Je bosse dans l'industrie spatiale. Ici, Sun est la machine de prédilection (je ne saurais pas vraiment dire pourquoi, si ce n'est les raisons historiques).
Du fait de cet historique, la progression d'autres OS est délicate. Cette progression se fait uniquement pour des raisons de coût du matériel. Le raisonnement est le suivant :
- Matos SUN = cher => architecture PC le plus possible
- existant logiciel en UNIX => un UNIX sur le PC => Linux.
Mais comme les gens sont frileux, les machines opérationnelles restent du SUN (contrat de maintenance/garantie...).
Du coup, tout développement se retrouve porté sur deux UNIX, avec les difficultés que cela engendre (extensions spécifiques à chaque plateforme, gestion des ENDIAN, ...).
Bref, un Solaris fonctionnant A LA FOIS sur matos Sun et PC peut permettre de moins se casser la tête pour les développements.
Maintenant, pour monsieur tout le monde, je suis de l'avis général : je ne vois pas trop l'intérêt.
Est-ce que FreeCast permet de limiter la diffusion d'une certaine manière ?
Je ne suis pas un développeur de cet outil. Néanmoins, vu l'architecture, il semble que ton besoin puisse être implémenté en jouant sur la connexion avec le tracker. En effet, le composant tracker est une entité qui connait tout le réseau. J'imagine que le moyen le plus simple d'ajouter une authentification passe par ce tracker : s'il ne reconnait pas un nouveau client, il ne lui donne pas la description du réseau, laissant le client dans l'incapacité de trouver les autres.
En gros, grâce à udev, tu arrive à faire ce que tu souhaite. Si les disques sont de type/marque différents, cela devrait être trivial (copie de l'article). Sinon, il va falloir un peu creuser la doc de udev pour comprendre comment identifier tes disques.
Concernant ton probleme de test avant backup, un truc du genre :
mount | grep "/mnt/son_repertoire" && mon_backup
Car la commande mount permet de voir les disques mountés.
Juste pour contrebalancer un peu les avis défavorables.
J'ai un lecteur de CD-Rom SCSI Plextor antédiluvien sur lequel j'ai jamais eu le moindre problème.
J'ai un graveur de CD-Rom Plextor depuis 5 ans environ sur lequel je n'ai rencontré aucun soucis non plus.
Maintenant, c'est sûr que le coût est plus élevé que d'autres, mais bon...
Aegis va même plus loin puisque c'est un outil de gestion de configuration complet. En fait, pour lui, la problématique est inverse : il faut d'abord ouvrir un fait technique (fiche de bug ou de modification) avant de pouvoir accéder aux sources en modification.
Sinon, j'avais trouvé une surcouche à SVN qui se branche à un suivi de bug. Mais j'ai pas le nom sous la main. Si je le retrouve, je poste ici.
Dans l'absolu, y'a pas de solution miracle. Essentiellement car les fichiers images ou son sont des fichiers binaires. Si deux occurences d'un même fichier ont été modifiées, comment fusionner les deux modifications ?
J'imagine donc qu'il y a une logique d'utilisation de cet ensemble de disque. Peut-être que quand tu modifie quelque part, tu ne modifie pas ailleur en même temps ? Par exemple, tu utilise la copie chez ta soeur uniquement quand tu es chez elle. Une fois revenu chez toi, tu commence certainement par recopier le disque de ta soeur.
Il faut donc d'abord définir le scénario d'utilisation. La meilleure solution pourra alors t'être présentée.
à l'utilisateur de choisir s'il souhaite utiliser ce repository ou non...
Le problème n'est pas seulement de savoir si on peut/veut télécharger les logiciels non libres.
Le vrai problème réside dans le droit qu'à PLF de distribuer ces logiciels. Le JRE Java par exemple ne peut être redistribué sans authorisation. En tant qu'utilisateur, je n'ai aucun soucis à l'utiliser ( entre autre, il est gratuit ). Idem avec certaines police de caractères ( fournies par Microsoft je crois ).
