Frédéric Perrin a écrit 207 commentaires

Ce que les gens ignorent, c'est que ça va être pareil pour le son sous linux ! 42 serveurs ou composants faisant la même chose mais différemment et chacun avec une spécificité !

C'est ça aussi l'esprit gnu.

L'esprit GNU ? Montre-moi plusieurs projets GNU qui font la même chose les uns que les autres (oui, bon, GNOME est un projet GNU, et il a sa part de duplication de code...)

Dans le système GNU, il y a un shell (bash), un éditeur de texte (emacs), un compilateur (gcc), un gestionnaire de version centralisé (CVS) et un décentralisé (bazaar), etc.

Après, si tu dis que c'est l'esprit Linuxien...

Contre, tout contre elles alors.

La solution qui est souvent utilisée est d'installer dans /opt. Typiquement, au moment de la compilation, tu configures avec "./configure --prefix=/opt/R-2.2.1 [autres options...]". Vérifie quand même que les autres paramètres d'installation héritent bien de --prefix (et même, tu peux chown'er à ton utilisateur courant le dossier /opt/R-2.2.1 pour être sûr de ne pas écraser les binaires "systèmes").

Le lancer de débat, un nouveau sport olympique après le lancer de nains ?

man métaphore ?

Peut-être pas, on dirait qu'il a accidentellement un verbe, c'est tout.

Le routing des mails est "un peu" plus compliqué que serveur SMTP de userA -> routage IP -> serveur SMTP de userB. Il y a des alias de messagerie qui traversent les domaines ; il y a des infrastructures qui différencient serveurs SMTP frontaux acceptant les messages venant de l'Internet, serveurs qui faisant tourner un anti-SPAM, serveurs offrant du POP/IMAP aux utilisateurs ; il y a des serveurs qui offrent du submission aux utilisateurs avant de passer au vrai SMTP qui fait l'envoi ; il y a des serveurs des serveurs MX qui tombent puis le secondaire qui prend le relais jusqu'au retour du premier ; etc.

Cela fait plein de raisons pour avoir N serveurs, N > 2, qui triturent le mail.

Inutilisable en entreprise, où des travaux d'impressions sont lancés à la chaîne par plusieurs personnes, de toute façon.

Et où deux fois sur trois l'impression traîne dans le bac jusqu'à ce que quelqu'un vienne faire le ménage.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Complément_à_deux

Par contre, je n'avais pas compris que tu *voulais* des clefs négatives... Comme dit plus haut, fais les calculs en précision arbitraire avec Math::BigInt, puis tu te remets à la main dans le domaine -2^63; 2^63-1.

Ce qui est un début, mais pas le résultat final, loin s'en faut : pour les chaînes de caractères courtes ("short_string" par exemple), tout va bien et j'ai le même résultat en Perl et Java, mais quand la chaîne s'allonge, Perl continue d'incrémenter la valeur de $hash là où Java ne dépasse jamais la longueur max d'un long. Comment dire à Perl de se comporter autrement?

Faudrait savoir, tu veux un hash modulo 2^(sizeof long) ou une sorte de polynôme dont les coefficients sont les valeurs des octets de la chaîne ?

Si c'est le premier, à vue de nez il faudrait ajouter un $hash = $hash % (2 ** 64); à la fin du calcul (à vérifier, je me trompe peut-être de puissance de deux).

Et en passant l'option init=/bin/sh ? Tu essayes ensuite de lancer /sbin/init à la main.

Question bête, la partition hda1 est bien celle qui contient /, ce n'est pas la partition /boot ?

J'ai pas bien senti la différence entre ":=" et "="

D'après l'exemple en première page, a := b est un raccourci pour a : Type; a = b, où Type est inféré par le compilateur de façon intelligente.

Une boucle foreach sans iterateur (moi qui trouve jolie le fait d'avoir un iterateur)

Tu trouves les itérateurs jolis ? Au bon d'un moment, tu n'as pas marre d'aller chercher l'itérateur, le faire défiler à la main, vérifier s'il reste quelque chose ? Pour moi, faire défiler un intérateur est le genre de choses barbantes que mon compilateur pourrait bien faire à ma place...

