AncalagonTotof a écrit 455 commentaires

• un truc pour corriger l'inversion des touches @/# et </>, j'ai placé dans /etc/modprobe.d/hid_apple.conf :

options hid_apple fnmode=2 iso_layout=0

L'une des options corrige cette inversion, l'autre permet de choisir la "fonction" des "touches de fonction" : soit F1/F2 … F12 comme sur PC, soit, par défaut, les fonctions spéciales comme le réglage de luminosité, le "multimédia" (play/stop/pause …)

Sauf erreur/oubli. Ça fonctionne sur PC/Linux avec clavier Apple Aluminum Keyboard (le sasfépu filaire plutôt bon, à prix modéré, pour du Apple). Et ça doit marcher pareil sur Mac sous Linux (pas testé depuis longtemps).

• à savoir pour ceux qui découvrent, parmi d'autres :

• • les {/} se font avec alt + (/), et [/] se font avec shift + alt + (/)
• • l'indispensable | se fait avec shift + alt + L
• • € avec alt + $

• à vérifier sous Linux : des nombreux caractères spéciaux sont accessibles par un appuis long sur une touche. Exemple : ô/œ/°/etc par o. Encore plus sympa, ça fonctionne pour les majuscules accentuées : É par shift + E

Rooohh oui !

C'était quoi, DevPac, MonST qui était compatible ?

J'étais pas pratiquant ! Ou si peu … Plutôt GFA Basic, Pascal et C à l'époque.
Je me servais d'un Minitel 2 pour les traces de mon code Turbo C !

Possible. Il manque peut-être un partprobe ?

Changement d'imprimante chez ma mère récemment. Elle a 82 ans et habite à 50 km; je lui imprime des documents de chez moi, elle en est incapable seule.

Bricolages réseau, nmap & cie pour trouver le bon moyen d'en prendre le contrôle à distance.

Et je découvre également ce eSCL et la compatibilité SANE.
Malheureusement, je n'ai pas eu le temps d'explorer jusqu'à trouver une config qui marche.

Est-ce que quelqu'un a déjà fait ça ?

Là, je passe par IPP il me semble, un truc classique pour l'impression en tout cas, avec port forwarding chez elle, et filtrage sur l'IP source parce que faudrait pas que les fan de pewdiepie s'amuse à revendiquer pour leur idole …
Et l'imprimante peut scanner vers un partage réseau (sur la Freebox du coup), donc je peux facilement récupérer les documents qu'elle veut me montrer.

Désolé, ça part un peu dans tout les sens, je fatigue bien là …

Économie d'encre ?

Certaines (toutes ?) jet d'encre consomment moins si elles restent allumée 24/7.
Plus de purges à l'allumage.

Merci, c'est plus clair.
Pour les block list, a priori, je n'apparais que dans l'un d'entre eux. De temps en temps dans un second, qui me permet de me délister seul (spamhaus de mémoire).
L'utilise MX Toolbox et mail-tester de temps en temps pour faire des vérifications.
Ah, j'ai refais un test, et on dirait que j'ai plein de problème que je n'avais pas avant. Bon, j'vous laisse, j'ai du boulot !

Nan nan, je me suis peut-être mal exprimé, c'est mon serveur chez moi qui envoi et reçoit les mails en direct.
D'où le problème de reverse DNS.
Je n'ai pour le moment aucune solution externe pour faire relay, à par repasser par smtp.free.fr en relay dans ma config postfix, mais bof bof.

Sympa tout ça.

Bon, je suis une ouiche en DNS. J'ai quand même réussi une config à peu près carrée chez OVH pour mon domaine, en particulier pour le mail auto hébergé, avec du SPF, DKIM, DMARC et je ne sais plus trop quoi là tout de suite.

Il reste un inconvénient pour que mes mails ne soient pas considérés comme spam par les MTA destinataires, ce qui arrive très souvent : le reverse DNS.

Un ping <mon.domaine> fonctionne très bien, c'est le B-A-BA.