C'est un problème délicat.
La solution Debian pour le problème Java est sympa :
1) vous téléchargez le dit logiciel,
2) nous fournissons une procédure pour l'intégrer proprement dans le système de paquet.
Agir sans authorisation ne me semble pas être un solution. Un contournement (temporaire) mais pas une solution.
Peut-être vaudrait-il mieux entrer en contact avec les auteurs de ces logiciels pour leur proposer de maintenir pour eux des repositories sur leurs sites. Ou enrichir APT and co. pour afficher des boites de dialogues présentant les licences avant téléchargement ( c'est ce que fait Eclipse avec ses plugins ). Bref, il vaut voir, au cas par cas, quels sont les raisons des limitations de redistribution.
le paramètre "step" que tu passes à fread ne sert à rien ici. regarde la valeur de retour pour voir combien d'octets il a lu (1 seul normalement).
Hélas non. Si step est supérieur à un, fread va lire step*1 (le deuxième argument) octets et ranger tout ça à l'adresse '&nb'. Comme nb est un char, il va yavoir écrasement mémoire. Par contre, ensuite, losqu'on manipule nb, on ne vois que le premier octet, c'est normal, mais plusieurs ont été lus.
Donc, il faut remplacer nb par un buffer de char suffisament grand (genre char buff[5]), en vérifiant que step est toujours inférieur à la taille de ce tableau. Puis int lu = fread(buff, sizeof(char), step, infile);.
Noter l'absence de '&' devant buff.
Maintenant, j'ai pas bien compris le but de cette ligne. Je ne peux donc pas aider plus.
Bon mon probleme, c'est que certaine des mes variable contiendrons
des slashs et des espaces...
Va falloir que j'echappe tout ça...
Absolument pas. Le premier caractère suivant la commande 's' indique le caractere de séparation des arguments de la dite commande.
Ainsi, on pouvoit aussi ecrire : sed '3s;info2;plop;'
Il faut donc trouver un caractère qui n'apparaitra jamais. Pour cela, le ';' est pas mal car on l'utilise quasiment jamais dans une valeur manipulée par shell du fait de sa nature de séparation.
Par contre, ton code est bien compliqué.
Si je résume, tu veux remplacer la second champ de la nieme ligne ?
Auquel cas il vaut mieux tout faire avec awk : awk "NR==$ligne"'{$2=plop}' /etc/hosts
Attention, noter le jeux entre double quote et simple quote ainsi que l'absence de blancs entre les deux chaines. Plus classiquement, en échappant cela done : awk "NR==$ligne"{\$2=$nouvelle}" /etc/hosts
Google suit vraiment le modèle de Microsoft : ils arrètent d'être innovant et copient à tour de bras.
Mais, est-ce que la qualité est au rendez-vous ???
Ce dernier présente aussi l'avantage de supporter les "ping". Ainsi, après avoir configuré votre blog, lorsque vous publiez un billet, une requète est envoyée à Technorati afin qu'il indexe le contenu.
D'ailleurs, Technorati n'est pas le seul sur ce marché, mais je n'ai pas les autres en têtes.
Quelqu'un a des stats sur l'usage fait des disques durs (au bureau) ?
Il faudrait une étude qui montre l'utilisation moyenne des disques en prenant soin de dégager la partie utile de la partie OS (on va dire que la partie OS ne mérite pas de sauvegarde).
Avec ce que dis cedric, il faudrait arriver à du 20% d'occupation de l'espace disque laissé par les OS, le tout en moyenne sur tout le parc de l'entreprise.
L'idée d'utiliser les 60Go de la secrétaire est interessante. Ca ressemble aux grilles de calcul qui utilisent les PC des secretaires la nuit pour augmenter la taille de la grille.
Par contre, pour la "sauvegarde", je suis moins chaud. Derrière la notion de "sauvegarde" il y a une notion de garantie de service. J'ai du mal à voir comment assurer ce service (la secretaire part en vacance, eteint son PC, ferme son bureau et PAN !! la copie de sauvegarde).
