Benoit a écrit 186 commentaires

Modifier syslog.conf pour isoler les messages en provenance du kernel (kern) et correspondant au niveau de trace de iptables (par défaut warn mais peut être changer avec --log-level niveau).

Pas mieux.

La 2.0, sans hésiter :

Dans la 1.4, rien n'est aligné, le regard à tendance à parcourir plusieurs fois la page pour trouver quoi lire. Certainement très désagréable et énervant à la longue.

Le 1.5 n'est pas assez structurer et les effets transparence n'arrangent rien. Les articles ne sont pas suffisamment bien séparés les un des autres.

La 2.0, la page est sobre, agréable au regard. Les limites entre les sujets sont immédiatement perçues. C'est la seule version où le contenant met en valeur le contenu.

Pareil chez moi.
En voilà un qui marche en se bassant non pas sur la présence de ppp0 mais sur l'adresse associée à ppp0 (qui doit exister donc) :
#!/bin/sh

function restart_adsl() {
rmmod usb-uhci
sleep 5
modprobe usb-uhci
/usr/local/bin/startmodem
}

[ `/sbin/ifconfig -a | /bin/grep P-t-P | /bin/awk '{print$2}'| /bin/cut -d ':' -f 2` ] || restart_adsl

Ça dépend de la configuration du cache de ton navigateur (quel que soit le navigateur d'ailleurs).
Par exemple sous Mozilla :
Préférence->Avancé->Cache
Comparer les pages dans la cache avec la page du réseau :
A chaque fois…
Une fois par session
Quand la page est obsolète
Jamais

Le navigateur ne télécharge pas la page, mais compare la date de la page avec celle du cache. Il ne télécharge la page quand cas de différence.

Linux RT n'est pas libre.
Si tu veux un Linux temps réel complètement libre, je te conseille linux RTAI. Pour l'avoir utilisé pendant mes études (2001), je l'ai trouvé assez intéressant à utiliser : l'API est assez simple à utiliser et le développement est assez rapide.
A ce moment là, la création d'application TR devait être réalisée sous forme de module ; Linux RTAI permet aujourd'hui la création de d'appli TR dans l'espace utilisateur.

Doc + source :
http://www.aero.polimi.it/~rtai/index.html(...)

D'accord sauf sur :

> une éolienne fait un bruit monstre, est laid au possible
Ah non, les éoliennes à axe vertical, c'est beau et ça fait (presque) pas de bruit.
http://www.windpower.org/fr/tour/design/horver.htm(...)
Ben, oui pas de compression de l'aire entre le mat et les pales.

> et perturbe aussi les écosystème
Par contre, les éoliennes à axe vertical ne changent rien à ce problème.

EDF n'est pas vraiment intéressé par cette technologie, en effet les premiers surgénérateurs hybrides arriveront certainement après le renouvellement de presque tous nos réacteurs. Ces derniers seront remplacés par des réacteurs à eau pressurisée quasiment identique à ceux actuellement en exploitation.

Pour le moment, les recherches, menées conjointement par le CNRS, le CEA et EDF sur le sujet, sont loin d'aboutir à un réacteur prêt pour l'exploitation. De plus, Super-Phénix a jeté un certain froid, les politiques (et l'opinion publique) risquent d'être durs à convaincre.

Oups, c'est plein de fautes.
A l'avenir, je vérifierai.

A moi et l'auretographe.

Tchernobyl était de conception très ancienne. Le seul vrai risque avec les centrales "modernes" est le déclenchement des systèmes de sécurités, car ça coûte chère à faire repartir, sans compter le manque à gagner.
Par contre, il est vrai que les risques sismologiques ou d'attentat sont sous-estimés.


Super-Phénix était refroidit avec du sodium liquide, je ne sais pas quel est le fou qui avait imaginait ça, mais bon.
Par contre, les projets sérieux de réacteur hybride prévoient :
_ un refroidissement par convection naturel de plomb liquide,
_ en cas de fuite du système du modérateur (le plomb), le réacteur s'arrête de lui-même sans aucune intervention (incident à coefficient négatif).
_ en cas de surchauffe, la dilatation du modérateur(le plomb) permet à celui-ci d'envahir le tunnel de sortie de l'accélérateur de particule, donc arrêt immédiat.
_ après un quart d'heure d'arrêt, la radioactivité du cœur descend à 5% de la radioactivité ambiant moyenne.
_ plein d'autre avantage encore

D'autre question, …

Le nucléaire peut-être nom polluant ou plutôt recycler plus de déchet qu'il produit.
Si, si :
http://www.spm.cnrs-dir.fr/quoi/publications/IdP%202001-02/18.pdf(...)
Je n'ai pas de lien sous la main, mais l'Inde investit fortement dans la recherche sur les réacteurs hybrides. Ces recherches semblent avancer rapidement.

Pine sait s'interfacer avec Exchange sans problème et existe aussi sous Win32.

http://ldp.kernelnotes.de/HOWTO/Pine-Exchange/index.html(...)

Réponse à moi-même.
Les restrictions sur l'IDE/Compilo sont surtout du au préprocesseur utilisé par QT pour gérer les slots et signaux.

Sous Windows, une appli Qt ne compile qu'avec Visual C++. Ce n'est pas une question d'IDE, c'est le code propre à la version Win32 qui veut ça.

Par contre, il existe une version Cygwin. Cette version est en GPL (enfin je pense), mais la compilation doit se faire avec gcc et le binaire nécessite l'environnement Cygwin .

