nicolas a écrit 722 commentaires

  • [^] # Re: paquet bash-completion

    Posté par  . En réponse au message Debian sid : auto-complétion des options ? . Évalué à 2.

    À tous les coups c’est un paquet « recommandé » et du coup son installation n’est pas automatique, bien que le réglage par défaut installe maintenant les recommandés. Pour une vraie installation minimale on aura pris soin de mettre : « APT::Install-Recommends "false"; » dans son apt.conf.

  • [^] # Re: Vive le bip !!!

    Posté par  . En réponse au journal Coup de gueule contre le bip système. Évalué à 8.

    « Ça donne par exemple un retour plus rapide quand on tente une complétion avec tab et qu’il y a une ambiguïté. »

    Vitesse du son dans l’air : 300 m/s.
    Vitesse de la lumière dans le vide : 300 000 km/s.

    ->[]

  • [^] # Re: trop light ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de ValaTerm 0.3. Évalué à 2.

    Voila. Je donne les chiffres, sauf mention particulière : c’est d’abord une instance lancée, ensuite avec 11 fenêtres, ensuite avec 11 onglets. Attention ! Certains dans la liste varient pas mal.

    Konsole
    18 25 27
    Urxvt
    6 RES - 4 SHR = 2 par fenêtre
    Urxvtd+c
    <1 par fenêtre
    rekonq
    97 105 97 (linuxfr +9)
    dolphin
    25 27 34
    firefox(4?)
    63 98 67 (linuxfr +13)

    Voilà, la différence entre onglets gérés par l’application et onglets du WM est notable sans être « de la merde en boite », relativement à la consommation à vide des logiciels. Par contre dès qu’on y ajoute les données gérées par une application, zsh qui consomme 1 Mo (RES-SHR) par instance au démarrage, une page web, la différence ne devrait jamais dépasser les 10 % — au pire il y a un choix d’applications à faire (une instance par fenêtre a aussi ses avantages en cas de crash de l’une d’entre elles…).

  • [^] # Re: trop light ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de ValaTerm 0.3. Évalué à 3.

    Bah je sais bien.

    Alors on va pas faire simple maintenant. Les questions sont :
    — Est-ce que la barre d’outil te bouffe une place monstre ?
    — Quelle est la consomation mémoire relativement à la mémoire totale prise par l’application.

    Je n’avais pas le sentiment que ça prenait tant que ça vu que je tourne avec des onglet géré par le WM depuis un bon bout de temps (minimaliste pourtant!). Mais comme je l’ai dit, je ferai des tests plus poussés pour avoir une petite idée, plutôt que de parler dans le vide ça sera plus constructif. Toutefois, vu les avantages apportés par une gestion unifiée des onglets au niveau du WM je me vois mal m’en passer.

  • [^] # Re: trop light ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de ValaTerm 0.3. Évalué à 1.

    Oui, Dolphin débarque comme un cheveu sur la soupe. Tu m’étonnes, tu l’as bien choisi. Effectivement les onglets ne concerne que la vue des dossiers. Pas les panneaux latéraux. Ce qui fait que les onglets n’ont pas la même signification (ceux de Dolphin ne n’intègrent pas les informations contextuelles&co, ils sont limités).

    Je ferai de plus amples tests ce soir pour voir ce qu’il en est des terminaux et du navigateur web, par contre pour Dolphin je n’obtiens pas du tout tes chiffres.

  • [^] # Re: trop light ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de ValaTerm 0.3. Évalué à 0.

    Et c’est quoi le problème ? En quoi c’est gênant de lancer une fenêtre par onglet ? En quoi c’est gênant de lancer une instance par fenêtre ? Me dis pas que ça te bouffe de la RAM… Je tourne avec konsole, j’ai tourné avec urxvt il fut un temps et ça ne m’a pas gêné plus que ça, idem pour mon navigateur web, il me semble d’ailleurs qu’il y a des mécanismes et le code d’une application ne se trouve qu’une seule fois en RAM.

  • [^] # Re: paquet bash-completion

    Posté par  . En réponse au message Debian sid : auto-complétion des options ? . Évalué à 4.

    Ou installer un vrai shell, zsh ?

  • [^] # Re: L'origine du problème ....

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'Union des Photographes veut la mort du Libre. Évalué à 10.

