flagos a écrit 2840 commentaires

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -3.

    Pourtant si cette phrase ne s'adresse pas à l'utilisateur, je ne vois pas à qui d'autre :

    This License explicitly affirms your unlimited permission to run the unmodified Program.
    

    Elle s'adresse à lui, mais il n'a pas à l'accepter. C'est un engagement dans un seul sens.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -6.

    Et si licence s'adressait a Barack Obama, elle implique Barack Obama ? Non, évidement.

    L'utilisateur n'a pas à accepter la licence, c'est toute la subtilité !

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -4.

    Oui le contrat est vide. On nous explique que l'auteur raconte nawak car la GPL s'adresse non pas au dev mais à l'utilisateur.

    Seulement la première dit qu'en gros 0 contrainte pour l'utilisateur et après pef, un gros pavé de contraintes pour les dev et ceux qui redistribuent (et d'autres peut etre ?).

    Serieux, faut arrêter d'enculer les mouches la c'est de la mauvaise foi.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -3.

    Oui enfin après si tu appelles utilisateur quelqu'un qui fait autre chose qu’exécuter le logiciel… Effectivement, la GPL s'applique à lui.

    Au final tu peux l'appeler comme tu veux mais la réalité, elle est qu'un type qui ne fait qu’exécuter le soft gentiment dans son coin (un bête utilisateur quoi, comme tout le monde l'exprime depuis le début du thread), et ben la GPL ne le concerne pas.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -3.

    Quand on nous a expliqué que la GPL s'appliquait à l'utilisateur. Si ca s'applique à l'utilisateur, c'est un contrat d'utilisation.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -5.

    Pour répondre de manière plus consensuelle. Ce qui compte, c'est que les contraintes de la GPL ne peuvent pas, par essence même de ce qu'est un logiciel libre, concerner l'utilisateur.

    La GPL ne peut pas s'adresser à l'utilisateur, ca ne le concerne en aucune manière sinon ce ne serait pas libre.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à 0.

    Effectivement, ca pourrait être implicite.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -6.

    Non. La GPL dit que tu devras redistribuer ce software de manière à ce que la liberté 0 soit respectée.

    Mais non, non et non, un logiciel libre ne peut avoir de condition d'utilisation. C'est une hérésie.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -3.

    Tiens, ce n'est plus le dév seulement, mais… redistribution. Comme par hasard, ça change une fois acculé…
    Ca serait si simple de parler d'utilisateur de manière générique (comme la FSF en fait).

    La FSF en parle très bien justement. La liberté 0 suffit: l'utilisateur est libre d'utiliser comme il veut le soft => hop les contraintes de la GPL ne le concerne pas.

    Sérieux, je pensais pas avoir nu jour à expliquer un truc aussi basique sur DLFP. Meme des mecs sur clubic ont compris cette distinction hyper importante qu'il y a entre simple utilisateur et "développeur" (bah oui avec ces histoire de re-distribution je sais plus comment faut dire ;-) ).

    Cette différence est juste fondamentale dans le logiciel libre, tout est basé la dessus.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -2.

    Je viens de comprendre ton message désolé.

    Une GPL patchée qui ne respecterait la liberté 0 ne donnerait pas naissance à un logiciel "libre". Car l'utilisateur serait obligé de signer un contrat d'utilisation et perdrait sa liberté.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à 0.

    Non la GPL garantit que la liberté 0 sera transmise si un gonze en redistribue une version patchée et qu'il voudrait mettre un CLUF de folie.

    L'utilisateur qui recoit juste un soft sous GPL lui n'a rien à accepter. Il l'utilise librement, c'est tout.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -4.

    Ouai super, tu essaies de t'en sortir avec une pirouette parce que tu veux éviter le débat de fond. Tu exécutes comme il te plait le programme. Mais bon c'était évident, c'est la fameuse liberté fondamentale.

    D'ailleurs un bon exemple, c'est firefox. Quand tu l'installes, tu n'as rien à accepter (du moins sur linux). Et une fois que tu le lances, on te met une sorte de notification pour te parler de tes "droits".

    Donc tu as bien la liberté d'utilisation (l'utilisateur fait ce qu'il veut) et si en plus tu veux accéder au coté dev et redistribution, il te faudra respecter les règles de la GPL.

    Pas besoin de t'en informer avant, c'est inutile tu es un simple utilisateur, ces règles ne te concernent pas.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -3. Dernière modification le 26 août 2013 à 14:18.