Il existe aussi un projet qui vise à partir d'une version GPL de Qt pour la porter sous Win32 (sans passer par Cygwin) ; j'ai pas d'adresse sous la main.

N.B.: Pour ceux qui ne connaissent pas, Cygwin est un projet RedHat qui vise à offrir un environnement Linux-like sous Win32. => Indispensable

Visual C++ (6 et 7) n'implémente que partiellement la norme C++.
Dans ton exemple, VC++ n'accepte que des constantes (comme en C) pour la définition de la taille des tableaux.

Autres points marquants :
- Faire de template avec relève du masochisme.
- Implémentation de la STL toute pourrie (je me répète, mais j'en ai bavé suffisamment, donc j'ai le droit).
- Toujours pas C99 (donc pas de macro à nombre d'arguments variable).
- On peut ajouter à ça une API Win32 plein de bugs et de bizarreries (sans parler de COM), même une fois cachée derrière .NET ; un noyau de merde qui a du mal à gérer plusieurs taches gourmandes en même temps, ainsi que les accès disques.

Seule point positif, une API noyau homogène et bien pensée (sauf pour l'API réseau qui fait patch rajouté).

Voilà les malheurs d'un programmeur Windows. Enfin, vive les projets Linux.

Sous Visual 6, l'implémentation de la STL fonctionne mal, surtout en muti-threader.

Exemple sur le quel je suis tombé récemment, leur string évite la copie de chaîne lors d'une affectation ou autre (normal mais pas obligatoire). Mais, la manipulation du compte de référence n'est pas protégée.
Donc, si on copie une string pour la passer à un autre thread, le compte de référence prend des valeurs farfelues. Des heures de debug pour arriver à trouver d'où venait le problème.

Sous Visual 7, les problèmes de ce type n'existent plus (à ma connaissance). Mais bon, les problèmes ont été corrigés à la MS, par exemple pour le cas de la string, ils ont viré l'optimisation.

Trop de boulot et code pourrit.
Il y a des fois, il vaut mieux faire table rase.

Merci pour ces réponses.

Je vais opter pour une base de donné MySQL, pour deux raisons :
- En effet, il est possible de tester l'intégrité des tables et de les réparer très simplement ("CHECK TABLE", "REPAIR TABLE").
- La recherche et l'accès aux données vont être facile à coder.

Petite précision :
En faite, il y relativement peut de chance que la machine s'arrête brutalement, mais au cas où ça arriverait, perdre quelques données n'est pas gênant, mais il faut impératif que le système reparte de lui-même. La bibliothèque proposée par le client génère un "Segmentation Fault" à la réouverture des fichiers de données si le process est interrompu durant une écriture et ne propose aucune fonction pour vérifier l'intégrité des fichiers avant d'y accéder.

Les systèmes de fichier journalisé assurent juste l'intégrité du système de fichier. Ce que je cherche, c'est une solution qui assure l'intégrité des données (contenu des fichiers ou de la base de données) ; en autre contre l'arrêt brutal de la station (ou du process) lors de la modification les données.

Pour le choix de la résolution :
.xinitrc
.xserverrc
export XFT_CONFIG=…
man xinit

Après pour que le petit bout de chou puisse s'en sortir, il ne devrait pas être trop dur de se faire quelque chose en Perl + Curses::Widgets.

Pas mieux en tous cas.

La durée du bail est le temps pendant le quel le client peut utiliser l'adresse sur le réseau.
A la fin du bail, le client doit redemander un nouveau bail.
La RFC (RFC 2131) permet au client de demander un renouvellement de bail sur une adresse qu'il possède déjà en omettant certaines phases de la négociation, ce qui évite au client de devoir changer d'adresse à la fin du bail, ce qui obligerait à renouveler les communications TCP/IP en autre.
Ensuite, il y a deux politiques pour l'attribution des adresses : fournir toujours la même adresse aux clients ou bien changer d'adresse à chaque demande de nouveau bail (mais pas au demande de renouvellement).

Il est assez facile de trouver de la doc sur tout et n'importe quoi. Le plus dur étant de trouver de la bonne doc. C'est dans ce sens que les journaux/tribunes sont utiles en permettant de profiter du tri déjà fait par d'autres. C'est l'un des principes du libre : le partage.

Au quel, on peut ajouter, le "Guide d’installation et de configuration de Linux" de Christian Casteyde qui contient une partie d'écrivant clairement pratiquement toutes les options de compilation des noyaux 2.4.X Son site : http://casteyde.christian.free.fr/ Le document en question : http://casteyde.christian.free.fr/system/linux/guide/install_linux-2.4.1-html.zip

Est que pour des raisons légales, les redirections sont gardées sous forme de log, parce que dans ce cas là il faut le signaler aussi pour des raisons légales.
Quand on se lance dans ce genre de truc il faut prendre toutes les précautions pour se couvrir.

D'après la RFC 792 : Les messages Echo et Echo Reply possèdent un numéro de séquence, donc pas de problème avec NAT. Pour les messages d'erreur (tel que Destination Unreachable Message, Time Exceeded Message, ...) le paquet contient les 64 premiers bits du paquet qui a provoqué l'erreur, donc là encore pas de problème avec NAT car les infos sont fournies par ces 64 bits.

Ajoute le fichier un mode binaire (pas de merge, …) : cvs add -kb
Locker le fichier : cvs edit
Enregistrer les changements : cvs commit
Abandànner les changements : cvs unedit