raspbeguy a écrit 228 commentaires

  • [^] # Re: données

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Un service ouvert ?. Évalué à 3.

    Pour le zero-knowledge, tu peu t'en assurer, vu que c'est toi qui chiffres ton contenu avant de l'envoyer. C'est le principe du chiffrement end-to-end. Après ça peut réduire les fonctionnalités possibles pour le service en question…

    Un gentil du net

  • [^] # Re: données

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Un service ouvert ?. Évalué à 0.

    J'approuve. Pour un service qui fait du big data, il est impossible de recracher toutes les métadonnées générées, les associations/liens dans la BDD, les statistiques de profilage, la liste des lots contenant ces informations achetés par des entreprises de big data…

    Un gentil du net

  • # données

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Un service ouvert ?. Évalué à 1.

    Je ne suis pas tout à fait d'accord avec ta définition de service libre. En effet, je ne pense pas qu'une telle définition puisse concerner uniquement les données. À moins que je me trompe sur ta définition de "récupérer ses données"…
    Selon ta définition, Dropbox est un service ouvert car l'utilisateur peut (c'est même l'unique fonctionnalité du service) récupérer ses données dans le format qu'il lui a donné.
    De même, le pouvoir de récupérer ses données (au sens où je le comprends) ne garantis pas la liberté de l'utilisateur. Autre exemple, Facebook, qui propose à ses utilisateurs de récupérer une archive de ses données. Comme tu le dis toi même, ça n'empêche pas le service de les revendre au plus offrant…
    D'autre part je ne comprends pas la différence entre ton niveau 2 et ton niveau 3. D'aucuns considèrent que le format XML est un format commun, et c'est bien le cas.

    À mon avis, le fait de "récupérer ses données" ne doit pas rentrer en compte, car la quasi totalité des services informatiques est basée sur l'interaction de ces données avec les utilisateurs qui les fournissent. Je pense qu'il faudrait à la place mettre en avant des notions de transparence de fonctionnement du service ou encore le "zero-knowledge", par exemple un service qui accepte un chiffrement de bout en bout des données pour assurer que lui même ne puisse pas les lire et les exploiter.
    Finalement, je pense que la notion de logiciel libre n'est pas à bannir pour un service. Pour moi, un service ouvert est également un service qui met à disposition son code source pour essaimer (comme se plaît à raison à le dire Framasoft) les services.

    Un gentil du net