    Et quand tu lis ton lien, la première des libertés est:

    la liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages (liberté 0) ;

    Ce qui implique: pas de contrat d'utilisation sur les binaires. Tu sais le machin sur windows ou tu fais yes > yes > yes et où tu acceptes plein de choses. Et ben ca, un logiciel libre ne peut pas te l'imposer.

    C'est pour ca que lorsque tu installes un soft libre sous linux, tu n'as rien à accepter. Tu es libre de l'utiliser comme tu le sens.

    Encore une fois, c'est une erreur grossière de dire que l'utilisateur est concerné par la GPL. C'est fondamentalement incompatible avec le logiciel libre, qui est justement dit "libre" car l'utilisateur peut l'utiliser librement.

    Je persiste et je signe: seules les sources sont sous licence, le binaire tu en fais ce que tu veux. L'utilisateur a 0 contrainte, seul le développeur en a.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -4.

    Faux : que ça te plaise ou pas, le contrat et entre un auteur et celui à qui il refile le produit.

    C'est faux. La GPL n'est pas une licence d'utilisation. S'il existe une licence à l’utilisation, alors ce n'est plus un logiciel libre.

    Les licences libres s'appliquent entre les auteurs et les développeurs qui veulent réutiliser le code.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -1.

    Ca n'a rien à voir. D'un coté il s'agit d'une loi faite pour formaliser/codifier la consommation dictée par l'Etat (un tiers suprême) et de l'autre coté c'est un contrat entre un auteur et la communauté de développeurs et on se pose des questions sur les contraintes que ca entraine.

    La loi dans ce cas précis c'est un socle pour que les consommateurs aient confiance et éviter les arnaques. Rien à voir avec la manière de gérer une communauté de devs.

  • [^] # Re: Comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à 1.

    Je le vois plutôt du genre: "je te montre publie comment cuire une façon de cuire des oignons, mais sur tous les plats que tu feras avec ces oignons tu devras publier tes recettes les modifications effectués à cette méthode de cuisson."
    

    Non, tu dois bien publier l’intégralité de la recette si tu y as mis ces fameux oignons (et que tu redistribues, comme tu le précises). C'est d'ailleurs pour ca qu'il existe la LGPL, comme suggéré plus haut.

  • [^] # Re: Petite correction de base, et le reste tombe... :-p

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -6. Dernière modification le 26 août 2013 à 09:34.

    Qu'on aime ou pas la GPL, c'est un chose. Mais si vous n'aimez pas, ne dites pas de bêtises dessus, soyez honnêtes avec vous mêmes, n'aimez pas pour ce qu'est la GPL, pas pour ce qu'elle n'est pas. Vos exemples montrent que vous n'avez pas compris le copyleft.

    Bon puisqu'on m'accuse de raconter de la merde a propos de le GPL sans rien biter, allons y franchement. Tout d'abord cette histoire de "A qui s'adresse la GPL ?"

    On sait tous que la liberté fondamentale d'un logiciel est de permettre à l'utilisateur de faire ce qu'il veut de son binaire. C'est de cette liberté dont on parle quand on évoque un "logiciel libre". Donc, exit les contrats d'utilisations.

    Par contre, on peut imposer des contrats aux développeurs sur le code source. De là sont nés les licences GPL/BSD et tout ca.

    Sachant ca, comment peut on affirmer que la GPL s'adresse à l'utilisateur ? Si l'utilisateur était engagé auprès de la GPL, ca ne respecterait pas la liberté fondamentale. La GPL s'adresse donc bien, au sens juridique du terme, à la communauté de développeurs. Toute autre considération n'est que spéculation de votre part.

    Ou à l'utilisateur qui souhaite une évolution, n'est pas développeur, mais peut embaucher une personne pour faire le développement.

    Et encore une fois, c'est le développeur qui sera contraint par la GPL, qui lui est adressé avec les sources. Vous considérez certainement que cela protège l'utilisateur final mais c'est une spéculation de votre part.

    Restons factuels.

    Qu'on aime ou pas la GPL, c'est un chose. Mais si vous n'aimez pas, ne dites pas de bêtises dessus, soyez honnêtes avec vous mêmes, n'aimez pas pour ce qu'est la GPL, pas pour ce qu'elle n'est pas.

    Justement. La GPL n'est pas un contrat d'utilisation mais un contrat de développement.

  • [^] # Re: Petite correction de base, et le reste tombe... :-p

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -3.

    Ca s'adresse aussi à l'utilisateur non développeur qui peut faire appel au développeur de son choix pour des évolutions ou de la maintenance.

    Ca protège cet utilisateur d'un developpeur qui garderait ses patchs pour lui si c'est ce que tu veux dire.

