Denis Bernard a écrit 222 commentaires

  • [^] # Re: Pourquoi cette protrusion ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal LaTeX sans douleur. Évalué à 2.

    Ça ne m'avait pas sauté aux yeux ! Je viens de compiler manuellement le code avec pdflatex et je n'ai pas de message "Underfull \hbox" (enfin, pas à ces endroits…). Par contre, si l'on regarde en haut de la seconde colonne de la première page, la première ligne est en italique et déborde légèrement par rapport au restant du texte en romain ; mais pas plus, ni moins que la césure à la ligne en-dessous !

    Donc, à la vue d'autres débordements tant des césures que des caractères en italique, je suis enclin à penser que le comportement est normal. Peut-être est-ce dû à la délimitation de la boite du caractère en romain qui forcément doit déborder un peu à droite ? Mais aussi, je crois avoir lu (il y a longtemps !) dans un ouvrage théorique que les caractères en italique pouvaient légalement déborder de leur boite. S'il y a barbu en TeX qui lit ceci, qu'il nous éclaire !

  • [^] # Re: les cris

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal LaTeX sans douleur. Évalué à 2.

    les « écris », c'est un mélange de cris et d'écrits ? ;)

    Merci d'avoir relevé la faute ! Je viens de mettre en ligne une nouvelle version.

    Pour les deux points qui auraient pu être remplacés par une virgule, après réflexion (mais rien n'est figé !) :

    Pour :

    En faisant défiler les pages d’un roman : vous
    verrez tantôt des dialogues, tantôt du texte
    normal disposé en paragraphes.

    Je me souviens avoir peiné à cet endroit et avoir hésité entre la virgule et le deux-points. Après nouvelle réflexion je vois une autre possibilité : ni virgule, ni deux-points ! Donc, la version modifiée en ce sens est maintenant en ligne. Si ça choque, merci de me le dire.

    Pour :

    Si votre texte est destiné à un journal : une page
    affichera plusieurs colonnes et chaque ligne d’une
    colonne sera plus courte que celle d’un livre. Une

    Oui, je suis d'accord, il faut une virgule à la place du deux-points ! Correction faite dans la nouvelle version en ligne.

  • [^] # Re: pour les fautes c'est ici

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal LaTeX sans douleur. Évalué à 1.

    Oups… Merci ! C'est corrigé maintenant.

  • # Quel est le critère ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Meilleurs contributeurs LinuxFr.org : les gagnants de septembre 2013. Évalué à 8. Dernière modification le 10 octobre 2013 à 21:06.

    Les heureux gagnants du mois sont 6 personnes, pour moitié des auteurs de dépêches, pour l'autre des auteurs de journaux. Dans la catégorie "journaux", ces heureux gagnants ont eu respectivement 67, 55 et 54 votes concernant la pertinence de leur prose.

    Or il se trouve qu'au même mois de septembre, rien que pour moi, j'ai obtenu 98 points avec mon Premiers pas avec Manux. Je n'ai pas étudié si je suis le seul dans ce cas… Le score portant sur la pertinence est-il le seul critère (auquel cas j'apprécierais qu'il y ait un nouveau comptage !) ou bien est-ce basé sur un algorithme plus subtil ?

  • [^] # Re: pourquoi avoir supprimé les liens ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Wikipedia sous Gopher. Évalué à 1.

    Il m'est impossible de répondre à ta question en quelques lignes… il faudrait un livre entier pour ça ! Mais ce que je peux dire, en attendant que tu te documentes à droite et à gauche :

    Gopher est en fait, non pas un mais deux protocoles distincts (Gopher et Gopher+) et surtout d’autres protocoles associés, plus ou moins informels (tout comme le couple HTTP/HTML qui a engendré CSS, javascript, etc.). HTTP/HTML a été développé par l’équipe de T. Berners-Lee et Gopher par celle de M. McCahill ; et tout ça à la même époque. Pour ceux qui pensent qu'il a existé une guerre entre les deux équipes, je les invite à consulter la rfc 1738 et de regarder ses auteurs.