Mais quand un MTA fait du reverse sur mon IP, il tombe sur le "nom à la con du fournisseur d'accès" (Free en l’occurrence) et non pas sur <mon.domaine>.
C'est plutôt normal, mais c'est hyper pénible.
D'autant plus que chez Free, le reverse DNS perso ne fonctionne que dans de rares cas, en fonction de la plage d'IPv4 à laquelle on appartient. Et en plus, ils prévoient de supprimer totalement cette option.

Du coup, ça fait un moment que je me demande si ce serait :
1) possible
2) autorisé, voire légal
de gérer ça sur mon propre serveur à la maison, je ne sais pas, avec un bind peut-être ? Ce bind serait-il capable/autorisé à publier/pousser (terme correct ?) l'information "cette adresse IP, c'est ce <mon.domaine> et pas un autre".
J'imagine que si c'est possible, ça va entrer en conflit avec Free d'une manière ou d'une autre.

J'ai l'impression que ce bricolage est mon dernier espoir d'apparaître "propre" vis à vis des autres.
Avant de passer à la solution ultime : louer un "vrai" serveur chez un hébergeur

ddclient prend en charge des sites comme DynDNS :

Description-en: address updating utility for dynamic DNS services
 This package provides a client to update dynamic IP addresses with
 several dynamic DNS service providers, such as DynDNS.com.
 .
 This makes it possible to use a fixed hostname (such as
 myhost.dyndns.org) to access a machine with a dynamic IP address.
 .
 This client supports both dynamic and (near) static services, as  well as
 MX record and alternative name management. It caches the address, and
 only attempts the update when it has changed.

Un fois configuré, il se charge de "rafraichir" l'IP chez Dyn-truc en respectant les règles (pas trop souvent, etc).

Mais idéalement, et si le fournisseur d'accès le permet, il faut passer à une IP fixe.
Tant que j'y suis, à noter que depuis quelques années, Free, en mode IP variable, partage les 65536 port (TCP et UDP) en 4 blocs pour 4 clients différents sur la même adresse IP, avec translation de ports pour les 3 blocs décalés. Très chiant, surtout quand on fait de l'auto hébergement.
Le seul moyen d'éviter ça, c'est de demander une IP fixe (ils appellent ça "full stack" parfois)

On est d'accord, ça a l'air bien pratique.
Mais ça en solutionne en rien le problème de reverse DNS qui fait penser à beaucoup de serveurs que mes mais sont des spams ?
En auto hébergement s'entend.
J'ai beau faire tout ce que je peux pour montrer patte blanche (DKIM, DMARC et je ne sais plus quoi encore), dès que le MTA en face tente un reverse sur mon IP, il tombe sur x-y-z-t.subs.proxad.net et non pas sur mon domaine.
On est d'accord qu'il n'existe pas de solution à ce problème, sauf à louer un "vrai" serveur "dans le cloud" ?

C'est ce que je croyais, et je suis peut-être tombé sur un bug temporaire, mais oui, sur une Debian toute fraîche, j'ai bien obtenu mon IP fixe via /etc/network/interfaces, mais aussi et en plus, "un truc" (NetworkManager j'imagine) a continué d'attribuer à la même interface une IP via DHCP !
Encore une fois, probablement un bug temporaire d'il y 2 ou 3 ans, pas vu avant, pas revu après.
Ce que je reproche principalement à Debian et systemd (et tout ce qui gravite autour), c'est la brutalité.
Ça fait un sacré bail que je bricole du Linux :

• le pote qui se pointe chez moi en 1995 avec une disquette "ils ont ajouté le driver Adaptec 2940 au kernel, on peut essayer sur ta machine ?"
• le Firewall à tout faire depuis mon premier modem ADSL en 2000
• quelques serveur +/- pirates au taf

(je met entre parenthèse les projets pro avec un peu de Yocto ou Buildroot)

Mais je suis pas admin sys pro, c'est pas mon job de surveiller tout ce qui se passe partout dans la Debian. Et quand ils ont adopté systemd et que j'ai fait "la grosse upgrade" de mon FW, ça a tout pété méchamment, j'ai rien compris à ce qui m'arrivait, et ça m'a fait mal au … Je m'égare, j'ai eu un sentiment de trahison … Bon, j'arrête, j'en fait un peu des caisses là … Mais c'était vraiment très désagréable.