Par contre, faire de tous les espaces libres un espace de stockage "non sur", ca me plait bien. Par exemple, plutot que d'allouer des espaces à chacun des salariés d'une boite pour qu'il y stocke des données personnelles non fondamentales (genre les photos du banbin, ou la collection aubade, ou le dernier album live de Tartanpion). Du coup, il serait aussi possible d'y stocker des infos plus importantes, mais pas souvent. C'est vrai qu'il serait bon de démocratiser la notion véhiculée par Freenet ou GnuNet aux réseaux d'entreprises.
Si tu envoies un deuxième patch qui est un surensemble du premier, et que le premier a déjà été appliqué, y'a conflit à coup sur.
C'est bizare. De mémoire, le vénérable CVS savait déjà détecter qu'un patch/merge a été fait. Il détecte que les lignes sont IDENTIQUES et ne râle pas. Maintenant, dans des cas complexes (genre beaucoup beaucoup de modifs très proches), aïe aïe aïe.
c'est un peu brutal comme conseil, non ?
Moi, j'utilise shorewall. Il permet de spécifier quelques règles de façon (plus) simple. Puis, c'est lui qui génère les règles iptables.
Un bon point de départ, c'est de faire le point sur les services que tu veux rendre accessibles à l'extérieur. Ensuite,
- tu désactive tout ce qui ne sert à rien,
- tu spécifie ce que tu veux conserver dans /etc/host.allow et /etc/host.deny.
Bref, moins y'a de services accessibles, moins y'a de chance de se faire rentrer dedans (AMHA de débutant dans le domaine).
Sinon, y'a des paranoiaques dans l'assemblée ? Comment vous faites vous ? Vous utilisez plusieurs machines ? Comment vous organisez le merdier ?
Idem, j'utilise les flux RSS. Cela permet de voir très rapidement ce qu'on a déjà lu, ce qu'on n'a pas encore lu. En plus, cela permet une consultation très rapide puisqu'on n'est pas bruité par les z'olies images des sites.
Du coup, j'arrive à consulter beaucoup de sites d'informations par jour, me permettant de croiser les infos.
RSS, c'est de la balle.
Concernant l'intérêt des articles de la page d'acceuil, je voudrais rappeler que LinuxFr est avant tout le site de ses utilisateurs. Si vous trouvez que les articles de première page sont peu interessant, ou manque de dynamique... c'est votre faute : vous n'avez qu'à proposer des articles plutôt que de poster des journaux.
En faisant un 'su - toto' tu te retrouve dans un environnement sans DISPLAY (ce qui ne semble pas être ton cas).
Par contre, dès que tu change d'utilisateur, y compris en conservant ou repositionnant le DISPLAY, tu peux être confronté à un problème de droit d'accès (le serveur X est une ressource qui est attribuée à un utilisateur).
Sinon, tu peux aussi être confronté à des problèmes plus sioux. En effet, il est possible de demander l'ouverture d'une autre console graphique. Auquel cas celle-ci ne se nomme plus :0.0 mais :1.0 ou n'importe quoi d'autre. Bien que paraissant subtile, c'est procédure est simple à mettre en oeuvre par un utilisateur lambda puisque elle est déclenchée par un simple click dans une entrée de menu au nom évocateur "Nouvelle connexion".
by-nc-nd signifie que l'oeuvre n'est pas utilisable dans un but commercial (NC pour Non-Commercial) ni modifiable (ND pour No Derivatives), elle n'est que téléchargeable et copiable gratuitement, donc non libre, au sens des quatre libertés telles que définies pour le Logiciel Libre.
Je me pose une question certainement bête. Est-ce qu'une telle licence me permet de citer autant d'extrait que je veux (dans un autre ouvrage) ?
J'imagine que non. Du coup, le bouquin est juste gratuit pour ceux qui peuvent le télécharger. C'est déjà pas mal.
