Jérôme Flesch a écrit 346 commentaires

  • # Paperwork ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Paperless.... Évalué à 10. Dernière modification le 19 avril 2013 à 19:03.

    Vu que ça me semble être une réponse potentiellement pertinente à ta question, j'en profite pour me faire un peu de pub.

    Je travaille depuis un moment sur un programme appelé Paperwork. C'est un client lourd (Python/Gtk), et pour des questions de performances, je recommande d'avoir les documents en local. Ceci dit, rien n’empêche d'avoir les documents en local et de les rsync périodiquement sur ton NAS (mieux vaut avoir trop de copies de ses documents que pas assez).

  • [^] # Re: Comment dire...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal L'ergonomie de GNOME 3. Évalué à 3.

    Des fois que ça aide:

    J'ai moi-même eut des soucis avec Gnome 3 et le pilote Nvidia propriétaire. J'avais des performances catastrophiques sur une machine qui pourtant était, il n'y a pas si longtemps encore, une bête de courses. En fait le problème venait de la version du pilote Nvidia propriétaire fournit dans Debian testing. J'ai pris la version du pilote Nvidia de Debian unstable, et maintenant ça tourne.

    (par contre, si c'est bien aussi ta situation, je suis désolé, mais je ne retrouve plus les instructions pour passer sur le pilote sid)

  • [^] # Re: Dans quel monde parallèle je vis ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal L'ergonomie de GNOME 3. Évalué à 1.

    Juste à titre de remarque, certains des points que tu donnes peuvent se retrouver plus ou moins dans les Human Interface Guidelines de Gnome.

    Notamment:
    - Conserver la simplicité et rendre joli : "utilisez des révélations progressives et d'autres techniques pour limiter la quantité de choses que l'utilisateur voit à chaque instant."
    - Sensibilité : "Il est souvent préférable de rendre un contrôle insensible plutôt que de le masquer complètement"

  • [^] # Re: frustration palpable à des kilomètres

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal la fin de msn ?. Évalué à 5.

    Si c'est le cas, j'espère qu'un jour certains finiront par comprendre que l'ironie et le second degré sont des intonations de voix qui passent mal par les câbles réseaux …

  • [^] # Re: Difficilement contestable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal L'ergonomie de GNOME 3. Évalué à 5. Dernière modification le 26 novembre 2012 à 18:00.

    je n'ai jamais entendu d'admin sys qui se plaignait de la taille des icones

    D'admin sys je ne sais pas, mais de programmeur, j'en connais un: Moi-même. Classiquement, dans la catégorie des trucs chiants à cliquer qui m'agacent fortement, il y a les sous-sous-menus. Même avec une bonne maîtrise de la souris, qui n'a jamais raté son coup et changé de sous-menu par accident ? Il se trouve que je met les menus "Applications", "Raccourcis" et "Système" de Gnome 2 dans ce panier. Tant et si bien que je ne m'en servais jamais et préférais utiliser les raccourcis claviers "Ouvrir un terminal" et "Lancer une commande" tout le temps.

    Bah non, c'est peut-être mieux pour les handicapés, mais je ne suis pas handicapé, et je n'ai absolument pas de problème pour cliquer sur une icone de 32x32 pixels.

    Les menus Gnome 2, sauf erreur de ma part, c'est du 24x24 (ce n'est pas si négligeable comme différence). Je ne suis pas handicapé, et pourtant il m'est déjà arrivé de lancer la mauvaise application via les menus Gnome 2 (la fatigue du Vendredi soir dira-t-on). Je n'ai encore jamais eut ce problème avec Gnome 3. Sans compter que la taille des icônes et de noms de catégories de Gnome 3 permet de naviguer dans les menus d'applications à la souris beaucoup plus vite qu'avec Gnome 2 (à ce sujet, je maintiens que l'excuse des traversées d'écran est une mauvaise excuse).

    J'ai vaguement l'impression qu'à force de privilégier les nullos, on finisse par perdre de la productivité.

    Personnellement, j'ai vaguement l'impression qu'à force de privilégier les nullos, on obtient une interface qui se concentre sur la productivité plutôt que des possibilités de personnalisations à l'utilité discutable.

    je ne pense pas qu'il soit souhaitable de cacher les détails aux utilisateurs

    Pourtant, entre démocratiser Linux ou faire des interfaces compliquées, il faudra choisir.

    il existe une différence réelle entre un programme fermé et un programme minimisé. Les interfaces modernes ont tendance à confondre les deux concepts

    Gnome 3 a éjecté le bouton "réduire" de la barre de titre des fenêtres par défaut. Ça évite justement cette confusion.
    Pour l'anecdote, je n'ai jamais vu d'utilisateur non-informaticien minimiser une fenêtre volontairement. Jamais. Les informaticiens Linuxiens que je connais utilisent les bureaux virtuels, donc ils minimisent peu voir pas. Et au final, personnellement, je pense que la fonction "exposée" rend vraiment complètement inutile la fonction "minimiser". Je ne comprends même pas que les devs Gnome 3 aient gardé l'option.

    on cache une subtilité essentielle qui pourrait s'avérer critique en cas de problème

    Il ne devrait pas y avoir de problème dans un premier temps. De toute façon, si il y a un problème, quel qu'il soit, tu peux être sûr d'une chose: L'utilisateur lambda sera perdu et frustré. Lui il veut juste "que ça marche". Pour lui, tout le reste n'est qu'excuses pour justifier l'inaptitude de l'informatique et des informaticiens à résoudre son problème. Si ça ne marche pas vite et bien, il retournera au programme qu'il utilisait avant (Windows par exemple), et c'est tout.

