Guillaume Libersat a écrit 51 commentaires

  • [^] # Re: Intéressant

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie d'Ardour 3. Évalué à 4.

    N'empêche que vous pouvez vous moquer de ce genre de musique, mais quand t'arrives à faire un bon mix avec ce style, c'est que tu maîtrises plutôt bien ! Vu la rapidité, le "bordel" ambiant qui peut vite être créé & co, quand tout ressort comme il faut, t'as ton brevet de mixeur sans trop de soucis :-)

  • # Les alternatives françaises

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Des projets libres, des financements, de l'espoir !. Évalué à 7. Dernière modification le 26 août 2012 à 14:34.

    Pour compléter la liste des initiatives française :
    - Ulule, qui a ouvert le bal et qui reste un peu leader ;
    - Kisskissbankbank, qui a suivi juste après, mais qui commence à prendre de l'importance ;
    - Babeldoor, spécialisé dans les approches artistes, culturelles et/ou sociales ;
    - Octopousse, plus récent, démarré par une jeune équipe il y a peu, qui semble vouloir faire les choses un peu différemment (ils seraient par ailleurs plus enclins à aller vers un modèle basé sur du code libre à moyen terme) ;
    - Arizuka, tout petit, dont on n'entend pas (encore?) parler beaucoup.

    Pour compléter sur le manque de projets logiciels sur ces plateformes, ce serait intéressant aussi de comprendre les difficultés qu'a rencontré l'équipe d'Elveos, même si le modèle était encore un peu différent.

    En tout cas, ma seule crainte c'est qu'on se retrouve, comme pour les sites de covoiturage par exemple, avec 200 sites d'ici 2 ans et pas un seul standard d'échange de projets ni de moyen de porter ses données, comptes, etc…

  • [^] # Re: Pour une surprise!!

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Création d'entreprise : entretien avec Guillaume Libersat, indépendant au sein d'une CAE. Évalué à 2.

    Hey Tony ! C'est clair que j'y repensais la dernière fois en passant rue Faidherbe, je ne saurais combien de fois te remercier de m'avoir plongé là dedans...

    Avoir une boutique où squatter à la sortie du lycée remplie de Login:, Dream, Linuxmag, MISC & j'en passe, autour d'une ou deux machines faisant tourner d'obscurs OS, le tout avec un passionné capable de passer des heures à t'expliquer plein de choses ; ça aide énormément à éveiller sa curiosité quand t'es ado ! Donc pour tout ça, merci, vraiment :-)

    Comme quoi, on devrait avoir des hackerspaces ou assimilés partout !

    PS: N'hésite pas à me donner de tes nouvelles par mail, ça me ferait plaisir aussi d'en avoir

  • [^] # Re: En savoir plus à propos de ton projet Arduino autour de Pomodoro…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Création d'entreprise : entretien avec Guillaume Libersat, indépendant au sein d'une CAE. Évalué à 1.

    Je suis encore en plein travail dessus, mais une première release ne devrait pas trop tarder. Pour l'instant, j'ajoute le support dbus dans gnome-shell-pomodoro et je vais bientôt écrire un complément pour envoyer les ordres à l'arduino (actuellement, c'est un vieux hack à base de script externe).

    Le code pour l'arduino sera aussi bientôt publié. Je t'invite à suivre mon blog ou le dépôt github du fork où ça devrait atterrir d'ici peu.

    En tout cas, je serais ravis d'avoir un retour sur ton utilisation !

  • [^] # Re: CAE vs Portage salarial ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Création d'entreprise : entretien avec Guillaume Libersat, indépendant au sein d'une CAE. Évalué à 2.

    Tout à fait, et je rajouterais que dans les CAE :

    • tu disposes aussi d'un réseau avec lequel éventuellement travailler car il y a la notion de groupe (= les autres entrepreneurs-salariés), contrairement au portage où c'est très individualiste et utilitaire ;
    • tu peux décider de devenir sociétaire au bout des 2 ou 3 ans, de manière à participer à la vie de ta coopérative.

    Il y a ce bouquin, d'Elisabeth Bost, qui pourra te donner plus de détails sur le pourquoi du comment et le fonctionnement interne d'une CAE si ça t'intéresse : http://editionsrepas.free.fr/editions-repas-livre-entreprenants-associes.html

  • [^] # Re: Réserver aux dév ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Création d'entreprise : entretien avec Guillaume Libersat, indépendant au sein d'une CAE. Évalué à 2.