Est-il est possible d'avoir des nourjaux dont la moyenne des commentaires est négative ?

Pourquoi pas ? Peut-être que tomsc est curieux et veut voir comment le noyau se débrouille pour telle ou telle charge de travail ?

Une solution utilisée par beaucoup d'emacsiens (même si personnellement je n'arrive pas à m'y faire) est d'utiliser MajVerr comme deuxième touche Ctrl.

man 8 pivot_root et man 2 pivot_root. Voir aussi les scripts de démarrage de ta distribution. J'ai sous la main uniquement un Linux/sparc64 sous Debian, et visiblement c'est le binaire bin/run-init (dans l'initrd) qui fait ce pivot_root. Je crois me souvenir d'autres distributions où le pivot_root était fait dans un script shell.

Dans a && b, b est exécuté si et seulement si a a renvoyé 0. Donc dans ton cas, la seule chose qui peut être affichée par ton echo est 0. En remplaçant && (qu'il faut voir comme un opérateur logique) par ; (opérateur de séquencement, on va dire), tu verras le code de retour du dernier élément du pipe.

Autre chose : si tu veux faire des recherches sur les processus en cours d'exécution, utilise plutôt pgrep, disponible sous tous les Unix modernes, et qui sera bien moins sensible aux variations dans les formats de ps.

Il est plus simple de taper un raccourci clavier pour passer d'une fenêtre à l'autre que de devoir lâcher son clavier, saisir le mulot, cliquer sur la fenêtre intéressante, reprendre le clavier.

Après, le souci c'est que pour plein de gens, "simple d'utilisation" ça veut dire en réalité discorevability (déductibilité ?) et simple d'apprentissage. Mais oui, dwm est plus simple d'utilisation que metacity.

Pour faire de l'archéologie libriste, il y a aussi ftp.??.freebsd.org/pub/FreeBSD/distfiles (et peut-être d'autres équivalents chez d'autres projets). Je sais pas s'il est régulièrement nettoyé... Celui qui est chez Free a par exemple des versions de deskbar-applets de la version 2.14 à 2.30, ça fait de 09/2006 à 03/2010.

C'est pour cela que la FSF soutient des projets de matériel ouvert, duquel on aurait accès aux plans : [http://groups.fsf.org/wiki/Hardware], Coreboot...

Il y a des compilateurs VB libres ? Ils tournent sur des OS libres ?

NeoX: OP veut faire le contraire de ce que fait limit-burst : il ne veut pas laisser passer n paquets et bloquer les suivants, il veut bloquer les n premiers paquets et laisser passer les suivants. Alors après, je n'ai pas compris pourquoi houssem est parti dans la direction de limit-burst...

Est-ce qu'il ne faudrait pas plutôt développer un petit module iptables perso ?

Emacs a été le premier logiciel du projet GNU (1985) ; avant que GCC ne devienne le compilateur par défaut (1987 d'après WP), il était souvent compilé par des compilateurs non libres. Il semble que des compilateurs libres existaient (RMS évoque Pastel, mais qui avait des limitations rédhibitoires), mais en minorité.

D'un autre côté, RMS évoque aussi le "Java trap", en disant qu'il faut éviter les langages tels que ceux que tu décris.

Un vote de plus pour Claws-Mail, et pour la solution 1 mail = 1 fichier (même si le MH annoncé par Claws n'est pas un vrai MH, mais passons).

J'avoue avoir du mal à comprendre certains de tes critères :

"je cherche un lecteur de mail ... qui tienne la charge ... (c'est quoi cette manie de tout passer en base de donné) ... je suis pas très fan du 1 fichier par mail".

Je ne connais pas de façon de stocker de grandes quantités des mails sans utiliser ou bien une base de données, ou alors un mail / fichier, avec le plus souvent un fichier résumant les entêtes des mails du dossier courant (ce qui revient à dire que ton FS fait le boulot d'une base de données). L'autre solution, le mbox classique d'Unix, ne tient clairement pas la charge.

C'est pas une solution, c'est un cache-misère.