    Mais du coup ne plus faire ce qu'il veut du binaire s'il ne veut pas redistribuer les patchs (puisqu'il les a achetés). Cet utilisateur a perdu de sa liberté.

    man économie du don

    Justement. Surtout quand on fait un cadeau qui se dit "libre". T'es libre de rechoper le soft et de patcher… sauf qu'en fait t'es pas vraiment libre.

  • [^] # Re: Toujours dans la comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -1.

    Tu nous explique le rapport ? Enfin toi ou un des nombreux qui t'ont pertinenté parce que sincèrement je vois juste pas le rapport…

  • [^] # Re: Comparaison foireuse

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -2.

    Donc au lieu de l'histoire de la bière de l'auteur du journal, ça serait plutôt : « Tu dois filer la recette de tes plats à tes invités (ou clients) ».

    Je le vois plutôt du genre: "je te montre comment cuire des oignons, mais sur tous les plats que tu feras avec ces oignons tu devras publier tes recettes."

  • [^] # Re: Petite correction de base, et le reste tombe... :-p

    Posté par  . En réponse au journal Licences logicielles : Je t'offre une bière, mais tu dois m'en offrir une après !. Évalué à -5.

    Faux. La GPL s'adresse avant tout à l'utilisateur final.

    Je comprend bien que la GPL apporte des garanties à l'utilisateur final. Mais au final, à qui s'adresse les contraintes données dans la GPL ? On le sait tous, au développeur qui réutilise du code sous GPL.

    C'est dommage de jouer sur les mots pour éviter le débat de fond, c'est exactement ce qui me gêne dans la GPL: je diffuse mon code, c'est "quasi cadeau". C'est dommage, je préférais que ce soit un vrai cadeau. Exemple de la vraie vie: la semaine dernière, c'était l'anniversaire de ma copine, ben je lui ai offert de vrais cadeaux, genre au sens BSD, pas au sens GPL.

    Quand on offre un cadeau, on le fait sans contrepartie sinon celui qui le recoit perd de sa liberté. Et c'est exactement le problème de la GPL.

  • [^] # Re: Clémentine ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Amarok 2.8. Évalué à 4.

    Mmmm ok, pas si mal fait donc. Merci pour l'info.

  • [^] # Re: Clémentine ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Amarok 2.8. Évalué à 1. Dernière modification le 21 août 2013 à 15:22.

    Oui clairement ce n'est pas parfait de l'autre coté, mais c'est tout de même nettement moins pire que sur linux.

    Quand on voit que tout le monde du coté de l'open-source se motive avec des poncifs du genre "je ne suis pas prisonnier des choix de l'éditeur" et que tout le monde pleurniche autour de amarok1.4 ou de gnome2.X car incapable de les avoir correctement, ben au final je me demande si on est pas plus prisionniers que sur windows.

    Et si accessoirement si ce ne serait pas une bonne initiative d'avoir une distrib avec inclusion des librairies en statique plutôt qu'en dynamique.

  • [^] # Re: Clémentine ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Amarok 2.8. Évalué à -1.

    Faut voir aussi que tu as choisi un gros morceau

    Tu peux pas me dire ca à tous mes exemples :-)

    Le projet Trinity est un fork de kde3 actuellement en version 3.5.13 qui fournit des binaires de tous les logiciels KDE dont Amarok 1.4, pour de nombreuses distributions.

    Oui voila c'est exactement ca le souci. Si tu veux amarok, tu es obligé de rechoper tout l'ancien KDE. Tu peux pas avoir un linux récent (avec un kde 4 top moumoute à jour) et juste amarok 1.4.

    Parce que oui sinon je l'avais déja la solution, j'intalle kubuntu 6.04 et effectivement j'aurai amarok1.4. Mais c'était pas ca la manipe de base.

    Après une autre solution serait peut etre de faire de la virtualisation d'un OS entier pour juste avoir l'appli qui va bien, mais il n’empêche qu'il y a un problème à la base de conception de l'OS.

  • [^] # Re: Clémentine ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Amarok 2.8. Évalué à 3.

    Oui gnome c'est compréhensible, ca tire des choses de partout.

    On parlait de quelque chose de beaucoup plus simple: un soft de musique qui date d'il y a 3-4 ans, le fameux Amarok 1.X que j'ai également beaucoup apprécié. Et ben le constat est la, tu as beau avoir toute la stack software en opensource, la liberté de recompiler ce que tu veux, et ben au final c'est du vent. Amarok 1.X, c'est mort pour l'avoir sur un système linux récent.

    On aurait été sur windows, ca aurait posé aucun souci.