Et depuis, je n'ai lu la doc que de ce dont j'avais besoin sur le moment. Et je suis incapable de pondre un fichier de config systemd pour un service sans faire une recherche sur le Net. En plus, y'en a partout, dans /etc, dans /run, dans /var … Ça a changé profondément mes habitudes de vieux qui préfère les vieux pot de la Devuan.

Et puis, on est bien loin du KISS, non ?

C'est probablement la présence de NetworkManager qui prend en charge la gestion du réseau à la place des "anciens outils".
J'ai une paire de mauvaises expérience avec ça. Peut-être mon propre manque d'expérience …

Mais après une grosse blague (Debian), en essayant de passer d'une config par DHCP vers une IP fixe, je me suis retrouvé avec une IP fixe + une IP / DHCP …
Depuis, je bascule vers Devuan quand je peux, pour retrouver mes habitudes de vieux …

Ceci dit, après avoir craché mon venin, il me semble avoir réussi à faire de la config à l'ancienne sur Debian (+ systemd) en virant NetworkManager, et en faisant ma config à la main dans /etc/network/interfaces.

Plus tard, trop tard, j'ai appris l'existence de nmtui, qui permet de faire la config NetworkManager en ligne de commande. Et en tant que root. Utile, vu que sur une workstation, c'est souvent le compte utilisateur qui fait la config. Mais sur un serveur, et donc sans login d'aucun utilisateur, et donc sans config réseau NM appliquée …

Encore plus tard, j'ai vu l'usine à gaz (probablement justifiable) des fichiers de config de systemd + NetworkManager : jamais essayé, trop lourd pour un usage à la maison. J'ai même pas de lien sous le coude pour montrer à quoi ça ressemble.

Voilà voilà, c'était mes 5 ou 6 cents pour relancer la guéguerre systemd / no systemd …

J'ai vu l'autre commentaire sur netplan : intéressant. A première vue, ça a l'air léger et pas envahissant.

Y'a déjà plein de réponses utiles dans les commentaires, mais quid de l'emplacement ?

Chez un fournisseur de serveur cloud-bidule-VM-machin-truc-pas-chez-soi, pas de soucis.

En auto hébergement, chez soi à sa maison, il y a un problème insurmontable à ma connaissance : le reverse DNS.
Les destinataires des mails qui partent de chez moi peuvent vérifier plein de trucs (DKIM, dmarc ou je sais plus quoi), tout va bien, je suis propre sur moi.
Mais dès qu'ils demandent "elle est à qui cette IP ?", ils tombent sur le machin-x.y.z.t.mon.fournisseur.d.acces.internet.fr.
Et ça leur plaît pas bien, et mes messages finissent souvent dans les spams des destinataires.

JC  

(désolé, je me crois encore vendredi …)

Fin de la macronie aux législatives.

Rooooh, oui, j'avais oublié la confusion clic/double clic ! C'est tout le temps !
Et les popups, ça me fait penser à "j'ai un panneau qui s'affiche, comment je fais pour l'enlever ?" à traduire en "j'ai une fenêtre/boite de dialogue-alerte/popup …"
"Je clique sur la croix ?" …
Mauvais vocabulaire, certes, mais confusion accrue quand il faut faire la différence entre une fenêtre de l'OS et un "truc" dans la page Web !
Pfiou, on est pas sortis du sable …

Silence

Désolé, j'ai pas de solution. Je poste pour saluer le courage et la patience déjà, même si j'aurais pu m'abstenir, surtout pour raconter si peu en autant de mots … C'est curieux chez <moi> ce besoin de faire des phrases …

"Fichier" :

Au fil des ans, j'ai progressivement converti mon père :
- Office --> Open puis LibreOffice
- Mozilla Suite (nom correct ? La vieille combinaison navigateur+client mail) --> Firefox & Thunderbird
- et finalement, Windows --> Linux