    À ce que j’ai compris, à l’époque de la publication de la rfc 1738, McCahill s’est désengagé de Gopher mais son équipe a entrepris de développer la version 2 de Gopher, connue sous l’appellation de « Gopher+ ».

    Oui, on peut dire que HTTP/HTML a enterré Gopher parce qu’il lui était supérieur par sa capacité à afficher des images dans un texte. Mais il y a eu aussi la brutale fermeture du service Veronica qui était à Gopher ce que Google est aujourd’hui au Web. Imaginez le web d’aujourd’hui où les Google, Bing et consort s’arrêteraient à la même heure ?

    En fait, déjà à cette époque, le service de découverte de document était aussi efficace que ce que fait Google aujourd’hui (et les bots existaient déjà !) ; de plus, Veronica était à la portée financière d’une université…

    Gopher, n’a plus de sens aujourd’hui dans sa version 1. Par contre, Gopher+ (la version 2) a vraiment un potentiel intéressant ; pas pour concurrencer HTTP/HTML mais par sa capacité à établir des menus (Gopher est intrinsèquement un protocole pour établir des menus listant des ressources Internet, pas un FTP amélioré !) et à faire des moteurs de recherche distribués (et donc plus robustes que les moteurs de recherche du Web).

  • [^] # Re: Telnet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Wikipedia sous Gopher. Évalué à 3.

    Oui, pour moi Linux c'est strictement pour le fun ! Je ne l'ai jamais utilisé pour gagner ma vie ! Et puis, si j'étais quelqu'un de normal, je ne serais pas sous Gentoo mais sous une Debian-like. Donc, les techno anciennes (comme Gopher) ou futures (comme Manux) m'apportent une forme de jouissance malsaine.

    Concernant mon appréciation sur la surcharge des pages de Wikipedia qui nuisent à la lecture, je suis dans le même délire que celui qui a écrit l'article "Weboop" dans le magazine "Linux Pratique" N°79 (sep/oct 2013).

  • [^] # Re: Telnet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Wikipedia sous Gopher. Évalué à 2. Dernière modification le 23 septembre 2013 à 14:44.

    Ce que je disais se basait sur une expérience récente. En effet, j'ai eu à installer une Gentoo avec le CD-ROM minimal (ce qui est un exercice similaire à une Linux From Scratch).

    Avec ce CD-ROM on a, en live, un Linux très succin qui fourni quelques binaires mais qui n'a aucune documentation (comme les pages de man). Avec ces binaires, on peut se connecter à Internet (via un modem ADSL dans mon cas), télécharger les sources puis les compiler et construire ainsi son système. Et l'on peut aussi surfer avec le navigateur en mode caractère Links. J'ai eu besoin, un moment, de consulter une doc.

    Et je puis t'assurer que visualiser une page de Wikipedia avec un navigateur en mode caractère est une punition.

  • [^] # Re: Telnet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Wikipedia sous Gopher. Évalué à 4.

    Je regrette ma réponse précédente… Oui, Gopherpedia apporte la preuve qu'une page de texte Wikipedia dépouillée de ses annexes est bien plus agréable à lire. Et comme il ne reste que des caractères, rien ne s'oppose à ce qu'il en soit fait une version Telnet.

  • [^] # Re: Telnet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Wikipedia sous Gopher. Évalué à 1.

    Voir mon commentaire précédent à "C'est super" !

  • [^] # Re: C'est super

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Wikipedia sous Gopher. Évalué à 2.

    Il ne faut pas confondre le Minitel avec Gopher. Le Minitel était la transposition à l'échelle d'un pays entier des BBS. Le terminal Minitel agissait de la même manière qu'une session Telnet.

    Par contre, il convient de reconnaître que le projet Minitel a pesé très lourd dans la normalisation des images JPEG et que ses versions tardives affichaient tout aussi bien du texte que des images.