    C’est là que tu as des lacunes en photographies. Il y a un travail de composition. C’est-à-dire : qu’est-ce que je mets dans ma photographie ? Ça implique de savoir où est-ce que je me place, dans quelle direction je prend, quelle profondeur de champ j’utilise (ce n’est pas qu’une contrainte technique, ça permet de cacher, des plans qui se situent à différentes distances), tout ceci sans avoir besoin de faire un travail de mise en scène qui serait malvenu pour du reportage. On a le cadrage (j’utilise la règle des 1/3—2/3, ou centré, vertical ou horizontal, classique, panoramique, carré?), et plus important le choix du sujet. Je ne m’y connais pas tellement en photo, donc il y a peu qui me vient à l’esprit. Tout ceci n’est pas technique, la technique n’est qu’un outil au service du sens artistique du photographe. Intéresse toi à la photographie, parce que là tu juges d’une activité si elle est artistique ou pas sans rien y connaître. Ceux qui la connaissent te diront que c’est une activité artistique, c’est un argument d’autorité fort. Maintenant ne t’attend pas être convaincu, tu n’y connais manifestement rien à la photographie. J’y connais rien à la peinture moderne : des carrées, des formes abstraites, n’importe qui pourrait en faire de même ! Pourtant je ne juge pas car je ne connais ni la démarche ni le travail fait derrière.

    Et la prise de son est original, tu ne pourras pas avoir deux prises de sons identiques. Je te mets au défi de me sortir deux prises de son différentes telles que « diff sonA.wav sonB.wav » renvoie deux fichiers identiques. La loi ne peut pas faire de sélection sur ce qui devrait être protégé car l’intérêt artistique d’une œuvre est bien trop subjectif.

    Tu as beau le nier, tu refuses de voir le côté artistique de la photographie. Tu la bornes à son côté technique. Ensuite tu viens expliquer que la photographie n’est que technique. Tes expériences de pensée, où on remplacerait un photographe par un autre pour obtenir le même résultat est fausse et biaisée. Tu n’auras pas le même résultat, jamais, sauf à lui ordonner de refaire exactement les mêmes choix que le premier. Mais ce sont ces choix qui définissent le côté artistique. Si tu te bornes à lui ordonner de reprendre les choix techniques d’un autre tu te retrouveras exactement avec le même résultat. C’est normal : toi, et toi seul, en a fait un technicien. Mais ce n’est pas le travail d’un photographe, ce n’est jamais ce qu’on lui demande, parce que justement ces choix le client n’est pas capable de les faire. Ces choix formeront la photo, ces choix exprimeront une ou des idées, idées qui viennent du photographe ou suscitées spontanément chez le spectateur, ou pas. Manifestement c’est le « ou pas » qui prédomine chez toi. Je suis comme toi, la peinture ne m’a jamais rien suscité, pour moi c’est juste l’application de la technique des peintres apprises et développée par eux-même ensuite.

    « n'est-il pas abusif de considérer comme oeuvre de l'esprit une simple transformation physique ? »

    Ta question est encore plus mal posée, toute œuvre de l’esprit est une transformation physique. « simple » veut dire tout et rien à la fois. Le peintre se base sur la « simple » technique de dépôt de matière colorée sur sa toile, le violoniste se base sur la « simple » transformation physique de frottement vers la vibration de la corde. Le pianiste n’en parlons pas.

    Si, parlons du pianiste. Je vais faire un petit exercice, transposer ton discours sur le photographe au pianiste. Un pianiste il a juste à appuyer sur une touche plus ou moins fort (c’est indiqué sur la partition), durant plus ou moins longtemps. On est bien d’accord ? Il lit la partition, il l’applique. Pourvu qu’il sache le faire correctement il reproduira la partition. Il ne crée rien il se contente d’appuyer pour reproduire la partition. Pourtant, je suis à peu près sûr que tu accorderas au pianiste le titre d’artiste. Parce qu’il interprétera l’œuvre. Le photographe ne créé rien, il appuie pour reproduire le monde. Mais, tout comme le pianiste, il y a des nuances, qui viennent de l’interprétation, on t’a donné plein d’exemple de détails techniques qui servent le côté artistique de la photo, tu ne veux juste pas les voir. Si le domaine ne t’intéresse pas alors, accepte que ces nuances et ces interprétations existe. Si tu n’acceptes pas l’argument d’autorité alors soit apprend la photographie sérieusement soit arrête de la juger.

    J’ai de plus en plus le sentiment que tu voudrais qu’on juge qu’une œuvre de l’esprit devrait être protégée en fonction de l’intérêt artistique que tu lui trouves. Bon courage !

    PS : c’est pas toujours les même personnes qui te répondent.

  • [^] # Re: L'origine du problème ....

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'Union des Photographes veut la mort du Libre. Évalué à 6.

    C’est marrant.

    Tous les exemples que tu donnes sont des œuvres de l’esprit et sont protégées en tant que telles par le droit d’auteur.

    « Pour ma part je vais considérer comme oeuvre de l'esprit le fait de poser un micro à la fenetre et enregstrer tout ce qui passe dans la rue. »

    Oui, exactement au même titre qu’un enregistrement d’un musicien. C’est comme ça. Tu n’es pas d’accord, c’est ton problème. Mais la loi est ainsi faite. Parce qu’à un moment donné tu as fait la démarche de faire un enregistrement original de la rue.

