Concernant Microsoft et Windows, il y a tout de même des signaux forts de pas en direction de Linux avec la naissance de la 1ère distribution Linux estampillée M$. Nous ne savons s'il s'agit d'une nouvelle distribution à part entière.
Je ne laisse rien sous-entendre. Il n'y a aucun sous entendu dans ce texte. C'est un point de vue avec lequel on peut être en accord, en partie, totalement ou pas du tout.
L'essentiel du billet est surtout sur le fait que Google et Microsoft jouent Debian et le communautaire contre Red Hat, SUSE et Ubuntu. Un des commentateurs de mon blog faisait remarquer très justement qu'il n'était pas exclu que M$ rachète une des trois sociétés.
Je ne me trompe pas. Red Hat met à disposition ressources humaines et matérielles, logistiques aux projets CentOS et Fedora. Quant à openSUSE, elle est soutenu par SUSE.
Autrement dit, les projets Fedora, CentOS et openSUSE n'existeraient pas sans les sociétés commerciales auxquelles elles sont adossées. Je trouve, pour ma part, que la genèse de ces distributions est de nature fort différente à celle du projet Debian, Gentoo, Mageia ou Slackware, même si la notion de communauté existe aussi pour Fedora, CentOS, openSUSE ou Ubuntu, au même titre qu'il existe une communauté d'utilisateurs Red Hat ou SUSE. La communauté n'implique pas nécessairement une essence de projet communautaire. C'est d'ailleurs ce qui a été souvent reproché à ces distributions de la part des tenants et des partisans des distributions comme Debian ou Gentoo.
D'ici 3 ans ? Le souci de Microsoft, c'est son échec au niveau de la téléphonie mobile et des tablettes, marché dominé par Android qui s'exécute sur un noyau Linux.
Je crois que tu n'as pas compris la phrase. J'ai dit que ces sociétés vendaient du support. Je n'ai jamais écrit que Red Hat vendait du support pour Fedora ou CentOS ou que SUSE en vendait pour openSUSE.
J'ai hier écrit un article sur les soutiens financiers de Debian. Il faut distinguer partenaires et sponsors de la DebConf. Google et Microsoft ont soutenu la DebConf 2017.
Concernant Ubuntu, c'est réducteur de croire qu'il s'agit d'une annexe de Debian. Ubuntu contribue activement au projet Debian. C'est très bien expliqué dans ce document.
Ce qui serait sympa, c'est aussi que vous fassiez vos tests. Le fait de reproduire les conditions de ce test (processeur, etc) n'a strictement aucun intérêt.
Clairement, en lecture, l'avantage n'est pas significatif. En revanche, en mode OLTP, c'est Xfs qui a l'ascendant sur Btrfs. J'ai cru lire ce genre de choses sur d'autres tests qui n'avaient rien à voir avec la base de données.
Pour ma part, ça fait belle lurette que j'ai abandonné ext4 au profit de xfs.
Le fait que je ne sois pas en prod n'est pas un argument. Concernant Windows, tu dois te souvenir que je ne suis pas un ayatollah du libre. ;+)
J'ai, en effet, oublié de tester en MyISAM et en Aria des index sur les colonnes pivot des tables enfants. Un des commentateurs de mon blog me l'a fait remarqué. Je vais prendre le temps de refaire le test ce WE. Et je le rappelle, ce qui compte, ce sont les valeurs relatives. Ton objection en saurait être un argument. D'ailleurs, je ne vois pas en quoi ce serait un argument !
NB Sinon, tout va bien, à part une grippe et un manque de soleil en Normandie. Beaucoup de PostgreSQL, de MariaDB, de Linux, de GLPI et de sécurité informatique. Mais aussi beaucoup de PowerShell et de SQL Server.
Non, c'est le même moteur avec trois bases contenant les mêmes données. La seule différence est que MyISAM et Aria n'ont pas de FK. ;+)
J'ai déterminé deux requêtes. La requête mono-table tape dans une base de 130 Mo. J'ai donné le lien de la base.
Comme je l'ai indiqué dans le billet, j'ai regardé, comme ça au doigt mouillé, en prod si le résultat était conforme au test en mettant en oeuvre performance_schema et j'ai pu constater que InnoDB était plus rapide que Aria qui était la motorisation que j'avais choisie auparavant, du fait de l'utilisation massive des JOIN et des INNER JOIN dans le CMS. Cette information est un complément et n'est pas représentative du test qui lui a été sérieusement effectué, dans des conditions strictement identiques pour les trois motorisations.