    Gopher est le truc qui s'occupe de brancher un utilisateur à une ressource distante, pas de gérer l'apparence de l'affichage de cette ressource. C'est comme les marques pages dans un navigateur Web…

  • [^] # Re: Lisibilité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Wikipedia sous Gopher. Évalué à 9.

    Les pages délivrées par Gopherpedia sont plus lisibles que celles délivrées directement par Wikipedia car elles ont été débarrassées de toutes les informations annexes comme les liens, tableaux et les illustrations ; seul le corps du document subsiste : preuve en est que le site http://Gopherpedia.com est sous protocole HTTP/HTML et su'il affiche aussi les pages extraites de Wikipedia centrée sur le corps du texte.

    De ce qui précède, d'un point de vue strictement technique, le protocole Gopher n'entre en rien dans cette affaire de mise en page qui relève seulement du métier d'un graphiste. Par contre, d'un point de vue humain, c'est très différent : pour l'immense majorité des rares fanatiques du protocole Gopher, l'âge d'or de l'informatique se situait à l'époque des moniteurs monochrome verts ou ambrés qui ne pouvaient afficher que du texte.

    Il y a aussi une terrible confusion de la lecture du protocole Gopher de la part de ces nostalgiques car ils se focalisent seulement sur la première version de Gopher et se refusent à seulement étudier la deuxième version (Gopher+). On a connu la même chose avec ceux qui programmaient en langage C et se refusaient absolument à s'essayer au C++.

    Ces deux protocoles définissent d'une part la partie réseau et, d'autre part, la partie utilisateur (tout comme le web défini la partie réseau , HTTP, et la partie utilisateur, HTML). Mais vu de l'utilisateur, Gopher est un menu où l'on clique pour accéder à un document sur un ordi distant ou ouvrir une session sur un autre ordi distant.

    La première version de Gopher définissait ces accès aux ressources distantes selon des critères exclusivement physiques. Ainsi la ressource distante est un texte et ce texte est formaté avec des retours à la ligne différents selon qu'il soit hébergé sur un PC, un Mac ou un unix. Ou bien encore, la ressource est un accès Telnet et le menu Gopher contient l'URI et le mot de passe de ce site Telnet.

    La seconde version de Gopher, Gopher+, était orienté selon la nature de la ressource et pour l'utilisateur le menu Gopher+ contenait des informations supplémentaires comme la licence du document, son titulaire et un nombre illimité d'autre méta-informations. Donc, un menu Gopher+ est compatible ascendant avec le Gopher originel mais il se présente sous une forme très proche des liens de syndication ATOM. Par exemple, il peut dire que le document distant est certes une texte mais aussi que ce texte contient des balise HTML. C'est tout le principe des types MIME.

    Le protocole Gopher+ comblait un vide avec l'arrivée du Web qui faisaient que l'on trouvait des menus Gopher non conforme à la norme avec des balises non prévues à l'origine, comme la balise 'h' qui signifiait que la ressource distante était un document HTML.

    Mais, à cette époque très riche en nouveauté, la transition du protocole Gopher vers le protocole Gopher+ a échoué. Ce qui a amené, par la suite, à des replâtrages pour combler le besoin d'un menu réellement lisible permettant d'accéder à des ressources distantes : les agrégateurs de liens de syndication…

  • [^] # Re: Kio gopher

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Wikipedia sous Gopher. Évalué à 6.

    Oui, je n'avais pas donné une liste de tous les navigateurs Gopher que je connaissais. Pour Konqueror, il faut deux choses : un, que le module adéquat soit installé (kde-misc/kio_gopher sous Gentoo, par ex.) et deux, que le moteur web par défaut (dans l'onglet de configuration) soit mis à KHTML et non pas à Webkit.