    « Je vais poser un capteur de température dehors et à l'intérieur de mon appart, et je vais considérer les relevés cmme des oeuvres de l'esprit. »

    « Que dire des images d'un système de surveillance, ou des photo satellites ? »

    Sont soumis au droit d’auteur. On n’a pas accès au données si facilement, et les redistribuer nécessite l’accord des gens ayant produit les relevés et les photographies. Oui même des données, oui, même les bases de données.

    Par contre tu mélanges allègrement œuvres de l’esprit, et donc soumises au droit d’auteur en tant que telles, et œuvre d’art. Ce qui est artistique ou ne l’est pas est laissé à l’appréciation de chacun. Si tu crois que la photo n’est pas artistique sous le prétexte qu’il ne s’agit que de réglages technique d’un appareil, libre à toi de le croire. Mais ne crois pas que tu seras pris au sérieux car quiconque aura fait de la photo un peu sérieusement te rira au nez.

  • [^] # Re: L'origine du problème ....

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'Union des Photographes veut la mort du Libre. Évalué à 9.

    Ton argumentation consiste à réduire un art qu’à sa partie technique. C’est comme si tu disais à un musicien-interprète qu’il ne fait pas de l’art parce que dans les faits, 90% de son temps ce sera la technique qui sera travaillée. Et un photographe est un interprète du monde qui l’entoure. C’est là que réside son art tout comme l’art du musicien résidera dans son interprétation et pas dans sa technique de l’instrument.

    Outre la prise de la photographie, son développement ou les retouches, il y a : le choix du sujet, la composition de la photo, les choix techniques qui dépassent largement le cadre de la technique : le cadrage, le temps de pose, l’ouverture, la profondeur de champ, la focale, ceci, pour un même sujet, transformera de tout en tout la photographie en fonction de ce que le photographe voudra montrer, la sélection des photographies (je ne suis pas photographe, mais je crois savoir qu’un pro. en prend des centaines pour un thème donné et n’en sélectionne qu’un petit pourcentage pour diffusion), sélection qui dépasse largement le cadre de la photo la meilleure techniquement mais relève aussi d’une sensibilité artistique.

    Monsieur tout le monde prend de belles photographies (de temps en temps) mais il est incapable de se fixer un thème et un sujet, de se dire je veux montrer ça à mon public (ma vision du sujet, mon interprétation, faire passer telle idée) et faire mouche.

  • [^] # Re: C'est a dire

    Posté par  . En réponse au journal SL2011 : Entretien avec Alfonso, Directeur de la Stratégie Interopérabilité chez Microsoft. Évalué à 2.

    Je suis d’accord avec toi, alors donne moi des sites/communauté ou des projets qui ne soient pas linux-centrée ! Merci. Ça fait le deuxième ou troisième message que je te dis ça.

    Montre ensuite :
    — que ses « communautés » du libre (organisées ou non en mouvement, association, fondation ou autre, je m’en tape) ne sont pas infimes et que Microsoft a une contribution non infime dans ses communautés ;
    — ou qu’il existe énormément de logiciels libres exclusifs à Windows et que Microsoft en développe une partie non infime.

    Qui plus est, l’écosystème de Linux est constitué pour l’écrasante majorité de logiciels libre. Mon argumentaire présentant des contributions majeures sur Linux tient car une contribution majeure sous Linux reste une contribution au libre. Et si cette contribution au libre dépasse largement celle de Microsoft, toute plate-forme confondue, alors je peux dire que la contribution de Microsoft est infime. Là où tu me cites une petit dizaine de projets libres en ne me restreignant qu’à la seule plateforme Linux on dépasse très largement ce qui s’y fait, ne serait-ce qu’en se restreignant aux seules annonces de sortie qui paraissent sur Linuxfr.

    Que le libre soit constitué de communautés disparates ne change en rien mon argumentation sur les décisions et l’orientation qu’il prend. J’ai bien parlé de somme des décisions, indivudelles et d’entreprises. Ce qui prouve que j’ai parfaitement conscience de cet aspect du libre. Je t’ai donné l’exemple de distributions pour avoir des exemples frappants et connus, mais il est évident qu’elles prennent leur décision à leur niveau et qu’elles ne peuvent le faire au nom de la communauté toute entière. Toutefois ce sont de telles décisions, mises bout à bout, qui donnent l’orientation du libre.

