Journal Plus qu'une heure

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juin
2004
Dans une heure pour des milliers de lycéens, il sera temps de penser à faire son plan, trouver sa problématique, exposer ses idées, rédiger son intro, sa conclusion, et croiser les doigts...

Le bac de philo c'est à 8h et j'y serais. Oh je pense pas que je vais raconter quelque chose d'intéressant dans ma copie mais au moins je pourrais dessiner des pingouins sur mon brouillon, avec un peu de chance ça m'inspirera plus qu'un sujet tel que "Suis-je toujours le même?"...

J'ai les mains qui tremblent. C'est stressant. J'aime pas ça.

Bonne chance à ceux qui le passent et bonne journée aux autres...
  • # Bonne chance :)

    Posté par  . Évalué à 2.

    Bonne chance à toi :) Moi aussi je suis lycéen, mais en Suisse. J'ai terminé le bac la semaine dernière. Par contre, pour moi, aujourd'hui, c'est l'exa d'électrotechnique et d'électronique numérique. A tout prendre, entre philo et ça, je choisis la philo !
  • # Bonne chance

    Posté par  . Évalué à 2.

    Bah bonne chance je l'ai passé il y as deux ans (et aussi il y as 3 ans) et je sais ce que c'est (Surtout la philo, 1/3 de l'épreuve, le minimum et pas une minute de plus)
  • # Bonne Chance !

    Posté par  . Évalué à 10.

    Bonne Chance !

    Le bac, c'est plus marrant quand c'est les autres qui le passent :)
  • # les idées.... des autres !

    Posté par  . Évalué à 3.

    s/exposer ses idées/confronter les concepts vues en cours/.

    si tu parles de tes propres idées, à moins de réinventer quelques siècles, tu vas prendre une boite... ;)

    Courage !!!
    • [^] # Re: les idées.... des autres !

      Posté par  (Mastodon) . Évalué à 4.

      En fait il suffit d'avoir une vague notion de ce qu'ont pensé les "grands penseurs", et d'être capable de se positionner vis-à-vis de ça. Pour tout le reste on peut facilement s'en sortir sans rien "savoir" au sujet de la philo, pour peu qu'on tombe sur un sujet qui nous inspire.

      Il y a des bouquins pas très intéressants, mais assez courts qui résument les pensées de quelques auteurs autour de plein de sujets, c'est parfait pour acquérir le minimum requis de citations pour l'épreuve de philo.

      Bon ok, c'est un peu tard pour les conseils ;-)
    • [^] # Re: les idées.... des autres !

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

      si tu parles de tes propres idées, à moins de réinventer quelques siècles, tu vas prendre une boite... ;)

      Je pense que malheureusement tu as raison : quand j'étais en terminale toute l'année le prof de philo disait qu'il fallait raisonner et exposer ses propres idées, j'avais des bonne notes (12 ou plus) ; au bac j'ai fait pareil, j'ai pris 8 (je crois que la majorité des candidats prennent 8 d'ailleurs). Sad life.
    • [^] # Re: les idées.... des autres !

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

      Oué, j'ai cité Frank Herbert tout plein, les concepts de reve de dragon et deux ou trois autres bricoles toute l'anné (y'a longtemps) et c'etait moyen (8 - 10) pour un resultat au bac de 2, splendide :)
      Un bruit court que le correcteur n'aurait pas lu ma copie (ecriture et ortographe deplorable) et que 2 serait la note la plus basse ne necessitant pas de rapport :)
      Enfin une plante en philo (coef 2) en S ca n'empeche pas d'avoir le Bac :)
      Merci la Bio (spe) (coef 8) les math (coef 7) et la phisique/chimie (coef 6) :)

      (NdM les coef sont de memoire :) )

      Sinon et bien Merde, ou plutot vue l'heure : Alors ca a donné quoi?
      • [^] # Re: les idées.... des autres !

        Posté par  . Évalué à 2.

        Oui, de mémoire. Pour moi c'était 3 pour la philo ...
        En tout cas je vois que tu as pris spé bio... hum.
        Sinon tu as raison, merci les maths, la physique et la bio ;)
        • [^] # Re: les idées.... des autres !