En fait, je me pose la question car, chez nous, nous utilisons deux types de base de gestion de conf.
La première sert à l'équipe de développement pour... développer. On a donc toto et gugus qui font des commit réguliers (de l'ordre de la journée ou demi-semaine).
La seconde sert au service de gestion en conf. pour suivre tout ce qui est livré au client. Celle-ci sert beaucoup plus rarement (genre deux trois~fois sur un projet).
Là où le bas blaisse, c'est que par manque de recul on utilise les mêmes outils. Pourtant les besoins sont radicalement différents (AMHA). Dans le premier cas, il me semble malgrès l'article mais vu la taille de nos équipes et notre organisation (peu d'itinérant), que SVN est une bonne solution. Dans le second cas, je sèche.
[^] # Re: [Solaris] Pour quels publics, pour quels usages ?
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au journal BeleniX, un autre LiveCD OpenSolaris. Évalué à 3.
Du fait de cet historique, la progression d'autres OS est délicate. Cette progression se fait uniquement pour des raisons de coût du matériel. Le raisonnement est le suivant :
- Matos SUN = cher => architecture PC le plus possible
- existant logiciel en UNIX => un UNIX sur le PC => Linux.
Mais comme les gens sont frileux, les machines opérationnelles restent du SUN (contrat de maintenance/garantie...).
Du coup, tout développement se retrouve porté sur deux UNIX, avec les difficultés que cela engendre (extensions spécifiques à chaque plateforme, gestion des ENDIAN, ...).
Bref, un Solaris fonctionnant A LA FOIS sur matos Sun et PC peut permettre de moins se casser la tête pour les développements.
Maintenant, pour monsieur tout le monde, je suis de l'avis général : je ne vois pas trop l'intérêt.
[^] # Re: Deux questions
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse à la dépêche FreeCast : après le "Click & Listen", le "Click & Broadcast". Évalué à 6.
Je ne suis pas un développeur de cet outil. Néanmoins, vu l'architecture, il semble que ton besoin puisse être implémenté en jouant sur la connexion avec le tracker. En effet, le composant tracker est une entité qui connait tout le réseau. J'imagine que le moyen le plus simple d'ajouter une authentification passe par ce tracker : s'il ne reconnait pas un nouveau client, il ne lui donne pas la description du réseau, laissant le client dans l'incapacité de trouver les autres.
# Ca dépend...
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message Attribution du bon /dev/sdx à mes disques dur. Évalué à 3.
Si tu utilise "udev", l'article suivant peut t'interesser :
http://www.debian-administration.org/articles/126(...)
En gros, grâce à udev, tu arrive à faire ce que tu souhaite. Si les disques sont de type/marque différents, cela devrait être trivial (copie de l'article). Sinon, il va falloir un peu creuser la doc de udev pour comprendre comment identifier tes disques.
Concernant ton probleme de test avant backup, un truc du genre :
mount | grep "/mnt/son_repertoire" && mon_backup
Car la commande mount permet de voir les disques mountés.
# Chez-moi-ca-marche.com
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au journal Plextor c'est bon, mangez-en. Évalué à 2.
J'ai un lecteur de CD-Rom SCSI Plextor antédiluvien sur lequel j'ai jamais eu le moindre problème.
J'ai un graveur de CD-Rom Plextor depuis 5 ans environ sur lequel je n'ai rencontré aucun soucis non plus.
Maintenant, c'est sûr que le coût est plus élevé que d'autres, mais bon...
# Aegis
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au journal Gestionnaire de sources et bugtracker. Évalué à 3.
Aegis va même plus loin puisque c'est un outil de gestion de configuration complet. En fait, pour lui, la problématique est inverse : il faut d'abord ouvrir un fait technique (fiche de bug ou de modification) avant de pouvoir accéder aux sources en modification.
Sinon, j'avais trouvé une surcouche à SVN qui se branche à un suivi de bug. Mais j'ai pas le nom sous la main. Si je le retrouve, je poste ici.