    Que le code libre exclusivement Windows et de Microsoft n’est pas portable, je veux bien le croire. Toutefois la dernière fois que j’y ai regardé le libre n’avait pas tellement la côte, on parle de shareware alors. Les seuls exemples dont je me souviens sont une distribution LaTeX, un ou deux éditeurs de texte, et un gestionnaire de musique. Aucun développé par Microsoft. Je t’ai déjà signalé Framasoft, sur lequel j’ai trainé pas mal de temps, et j’avais constaté que le code exclusif à Windows existait, sans être très important, mais je n’ai pas vu de code pondu par Microsoft (note qu’il y en a peut-être, mais alors ça ne peut être qu’une infime minorité). Si tu ne me donnes pas plus d’exemple à manger, tu ne fais que me démontrer la thèse que tu veux combattre ; même toi n’es pas capable de donner plus d’éléments.

    Je mesure « l'utilisation de ce code par le public » précisément par la popularité du dit code, précisément via les annonces de nouvelles sorties qui paraissent. Faute de mieux. Tu remets systématiquement en cause mes arguments, mais ne propose rien de mieux. Alors forcément c’est facile de dire après n’importe quoi, si on ne veut pas se donner de moyens de mesure pour prouver ses dires. Alors donne tes mesures.

    Si tu ne veux mesurer que la « quantité et la qualité du code », alors : fais le ! En terme de nombre de projets en tout cas on n’y est pas. Je pense que n’importe laquelle des sociétés que j’ai citées fait bien plus que Microsoft. Ou alors il y a un biais dans mon information, mais encore une fois : corrige ça, donne moi les pointeurs !

    Alors oui, je parle de ce que je connais : Linux. Oui j’utilise des exemples spécifiques. Et oui je te reproche de ne pas le faire ; ton argumentation est du vent, aucun exemple, aucune illustration, alors que je t’en demande constamment à chacun de mes messages. Bref, tu fais exactement ce que je te reproche dans mon premier commentaire : déclaration à l’emporte pièce, aucune justification.

  • [^] # Re: Le sport!

    Posté par  . En réponse au message Desktop Wiki ++ . Évalué à 3.

    PS : pense à bien vérifier que tu as la dernière version, je crois que c’est elle qui apporte les cross references qui sont des liens vers d’autres « basket » aka tes notes dans l’arbre hiérarchique. Cross references que tu peux mettre seule (menu insertion), ou dans le texte d’autres notes (mais c’est un peu buggué et je ne crois pas que c’est documenté, il faut taper « [[/la/note/dans/l'arbre|le text du lien]] »).

  • [^] # Re: Comprendre un truc

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'Union des Photographes veut la mort du Libre. Évalué à 4.

    J’ai proposé une piste : le photographe est le seul « expert » de sa photo. Il peut vendre son commentaire, sa remise dans le contexte et en profiter pour faire un travail de journaliste derrière.

    Je suis convaincu qu’un photographe pourrait théoriquement casser la baraque avec un modèle dans lequel il maximise la diffusion de ses photos avec des licences libres et où il vend ses commentaires et interviews dessus.

    Je suis aussi convaincu qu’à l’heure actuelle (celle du 20 minutes et autres conneries du genre) les gens n’achèteraient pas.

  • [^] # Re: Attention au terme

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'Union des Photographes veut la mort du Libre. Évalué à 8.

    Un combat d’arrière garde ? Pourtant la question de la place de la photographie dans l’information au public, qui rejoint celle de la déliquescence de la presse papier est une question centrale dans nos sociétés démocratiques modernes où la quantité d’information croît exponentiellement. Dois-je rappeler qu’une information de qualité est une condition nécessaire de la démocratie ? De ce que j’ai pu en lire, sont soulevés de vrais problèmes : place de la presse de qualité, son modèle économique, et la photo d’actualité qui va avec ; et de mauvaises réponses sont apportées : attaque des « concurrents » à bas prix et basse qualité. Mais interdire la photo. gratuite ou l’information jetable ne va pas magiquement donner aux gens l’envie d’acheter du plus cher et de meilleur qualité. Il vont juste ne plus acheter, ne plus s’informer car si le besoin était réel il ferait, déjà, attention au produit qu’ils achèteraient.

  • [^] # Re: C'est a dire

    Posté par  . En réponse au journal SL2011 : Entretien avec Alfonso, Directeur de la Stratégie Interopérabilité chez Microsoft. Évalué à 3.

    Une liste de société, je t’en ai donnée une d’acteurs majeurs, acteurs dont les contributions dans le libre ont marqué ces dernières années. Tu ne l’as pas lue ou a fait semblant. J’ai passé outre et fait comme si de rien n’était histoire d’avancer. Ne me fait pas l’affront de la redemander. Quand à savoir si toutes les sociétés prises une par une ont une contribution infime : effectivement c’est sûrement le cas¹, y’en a juste des plus infimes que d’autres. Et je vois mal comment Microsoft peut dépasser n’importe laquelle des sociétés que j’ai indiquées (et j’en ai oubliées, feu Sun et co. pour tout ce qui est Ooo — quoiqu’on en dise — et MySQL, qui développe Postgres?, on peut aussi parler de Qt, qui est derrière KDE? sans compter tous les constructeurs qui ont leur mot à dire pour le noyau, bref, tous les acteurs derrière les gros projets du libre).

