LoL, une affaire sérieuse, compte‐rendu de l’avant‐première
« Lol — Logiciel libre, une affaire sérieuse » est un documentaire écrit par Léa Deneuville et Thierry Bayoud, réalisé par François Zaïdi, produit par Gigowatt Film.
Ce film ayant défrayé la chronique linuxfrienne, un petit compte‐rendu s’impose après l’avant‐première à Paris le 20 juin, qui a réuni tout le gratin du Libre francilien (ou presque), entre autres. Dans la salle, quasiment pleine, se trouvaient en effet aussi une bonne part de personnes a priori non libristes, qui forment le « public‐cible » du film pour tout dire. Est‐ce à dire que les libristes n’ont aucun intérêt à voir ce documentaire ?
Journal Google: je sais, je sais... mais tout de même, j'ai les boules !
Google : « Don't be evil… or… hum hum… just a little bit ? »
Une énième preuve (pour les pressés) : https://vimeo.com/123208846
J'ai longtemps utilisé les services de l'ami Google. Au départ, j'appréciais sa contribution aux logiciels libres et en mon for intérieur, je me disais que les parties propriétaires de ces outils étaient un mal nécessaire au financement de l'ensemble face aux hordes d'outils totalement ou fortement propriétaires de Microsoft, Yahoo, Oracle, etc. J'ai bêtement pensé que ces petites boîtes noires (…)
Petite sélection de mémoires publiés après 2010
Petite sélection de mémoires publiés après 2010 et susceptibles de vous intéresser :
- thèse de Jan Eilhard, soutenue en mai 2010, intitulée « L'implication des entreprises aux logiciels libres » (140 pages, disponible en PDF) ;
- thèse d'Antoine Moreau soutenue en mai 2011, intitulée « Le copyleft appliqué à la création hors logiciel. Une reformulation des données culturelles ? » (800 pages, sous licence Art Libre, disponible en OpenDocument, PDF et ePub) ;
- thèse de Sebastien Broca soutenue en janvier 2012, intitulée « L'utopie du logiciel libre. La construction de projets de transformation sociale en lien avec le mouvement du free software (394 pages, disponible en PDF). À noter la publication déjà signalée ici sous CC CC-By-NC-ND de son ouvrage « Utopie du logiciel libre » de 288 pages aux éditions Le passage clandestin ;
- thèse de Dhakouane Ennifar de mars 2012, intitulée « Les logiciels libres au sein des ministères français » (61 pages, disponible en PDF)
- thèse de Jaap Boender de mai 2012, intitulée « Étude formelle des distributions de logiciel libre (140 pages, disponible en PDF) ;
- mémoire de master de Laurent Costy soutenu en octobre 2013, intitulé « Les associations d’éducation populaire : évolution de leurs rapports aux communs de la connaissance - Quelles appropriations des logiciels libres et des modes libres de diffusion des savoirs par les associations en France ? » (105 pages, sous licence CC By-SA, disponible en OpenDocument et PDF) ;
- mémoire de master d'Ebticem Krouna publié en août 2013 « Le secure Boot : de l'informatique de confiance à l'informatique déloyale » (52 pages, sous licence CC By-Sa, disponible en OpenDocument et PDF).
- mémoire de concours de Benjamin Vidal, en août 2013, intitulé « Le logiciel libre dans le secteur public, un état des lieux en juin 2013 » (59 pages, CC By-Nc-SA, diapos de soutenance)
- en préparation : thèse de Marie Duponchelle sur le Le droit à l'interopérabilité- étude de droit de la consommation (licence encore inconnue)
Journal Informatique de confiance et Android
Bonjour,
J'ai viens d’apprendre via le site DailyGeekShow qu'une application Android de lampe torche toute bête « Brighest Flashing Free » collectait des informations sur l'utilisateur pour le revendre.
Ce qui m'étonne le plus c'est que cette nouvelle fasse scandale alors qu'il s'agit d'une illustration de plus du principe "Si c'est gratuit, c'est vous le produit !" largement rependue dans "l'économie numérique".
Pour tout ceux qui veulent des applications Android compilées à partir du code source et validées où les bibliothèques indiscrètes ont (…)
Informatique de confiance ou informatique déloyale ?
Richard M Stallman s'exprime sur le trusted computing (traduction en francais)
Je pense qu'il est important de traduire ce genre d'article car ça augmente leur portée, et ce qu'il dit est important et inquiétant. Plus on parle de ce genre de chose, plus on a de chance de le faire comprendre au grand public, et donc de le faire échouer.
L'avantage avec les articles de RMS est qu'ils sont souvent vulgarisés, et on peut donc les faire lire à n'importe qui... Faites circuler !
(n'hésitez pas à me proposer des modifs pour la traduction si vous trouvez des erreurs)