Mais malgré son expérience perso et pro de 30 ou 40 ans, en tant que simple utilisateur de l'outil informatique, certaines choses ne sont jamais "rentrées" :
- disquette pour tout, de la disquette à la clé USB en passant par le CD
- fichier pour tout, fichiers et répertoires (et parfois d'autres choses qui n'ont rien à voir)
- fenêtre pour pas mal d'objets graphiques aussi
- et en règle générale, un vocabulaire imprécis et erroné qui a souvent épuisé ma patience au téléphone … Il faut deviner de quoi il parle avec de mauvais mots. Pas simple …

Je crois que jamais il n'a compris la notion d'arborescence, ni comment classer ses fichiers. Encore moins comment les retrouver. Lors du passage Windows --> Linux, j'ai eu ces mots un peu durs : "on s'en fiche que ça marche différemment, tu savais déjà pas où tu as rangé tes fichiers sous Windows, alors ça ne changera pas sous Linux, tu ne sauras pas non plus où tu ranges tes fichiers" …
Résultat : tu sur le "Bureau". A l'époque, KDE affichait par défaut le répertoire "Bureau", soit en fond d'écran, soit dans un widget. Tout ses fichiers se sont retrouvés là, sur un niveau à plat; deux ou trois quand il était en forme …

"UI/UX" :

Au delà de ça, il y a un autre aspect que je voulais soulever : l'évolution des interfaces graphiques.

Pauvres "vieux"

En bref, le skeuomorphisme et d'autres aspects ont laissé place au Flat Design. Wikipedia le dit aussi : ça engendre de la confusion.
Confusion pour les aînés qui avaient déjà du mal à identifier les éléments graphiques lorsqu'ils étaient dessiné, à les détacher les uns des autres, les hiérarchiser, etc.
Avant, les boutons avaient une forme de bouton. Un "vieux" finissait par les reconnaître. "Maintenant, tu cliques sur le bouton machin; il se passe quoi après ?" …
Maintenant, c'est la confusion la plus totale, et il faut deviner que certain éléments de l'interface sont cliquables. Rien qu'en regardant l'exemple de la page Wikipedia, comment un "vieux" pourrait identifier un bouton lorsque celui-ci est dans son état "normal" ?

Même moi, c'est dire …

Aller, une dernière remarque dans cette litanie de complaintes. Moi, qui avait un ZX81 dans les pognes à 11/12 ans, qui ait passé plus de temps sur des ordinateurs pour coder, jouer ou bosser, que pour toute autre activité dans ma vie (sauf dormir peut-être …), j'ai été #§$&* par le Flat Design récemment.
Contexte : je cherchais à installer un soft à partir du Store Windows. Impossible. J'ai fini par en déduire qu'en l'absence de compte Micro$oft, l'installation n'était pas permise. Faux. Même après la création d'un compte bidon pour l'occasion, toujours pas d'installation possible.
Jusqu'à ce que, par le plus grand des hasards, mon curseur de souris passe sur une "chose" qui s'anime au "contact". Un bouton !
Oui, mais un bouton plat, quasiment en blanc sur blanc, avec un texte quasiment blanc sur blanc.
Non, le fait que la réinstallation de Windows ait rendu ce "bouton" nettement plus visible n'excuse pas Micro$oft pour le bug de couleurs de l'installation précédente …

Finalement (!), c'était pas la dernière remarque …

Oui, j'ai retrouvé un reproche à faire … Dites, ceux qui ont de la bouteille, vous vous rappelez comment c'était avant l’avènement du Web ? Tous, chez Micro$oft, Appl€, les UN*X, parlaient de User Interfaces Guidelines. Pour une ergonomie idéale, faite ceci, faite pas cela.
Et puis ont débarqué des cohortes de dév Flash/HTML/Java/JS … Et les règles … Quelles règles ?…
Et encore aujourd'hui, on tombe sur des sites qui ressemblent plus à des sapins de noël ou sont imbitables. Pas forcément des trucs qui clignotent de partout comme du temps de Frontpage. Non, parfois, c'est super bien léché, même si réalisé en Flat Design. Mais c'est confus, ça ne répond plus à beaucoup de règle, chaque site a sa propre logique, quand ça n'est pas plusieurs logiques selon les pages …
Le plus drôle, si ça n'était pas triste, c'est Windows qui prend un temps infini à faire la transition vers le Flat Design : le paramétrage de l'économiseur d'écran se fait encore dans une boite de dialogue de … Windows 95 non ?…