    Pour le « parlement du libre », merci, ça m’a bien fait rigoler. Toutefois, c’est celui qui contribue qui décide. Le modèle du bazar, c’est très précisément ça. Et c’est là tout mon argument. Les gens font ce qu’ils veulent. Le libre ira là où les contributions iront. Lorsque Redhat ou Canonical choisissent tel ou tel programme pour l’environnement de bureau ou le processus de démarrage, il y a bien une décision qui est prise. Décision qui sera suivie uniquement si les dites entreprises mettent suffisamment de bille dans leur « champion » respectif, ce qu’elles font, au moins un minimum. Ensuite les utilisateurs sanctionnent ces décisions en fonction des résultats qu’elles ont donnés. C’est la somme de ces décisions individuelles ou d’entreprises qui oriente ce que deviendra le libre de demain et il est indéniable que pas mal de sociétés ont bien plus de poids dans le libre que Microsoft. Si Microsoft devait avoir un poids ce serait plutôt à chercher du côté des contre-réactions négatives qu’il suscite dans la communauté.

    Je te fais remarquer que tu objectes à mes observations (du moins celles que tu cites, très partielles et très partiales d’ailleurs tes citations, comme toujours…). Objections qui restent sans justifications ni fondements. Par exemple :
    — « De nouveau, quel rapport ? » (ta première phrase)
    Tu remettais en cause le fait que je ne citais que Linuxfr pour étayer mon argumentation. Je suis conscient de cette lacune et te demande de me citer alors d’autres sources. Si tu veux voir le rapport, alors je t’invite à (re)lire mon argumentation qui prend appui sur Linuxfr. Si tu essaies de te défiler pour ne pas répondre à la question, c’est raté : cite moi d’autres sources d’informations sur le libre qui soit plus en faveur de ta thèse !
    — « “Alors je veux bien que la population linuxfrienne soit partielle et partiale, encore une fois n’hésite pas à m’en donner une autre à me mettre sous la dent.”
    T'es au courant qu'il y a un OS la dehors qui s'appelle Windows, qui detient 95% du marche desktop et sur lequel des logiciels libres tournent dont notamment ceux pondus par MS ? »
    Mais qui utiliserait du logiciel, et libre et exclusivement, Microsoft ? Parce que c’était ton argument face à ma vision trop linux-centrée. L’argument était bon en soit, mais tu ne sais pas l’étayer. Ces utilisateurs seraient-ils totalement invisibles d’Internet ? J’ai même aidé en parlant de Framasoft dont la très pertinente orientation est marquée vers le logiciel libre sur la plateforme Windows. Mais je n’ai pas trop vu la trace de codes Microsoft là-bas non plus.
    — « Faut revenir sur terre mon cher, il n'y a aucun besoin de faire du code sous Linux pour faire partie du monde libre. Les deux sont distincts. En passant, IronPython tourne sous Mono hein. »
    Je n’ai jamais prétendu le contraire. Par contre j’ai exprimé mon étonnement, étant donné que le libre permet, s’il intéresse vraiment les utilisateurs, de porter le code sur toutes les plateformes. Et c’est ce qui se passe effectivement car beaucoup de projets libres phares sont sur deux, trois, voir bien plus d’OS. Tu objectes cette interrogation sans apporter d’explication alternative. Ceci corrobore le point précédent selon lequel les utilisateurs ne sont pas si nombreux que ça. Quant à Mono, très justement il est peu utilisé (quelqu’en soit la raison), et pour faire tourner Python, je n’ose imaginer la proportion d’utilisateurs (déjà des utilisateurs de Python en dehors de l’interpréteur officiel, il ne doit pas y’en avoir des masses, parce que l’officiel reste la référence et le seul qui n’a pas de retard, malheureusement).
    — « “Maintenant juste par curiosité, qu’elle est la proportion de code libre produit par Microsoft par rapport à sa production totale ?”
    On s'en fout, ca n'a aucun rapport avec la question »
    Bien au contraire, si la politique de Microsoft est de ne faire du libre qu’à la marge, alors le libre lui rendra sa politique à sa mesure. Partant de là il faudrait arrêter de jouer la victime en s’étonnant que les libristes ne portent pas dans leur cœur Microsoft.

    ¹ Quoique, contrairement à ce que je m’attendais, pour parler du kernel, pour lequel on a des statistiques, on peut voir que quelque uns dépassent les 5%.