Comme je l'ai indiqué par commentaire, j'aurais pu faire d'autres tests notamment avec des clauses WHERE portant sur les clés primaires.
NB Je fais de la base de données depuis 1988, date à laquelle j'ai suivi une formation DBA. Je travaille sur Oracle (depuis la version 6.0), PostgreSQL (depuis la version 7.3), MySQL (depuis la version 3.23), MariaDB (depuis la 5.5).
SELinux ne prend en charge que les paquets en mode SECMARK dans Iptables.
AppArmor ne prend pas en charge les ports et le protocoles.
Le commutateur—cgroup n'est pas pris en charge dans
Iptables. Sinon, c'était une excellent idée !!!
Ip-netns n'est pas fait pour ça.
Fireflier, Program Guard, TuxGuardian, Ufwi, Douane sont dans les choux.
Les commutateurs --gid-owner et --uid-owner dans Iptables ne sont pas possibles du fait que GTK, KDE, etc n'autorisent pas l'exécution en mode sgid ou suid.
Autrement dit, il n'y a pas de solution à ce jour pour filtrer les paquets associés à un process. Et c'est tout de même un comble quand Windows et Mac OS X proposent tous deux cette fonctionnalité. Faut-il en déduire que Linux n'est pas fait pour la station de travail ? Pour ma part, je le pense.
Je parle de Linux sur une station de travail et le fait de contrôler les paquets qui sortent des process (pid) ! Parlons-nous vraiment de la même chose ?
[^] # Re: Le meilleur passage. J'ai adoré.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à -1.
Qui a dit que Microsoft allait jeter .Net, alors qu'il fonctionne déjà sur Linux ?
[^] # Re: Le meilleur passage. J'ai adoré.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à 0.
Je n'ai jamais dit qu'une communauté, c'était nécessairement du communautarisme. Il peut y avoir une communauté nationale, par exemple.
[^] # Re: Le meilleur passage. J'ai adoré.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à 0.
Mais il ne s'agit pas de lutter contre qui que ce soit !
[^] # Re: Le meilleur passage. J'ai adoré.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à 0. Dernière modification le 23 avril 2018 à 19:55.
C'est sûr que je vois mal M$ donner à Fedora, CentOS, openSUSE et Ubuntu. Donc, je n'aurais pas un peu raison sur ce coup-là ? ;+)
[^] # Re: Le meilleur passage. J'ai adoré.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à 0.
OK. Mais pourquoi Debian ?
[^] # Re: Le meilleur passage. J'ai adoré.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à -1.
Vu l'explosion des usages autour du mobile et des tablettes, je ne vois pas comment Microsoft pourrait ignorer ce marché.
[^] # Re: Le meilleur passage. J'ai adoré.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à 0.
Microsoft donne de l'argent à Debian par pur désintérêt ?
[^] # Re: Le meilleur passage. J'ai adoré.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à 0.
Concernant Microsoft et Windows, il y a tout de même des signaux forts de pas en direction de Linux avec la naissance de la 1ère distribution Linux estampillée M$. Nous ne savons s'il s'agit d'une nouvelle distribution à part entière.
[^] # Re: Mouais…
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à -3.
Je ne laisse rien sous-entendre. Il n'y a aucun sous entendu dans ce texte. C'est un point de vue avec lequel on peut être en accord, en partie, totalement ou pas du tout.
L'essentiel du billet est surtout sur le fait que Google et Microsoft jouent Debian et le communautaire contre Red Hat, SUSE et Ubuntu. Un des commentateurs de mon blog faisait remarquer très justement qu'il n'était pas exclu que M$ rachète une des trois sociétés.
[^] # Re: Le meilleur passage. J'ai adoré.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à 1. Dernière modification le 23 avril 2018 à 15:30.
Je ne me trompe pas. Red Hat met à disposition ressources humaines et matérielles, logistiques aux projets CentOS et Fedora. Quant à openSUSE, elle est soutenu par SUSE.