    Ces statuts fonctionnent pour tout type d'activité et les admins sys sont bien entendu les bienvenus ! Le seul bémol qui pourrait faire que ce métier soit refusé par une CAE, c'est la responsabilité juridique (vu que c'est ton représentant légal).
    Les assurances ont souvent peur de ces activités dites à "haut risque", mais je pense que c'est tout à fait jouable, tant que tu rédiges un contrat bien clair (validé par la CAE) à faire signer à tes clients.

    Au niveau de la fréquentation des admins sys dans les espaces de coworking, il n'y en a pas tant que ça. Cependant, si quelqu'un voulait se lancer, je pense qu'il y aurait toujours de la place pour lui en terme de travail. Un profil d'admin sys non BOFH, avec qui tu peux bosser autrement que dans une relation de force, ça aurait vraiment du sens pour beaucoup de projets émergents qui ont besoin d'effacer le cloisonnement entre les intervenants.

  • [^] # Re: Espace de Coworking

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Création d'entreprise : entretien avec Guillaume Libersat, indépendant au sein d'une CAE. Évalué à 8.

    Chaque espace de coworking a sa personnalité. Clairement, tu vas en avoir où ça va être le bordel complet, d'autres où, au contraire, tu vas avoir l'ambiance d'une bibliothèque.
    Le mieux c'est de venir tester les différents espaces dans ta ville (3 en l’occurrence pour toi) et de voir celui qui te convient le plus.

    Perso, j'arrive à bosser efficacement, avec un seul bémol, mais qui n'est pas propre aux coworkings : les collègues qui viennent poser des questions toutes les 3 minutes. Pour résoudre ça, je bosse en pomodoro, avec un arduino (collé à l'arrière de mon écran) qui affiche à tous quand je veux bien être dérangé ou non. Et ça, ça marche du tonnerre !

    Après, s'isoler ou non, c'est une affaire de choix... mais se retrouver avec du monde, discuter (de tout et de rien), imaginer des projets ensemble, avoir du retour sur ce qu'on fait, etc ; ça contribue aussi clairement à la motivation en général.

    Bref, pour en avoir le cœur net, viens tester :-)

  • [^] # Re: Les personnes à interroger, les questions à poser

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vivre du logiciel libre en se mettant à son compte- proposition d'interview. Évalué à 2.

    En effet les membres ont un CDI à partir du moment où ils commencent à avoir activité suffisante pour être salarié à un faible volume horaire.
    Le salaire est défini par le volume horaire x un taux horaire que tu choisis. Plus ton activité augmente, plus tu peux augmenter ton volume jusqu'à arriver à un équivalent temps plein.

    Niveau versement, l'idée c'est de lisser au maximum tes salaires et qu'ils ne fassent que croître, en fonction de ton activité et de tes prévisions à court/moyen terme. Donc là, si genre tu touches 30% au début du projet (janvier), tu pourras être payé de janvier à juillet avec ces 30%. Ensuite, de juillet à +oo, tu pourras augmenter si tu as d'autres contrats qui arrivent, sinon tu restes à un rythme tranquille jusqu'à avoir plus de visibilité.
    Si vraiment tu te foires et que tu as vidé ton compte dans la CAE, tu passes en congés sans solde jusqu'à ce que tu as de nouveau de l'argent.

    Dans tous les cas, si ton volume horaire ne dépasse pas 80%, tu peux cumuler avec tes droits ASSEDIC. Ainsi, tu prends ton indépendance financière peu à peu.

    Vis à vis du CDI/chiffre d'affaire, non, ça n'a rien à voir. Tu es salarié, rien d'autre. D'ailleurs, aux yeux de certaines personnes (banquiers, agence immo, ...), ça aide beaucoup d'arriver avec une fiche salaire plutôt qu'avec un "Je suis freelance" :-)

    N'hésite pas si tu as plus de questions.

  • [^] # Re: Les personnes à interroger, les questions à poser

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vivre du logiciel libre en se mettant à son compte- proposition d'interview. Évalué à 2.

    La CAE te fournit un cadre juridique et un accompagnement, tu peux bosser d'où tu veux quand tu veux :)

  • [^] # Re: Les personnes à interroger, les questions à poser

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vivre du logiciel libre en se mettant à son compte- proposition d'interview. Évalué à 1.