    PS : pas besoin de me citer aussi massivement, mon commentaire est juste au-dessus.
    PPS : j’ai conscience que mon commentaire est long, c’est voulu. Pour remettre de la suite dans les idées, et accesoirement pour réarticuler ce que tu déconstruis, rhâ cette façon de citer les gens au petit hasard la chance, c’est terrible !

  • [^] # Re: Non, mais oui

    Posté par  . En réponse au journal De mon objectivité et mon sens critique en lisant un lien de Tristan Nitot. Évalué à 2.

    C’est ce qui fait débat. L’homme a ce devoir au moins : ne pas dépasser les bornes des droits d’autrui. En cela il a le devoir de respecter les droits des autres. Et tous nos devoirs actuels doivent, ou devraient, se résumer à ce devoir essentiel.

  • [^] # Re: Non, mais oui

    Posté par  . En réponse au journal De mon objectivité et mon sens critique en lisant un lien de Tristan Nitot. Évalué à 6.

    Je suis assez d’accord avec toi, il n’est pas question de marchandage ni d’échange. Mais sur la question des devoirs dans la DDH, j’ai cru comprendre que ça faisait débat. En fait le mot « devoir » n’y est pas explicitement, par contre tu as l’article 4 :
    « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. »
    Qui résume à lui seul tous les devoirs qu’on a envers autrui.

  • [^] # Re: C'est a dire

    Posté par  . En réponse au journal SL2011 : Entretien avec Alfonso, Directeur de la Stratégie Interopérabilité chez Microsoft. Évalué à 3.

    Notes que je ne réponds pas qu’à toi mais aussi au commentaire de CrEv.

    Oh! Si tu veux n’hésite pas à me présenter un site de news sur l’opensource et à me sortir des stats. plus en faveur de Microsoft. J’avoue ne pas en lire beaucoup, toutefois tu vas te faire fort de corriger cette lacune. Au passage *linux*fr parle pas mal de BSD, de logiciels libres, ou non libres d’ailleurs, les dépêches sont plutôt assez ouvertes. Le fait est qu’une très grande partie du monde Linux fait partie du monde du libre, et de même je ne crois pas qu’il y ait tant de logiciel que ça, en proportion, qui tourne sous Windows exclusivement (Framasoft doit plus ou moins les recenser d’ailleurs).

    Alors effectivement je ne compte pas en ligne de code, ce serait amusant à faire d’ailleurs. J’aurais une gentoo que j’aurais fait une petit « wc -l » bien placé histoire de rigoler un peu.

    En tout cas en nombre de projet je crois que si tu ne donnes pas une liste beaucoup, mais alors vraiment beaucoup plus longue, on pourra aisément dire, sur la base des interrogations que j’ai soulevées et qui restent en suspens, que Microsoft est anecdotique dans le monde du libre. Je me vois mal faire une liste des milliers de projets libres qui existent, ni comparer le nombre en ligne de code avec ceux de Microsoft. Mais si Microsoft avait du poids en tant que contributeur, il aurait aussi du poids dans les orientations prises dans le libre. Par raisonnement par l’absurde : ça n’est pas le cas. De plus tu ne m’expliques pas par quels phénomènes insensés aucun code intéressant ne saurait être exporté sous Linux, le logiciel libre étant ce qu’il est. Pourquoi Microsoft ne s’intéresse-t-il pas à Linux, noyau phare du libre, en tant qu’acteur non anecdotique, c’est un minimum, tu ne crois pas ? Toutes ces interrogations font que l’hypothèse d’un contributeur du libre, autre qu’infime, ne tient pas vraiment.

    Tu demandes qu’elles sont les sociétés qui font plus que Microsoft. Moi, je te réponds : « toutes celle qui ont plus de poids décisionnaires », parce que contributeur ⇒ décideur dans le libre. Don(c|t) celles que j’ai citées. Force est de constater que Microsoft passe après quelqu’uns des gros contributeurs, et que ses contributions, sans être nulles, ne peuvent alors qu’être anecdotiques. Mais encore un fois, on se limite artificiellement aux seules contributions d’entreprises.

    Toutefois, je me répète, la notion d’infime, implique une proportion, relativement à la contribution totale. La réalité est que tu as donné une liste de projets qui se comptent sur les doigts de nos deux mains. Tu as pourtant une petite idée de la richesse du monde libre, il me semble. Comment peux-tu prétendre que la contribution de Microsoft n’est pas anecdotique avec si peu ?