Autrement dit, les projets Fedora, CentOS et openSUSE n'existeraient pas sans les sociétés commerciales auxquelles elles sont adossées. Je trouve, pour ma part, que la genèse de ces distributions est de nature fort différente à celle du projet Debian, Gentoo, Mageia ou Slackware, même si la notion de communauté existe aussi pour Fedora, CentOS, openSUSE ou Ubuntu, au même titre qu'il existe une communauté d'utilisateurs Red Hat ou SUSE. La communauté n'implique pas nécessairement une essence de projet communautaire. C'est d'ailleurs ce qui a été souvent reproché à ces distributions de la part des tenants et des partisans des distributions comme Debian ou Gentoo.
[^] # Re: Le meilleur passage. J'ai adoré.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à 1.
D'ici 3 ans ? Le souci de Microsoft, c'est son échec au niveau de la téléphonie mobile et des tablettes, marché dominé par Android qui s'exécute sur un noyau Linux.
Merci pour le commentaire.
[^] # Re: Mouais…
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Quelles peuvent être les raisons au soutien de Google et de Microsoft à Debian ?. Évalué à -1. Dernière modification le 23 avril 2018 à 14:08.
Je crois que tu n'as pas compris la phrase. J'ai dit que ces sociétés vendaient du support. Je n'ai jamais écrit que Red Hat vendait du support pour Fedora ou CentOS ou que SUSE en vendait pour openSUSE.
J'ai hier écrit un article sur les soutiens financiers de Debian. Il faut distinguer partenaires et sponsors de la DebConf. Google et Microsoft ont soutenu la DebConf 2017.
Concernant Ubuntu, c'est réducteur de croire qu'il s'agit d'une annexe de Debian. Ubuntu contribue activement au projet Debian. C'est très bien expliqué dans ce document.
Merci pour le commentaire.
Liste des sponsors de la DebConf 2017
# Faites vos tests
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Le choix du système de fichiers impacte-t-il les performances de MariaDB ?. Évalué à -2.
Ce qui serait sympa, c'est aussi que vous fassiez vos tests. Le fait de reproduire les conditions de ce test (processeur, etc) n'a strictement aucun intérêt.
[^] # Re: Environnement de benchmark
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Le choix du système de fichiers impacte-t-il les performances de MariaDB ?. Évalué à -2.
Clairement, en lecture, l'avantage n'est pas significatif. En revanche, en mode OLTP, c'est Xfs qui a l'ascendant sur Btrfs. J'ai cru lire ce genre de choses sur d'autres tests qui n'avaient rien à voir avec la base de données.
Pour ma part, ça fait belle lurette que j'ai abandonné ext4 au profit de xfs.
[^] # Re: Environnement de benchmark
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Le choix du système de fichiers impacte-t-il les performances de MariaDB ?. Évalué à -2.
Globalement, on s'en fout. Ce sont les valeurs relatives qui sont intéressantes.
Vous pensez ce que vous voulez. Pour ma part, cela corrobore d'autres test. J'en ferais une autre série avec PostgreSQL.
[^] # Re: Pas représentatif du tout, en fait.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Performances comparées des moteurs MyISAM, Aria, InnoDB. Évalué à -2.
Excuse-moi pour le commentaire précédent. Je suis grippé et je manque quelque peu de "lucidité". En fait, tu allais dans mon sens.
J'ai regardé dans les bases et la table salaries de chaque base possède bien un index sur emp_no. Je confirme mes résultats.
[^] # Re: Pas représentatif du tout, en fait.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Performances comparées des moteurs MyISAM, Aria, InnoDB. Évalué à -2.
Le fait que je ne sois pas en prod n'est pas un argument. Concernant Windows, tu dois te souvenir que je ne suis pas un ayatollah du libre. ;+)
J'ai, en effet, oublié de tester en MyISAM et en Aria des index sur les colonnes pivot des tables enfants. Un des commentateurs de mon blog me l'a fait remarqué. Je vais prendre le temps de refaire le test ce WE. Et je le rappelle, ce qui compte, ce sont les valeurs relatives. Ton objection en saurait être un argument. D'ailleurs, je ne vois pas en quoi ce serait un argument !
NB Sinon, tout va bien, à part une grippe et un manque de soleil en Normandie. Beaucoup de PostgreSQL, de MariaDB, de Linux, de GLPI et de sécurité informatique. Mais aussi beaucoup de PowerShell et de SQL Server.