    Concernant le client Gopher, je l'avais bien mentionné dans le numéro deux. De mémoire, je dirais que Lynx était le plus ancien de tous car il existait déjà du temps d'Archie, puis il a été adapté à Gopher et après au Web. Toujours de mémoire, il partage une base commune avec le client www et ce dernier est aussi un client Gopher !

    Ce vénérable www existe au sein de la librairie libwww du w3c ; mais il ne fait plus partie de la distro Gentoo, aujourd'hui. Pour les autres distros, je ne sais pas… Ainsi, si vous avez la librairie libwww sur votre système, vous avez forcément le très collector client www ! Et vous pouvez faire: www gopher://gopherpedia.com/.
    N.B. : ce client est orienté ligne et non pas page; il convient mieux pour les consoles qui ont une imprimante en sortie standard et non pas un moniteur vidéo.

  • [^] # Re: Pas vraiment surprenant

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Premiers pas avec Manux. Évalué à 3.

    Comme je me suis exprimé, suite à ton commentaire de ce midi dans le journal de Colbus du 15 aôut dernier, Je conviens que la licence de Manux est discutable. Mais elle est sensée s'autodétruire (éventuellement) le 1er juillet 2014. Donc tout espoir de changement de ladite licence n'est pas vain.

    D'autre part, Manux est, a minima, "open source" et le code semble lisible et reproductible. Il est donc possible, pour les spécialistes des systèmes d'exploitation, de s'en inspirer ultérieurement s'il s'avère que Manux bascule du côté de la force obscure.

    Ensuite, pour le code en français, j'ai été également très surpris. Mais, pour avoir déjà codé un soft en anglais, je sais combien ça ralenti le codage quand on n'est pas parfaitement bilingue. La créativité s'en ressent car les processus intellectuels sont accaparés par la langue étrangère; et on a toujours la trouille de créer un jeu de mot graveleux à l'insu de son plein gré, faute de pourvoir le faire relire par un informaticien anglophone.

    Un autre argument, et à mon avis le plus important, est qu'en codant en français on gère une communauté presque à 100% sur le même fuseau horaire. J'ai eu à subir cet inconvénient quand j'ai participé à la traduction de NanoBlogger par le passé : les gens se lèvent quand d'autres se couchent et les mails se croisent à tout va. C'est vraiment pénible de développer en commun au niveau de la planète, même si la communauté est de taille modeste.

  • [^] # Re: Tuer la poule aux oeufs d'or

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Annonce : Manux 0.0.1. Évalué à 1.

    Pour info : j'ai vu sur le site de l'I.N.P.I. que Debian était une marque internationale déposée sous le numéro 1084122.

    Mais pour répondre à ta question : oui j'ai lu la licence et oui, comme toi, tout ne me plaît pas dedans. D'un autre côté, il ne faut pas demander à un gus qui code tout seul dans son coin, d'avoir tout autant le génie de l'informatique que celui du droit. Dans chacun de ces domaines, il faut avoir fait des années d'études ! Et c'est là où la communauté peut apporter quelque chose, surtout dans le contexte obligatoirement international qu'est le logiciel qui oblige à un exercice d'équilibriste entre des dizaines de législation en vigueur.

  • [^] # Re: Tuer la poule aux oeufs d'or

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Annonce : Manux 0.0.1. Évalué à 1.

    Il ne faut pas faire de confusion entre le droit U.S. et le droit français ! Au sens strict, "Trademark" signifie 'marque commerciale' ; or, en droit français, on parle plutôt de marque déposée qui s'applique certes aux entreprises commerciales mais aussi à des personnes (morales ou physiques) de la société civile. Voir sur Wikipédia le Droit des marques .

  • [^] # Re: Virtual box?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Premiers pas avec Manux. Évalué à 5.