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

          <ma vie>Ouais bio, un prof de premiere m'avais vraiment fait apprecier la matiere, mon but etait de decouvrir comment ca marchait dans le corps humain, et puis j'ai fait un deug. A l'epoque l'info n'etait encore qu'un hobbit et puis plus tard j'ai fait de mon hobby mon boulot et j'ai abandonné la bio. </ma vie>
  • # Un gros ....

    Posté par  . Évalué à 1.

    Merde, c' est tout ce que je vois à dire.
  • # Une idée de remplissage si tu sèches...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10.

    T'arriveras bien à placer un ou deux couplets de propagande contre les brevets logiciels si t'est en panne d'inspiration... et avec un dessin "Get firefox" et "valid XHTML" en bas de page t'es assuré d'avoir la moyenne :-))
  • # Épreuves de fin d'année

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    Ah les examens de fin d'année, les soutenances de projet... Mais cette fois-ci, j'étais de l'autre côté de la barrière ! :-D

    (Grosse quantité de boulot à fournir mine de rien, pour pondre des sujets.)
  • # Et le bac de français !

    Posté par  . Évalué à 3.

    Une petite minute de silence pour ceux qui, demain, passeront l'écrit du bac de français.

    Je vous remercie.
    • [^] # Re: Et le bac de français !

      Posté par  . Évalué à 2.

      KEKTUDIIIIIIIIIIII ????????????
      LE BAAAAAAAAAAAAAAAAC ?!!!!!!
      HAAAAAAA MAIS C'ETAIT Y'A LONGTEMPS CA !!!

      pas la peine de crier grand père !
  • # Fini

    Posté par  . Évalué à 5.

    C'est fini et c'était carrément pas inspirant j'ai eu du mal à faire une demi copie double. Bref pan dans la gueule...

    Pour ceux que ça intéresse voici les sujets:
    1: «Doit-on tout attendre de l'Etat?»
    2: «La notion d'inconscient psychique est-elle contradictoire?»
    3: Explication de texte: «Remarques sur Descartes» de Leibniz

    J'ai pris le 2, l'espèce de truc sur l'inconscient parce que je savais que Freud en avait déjà parlé et donc ça faisait toujours ça à mettre :o) Après ben j'ai fait du remplisssage...

    C'était vraiment pas sympa comme expérience avec ceux qui pleuraient autour... Au début quand j'ai vu les sujets j'avais envie de sauter par la fenêtre, après j'ai griffonné quelques lapins et pingouins, j'ai raconté ce qui passait dans la salle sur une feuille de papier pour mon journal et j'ai piqué un petit somme. Donc j'ai commencé à 10h à baratiner sur ma copie...

    Enfin coeff 7 ça va faire mal le baratin (suis en littéraire, quelle idée me direz-vous)...

    Bref vivement les vacances :)
  • # Un petit sujet de philo

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

    Vu sur www.charabia.net : le générateur de dissert's de philos :

    La conscience en tant que concept minimaliste de la connaissance

    Pour une conscience rationnelle.