# Réduire la problématique
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message dupliquer une arborescence de documents et la maintenir. Évalué à 2.
J'imagine donc qu'il y a une logique d'utilisation de cet ensemble de disque. Peut-être que quand tu modifie quelque part, tu ne modifie pas ailleur en même temps ? Par exemple, tu utilise la copie chez ta soeur uniquement quand tu es chez elle. Une fois revenu chez toi, tu commence certainement par recopier le disque de ta soeur.
Il faut donc d'abord définir le scénario d'utilisation. La meilleure solution pourra alors t'être présentée.
# Y'a plus qu'à !
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message lagometre ala Q3 ?. Évalué à 3.
:)
[^] # Re: Comprend pas
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au journal Création d'un dépôt PLF pour Ubuntu! Réunion préparatrice dimanche 9 octobre a 21h.. Évalué à 2.
Le problème n'est pas seulement de savoir si on peut/veut télécharger les logiciels non libres.
Le vrai problème réside dans le droit qu'à PLF de distribuer ces logiciels. Le JRE Java par exemple ne peut être redistribué sans authorisation. En tant qu'utilisateur, je n'ai aucun soucis à l'utiliser ( entre autre, il est gratuit ). Idem avec certaines police de caractères ( fournies par Microsoft je crois ).
C'est un problème délicat.
La solution Debian pour le problème Java est sympa :
1) vous téléchargez le dit logiciel,
2) nous fournissons une procédure pour l'intégrer proprement dans le système de paquet.
Agir sans authorisation ne me semble pas être un solution. Un contournement (temporaire) mais pas une solution.
Peut-être vaudrait-il mieux entrer en contact avec les auteurs de ces logiciels pour leur proposer de maintenir pour eux des repositories sur leurs sites. Ou enrichir APT and co. pour afficher des boites de dialogues présentant les licences avant téléchargement ( c'est ce que fait Eclipse avec ses plugins ). Bref, il vaut voir, au cas par cas, quels sont les raisons des limitations de redistribution.
[^] # Re: nb est un octet
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message manipuler fichier binaire. Évalué à 3.
Hélas non. Si step est supérieur à un, fread va lire step*1 (le deuxième argument) octets et ranger tout ça à l'adresse '&nb'. Comme nb est un char, il va yavoir écrasement mémoire. Par contre, ensuite, losqu'on manipule nb, on ne vois que le premier octet, c'est normal, mais plusieurs ont été lus.
Donc, il faut remplacer nb par un buffer de char suffisament grand (genre char buff[5]), en vérifiant que step est toujours inférieur à la taille de ce tableau. Puis int lu = fread(buff, sizeof(char), step, infile);.
Noter l'absence de '&' devant buff.
Maintenant, j'ai pas bien compris le but de cette ligne. Je ne peux donc pas aider plus.
# awk : tout d'un coup
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message Comment couper des lignes dans un fichier. Évalué à 2.
awk "NR==$NumDebut,NR==$NumFin{print>\"fichier_colle\"}NR<$NumDebut||NR>$NumFin{print}' fichier_entree > fichier_coupe
Et voilou. Les lignes coupées sont dans fichier_colle. Le fichier fichier_coupe ne contient plus les lignes coupées.
[^] # Re: avec sed
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message Modifier une seul ligne d'un tableau.... Évalué à 3.
des slashs et des espaces...
Va falloir que j'echappe tout ça...
Absolument pas. Le premier caractère suivant la commande 's' indique le caractere de séparation des arguments de la dite commande.
Ainsi, on pouvoit aussi ecrire :
sed '3s;info2;plop;'
Il faut donc trouver un caractère qui n'apparaitra jamais. Pour cela, le ';' est pas mal car on l'utilise quasiment jamais dans une valeur manipulée par shell du fait de sa nature de séparation.
Par contre, ton code est bien compliqué.
