needs a écrit 329 commentaires

  • # Économie et musique

    Posté par  . En réponse au journal Jamendo, les creative commons et l'hypocrisie de la "culture libre". Évalué à 2.

    Bonjour,
    Ce très bon billet montre une problématique assez importante :
    Comment vivre (en termes financier) en faisant de la musique libre ? Par libre j’entends une musique respectant les points suivants :

    • Pouvoir écouter cette musique
    • Avoir accès à toutes les données musicales (Dans une forme exploitable, et sous licence libre) qui ont permis de produire cette musique
    • Pouvoir modifier ces données
    • Pouvoir redistribuer une version modifié ou non de cette musique

    Au premiers abords, cela semble difficile, difficile de trouver un moyen respectant les liberté des utilisateurs mais aussi des besoins de l'artiste, très proche de la question financière du logiciel libre, cette problématique est néanmoins différente car le contenu concerné n'est pas de même nature.

    La première source de revenus pour un artiste respectant ce principe de musique libre serai de ce produire en concert. Seulement, organiser un concert, ça demande de l'argent, car il faut engager des musiciens si nécessaire, une infrastructure qui tienne la route, un peu de pub par-ci par-la même si la caractère libre de la musique favorise le partage et la diffusion de l’œuvre. Donc ce produire en concert ne peut être une solution pour ceux qui n'en on ni les moyens, ni la popularité nécessaire pour ce type d’événement.

    Une deuxième source de revenu serait de donner à l'utilisateur la possibilité de soutenir un artiste, par le biais de dons, ou d'un système qui demanderait à l'utilisateur le prix de son téléchargement (Au moment du téléchargement, l’internaute doit indiquer un prix, 0€ = gratuit)..

    Et .. C'est tout. Je ne prend pas en compte la publicité, car cette source de revenu en est vraiment une si l'artiste joui d'une popularité assez importante, et si l'artiste joui d'une popularité importante, alors on peut considérer que ces revenus lui permettent de vivre, nous ne sommes plus alors dans le cadre de notre problématique.

  • [^] # Re: Rapport de bug ?

    Posté par  . En réponse au journal C'est ça l'expérience utilisateur intuitive et ergonomique chez Gnome/Rhythmbox ?. Évalué à 2.

    d'ailleurs faudrait commencer à adapter Vim et Emacs avec des raccourcis clavier adoptés par toute l'industrie du logiciel, histoire de faciliter l'expérience utilisateur de 99.99% des utilisateurs.

    Non, tu pourras remarquer que Vim ou Emacs gèrent le copier-coller d'une façon un peu plus poussée que sur un éditeur de texte 'traditionnel', donc associer Ctrl-X à couper, Ctrl-C à copier et Ctrl-V à coller, ca n'a pas vraiment de sens pour des éditeurs tels que ceux-ci. Même si pour Vim, on peut envisager de l’implémenter à condition que cela ne bouscule pas tous les raccourcis déjà présents. Pour Emacs, c'est une autre histoire ...

  • [^] # Re: Mauvais logiciel changer logiciel

    Posté par  . En réponse au journal C'est ça l'expérience utilisateur intuitive et ergonomique chez Gnome/Rhythmbox ?. Évalué à 0.

    Après être resté longtemps sous rhythmbox, j'ai décidé d'aller voir ce qui ce fait ailleur. Je me suis orienté vers MPD, avec comme client ncmpcpp, et bien je doit dire que j'ai eu l'impression de redécouvrir le lecteur de musique, alors certe, c'est en mode texte, et pourtant ...
    C'est sur que madame Michu n'accrochera pas, il y a les raccourcis simples pour ceux qui n'ont pas de besoins particuliers, mais il éxiste aussi des raccourcis un peu plus avancées qui peuvent ce révéler très utile pour ceux qui veulent gérer leur musique de façon précise. On dirait pas, mais parfois, le mode texte peut ce révéler très ergonomique.

  • # Ubuntu et logiciel libre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Ubuntu 11.04 : changement radical !. Évalué à 5.

    Ce qui me désole dans cette distribution, c'est qu'il y a de moins en moins de respect pour le logiciel libre et son écosystème :
    - Le travail avec l'upstream est très faible
    - Ubuntu One et l'orientation Cloud de Canonical
    - La mise en avant des drivers propriétaires dès la première utilisation
    - L'intégration de logiciels propriétaires/privateurs dans la logithèque

    Ces points devraient être selon moi beaucoup plus sujet à débat que sa nouvelle interface avec ces scroll-bars à 3 pixels de largeur...