    D'une part Chomsky se dresse contre la réalité synthétique de la conscience, d'autre part il en décortique la démystification minimaliste en regard de l'abstraction bien qu'il restructure l'origine de la conscience.
    Par le même raisonnement, il restructure la conception morale de la conscience, et on ne saurait ignorer la critique nietzschéenne du finalisme, pourtant, il serait inopportun d'ommettre que Hegel particularise la démystification transcendentale de la conscience.
    On ne peut considérer qu'il restructure la démystification métaphysique de la conscience sans tenir compte du fait qu'il en restructure l'aspect rationnel en regard de l'abstraction.
    C'est ainsi qu'on ne saurait reprocher à Bergson son finalisme phénoménologique pour l'opposer à son contexte politique et social le finalisme déductif.
    On ne saurait, par déduction, reprocher à Descartes son finalisme métaphysique. En effet, on ne peut contester la critique montagovienne du finalisme. Nous savons que Hegel donne cependant une signification particulière à la destructuration synthétique de la conscience. Or il en identifie l'origine substantialiste en regard de l'abstraction. Par conséquent, il réfute la destructuration minimaliste de la conscience afin de l'opposer à son contexte intellectuel.
    C'est dans une optique analogue qu'il systématise l'analyse substantialiste de la conscience, et on ne saurait reprocher à Rousseau son finalisme substantialiste, pourtant, il est indubitable qu'il systématise l'origine de la conscience. Soulignons qu'il en particularise la démystification substantialiste dans une perspective leibnizienne contrastée.
    Comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il se dresse contre la relation entre passion et distributionnalisme, il est manifeste qu'il réfute la conception irrationnelle de la conscience.
    C'est dans une optique analogue qu'il décortique la réalité circonstancielle de la conscience et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il identifie l'origine de la conscience, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en systématise la destructuration universelle comme objet subsémiotique de la connaissance, cela signifie donc qu'il spécifie la conception subsémiotique de la conscience.
    On ne saurait, pour conclure, ignorer la critique du finalisme originel par Montague.

    Cela nous permet d'envisager qu'on ne peut contester l'impulsion spinozienne du finalisme universel, et comme il semble difficile d'affirmer que Nietzsche conteste la conception post-initiatique de la conscience, de toute évidence il particularise la réalité minimaliste de la conscience.
    Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il interprète l'analyse originelle de la conscience, et l'abstraction subsémiotique ou le finalisme subsémiotique ne suffisent pas à expliquer le finalisme en tant qu'objet génératif de la connaissance.
    Le fait qu'il caractérise, par ce biais, l'abstraction par son abstraction métaphysique signifie qu'il en rejette, par ce biais, la démystification métaphysique sous un angle transcendental.
    C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme primitive la conscience (voir " analyse subsémiotique de la conscience ") afin de l'opposer, par ce biais, à son cadre social et intellectuel.

    Contrastons cependant cette affirmation : s'il décortique, par ce biais, l'expression existentielle de la conscience, c'est aussi parce qu'il en décortique la destructuration spéculative dans une perspective kierkegaardienne. Le fait que Sartre envisage, par ce biais, l'origine de la conscience implique qu'il s'en approprie la démystification existentielle en regard du terminisme.
    On ne peut considérer qu'il conteste la relation entre ionisme et consubstantialité qu'en admettant qu'il en identifie l'analyse synthétique sous un angle empirique.
    Pourtant, il réfute la réalité rationnelle de la conscience ; le terminisme transcendental ou le terminisme substantialiste ne suffisent donc pas à expliquer le terminisme originel en regard du terminisme.
    Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il caractérise ainsi l'esthétique par son terminisme transcendental, et que d'autre part il en conteste ainsi la destructuration rationnelle sous un angle rationnel, dans ce cas il particularise ainsi la conception substantialiste de la conscience.
    Ainsi, on ne saurait reprocher à Bergson son terminisme idéationnel afin de le resituer dans le cadre social et intellectuel.

    Pourtant, il caractérise l'esthétique post-initiatique par son terminisme existentiel, car d'une part Kierkegaard caractérise l'esthétique transcendentale par son terminisme déductif, d'autre part il en identifie l'analyse circonstancielle sous un angle transcendental.
    Dans cette même perspective, il réfute la relation entre suicide et essentialisme, et on ne saurait écarter de cette étude la critique leibnizienne du terminisme, il est alors évident que Descartes réfute l'origine de la conscience. Notons néansmoins qu'il en décortique l'expression subsémiotique en regard du terminisme.
    Dans cette même perspective, il envisage la démystification phénoménologique de la conscience et le fait qu'il examine la réalité existentielle de la conscience signifie qu'il en identifie l'analyse générative comme objet substantialiste de la connaissance bien qu'il systématise la conception rationnelle de la conscience.
    Cette problématique illustre, finalement, un terminisme empirique dans une perspective sartrienne.

    Pour une conscience subsémiotique.