Si je résume, tu veux remplacer la second champ de la nieme ligne ?
Auquel cas il vaut mieux tout faire avec awk :
awk "NR==$ligne"'{$2=plop}' /etc/hosts
Attention, noter le jeux entre double quote et simple quote ainsi que l'absence de blancs entre les deux chaines. Plus classiquement, en échappant cela done :
awk "NR==$ligne"{\$2=$nouvelle}" /etc/hosts
[^] # Re: Autre question
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message [freemode]quel mode pour freeplayer. Évalué à 4.
Ben, tu peux, il suffit d'avoir un lecteur de CD de salon. ;-)
Bon, ok, c'est nul, mais c'était cherché.
# Réponse à moi-même
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message Récupérer un xsd:decimal en C. Évalué à 2.
J'ai trouvé que la glib fournit des fonctions pour contourner ce problème. La fonction à utiliser est g_strtod.
Si vous avez d'autres solutions, la discussion reste ouverte.
[^] # Re: comme d'hab find +xargs + rename ...
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message renommer extension linux. Évalué à 2.
Un petit combo super long et obscur alors :
$ find . -name \*.x -print0 | sed 's/^\(.*\)\.x$/mv \1.x \1.y/ | sh
J'aime bien cette solution car, en ne mettant pas le '| sh', on se donne une chance de controler le boulot avant qu'il soit fait.
# Technorati
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au journal Google lance blogsearch. Évalué à 3.
Mais, est-ce que la qualité est au rendez-vous ???
Pour chercher dans les blogs, j'avais déjà Technorati :
http://www.technorati.com/(...)
Ce dernier présente aussi l'avantage de supporter les "ping". Ainsi, après avoir configuré votre blog, lorsque vous publiez un billet, une requète est envoyée à Technorati afin qu'il indexe le contenu.
D'ailleurs, Technorati n'est pas le seul sur ce marché, mais je n'ai pas les autres en têtes.
[^] # Re: Quelques infos
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au journal Sauvegardes en p2p. Évalué à 3.
Il faudrait une étude qui montre l'utilisation moyenne des disques en prenant soin de dégager la partie utile de la partie OS (on va dire que la partie OS ne mérite pas de sauvegarde).
Avec ce que dis cedric, il faudrait arriver à du 20% d'occupation de l'espace disque laissé par les OS, le tout en moyenne sur tout le parc de l'entreprise.
[^] # Re: Quelques infos
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au journal Sauvegardes en p2p. Évalué à 2.
Par contre, pour la "sauvegarde", je suis moins chaud. Derrière la notion de "sauvegarde" il y a une notion de garantie de service. J'ai du mal à voir comment assurer ce service (la secretaire part en vacance, eteint son PC, ferme son bureau et PAN !! la copie de sauvegarde).
Par contre, faire de tous les espaces libres un espace de stockage "non sur", ca me plait bien. Par exemple, plutot que d'allouer des espaces à chacun des salariés d'une boite pour qu'il y stocke des données personnelles non fondamentales (genre les photos du banbin, ou la collection aubade, ou le dernier album live de Tartanpion). Du coup, il serait aussi possible d'y stocker des infos plus importantes, mais pas souvent. C'est vrai qu'il serait bon de démocratiser la notion véhiculée par Freenet ou GnuNet aux réseaux d'entreprises.
[^] # Re: Bazaar
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse à la dépêche Des nouvelles des gestionnaires de versions GNU Arch et Bazaar. Évalué à 4.
C'est bizare. De mémoire, le vénérable CVS savait déjà détecter qu'un patch/merge a été fait. Il détecte que les lignes sont IDENTIQUES et ne râle pas. Maintenant, dans des cas complexes (genre beaucoup beaucoup de modifs très proches), aïe aïe aïe.
[^] # Re: man iptables
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message Hacking in progress.... Évalué à 2.
Moi, j'utilise shorewall. Il permet de spécifier quelques règles de façon (plus) simple. Puis, c'est lui qui génère les règles iptables.