    Je t'ai mailé.

  • [^] # Re: Les personnes à interroger, les questions à poser

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vivre du logiciel libre en se mettant à son compte- proposition d'interview. Évalué à 1.

    Ok, ça roule !

  • [^] # Re: Les personnes à interroger, les questions à poser

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vivre du logiciel libre en se mettant à son compte- proposition d'interview. Évalué à 4.

    Sur la question des statuts/formes juridiques et de l'organisation du travail, si jamais ça peut intéresser : sur Lille, avec quelques amis, on a fait le choix de :

    • rentrer dans une CAE (Coopérative d'Activité et d'Emploi) au lieu de créer des structures type AE/EURL/SARL/... : nous exerçons nos passions librement mais ne nous voulons pas être des chefs d'entreprises ;
    • de bosser ensemble en montant un espace de coworking ; où chacun est indé mais dans un esprit de communauté, comme dans le libre.

    Nous bossons au maximum sur des projets libres -- jusqu'à 100% pour certains. On partagera notre expérience avec plaisir si ça peut compléter les autres témoignages :-)

  • [^] # Re: Modèles sociaux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Imagination For People, la forge libre de l’imagination citoyenne. Évalué à 2.

    Salut,

    On essaye en effet de ne pas être une n-ième plateforme dite "sociale" qui n'en a ni les propriétés, ni le contenu. Ça n'est pas facile du tout (il faut tirer les contraintes dans tous les sens), mais justement, les critiques et avis extérieurs sont vraiment les bienvenus. Les retours rapides vont nous aider à garder le bon cap, que ce soit au niveau contenu, communauté, gouvernance ou technique... enfin, on l'espère en tout cas !

    Pour ce qui est de la dynamique, on cherche à dépasser la vitrine au plus tôt, ça ne devienne pas un dépôt morne de projets, mais bien un outil de développement pour ceux-ci. Idem, toutes les propositions sont les bienvenues !

    Merci d'avoir pris le temps d'explorer un peu la plateforme :-)

  • [^] # Re: Curiosité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Cherche développeurs Python (+ Django). Évalué à 0.

    Salut,

    Pour faire clair et simple : dans les grandes boîtes, le diplôme va souvent primer parce qu'on va te demander de pondre 10k de code / jour, sans réfléchir et en appliquant les procédures bêtement (ce que les enseignements d'informatique ont trop souvent malheureusement tendance à apprendre). Attention, il existe bien entendu des exceptions, mais je généralise pour ne pas rentrer trop dans les détails.

    Dans les petites structures, ou quand tu es freelance, des personnes over-motivées, curieuses et avec des compétences complémentaires comme tu as (sciences po.) vont clairement se démarquer. Ton diplôme ne t'apportera rien si ce n'est peut-être de la crédibilité dans certaines situations. Et ça se comble très bien avec un relationnel très humain.

    Perso, je bosse en ce moment avec quelqu'un qui a exactement le même profil que toi et il joue un rôle majeur dans le projet : il sait parler aux codeurs, comprend les difficultés, essaye d'apprendre peu à peu la technique pour participer mais garde toujours à l'esprit la démarche "politique" du projet.

    Le mot de la fin : si jamais un jour tu décides de te lancer en freelance pour tester, évite de te jeter à la mer sans filet en créant une Auto-entreprise (c'est la mode il parait) ou pire, en démarrant une EURL qui te dépossédera totalement de ton projet initial. Il existe des coopératives qui te permettent de te reconvertir en testant ton activité, tout en te sécurisant au maximum en terme d'assedics, de retraite et de pérennité de salaires (ex: Grands Ensemble pour le Nord-Pas-De-Calais ou Coopaname pour Paris).

  • [^] # Re: Et ton groupe il a un myspace ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Myspace vendu pour $35M. Évalué à 0.

    En effet oui, la pub est une solution envisageable. Si en plus on arrive à travailler avec les artisans (luthiers par ex), les magasins de zic & compagnie, la pub peut certainement ne pas être trop vicelarde :)

  • [^] # Re: Et ton groupe il a un myspace ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Myspace vendu pour $35M. Évalué à 3.

    Malheureusement, la plupart des musiciens font ça en ignorant clairement les autres aspects que leur musique elle même.