    Si si, j'avais compris. Ce que j'essaye d'expliquer est qu'il y a deux objectifs distincts dans la conception d'un O.S. : l'un est très lié au matériel (pilote du clavier, disque dur, etc.), l'autre à la partie logicielle comme la gestion des processus. La partie logicielle est testable sous virtualisation ok ; mais pas la partie matérielle. Or, il tombe sous le sens que si Emmanuel peut peaufiner la partie logicielle avec des moyens réduits (car elle ne nécessite que presque seulement de la matière grise), il ne peut absolument pas travailler seul sur les drivers vu l'énormité du parc informatique actuel. C'est là où la communauté (c'est à dire vous et moi !) est indispensable.

    Par ailleurs, en privilégiant une expérimentation en mode virtuel, on résoudra des problèmes que de toute façon il faudra bien résoudre plus tard, d'accord. Mais on se retrouvera avec un O.S. ayant bonne apparence sous virtualisation et qui décevra quand il devra sortir de sa cage. Et les espérances déçues sont chose mortelle.

  • [^] # Re: Virtual box?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Premiers pas avec Manux. Évalué à 2.

    Clairement, ce que j'ai fait n'était pas raisonnable : j'ai expérimenté sur une machine qui me sert absolument à tout, y compris à l'hébergement de mes pages perso. Je ne dispose que d'un seul autre ordi, assemblé par mes soins en 1995 et sur lequel j'avais installé en dual boot le tout nouveau Windows 95 et une Red Hat. Cette machine est toujours fonctionnelle mais sous Windows XP ; elle me sert de grand secours quand je casse la config de ma machine principale.

    Je déconseille formellement à quiconque de faire ce que j'ai fait la semaine dernière ! Le risque de casse du matériel est trop grand, avec des drivers non testés ! Mais si vous avez un ordi qui ne craint plus rien et dont vous vous ne servez pas, tentez le coup ! Ce n'est pas tous les jours que l'on peut tester un possible successeur à Linux…

    Je ne suis pas très d'accord pour expérimenter un O.S. débutant sous virtualisation alors que son auteur ne l'a même pas fait… Dans le cas précis de Manux, le gros soucis d'aujourd'hui est l'installation du système sur la machine, pas son fonctionnement une fois installé. Une fois que j'ai eu réussi l'installation de Manux, j'avais un truc qui tenait la route (en faisant abstraction des problèmes de clavier et de codes caractère déjà évoqués sur le site de Manux).

    Avant cette expérience je n'avais pas compris combien l'amorçage d'un système était comme le lancement d'une fusée à plusieurs étages ! Avec Manux, il y a à déboguer chacun de ces étages avant le placement sur orbite. Je pense que le faire tourner sous virtualisation ne testera que ce qui suivra la mise sur orbite. Il faudra le faire plus tard, bien sûr ! Mais ce n'est pas la priorité d'aujourd'hui.

    Par exemple, sur ma machine, il a fallu tenir compte que je plaçais Manux sur la partition d'un nombre élevé (/dev/sda11) et il y avait aussi un problème de partition étendue qu'Emmanuel n'avait pas envisagé. Il a fallu patcher !

    C'est pour ça que l'expérimentation en mode réel est incontournable dans le début de ce projet.

  • [^] # Re: Virtual box?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Premiers pas avec Manux. Évalué à 1.

    Oui, je suis tout à fait d'accord avec cette remarque. Cependant, il faut tenir compte que j'avais eu à réagir dans l'urgence suite à une réponse que j'avais faite dans un style lapidaire et qui avait été mal interprétée : j'étais en train de me faire moinsser à la vitesse grand V !

    Autant l'auteur d'un journal dispose de tout son temps pour le rédiger, autant les réponses aux commentaires nécessite de faire diligence et donc la qualité est moindre…

  • [^] # Re: Virtual box?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Premiers pas avec Manux. Évalué à 10.

