi aux autres tribunaux (genre des autres pays) ce qui est possible de demander, et au bout d'un moment, ça commence à faire beaucoup.

    • [^] # Re: debut

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4. Dernière modification le 06 janvier 2022 à 19:18.

      Oui, j'ai inutilé le lien à cause de ça : le titre du Monde est trompeur.

      De qui se monque t-on !

  • # Et pendant ce temps...

    Posté par  . Évalué à 8. Dernière modification le 06 janvier 2022 à 13:39.

    • [^] # Commentaire supprimé

      Posté par  . Évalué à 5.

      Ce commentaire a été supprimé par l’équipe de modération.

  • # Analyse de NextINpact

    Posté par  . Évalué à 6.

    https://www.nextinpact.com/article/49371/lourdes-amendes-cnil-a-encontre-cookies-google-et-facebook-notre-decryptage

    C'est payant pendant un mois. Alors je fais des courtes citations :

    Dans le bandeau cookies du moteur ou celui de YouTube, l’utilisateur qui refuse les cookies « doit effectuer au moins cinq actions (le premier clic sur le bouton "Personnaliser", puis un clic sur chacun des trois boutons pour sélectionner "Désactivé" - chaque bouton correspondant à la "personnalisation de la recherche", l’"historique YouTube" et la "personnalisation des annonces" - et enfin un clic sur "Confirmer") ».
    Alors, insistons, qu’il ne doit effectuer qu’une seule action pour accepter d’être tracé.
    […]
    Et elle ne se prive pas de dénoncer les contorsions de Facebook dans l’arborescence de ce choix : « un utilisateur distrait qui cliquerait sur le bouton "Accepter les cookies" figurant au bas de la seconde fenêtre ne verrait aucun cookie publicitaire déposé dans son terminal dès lors que les boutons glissants permettant d’activer le dépôt de ces cookies sont désactivés par défaut ».
    Une présentation pour le moins alchimique : pour la CNIL, « il est particulièrement contre-intuitif de devoir cliquer sur un bouton intitulé "Accepter les cookies" pour en réalité refuser leur dépôt ».
    […]
    Google comme Facebook peuvent désormais attaquer cette décision devant le Conseil d’État, pour espérer sa réformation voire son annulation. On relèvera in fine que la CNIL n’a pas demandé l’effacement des millions de cookies glanés par ces interfaces trompeuses ou déséquilibrées.

    Je ne sais pas si la CNIL est compétente pour le dernier point. Si le consentement n'a pas été libre et éclairé, est-ce que ces sociétés ont légitimement le droit de l'exploiter ? Si ce n'est pas le cas, comment est-ce qu'une autorité peut faire retirer cet usage par la contrainte ? Y aura-t-il de la neige à Noël ?

  • # le vrai lien original

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

    https://www.cnil.fr/fr/cookies-la-cnil-sanctionne-google-hauteur-de-150-millions-deuros-et-facebook-hauteur-de-60-millions

    pertinent adj. Approprié : qui se rapporte exactement à ce dont il est question.

Suivre le flux des commentaires

Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.