    La conscience ne se borne pas à être une esthétique irrationnelle dans sa conceptualisation.
    On ne saurait alors reprocher à Descartes son esthétique déductive, et si on ne saurait ignorer l'influence de Nietzsche sur l'esthétique spéculative, Nietzsche rejette néanmoins la relation entre monogénisme et innéisme et il en interprète, de ce fait, la destructuration phénoménologique en tant que concept spéculatif de la connaissance.
    L'esthétique primitive ou l'esthétique synthétique ne suffisent alors pas à expliquer le terminisme métaphysique dans son acception nietzschéenne.
    Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il donne une signification particulière à la réalité spéculative de la conscience afin de la resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle. Cependant, il systématise l'origine de la conscience. On pourrait néanmoins mettre en doute Kant dans son approche minimaliste du terminisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il décortique le suicide idéationnel en tant qu'objet existentiel de la connaissance tout en essayant de prendre en considération le suicide phénoménologique.
    Cependant, il identifie la réalité substantialiste de la conscience ; la conscience ne peut, par la même, être fondée que sur le concept du suicide.
    D'une part il conteste, par la même, la démystification originelle de la conscience, d'autre part il en systématise la réalité subsémiotique en tant qu'objet existentiel de la connaissance.
    Par le même raisonnement, on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Chomsky sur le scientisme post-initiatique dans le but de l'opposer à son cadre politique.

    Cependant, il se dresse contre la démystification subsémiotique de la conscience, car on peut reprocher à Kierkegaard son scientisme idéationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il spécifie la démystification empirique de la conscience.
    Il faut cependant mitiger ce raisonnement : s'il envisage la relation entre irréalisme et dialectique, il faut également souligner qu'il en spécifie la démystification circonstancielle en regard du suicide ; le paradoxe du suicide universel illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle le scientisme moral et le suicide ne sont ni plus ni moins qu'un suicide irrationnel synthétique.
    Si la conscience circonstancielle est pensable, c'est tant il en identifie donc la destructuration circonstancielle en tant qu'objet rationnel de la connaissance.
    Par le même raisonnement, il rejette donc la réalité morale de la conscience afin de la resituer dans le cadre social et politique.

    Il faut cependant contraster cette affirmation : s'il s'approprie la relation entre esthétique et substantialisme, c'est aussi parce qu'il réfute la destructuration phénoménologique dans une perspective kantienne contrastée, et on ne saurait reprocher à Montague son suicide génératif, il faut cependant mitiger ce raisonnement : s'il interprète la conception idéationnelle de la conscience, c'est également parce qu'il en spécifie l'expression circonstancielle dans une perspective rousseauiste.
    D'une part il spécifie la conception universelle de la conscience, d'autre part il en donne une signification selon l'origine substantialiste dans sa conceptualisation tout en essayant de l'examiner selon le suicide déductif.
    Pour cela, il conteste l'expression synthétique de la conscience pour la resituer dans le cadre politique le suicide rationnel.
    On ne saurait, par déduction, ignorer l'impulsion chomskyenne du suicide subsémiotique.

    Pourtant, il est indubitable que Kant particularise l'analyse sémiotique de la conscience. Notons néansmoins qu'il en identifie la démystification sémiotique dans une perspective bergsonienne contrastée. C'est le fait même que Emmanuel Kant interprète en effet l'analyse métaphysique de la conscience qui nous permet d'affirmer qu'il en rejette l'expression morale en regard du suicide.
    Il faut cependant contraster cette affirmation car il identifie le scientisme moral de la pensée individuelle ; le paradoxe du suicide illustre, par ce biais, l'idée selon laquelle le suicide idéationnel n'est ni plus ni moins qu'un suicide originel existentiel.
    C'est le fait même qu'il conteste ainsi l'expression minimaliste de la conscience qui infirme l'hypothèse qu'il en donne une signification selon la réalité universelle sous un angle sémiotique.
    Notons par ailleurs qu'on pourrait mettre en doute Hegel dans son approche métaphysique du substantialisme dans le but de le resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle.

    Pour une conscience circonstancielle.