    Et alors quand à savoir si les gens de linuxfr utilise ou pas le code libre de chez Microsoft. Je peux aussi devenir le plus gros contributeur au libre dès demain, si tu y tiens, avec l’aide de /dev/random, à un moment donné il faut que le code soit utilisé ! Alors je veux bien que la population linuxfrienne soit partielle et partiale, encore une fois n’hésite pas à m’en donner une autre à me mettre sous la dent. De plus, comme ça a été souligné, faire du libre, c’est travailler en communauté, si Microsoft monte ces petits projets dans son coin (essentiellement des projets qui consiste à « l’interopérabilité » avec leurs solutions-tout-ce-qu’il-y-a-de-plus-proprio de ce que je comprends, mais arrête moi dans le cas contraire), alors je vois mal comment sa contribution peut être considérée comme non-infime, même si en terme de ligne de code c’était effectivement le cas.

    Maintenant juste par curiosité, qu’elle est la proportion de code libre produit par Microsoft par rapport à sa production totale ?

  • [^] # Re: Peintres, photographes, copistes, imprimeurs ...

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'Union des Photographes veut la mort du Libre. Évalué à 3.

    Les photographes journalistes ont une valeur ajoutée indéniable par rapport à l’amateur ou au quidam qui prend la photo au bon moment au bon endroit : il fait un travail journalistique. Il n’est pas alors question de photo. mais de l’avenir du métier de journaliste. Je te l’accorde : c’est la merde. Mais les gens ne veulent plus de l’information hormis le prêt-à-jeter (et c’est pas une métaphore, c’est la réalité au vu de la quantité de journaux gratuits), qu’y peut-on ? Le libre n’y est pour rien. Remarque que dans ce contexte là le photographe pourrait parfaitement libérer ces photos : il est le seul à avoir l’expertise dessus, expertise qu’il peut monnayer à l’image du logiciel libre où l’expertise dans le service qui tourne autour est monnayée.

    Pour les auteurs : là je ne vais pas être original, la chose est similaire à l’industrie du disque. La photographie y survivra, tout comme la musique y survivra. La question est plus générale et touche le financement des artistes, mécénat, redevance universelle (aka impôt et subventions…), etc.

  • [^] # Re: Combat d'arrère garde

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'Union des Photographes veut la mort du Libre. Évalué à 2.

    D’où ma question. La SACEM est huée sur ce site. N’y-a-t-il pas d’équivalent pour les photographes ? (Histoire de se changer les idées, niac :p) Mais fondamentalement les gens ici sont assez d’accord avec le principe (il y a aussi des associations d’aide au respect de licence libres…).

    Pas de société ou d’union pour viser au respect des droits des photographes ?

  • [^] # Re: Attention au complot

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'Union des Photographes veut la mort du Libre. Évalué à 5.

    Je crois qu’il y a eu confusion en effet (moi le premier). Ce que les photographes appellent libre de droit (tapez « photo libre de droit » dans Google) n’est pas ce que nous appelons photos libres. Bien au contraire une photo sous licence CC ou autre copyleft n’est pas libre de droit !

    En fait je crois même qu’un libriste assez à cheval sur les licences devrait avoir la position inverse : la démarche semble être seulement de faire respecter les droits des photographes, leur droit à licencier comme ils l’entendent leur photographies et le respect de leur droits moraux (ce que leur « libre de droit » ne fait pas). C’est en quelque sorte orthogonal à la question de la licence de la photo (qui donne et retient certains droits mais ne libère jamais tous les droits, parce que c’est impossible).

  • [^] # Re: C'est a dire

    Posté par  . En réponse au journal SL2011 : Entretien avec Alfonso, Directeur de la Stratégie Interopérabilité chez Microsoft. Évalué à 2.

    1) Répond plutôt dans le fil idoine en ce qui concerne la contribution de Microsoft aux gens qui t’ont répondu.

    2) Ne change pas le débat, personne n’a jamais dit que les codes que tu cites n’étaient pas libre. Ni même que beaucoup de sociétés informatiques distribuent plus de code libre que Microsoft (quoique… j’ai tout de même un doute, on entend toujours parler de Redhat, Canonical, Mandrake à une époque, Mozilla, « la communauté » — bah oui, facile de se limiter aux entreprises, mais l’affirmation de départ ne le faisait pas, c’est toi et toi seul qui s’arrange pour changer le débat —, Apple?!, « la communauté » — encore et toujours —, Google — via financement aussi, les GSOC deviennent plutôt incontournables j’ai l’impression). Ralala la dialectique… c’est terrible. Petit rappel :

    « [Les] contributions [de Microsoft] au logiciel libre sont vraiment infimes »

    3) Le fait est la contribution de Microsoft au monde libre est quasi nulle. Tu ne peux pas le nier.

    — Combien de News linuxfr sur un produit libre sorti par Microsoft ? En proportion du reste ? (ma petite liste des contributeurs qui se trouve ci-dessus m’a fait parcourir les dernières dépêches).