Un bon point de départ, c'est de faire le point sur les services que tu veux rendre accessibles à l'extérieur. Ensuite,
- tu désactive tout ce qui ne sert à rien,
- tu spécifie ce que tu veux conserver dans /etc/host.allow et /etc/host.deny.
Bref, moins y'a de services accessibles, moins y'a de chance de se faire rentrer dedans (AMHA de débutant dans le domaine).
Sinon, y'a des paranoiaques dans l'assemblée ? Comment vous faites vous ? Vous utilisez plusieurs machines ? Comment vous organisez le merdier ?
[^] # Pourquoi ?
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au journal debian-marillat passe de testing à etch. Évalué à 3.
Au moins via des liens.
Il me semble que les repositories Debian gèrent systématiquement les deux (nom de baptême et nom symbolique/thématique).
C'est étrange.
Quelqu'un sait pourquoi ?
[^] # Re: flux rss
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au journal Journaux plus interessants que la page d'accueuil de linuxfr.org?. Évalué à 2.
Du coup, j'arrive à consulter beaucoup de sites d'informations par jour, me permettant de croiser les infos.
RSS, c'est de la balle.
Concernant l'intérêt des articles de la page d'acceuil, je voudrais rappeler que LinuxFr est avant tout le site de ses utilisateurs. Si vous trouvez que les articles de première page sont peu interessant, ou manque de dynamique... c'est votre faute : vous n'avez qu'à proposer des articles plutôt que de poster des journaux.
# Ca a l'air libre
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au journal Sauvegardes en p2p. Évalué à 4.
http://www.hispread.com/hispread_navb_01.html(...)
Je dis semble car je n'ai pas dépouillé en détail.
# su
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse au message Can't connect to X11 window server using ':0.0'. Évalué à 3.
Par contre, dès que tu change d'utilisateur, y compris en conservant ou repositionnant le DISPLAY, tu peux être confronté à un problème de droit d'accès (le serveur X est une ressource qui est attribuée à un utilisateur).
Sinon, tu peux aussi être confronté à des problèmes plus sioux. En effet, il est possible de demander l'ouverture d'une autre console graphique. Auquel cas celle-ci ne se nomme plus :0.0 mais :1.0 ou n'importe quoi d'autre. Bien que paraissant subtile, c'est procédure est simple à mettre en oeuvre par un utilisateur lambda puisque elle est déclenchée par un simple click dans une entrée de menu au nom évocateur "Nouvelle connexion".
J'espère t'avoir apporté quelques pistes.
# Juste gratuit alors ?
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse à la dépêche "Cause Commune" de Philippe Aigrain en téléchargement. Évalué à 5.
Je me pose une question certainement bête. Est-ce qu'une telle licence me permet de citer autant d'extrait que je veux (dans un autre ouvrage) ?
J'imagine que non. Du coup, le bouquin est juste gratuit pour ceux qui peuvent le télécharger. C'est déjà pas mal.
# A ce sujet...
Posté par Bonnefille Guilhem (site web personnel) . En réponse à la dépêche Des nouvelles des gestionnaires de versions GNU Arch et Bazaar. Évalué à 3.
En fait, je me pose la question car, chez nous, nous utilisons deux types de base de gestion de conf.
La première sert à l'équipe de développement pour... développer. On a donc toto et gugus qui font des commit réguliers (de l'ordre de la journée ou demi-semaine).
La seconde sert au service de gestion en conf. pour suivre tout ce qui est livré au client. Celle-ci sert beaucoup plus rarement (genre deux trois~fois sur un projet).
Là où le bas blaisse, c'est que par manque de recul on utilise les mêmes outils. Pourtant les besoins sont radicalement différents (AMHA). Dans le premier cas, il me semble malgrès l'article mais vu la taille de nos équipes et notre organisation (peu d'itinérant), que SVN est une bonne solution. Dans le second cas, je sèche.
Que conseiller ?