    C'est un peu comme quand un libriste convaincu et militant va au Carrouf du coin pour acheter des palmitos dopés à l'huile de palme qui va lui ruiner la sante et la forêt amazonienne ; mais ça, il n'en est soit pas conscient, soit peu réceptif. Pourtant, ça ferait bondir un écolo, comme ça te fait bondir pour le flash.

    Notre souhait est aussi de pouvoir se permettre (grâce à des partenaires comme l'AIMSA -- http://www.aimsalibre.com/ ) de faire un peu d'éducation auprès de nos inscrits et de leur permettre d'aller vers des modes de productions plus justes. Mais la route est encore très longue.

  • [^] # Re: Et ton groupe il a un myspace ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Myspace vendu pour $35M. Évalué à 1.

    Je suis assez d'accord avec toi sur l'aspect de construction de communauté : c'est clairement ça qui fera l'appropriation ou non de la plate forme de la part des musiciens.

    Cela dit, niveau code, actuellement, j'estime en être au niveau 0, donc, oui, rien de bien méchant à refaire, mais j'aimerais glisser de plus en plus vers des algos poussés de MIR (Music Information Retrieval) et d'intelligence collective, et ça, je peux te dire que c'est loin d'être du code bateau web. Résultat, je suis tout pour le libérer, mais ma crainte, tant que la communauté n'est pas formée réellement, c'est que ce soit récupéré pour dupliquer l'initiative, mais pas avec les mêmes intentions.

    L'idée d'interconnexion est intéressante aussi, mais j'ai peur que le travail soit titanesque et que ce soit difficile à utiliser (on en revient toujours au même problème de Mme michu version hard rockeur -- et je peux vous dire qu'on s'amuse tous les jours avec les patrons de bars, c'est pire que Mme Michu, vraiment) !

  • [^] # Re: Et ton groupe il a un myspace ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Myspace vendu pour $35M. Évalué à 1.

    Pour l'espace d'enregistrement, il y a déjà Kompoz et le fait d'avoir cette fonctionnalité bridée fait que tu retombes un peu dans la logique freemium.
    C'est horriblement difficile de sortir de ce mécanisme, car d'une certaine manière, tu reviens au bon vieux shareware, qui n'a aucunement la saveur d'un soft libre.

    Alors, en fin de compte, quel est le modèle économique "libre" du web qui correspond à celui de la prestation de service pour les applis classiques ? Actuellement, j'ai vraiment du mal à trouver une réponse, sauf en prenant des exemples (rares) tel que Wikipedia, mais on retombe dans de la contribution.

    Du coup, en pour ces sites, faudrait-il créer un espace entièrement communautaire, basé sur du LL, et une boite de "conseil" -lié au domaine-, s'appuyant sur le site et participant à son développement, le tout dans un but de former un cercle vertueux ?

    Sinon, côté AGPL, oui, c'est un début de réponse :-)

  • [^] # Re: Et ton groupe il a un myspace ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Myspace vendu pour $35M. Évalué à 10.

    Et pendant ce temps, en France, on essaye de construire une alternative communautaire en essayant de libérer le code de plus en plus pour arriver à une plate-forme idéale pour les zicos amateurs et les scènes indés (=> http://spreadband.com). Mais y'a du taff ! :-)

    D'ailleurs, j'ai besoin de votre aide pour avancer sur deux points :
    - le modèle économique ;
    - la libération du code.

    Pour le premier point, c'est en gros, comment faire pour réussir à se payer pour maintenir la plate-forme tout en ne tombant pas dans le vice "abonnement premium". Pour l'instant, la seule solution que j'envisage, c'est de partir sur un modèle d'économie de la contribution, mais c'est loin d'être gagné.

    Ensuite, pour la libération du code, une grande partie l'est déjà (voir https://github.com/SpreadBand/ ) mais j'aimerais à terme trouver une manière de libérer l'intégralité sans pour autant risquer qu'un type pété de fric fasse son arriviste, reprenne la plate-forme, mettent 40k de budget com' et saborde le projet initial. La difficulté étant que la communauté des musiciens n'est pas spécialement au courant des valeurs de partage & co et qu'il est donc difficile de se dire qu'on peut compter sur cette attache.

    En tout cas, tous vos avis m'intéressent ! Merci d'avance.