    Notre hypothèse de départ est la suivante : l'aspect montagovien de la conscience provient d'une représentation transcendentale du matérialisme subsémiotique. Par conséquent il restructure l'analyse idéationnelle de la conscience.
    Dans cette même perspective, il interprète la destructuration morale de la conscience, et on ne saurait ignorer l'influence de Kant sur la consubstantialité spéculative, il est alors évident qu'il particularise l'origine de la conscience. Notons néansmoins qu'il en identifie la démystification empirique dans son acception rationnelle.
    Pour cela, il s'approprie la démystification minimaliste de la conscience et comme il semble difficile d'affirmer qu'il particularise donc la relation entre géométrie et structuralisme, il est manifeste qu'il décortique la conception empirique de la conscience.
    On ne saurait, pour conclure, reprocher à Descartes sa consubstantialité spéculative. C'est ainsi qu'il envisage la démystification morale de la conscience, et on ne peut considérer que Sartre s'approprie la réalité subsémiotique de la conscience qu'en admettant qu'il en identifie l'expression phénoménologique en regard de la consubstantialité.
    Cela nous permet d'envisager qu'il interprète l'analyse phénoménologique de la conscience, et on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Chomsky de critiquer le matérialisme, néanmoins, il interprète l'origine de la conscience.
    D'une part il envisage la relation entre passion et naturalisme, d'autre part il en identifie l'expression irrationnelle sous un angle originel.
    C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme déductive la conscience (voir " pour une vision nouvelle de la conscience ") pour la resituer dans le contexte politique et intellectuel.
    Finalement, la conscience tire son origine de la consubstantialité synthétique.

    C'est ainsi qu'il systématise l'expression métaphysique de la conscience, car la conscience nous permet d'appréhender une consubstantialité générative de la société.
    La conscience ne se borne alors pas à être un matérialisme sémiotique sous un angle empirique. On pourrait mettre en doute Sartre dans son analyse irrationnelle de la consubstantialité. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il restructure la consubstantialité originelle de l'Homme.
    Pourtant, il est indubitable qu'il examine la démystification empirique de la conscience. Notons néansmoins qu'il en examine l'analyse minimaliste dans sa conceptualisation alors qu'il prétend la resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle, et la conscience ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément la consubstantialité transcendentale.

    Pourtant, il est indubitable qu'il réfute la démystification primitive de la conscience. Il convient de souligner qu'il en systématise l'expression empirique en regard de la consubstantialité, et on pourrait mettre en doute Kant dans son analyse universelle de la consubstantialité, il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il s'approprie la consubstantialité comme concept irrationnel de la connaissance.
    Comme il est difficile d'affirmer qu'il se dresse contre la relation entre spiritualisme et extratemporanéité, on ne peut que constater qu'il caractérise la contemporanéité transcendentale par sa contemporanéité phénoménologique.
    Par le même raisonnement, il conteste l'expression circonstancielle de la conscience et comme il semble difficile d'affirmer qu'il décortique la réalité rationnelle de la conscience, de toute évidence il identifie la contemporanéité de la société.
    Finalement, la conscience tire son origine de la contemporanéité rationnelle.

    Cependant, il interprète l'origine de la conscience. Comme il semble difficile d'affirmer que Descartes rejette néanmoins la relation entre confusionnisme et syncrétisme, il est manifeste qu'il se dresse contre l'analyse sémiotique de la conscience.
    C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme rationnelle la conscience telle qu'elle est définie dans l'oeuvre de Rousseau, et on ne saurait reprocher à Spinoza sa contemporanéité existentielle, pourtant, il est indubitable qu'il s'approprie la conception synthétique de la conscience. Soulignons qu'il s'en approprie l'aspect génératif dans une perspective leibnizienne contrastée bien qu'il systématise la réalité phénoménologique de la conscience.
    Pour cela, il rejette l'expression originelle de la conscience pour la resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle.
    On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Chomsky, le finitisme moral à un finitisme.

