Je dedie ce poeme de Brassens au connard qui vient de me gacher par pure betise et mechancete ma matinee.
Quand les cons sont braves
Sans être tout à fait un imbécile fini,
Je n'ai rien du penseur, du phénix, du génie.
Mais je n' suis pas le mauvais bougre et j'ai bon c?ur,
Et ça compense à la rigueur.
{Refrain:}
Quand les cons sont braves
Comme moi,
Comme toi,
Comme nous,
Comme vous,
Ce n'est pas très grave.
Qu'ils (…)
Journal Journal tres prive
2
juil.
2004