[^] # Re: Pas représentatif du tout, en fait.
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Performances comparées des moteurs MyISAM, Aria, InnoDB. Évalué à -1.
Non, c'est le même moteur avec trois bases contenant les mêmes données. La seule différence est que MyISAM et Aria n'ont pas de FK. ;+)
J'ai déterminé deux requêtes. La requête mono-table tape dans une base de 130 Mo. J'ai donné le lien de la base.
Comme je l'ai indiqué dans le billet, j'ai regardé, comme ça au doigt mouillé, en prod si le résultat était conforme au test en mettant en oeuvre performance_schema et j'ai pu constater que InnoDB était plus rapide que Aria qui était la motorisation que j'avais choisie auparavant, du fait de l'utilisation massive des JOIN et des INNER JOIN dans le CMS. Cette information est un complément et n'est pas représentative du test qui lui a été sérieusement effectué, dans des conditions strictement identiques pour les trois motorisations.
Comme je l'ai indiqué par commentaire, j'aurais pu faire d'autres tests notamment avec des clauses WHERE portant sur les clés primaires.
NB Je fais de la base de données depuis 1988, date à laquelle j'ai suivi une formation DBA. Je travaille sur Oracle (depuis la version 6.0), PostgreSQL (depuis la version 7.3), MySQL (depuis la version 3.23), MariaDB (depuis la 5.5).
# Pas d'accord
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au lien Performances comparées des moteurs MyISAM, Aria, InnoDB. Évalué à -5.
Ce qui est intéressant, ce sont les valeurs relatives.
NB En général, on évite de faire des tests pour pénaliser la prod. ;+)
# Un plagiat ???
Posté par Denis Szalkowski . En réponse à la dépêche Seconde mise en demeure pour l'association LinuxFr. Évalué à 9.
Je n'ai vraiment pas compris d'où pouvait provenir la suspicion de plagiat.
Cela mériterait une plainte contre ce Môsieur pour abus de procédure, hein ?
[^] # Re: Et le monde RPM !
Posté par Denis Szalkowski . En réponse à la page de wiki Quelle distribution Linux choisir ?. Évalué à 0 (+0/-0).
Vous êtes plus doué dans le pinaillage que dans votre souci de dire le réel. A chacun son monde !
# Et le monde RPM !
Posté par Denis Szalkowski . En réponse à la page de wiki Quelle distribution Linux choisir ?. Évalué à 0 (+0/-0).
Comment est-il possible dans un article consacré aux distributions Linux d'oublier de parler de Fedora, d'OpenSUSE ou encore de CentOS ?
# SYNTHESE
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au message Cas d'utilisation : N'autoriser que firefox à sortir sur les ports HTTP(S). Évalué à -1. Dernière modification le 26 juillet 2015 à 08:06.
SELinux ne prend en charge que les paquets en mode SECMARK dans Iptables.
AppArmor ne prend pas en charge les ports et le protocoles.
Le commutateur—cgroup n'est pas pris en charge dans
Iptables. Sinon, c'était une excellent idée !!!
Ip-netns n'est pas fait pour ça.
Fireflier, Program Guard, TuxGuardian, Ufwi, Douane sont dans les choux.
Les commutateurs --gid-owner et --uid-owner dans Iptables ne sont pas possibles du fait que GTK, KDE, etc n'autorisent pas l'exécution en mode sgid ou suid.
Autrement dit, il n'y a pas de solution à ce jour pour filtrer les paquets associés à un process. Et c'est tout de même un comble quand Windows et Mac OS X proposent tous deux cette fonctionnalité. Faut-il en déduire que Linux n'est pas fait pour la station de travail ? Pour ma part, je le pense.
[^] # Re: Voyager dans le multispace (ou multivers, ce genre de trucs)
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au message Cas d'utilisation : N'autoriser que firefox à sortir sur les ports HTTP(S). Évalué à 1.
Ça fait 3 ans que je cherche !
[^] # Re: Voyager dans le multispace (ou multivers, ce genre de trucs)
Posté par Denis Szalkowski . En réponse au message Cas d'utilisation : N'autoriser que firefox à sortir sur les ports HTTP(S). Évalué à 1.
@Florent
Je parle de Linux sur une station de travail et le fait de contrôler les paquets qui sortent des process (pid) ! Parlons-nous vraiment de la même chose ?