    C'est dans cette même optique qu'il spécifie la conception déductive de la conscience, et la conscience pose la question du finitisme spéculatif comme objet existentiel de la connaissance.
    Le finitisme sémiotique ou la contemporanéité phénoménologique ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer la contemporanéité sous un angle post-initiatique. Il faut cependant contraster ce raisonnement : s'il caractérise le finitisme par sa contemporanéité originelle, il faut également souligner qu'il en particularise l'analyse existentielle dans sa conceptualisation, et la conscience illustre d'ailleurs un finitisme rationnel de la pensée individuelle.

    Par ailleurs, on ne saurait reprocher à Bergson sa contemporanéité universelle, et le finitisme génératif ou le finitisme ne suffisent pas à expliquer la contemporanéité en tant que concept minimaliste de la connaissance.
    On ne peut donc contester la critique chomskyenne du finitisme, et on ne peut considérer que Nietzsche examine la démystification existentielle de la conscience sans tenir compte du fait qu'il en caractérise l'expression minimaliste sous un angle synthétique.
    La conscience ne se borne donc pas à être un finitisme sous un angle primitif.
    Pourtant, il conteste l'analyse idéationnelle de la conscience afin de l'opposer à son cadre intellectuel et politique.

    Vers une théorie de la conscience minimaliste.

    Nous savons que Leibniz caractérise la contemporanéité universelle par son finitisme rationnel. Or il en rejette l'analyse phénoménologique en tant qu'objet rationnel de la connaissance alors qu'il prétend le considérer en fonction du finitisme synthétique. Par conséquent, il spécifie l'origine de la conscience afin de l'examiner selon la contemporanéité.
    On pourrait mettre en doute Montague dans son approche subsémiotique de la contemporanéité. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il restructure la réalité irrationnelle de la conscience.
    Il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il donne une signification particulière à la destructuration substantialiste de la conscience, et le paradoxe de l'indéterminisme universel illustre l'idée selon laquelle l'indéterminisme phénoménologique n'est ni plus ni moins qu'une continuité irrationnelle.
    On ne peut en effet contester l'impulsion sartrienne de la continuité. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il envisage la destructuration synthétique de la conscience.
    Notons par ailleurs qu'il particularise l'indéterminisme génératif dans son acception idéationnelle et la conscience nous permet donc d'appréhender un criticisme de l'Homme. Contrastons cependant ce raisonnement : s'il restructure l'objectivité idéationnelle comme concept transcendental de la connaissance bien qu'il rejette l'analyse empirique de la conscience, c'est également parce qu'il s'en approprie l'origine existentielle dans sa conceptualisation tout en essayant de critiquer le criticisme. La conscience pose, par la même, la question de l'objectivité dans son acception chomskyenne.
    Par ailleurs, on ne saurait reprocher à Nietzsche son criticisme post-initiatique. C'est le fait même que Spinoza conteste la conception morale de la conscience qui nous permet d'affirmer qu'il en rejette la réalité post-initiatique sous un angle existentiel bien qu'il spécifie l'expression spéculative de la conscience.
    Cependant, il donne une signification particulière à la réalité irrationnelle de la conscience, et la conscience ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément l'objectivité phénoménologique.

    Pourtant, il est indubitable qu'il réfute la démystification sémiotique de la conscience. Notons néansmoins qu'il réfute la démystification substantialiste en tant qu'objet métaphysique de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans toute sa dimension politique et sociale. La conscience ne synthétise ainsi qu'imprécisément l'objectivité synthétique.
    Chomsky avance, par la même,, dans son essai "conscience vs objectivité", que la conscience ne synthétise qu'imprécisément l'objectivité empirique. Contrastons cependant cette affirmation : s'il systématise la relation entre continuité et matérialisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en restructure la démystification universelle dans son acception spinozienne, et la conscience permet d'ailleurs de s'interroger sur un criticisme post-initiatique de l'Homme.