    Je prends conscience que la concision de ma réponse peut être interprétée comme étant hostile. Mais ce n'est pas le cas ! Je vais donc développer. Ma machine la plus récente (celle où j'ai expérimenté MAnux) a cinq ans d'âge et a été assemblée par mes soins. Ce n'est donc pas un ordi standard ! Il est possible que mon matériel produise des plantages qui ne se produiraient pas sur une machine grand public. Et, à l'époque, je ne l'ai pas doté d'un CPU permettant la virtualisation. Mon journal n'a pas détaillé tous les soucis (pour ne pas être ennuyeux…) que j'ai rencontré pour l'installation de Manux. Mais de façon claire pour moi, au moins une des difficultés rencontrées ne serait pas advenue sous machine virtuelle. Manux est un système d'exploitation pensé avant tout pour les machines réelles ; et les machines réelles sont infiniment variées. Je pense qu'il est de bon sens d'expérimenter pour de vrai plutôt que de produire quelque chose qui ne sera jamais qu'un "proof of concept" si l'on limite l'expérimentation d'un O.S. sous une machine virtuelle. Et c'est dans cette expérimentation, que nous autres utilisateurs ordinaires pouvons apporter une aide constructive aux personnes qui se lance dans ce genre d'aventure gigantesque.

  • [^] # Re: Virtual box?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Premiers pas avec Manux. Évalué à 3.

    La réponse est dans la FAQ du site de Manux .

  • [^] # Re: bloguer assez simplement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Prendre la température avec un raspberry. Évalué à 3.

    Si tu cherches un blog statique administrable à la console et si tu peux de te passer du support des commentaires, il y a le soft que j'ai développé cet hiver : fBlog. Sa particularité est de ne nécessiter d'aucune dépendance comme PHP, *SQL, langage de script (c'est un binaire exécutable), etc… Il faut seulement seulement une machine avec un shell et un éditeur de texte pour l'utiliser. Pour l'instant, je ne connais personne l'ayant essayé dans sa dernière version ; donc, je ne garantis rien ! Je comptais m'y remettre le prochain hiver (période où je code pour mon plaisir !) et faire un article de présentation ici sur ce site. Mais si ça peut en intéresser déjà certains…

  • [^] # Re: Et?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Libre linuxFr ?. Évalué à -1.

    J'avoue : j'ai rien compris à ce commentaire qui raconte n'importe quoi.
    Souffle un coup, mes tes pensées en forme, parce que la ça ressemble à rien du tout.

    Bon, désolé, je pensais être limpide dans mes propos. Et comme par le passé, j'ai souvent apprécié tes interventions sur ce site, je prends au sérieux ta remarque et je vais développer.

    Le contentieux entre la société éditrice de sites Web à l'origine de cette polémique et LinuxFr est une réalité avéré et non pas un fantasme. Il est tout aussi avéré que LinuxFr est une entité autonome sous la forme d'une association Loi 1901 de la loi française et qui, de ce fait, a à répondre de ses agissements face aux tribunaux. Techniquement parlant, c'est le président de l'association 1901 qui est la personne responsable. LinuxFr diffuse du contenu sur Internet, au même titre que d'autres sites comme ceux des journaux de la presse imprimée. La loi sur la presse s'applique expressément tant aux sites Internet que ceux des journaux papier. De ce qui précède, le président de l'association qui met en ligne LinuxFr est exactement dans la même situation qu'un directeur de publication d'un périodique mis en difficulté par l'un de ses rédacteurs. Dans le cas de LinuxFr les propos émis par un particulier, même non membre de l'association, relève de la responsabilité au premier chef du Président de l'association.

    Il y a aussi souvent une confusion entre gratuité et association loi 1901. Je rappelle qu'une association Loi 1901 peut être une entreprise (avec salariés, comité d'entreprise…) et qu'elle peut se livrer à des actes de commerce. Une association Loi 1901 est une forme de société et la différence entre une société commerciale ne diffère que par la notion de lucre des sociétaires qui sont dans un cas un actionnaire et dans l'autre un adhérant. Je rappelle aussi, qu'il est possible de transformer la raison sociale d'une association Loi 1901 en société commerciale.