  • [^] # Re: et qui fonctionne depuis Novembre de cette année

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Aidez un espace associatif de coworking Lillois !. Évalué à 1.

    Merci !

  • [^] # Re: Salaire ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Aidez un espace associatif de coworking Lillois !. Évalué à 2.

    Chaque espace a sa manière de fonctionner. Dans certains cas, il y a des animateurs qui sont payés pour faire vivre l'espace.

    Dans notre cas, quand tu viens t'installer en tant que permanent à La Coroutine, tu payes à la fois en numéraire (en €) mais aussi en monnaie complémentaire (i.e. donner de ton temps pour faire vivre l'espace).

    Les projets ne sont pas rattachés à l'espace de coworking, ils sont rattachés soit à une personne étant dans cet espace, ou à plusieurs personnes qui bossent en collaboration. Et c'est justement ce qui est fort dans ces environnements, c'est que tu peux travailler avec des profils complémentaires ou supposés concurrents pour réaliser des projets auxquels tu n'aurais pas eu forcément accès ou pu imaginer seul.

    Donc, pour résumer : chacun vit de ses propres projets (partagés ou non), en bénéficiant du rayonnement de l'espace ; et en échange, le rend en nature (temps, dons, compétences, ...) afin de pérenniser l'espace.

  • [^] # Re: et qui fonctionne depuis Novembre de cette année

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Aidez un espace associatif de coworking Lillois !. Évalué à 3.

    Ouais bon, Novembre dernier :p Ou est ce qu'on éditeeee ?

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Du crystal, du crazy et du damn à prendre et à reprendre !. Évalué à 3.

    Le but de cette chaîne d'outils, c'est d'offrir à terme de vraies applications de haut niveau pour (enfin) pouvoir produire des jeux 3D libres de qualité.

    La motivation de base vient d'un projet de jeu libre lancé avec des amis : nous nous sommes rendus comptes qu'il existe un sacré bon lot d'éléments libres pour réaliser des jeux (des moteurs 3d, des bibliothèques sonores, des éditeurs, etc) mais que le gros problème réside dans l'intégration et la facilité d'utilisation de toutes ces belles briques. Quand nous développions ce jeu, nous passions plus de 50% du temps à programmer et intégrer des choses redondantes et sans intérêt, au lieu de nous concentrer sur le jeu lui même.

    Quand on voit ce qui est disponible dans le monde propriétaire (SandBox du CryEngine, Unity3d, ...), on comprend aussi pourquoi la création de telles applications est plus évidente. Ça n'enlève rien au manque d'artistes dans notre communauté cependant, même si j'ai l'impression que ça résorbe de plus en plus.

    Tout ça pour dire que ce que nous essayons de construire, même si la route est encore longue, c'est un vrai point d'entrée, bien intégré et simple à utiliser, pour les hackers, les associations et les entreprises dans la création de jeux 3D libres. Nous avons aussi essayé de penser au mieux l'intégration des différents acteurs dans le flot de conception (artistes, programmeurs, scénaristes, etc) afin d'essayer d'améliorer le travail en équipe.

    Bon, je ne rentre pas plus dans les détails, j'espère que ça clarifie un peu les choses :-)
  • # Merci

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Du crystal, du crazy et du damn à prendre et à reprendre !. Évalué à 5.

    Merci Nÿco d'avoir fait de mon journal une dépêche, en espérant que ça donne plus de visibilité !

    J'ai été assez étonné du peu de commentaires (c'est à dire 0 !) sur le journal : est ce qu'il fait peur ? Est ce que nos logiciels ne sont pas intéressants ? J'aurais du mettre des captures d'écrans avec effets 3d & ombres portées ? Est ce que les développeurs ont fuit DLFP ? 42 ? :-)
  • # Thx!

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal OpenVolunteer v0.1: Première sortie en public. Évalué à 2.

    Salut,

    Excellente initiative ! Tu peux compter sur moi pour te faire quelques retours dès que nous nous intéresserons à lui.

    A mon avis, c'est un problème récurrent dans les assos, surtout celles qui ont peu de ressources. Je me souviens bien des scénarios dans les GULL où il fallait aller tenir une permanence dans un local : qui est présent? Est ce qu'on ouvre cette semaine ? etc. Et je ne parle pas des événements ponctuels : toujours un vrai bordel à organiser...

    Voilà une belle réponse logicielle de ta part, merci !