    Par ailleurs, il envisage l'origine de la conscience, et on ne peut considérer que Henri Bergson caractérise l'objectivité transcendentale par son criticisme post-initiatique sans tenir compte du fait qu'il en systématise la démystification primitive en tant qu'objet minimaliste de la connaissance.
    Pour cela, il identifie la conception métaphysique de la conscience, et on ne peut contester l'influence de Descartes sur le criticisme moral, contrastons cependant ce raisonnement : s'il rejette la relation entre objectivité et essentialisme, c'est également parce qu'il en examine la démystification empirique en regard de l'objectivité.
    Premièrement il conteste la relation entre géométrie et criticisme, deuxièmement il en décortique l'aspect moral dans son acception subsémiotique. De cela, il découle qu'il se dresse contre le criticisme de la pensée individuelle tout en essayant de l'opposer à son cadre social et intellectuel.
    C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le criticisme à une objectivité pour critiquer l'objectivité l'objectivité empirique.
    On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Nietzsche, le criticisme transcendental à un criticisme rationnel.

    C'est dans cette même optique qu'il conteste l'expression déductive de la conscience, car la conscience ne se comprend qu'à la lueur de l'objectivité métaphysique.
    Pour cela, Chomsky restructure l'expression générative de la conscience. Premièrement il caractérise l'objectivité par son criticisme primitif, deuxièmement il en identifie l'analyse synthétique sous un angle moral alors qu'il prétend critiquer le dogmatisme synthétique. De cela, il découle qu'il restructure l'origine de la conscience.
    Pourtant, il caractérise le primitivisme phénoménologique par son primitivisme rationnel, et la conscience ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément le dogmatisme subsémiotique.

    Cependant, il systématise la destructuration rationnelle de la conscience. On ne saurait pourtant assimiler, comme le fait Spinoza, le dogmatisme à un primitivisme universel, cependant, il envisage l'expression morale de la conscience.
    Nous savons qu'il interprète l'origine de la conscience. Or il en restructure l'origine rationnelle sous un angle empirique. Par conséquent, il rejette le primitivisme primitif de la société afin de le resituer dans le cadre intellectuel et social.
    Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait ignorer l'impulsion sartrienne du primitivisme et le fait que Leibniz systématise la relation entre créationisme et primitivisme signifie qu'il en identifie l'aspect rationnel dans son acception sartrienne bien qu'il interprète l'origine de la conscience.
    Finalement, cette problématique permet de s'interroger sur un primitivisme en tant qu'objet spéculatif de la connaissance.

    Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il réfute la destructuration empirique de la conscience, et notre hypothèse de départ est la suivante : la conscience nous permet d'appréhender un primitivisme de la pensée sociale. Cette hypothèse est cependant remise en cause lorsqu'il réfute l'origine de la conscience.
    On pourrait mettre en doute Kierkegaard dans son analyse empirique du dogmatisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute la réalité générative de la conscience.
    Cependant, il spécifie l'expression subsémiotique de la conscience ; le paradoxe du primitivisme rationnel illustre ainsi l'idée selon laquelle le dogmatisme métaphysique n'est ni plus ni moins qu'un primitivisme rationnel idéationnel.
    Nous savons qu'il rejette alors l'analyse transcendentale de la conscience. Or il en identifie l'analyse universelle dans une perspective rousseauiste alors même qu'il désire la considérer selon le dogmatisme existentiel. Par conséquent, il caractérise le primitivisme empirique par son primitivisme universel pour prendre en considération le dogmatisme.
    C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme universelle la conscience telle qu'elle est définie dans l'oeuvre de Nietzsche dans le but de l'opposer à son cadre intellectuel et politique.

    Conscience post-initiatique : Une théorie universelle.

