• # Re: Microsoft attaque Linux de front

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 0.

    c'est du réchauffé ton truc ...vu hier !
  • # Re: Microsoft attaque Linux de front

    Posté par  . Évalué à 1.

    Interview du responsable stratégie pour la division plate-forme d'entreprise chez Microsoft France à propos de GNU/Linux :
    http://linuxfr.org/~nap/10506.html(...)
  • # Re: Microsoft attaque Linux de front... et exploite l'affaire SCO

    Posté par  . Évalué à 2.

    (j'avais déjà posté un commentaire sur le sujet mais sur une vieille dépèche donc il n'était pas très visible, et je n'ai rien vu sur linuxfr qui y faisait mention...)

    J'aurai bien posté un journal, mais je n'en 'ai pas encore le droit (inscrit depuis pas assez longtemps).
    Mais voilà ce que j'ai lu sur http://www.reseaux-telecoms.com/news_btree/04_03_15_165505_319/News(...))
    (...)
    Pour chacun, le contrat porterait sur plusieurs centaines de terminaux. De son côté, E.Leclerc indique qu’il remplacera sa solution Unix par Win XP Embedded sur près de 2000 terminaux, et prévoit de mettre à jour 12 000 postes d’ici cinq ans.
    Selon Microsoft, son OS embarqué est entièrement compatible avec les drivers du marché et, surtout, offrirait une solution face à la menace SCO sur Linux.
    (...)

    Microsoft se sert donc directement de l'affaire SCO. Cela ne manque pas de piquant maintenant que l'on sait d'où viennent les fonds de SCO. Ne serait-ce pas quelque peu maladroit de la part de Microsoft ?
  • # Re: Microsoft attaque Linux de front

    Posté par  . Évalué à 1.

    Cette "étude" est complétement con, mal foutue !
    Ils comparent un windows 2003 server à une redhat 2.1 (comprendre 7.1 je crois).
    Si mes souvenirs sont bons, une telle redhat date d'il y a 2 ans minimum...
    Comprarons ce qui est comparable ! Prenez plutôt une debian ou je ne sais quelle distribution, et mettez là à jour ! Avec un noyau 2.6, les perfs sont largement différentes !

Suivre le flux des commentaires

Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.