    — Qui utilises un code libre de chez Microsoft ici ? Qui s’en sert quotidiennement ? Qui s’en sert de manière plus qu’anecdotique vis-à-vis du reste ?

    — Est-ce que Microsoft a pris des décisions concernant des orientations sur un ou des projets libres phares ? Puisque les plus gros contributeurs sont les décideurs. Si, comme tu le dis il est le plus gros contributeur du libre, où sont les décisions de Microsoft, pourquoi n’en entend-on pas parler ?

    4) On parle de la contribution de Microsoft, comme entreprise. Il n’est pas question de licences (du grand n’importe quoi ton argument!), le fait est que la direction (pas nécessairement le CEO, mais je n’ai jamais parlé du CEO, encore une fois tu divagues mon cher) doit être un minimum au courant… comment peut-on lui mettre à crédit un acte dont elle n’a jamais pris la décision ?!

    Globalement je crois qu’on a un beau exemple d’argumentation *im*pertinente, dans le sens péjoratif du terme. Tu as insinué que je remettais en doute que le code que tu cites était libre ; tu te contentes de me montrer ô combien le code en question était libre : « les softs que j'ai cite, ils sont libre ou pas ? », « la definition de libre etait claire et précise », « ils restent du code libre ». Alors que ça n’a jamais été le cas dans mon commentaire ni dans ceux des gens qui t’ont répondu à ce sujet. Merci d’avoir joué.

  • [^] # Re: Comprendre un truc

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'Union des Photographes veut la mort du Libre. Évalué à 10.

    Tu dis d’une part que les amateurs vous concurrencent, d’autre part que faire de la photo. est un vrai travail qui nécessitent connaissances et techniques. N’y-a-t-il pas contradiction ? Si des amateurs arrivent à vous concurrencer, ne serait-il pas le moment de se dire : mon boulot est amené à disparaître (car finalement cela ne requiert pas tant de connaissances que ça — notes que je ne crois pas moi-même à cette hypothèse). D’un autre côté si vous faites un boulot qui dépasse largement celui de l’amateur, comment ça se fait que vous n’arrivez pas à le vendre ? Ne serait-il pas plus efficace de s’interroger surtout de ce côté là ? Pourquoi préfère-t-on les banques d’images à bas prix ? Pourquoi les photographes pros ne trouvent-ils pas du boulot pour vivre décemment ? Plutôt que de s’attaquer à un épouvantail, bataille perdue d’avance vu que l’évolution de la technologie ira toujours vers plus de démocratisation des moyens techniques (appareils photos.&co), il vaudrait mieux s’interroger sur les raisons qui vous rendent si peu attractifs face à de soi-disant « amateurs ».

    Note qu’on retrouve le même discours pour l’industrie musicale face au phénomène de piratage.

  • # Linuxfr

    Posté par  . En réponse au journal De mon objectivité et mon sens critique en lisant un lien de Tristan Nitot. Évalué à 10.

    « “il y a plus de mort par suicide, maladies nosocomiales et accidents domestiques que d’accidents de la route”. Là je suis sans voix :( Et puis une fausse vérité “on entend parler que des accidents de la route et pas des accidents domestiques”. C’est faux. Et en quoi le fait qu’on s’occupe de la route empềche qu’on s’occupe du reste ? »

    Toi, tu lis pas souvent Linuxfr, sinon tu aurais été blindé contre cet argument !

  • [^] # Re: C'est a dire

    Posté par  . En réponse au journal SL2011 : Entretien avec Alfonso, Directeur de la Stratégie Interopérabilité chez Microsoft. Évalué à 7.

    C’est pas une question d’accord/pas d’accord. C’est de voir la proportion de message, le ratio signal/bruit, et la validité de ses messages.

    Dans ce journal encore tu peux voir un contributeur dire comme pBpG donne de bons arguments (ça sort régulièrement…) et deux commentaires plus bas il se fait démonter de manière précise, documentée et argumentée. C’est bien ça le problème : on n’est pas d’accord, on creuse un peu et on se rend compte qu’il raconte n’importe quoi… Le troll de passage ça va bien 5 minutes, jouer la victimisation aussi ça va bien 5 minutes. Que quelqu’un ait pris le temps de voir dans le détail ce qui relève de l’évidence (que Microsoft ne contribue que très peu au libre) relève du petit miracle, surtout depuis le temps… C’est bien ça le problème, pour une déclaration à l’emporte-pièce de pBpG il te faut passer 3h pour dire que non c’est des conneries (je dis pas ça en l’air, je l’ai vécu). Alors forcément y’a un peu de lassitude… on (« on » j’imagine, en tout cas j’ai abandonné) laisse dire… et y’en a pour trouver qu’il a de bons arguments…