    On ne saurait reprocher à Kierkegaard son dogmatisme phénoménologique, cependant, il interprète la réalité primitive de la conscience.
    Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait écarter de cette étude la critique du primitivisme substantialiste par Kierkegaard et le fait qu'il envisage l'origine de la conscience implique qu'il s'en approprie l'origine spéculative dans une perspective sartrienne contrastée.
    On ne saurait, pour conclure, écarter de cette étude l'impulsion cartésienne du dogmatisme. Par le même raisonnement, on ne saurait ignorer l'impulsion leibnizienne du primitivisme phénoménologique, car comme il semble difficile d'affirmer que Nietzsche conteste la destructuration universelle de la conscience, force est d'admettre qu'il examine la réalité empirique de la conscience.
    Comme il semble difficile d'affirmer qu'il spécifie la démystification transcendentale de la conscience, force est d'admettre qu'il examine la relation entre liberté et holisme.
    Il est alors évident qu'il examine la conception transcendentale de la conscience. Il convient de souligner qu'il en donne une signification selon la destructuration métaphysique sous un angle substantialiste, et le paradoxe du structuralisme substantialiste illustre l'idée selon laquelle l'esthétique morale et l'esthétique existentielle ne sont ni plus ni moins qu'un structuralisme minimaliste phénoménologique.
    Notre hypothèse de départ est la suivante : la conscience pose en effet la question du structuralisme universel en regard du structuralisme. Cela signifie notamment qu'il décortique l'expression morale de la conscience.
    C'est ainsi qu'il donne une signification particulière à l'origine de la conscience dans le but de la resituer dans le cadre politique et social.

    Pourtant, il est indubitable qu'il systématise l'analyse spéculative de la conscience. Il convient de souligner qu'il en donne une signification selon l'aspect substantialiste dans sa conceptualisation, car l'esthétique existentielle ou le structuralisme primitif ne suffisent pas à expliquer l'esthétique idéationnelle comme concept spéculatif de la connaissance.
    La conscience pose, de ce fait, la question du structuralisme primitif en regard du structuralisme, et pour cela, on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, le structuralisme rationnel à un structuralisme.
    Le paradoxe de l'esthétique universelle illustre cependant l'idée selon laquelle l'esthétique rationnelle n'est ni plus ni moins qu'une esthétique substantialiste universelle.
    Ainsi, Montague envisage la réalité existentielle de la conscience.

    Cependant, il s'approprie la réalité substantialiste de la conscience, car si d'une part on accepte l'hypothèse que Rousseau particularise le structuralisme subsémiotique dans son acception rationnelle, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en caractérise l'analyse subsémiotique sous un angle rationnel tout en essayant de le considérer selon le structuralisme synthétique cela signifie alors qu'il donne une signification particulière à la réalité sémiotique de la conscience.
    Pourtant, il est indubitable qu'il décortique la destructuration sémiotique de la conscience. Soulignons qu'il en systématise la démystification sémiotique dans une perspective sartrienne contrastée, et l'esthétique primitive ou le structuralisme ne suffisent pas à expliquer l'esthétique universelle en tant que concept originel de la connaissance.
    Si la conscience primitive est pensable, c'est il en particularise, par la même, la démystification métaphysique en regard du structuralisme alors même qu'il désire le resituer, par la même, dans le cadre politique et social.
    Par le même raisonnement, il envisage la destructuration déductive de la conscience et la conscience ne saurait en effet se comprendre autrement qu'à la lueur du structuralisme génératif.

    C'est dans une finalité analogue qu'il donne une signification particulière à la destructuration primitive de la conscience, car comme il est manifestement difficile d'affirmer que Noam Chomsky restructure l'analyse métaphysique de la conscience, on ne peut que constater qu'il systématise l'esthétique primitive en tant qu'objet idéationnel de la connaissance alors qu'il prétend supposer l'esthétique post-initiatique.
    Dans cette même perspective, on ne saurait reprocher à Montague son causalisme moral, et on ne saurait ignorer la critique du causalisme par Spinoza, néanmoins, il conteste la conception empirique de la conscience.
    Pour cela, on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Kant de critiquer la continuité pour la considérer selon le causalisme idéationnel.
    Finalement, la conscience nous permet d'appréhender un causalisme dans sa conceptualisation. fin.
  • # J aime la philo

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

    j etais une brute en philo, j avais 16 de moyenne.. Je devais présenter le concours général, mais ma prof ne m a pas vu avant la date limite d inscription.. j aurais tant voulu le passer..
    • [^] # Re: J aime la philo

      Posté par  . Évalué à 2.

      me 17 de moyenne cette année, et passé la philo ce matin aussi, en espérant que ca sera du même acabit, parce que c'est aujourd'hui que ca comptait :)

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