    Concernant le mélange des genres: nous voyons, sur ce site, que la majorité de ceux qui s'y expriment le font à titre individuel. Ces personnes (et j'en fait parti !) n'ont rien à vendre et souhaitent partager de façon conviviale leur passion du monde Linux. Mais nous voyons aussi des personnes qui viennent vendre leurs salades. Certes, dans l'apparence, ce sont des particuliers ; mais, juridiquement parlant, ces personnes ne sont pas des personnes physiques mais des personnes morales car elles parlent au nom de l'entreprise qui les emploie. Il y a un gouffre entre une personne physique et une personne morale. En cas de fâcherie entre deux particuliers, ça peut se régler avec coups de gueule (comme en ce moment !) et rarement devant un tribunal. En cas de fâcherie entre deux personnes morales, ça ne peut se régler qu'au tribunal. Or LinuxFr n'est pas un particulier mais une personne morale ; de même, l'entreprise de celui qui a mis l'offre d'emploi sur ce site. Et cas aggravant pour LinuxFr, son hébergeur est bien connu et tout le monde ne l'aime pas. Il n'est donc pas certain que LinuxFr puisse gagner de façon certaine en justice parce que son hébergeur n'est pas anodin.

    De ce qui précède, si LinuxFr persiste à laisser s'exprimer des entreprises, il lui faudra être vigilant sur le rédactionnel des hurluberlus de notre genre, car s'est elle qui paiera le prix des pots cassés. Par contre, si seuls des particuliers continuent à s'y exprimer, le risque juridique pour LinuxFr est infiniment plus faible. Vouloir persister à cette mixité, entraînera une certaine forme d'auto-censure pour toi, moi et bien d'autres.

  • [^] # Re: Et?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Libre linuxFr ?. Évalué à -10.

    Oui, je sais que le commerce a besoin que la liberté règne. Le propos de mon billet d'humeur est que si LinuxFr persiste à mélanger les genres (rédactionnel et publi-rédactionnel) l'exercice de modération va devenir extrêmement délicat et au final, à force que tout le monde ne pourra dire que des choses gentilles, ce ne sera plus un forum libre mais une Société d'admiration mutuelle.

  • # Plus de précisions

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Critique de Underground (Assange, Dreyfus). Évalué à 4.

    Critique intéressante mais il manque les liens suivant :

    1. Suelette Dreyfus ;
    2. possibilité d'achat en ligne de la traduction française ;
    3. l'éditeur français .
  • [^] # Re: Fortran...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message [Terminé] Invitation à tester mon nouveau moteur de blog. Évalué à 0.

    J'ai fait le choix de tout écrire en minuscule dans le source de fBlog, sauf pour les constantes (variables PARAMETER) pour me conformer au plus près des usages des codeurs en langage C. En effet, la convergence entre ces deux langages s'accélère ! Si, depuis toujours, il a été possible de faire de la programmation mixte entre ces deux langages, l'introduction des blocs d'interface en Fortran (et autres dispositifs) a rendu la chose bien moins pénible et bien plus facile à déboguer. Par conséquence, on peut vraiment envisager aujourd'hui de jouer avec la libc, ce qui ouvre des perspectives vertigineuses. J'ai vraiment songé à inclure des fonctions de la libc dans fBlog ; mais ayant dans l'idée de faciliter la lecture et la modification du code par les utilisateurs lambda, il n'aurait pas été cohérent d'y mettre des blocs interface, ou pire, des pointeurs ! Donc, j'ai privilégié les appels à la ligne de commande pour une plus grande facilité de compréhension. Une conséquence de ceci est que j'ai renoncé à la localisation des formats de date. J'ai contourné cet écueil en mettant la date dans le pied du post, de façon discrète, sous le format 'ccyy-mm-dd (hh:mm)' qui a l'avantage d'être à peu près universel.

    Sinon, j'utilise Kate comme éditeur et la coloration syntaxique, quoique imparfaite, apporte un grand confort visuel et compense le 'tout minuscule'.