Aller, j'arrête vraiment là

Alors, pour en revenir au sujet, on est d'accord que c'est criminel d'avoir placé nos "vieux" devant ce genre de chose ? Genre, accrochez-vous, les site commerciaux comme Amazon …

Un est pas à une vache près

Tout à fait, j'ai découvert cette possibilité à travers cette vidéo-tuto

On est pas confinés depuis 2 ans. On est juste hyper prudents.
Mais femme va bosser avec des triple vaccinés qui font leur deuxième covid. Bravo le vaccin.
Et nous, jamais eu besoin de faire un test, jamais malade.
Bon, on ne "désespère" pas de le chopper un jour, vu que les vaccins semblent totalement inadaptés à Omicron. Même la Chine commence à chiffrer les contaminations par milliers et dizaines de milliers.

L'étape de "fabrication" du cross-compilateur est généralement masquée (+/-) :
- c'est une des étapes du process de build d'un Yocto ou Buildroot, parmi des milliers
- dans d'autres environnements, Arduino, ou commerciaux (Attolic TrueSTUDIO^*, IAR, Keil …), le cross-compialteur est inclus prêt à l'emploi

Les étapes build et cross-compilation/host se font souvent sur la même machine.
Mon vocabulaire est incomplet, mais correct, nan ?

^* devenu gratuit depuis le rachat par STM. Avec support payant probablement, ça fait longtemps que je n'ai pas visité.

Marchés spécifiques, niches ?
Vieilles applications qui font le job, trop chères à refaire sur du matos moderne ?

En 2011, j'ai vu du très ancien chez Arcelor : un Compaq Alphaserver et un … PDP 11 !

Ce n'était pas une commande, je décrivais juste le lien symbolique.
Pour le créer, il faut d'abord se placer dans le répertoire de l'application qui pose problème. Qu'est-ce que je raconte ? Non, ça, c'est mon cas particulier. Mieux vaut créer un répertoire pour ça et se placer dedans.
Ensuite :

ln -s /usr/lib/x86_64-linux-gnu/libxcb-util.so.0 libxcb-util.so.1

A la condition bien sûr que /usr/lib/x86_64-linux-gnu/libxcb-util.so.0 existe sur le système (oui, dans mon cas, à l'époque, sur une Debian Buster ou Bullseye; mais peut-être que la version a changé depuis).

Un ls -AlF permettra de confirmer la création du lien.
Ensuite, dans le LD_LIBRARY_PATH, c'est ce nouveau répertoire qu'il faut ajouter. En tête, c'est important qu'il soit considéré avant les autres (si il y en a).
Cet ajout n'a de portée que dans le shell courant. Lancer l'application à partir du menu ne servirait à rien, il faut la lancer à partir du même shell, ou créer un script qui change le LD_LIBRARY_PATH puis lance l'appli.

En espérant que le problème soit bien libxcb-util.so.

En complément : je suis déjà tombé sur une erreur proche ou identique, suite à une mise à jour des outils de dév Qt. Qt Creator ne démarrait plus.

J'ai créé un lien symbolique dans le répertoire de l'appli, /home/totof/QtSDK/Tools/QtCreator/bin dans mon cas :

libxcb-util.so.1 -> /usr/lib/x86_64-linux-gnu/libxcb-util.so.0

Puis :

export LD_LIBRARY_PATH=/home/totof/QtSDK/Tools/QtCreator/bin:$LD_LIBRARY_PATH

C'est pas top, l'appli utilise une version .0 pensant que c'est une .1, mais là, ça passe …

Il me semble que j'avais utilisé :

QT_DEBUG_PLUGINS=1 <appli qui ne démarre pas>

pour identifier le problème et la librairie, étant donné que c'était un plugin et non pas l'appli elle-même qui l'utilise.

Sinon, ldd aurait pu faire l'affaire.