  • [^] # Re: Difficilement contestable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal L'ergonomie de GNOME 3. Évalué à -2.

    à devoir utiliser une interface destinée aux handicapés

    Une interface destinée aux handicapés et une interface qui peut aussi être utilisée par des handicapées sont deux choses différentes.

  • [^] # Re: Qu'est-ce qui est le plus important

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal L'ergonomie de GNOME 3. Évalué à -8.

    Sauf qu'on parle d'interface graphique ici, et non de fauteuils roulants. Serait-il possible d'arrêter une fois pour toutes avec les parallèles foireux (voitures, fauteuils roulants, etc) ?

  • [^] # Re: Qu'est-ce qui est le plus important

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal L'ergonomie de GNOME 3. Évalué à 6.

    Ça m'intéresse. Est-ce que tu te souviens quels étaient les points bloquants exactement ? Mieux encore, peux-tu poster un lien vers une vidéo de la conférence ?

  • [^] # Re: Qu'est-ce qui est le plus important

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal L'ergonomie de GNOME 3. Évalué à 4.

    Je suppose que tu fais référence aux besoins couverts par les options d'accessibilités en haut à droite de l'écran dans Gnome 3, et qui sont désactivés par défaut ?

    Même si ils ont des besoins particuliers, il est quand même préférable de prendre en compte les handicapés dès le design initial. Tout le monde en bénéficie. Par exemple, personnellement, je n'ai jamais été fan de devoir déplacer soigneusement ma souris dans le menu "Application" de Gnome 2 pour passer du menu à un sous-menu sans changer accidentellement de sous-menu.

  • # Qu'est-ce qui est le plus important

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal L'ergonomie de GNOME 3. Évalué à 10.

    Je pense que la bonne question, c'est qu'est-ce qui est le plus important pour le travail de l'utilisateur ? Autrement dit, qu'est-ce qui mérite le plus d'espace sur l'écran ? Le window manager, le shell graphique ou les applications en cours d'utilisation ?

    Et non, la possibilité de masquer les panels dans Gnome 2 n'était pas une bonne une bonne solution. Ce n'est pas pour rien que ce n'était pas activé par défaut. Avec cette option activée, si l'utilisateur souhaitait accéder à une option en bas d'une fenêtre d'une application maximisée, il devait faire preuve d'une grande habilité à l'utilisation de la souris pour cliquer sur son option sans taper avec le curseur le bas de l'écran. Si par mégarde il tapait le bas de l'écran, il lui fallait remonter la souris et retenter la manœuvre. Pour bien voir le problème, il faut s'imaginer une personne agée (>= 70 ans + problèmes moteurs) entrain d'essayer de manipuler sa souris.

    Il ne faut pas perdre de vue non plus que l'accès au menu "activité" se fait en un seul geste, ne nécessitant aucune précision de la part de l'utilisateur. Autrement dit, ce changement de mode est d'une complexité complètement négligeable.

    L'utilisation de tout l'écran par l'écran permet une bien plus grande clarté, intuitivité et ergonomie. Les icônes et les miniatures sont plus grands et donc beaucoup plus facilement reconnaissables (mon petit doigt me dit que les mal-voyants apprécient). Ils sont aussi beaucoup plus facilement à cliquer que dans les menus de Gnome 2 (là c'est les personnes âgées et les handicapés moteurs qui doivent apprécier je pense).

    En gros, Gnome 2 tassait tout dans un seul mode de fonctionnement. Gnome 3 a décidé d'en accepter 2 pour rendre les choses beaucoup plus claires, et nettement plus faciles d'utilisation à la souris, sans pour autant négliger les fanas des raccourcis claviers.

    On pourrait être tenté de dire "oui mais moi je ne suis pas handicapé". Toutefois il ne faut pas perdre de vue que si un handicapé arrive à se servir d'une interface, une personne en bonne santé sera d'autant plus efficace avec.

    Après, tout n'est pas rose dans Gnome. Personnellement je suis passablement fâché avec la zone de notification de Gnome 3.4. Mais le menu "activité" est à mes yeux une excellente, et visiblement audacieuse, idée.

  • [^] # Re: Comparaison de menus Unity/GnomeShell/elementary

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal GNOME, c'est Apple et Ubuntu c'est Android (Vendredi inside). Évalué à 3.

    Juste une remarque en passant:

    Sur un écran, il y a 5 endroits plus faciles à atteindre que les autres [1]:

    • là où le curseur est à l'instant t (pas de mouvement à faire du tout)
    • les bords de l'écran. Pour cause, il suffit de lancer la souris pour les atteindre, on ne risque pas de les dépasser. Les coins de l'écran sont d'ailleurs encore bien plus faciles à atteindre.

    Ça explique notamment le placement du bouton "activités" dans Gnome 3. Vu que les lanceurs rapides utilisent déjà le coté gauche, la liste des catégories d'applications s'est retrouvée à droite. Du coup, la traversée de l'écran n'est pas nécessairement problématique: Ça peut se faire en un seul geste avec peu de soucis en terme de précision.

    À mon avis, là où les gars de Gnome se sont ratés, c'est:

    • si on a 2 écrans, le coté gauche ou droit de l'écran peut être dépassé. C'est un setup encore relativement peu courant chez les particuliers (hors geeks), donc ça reste un choix compréhensible.
    • si on lance la souris sur la droite, il me semble qu'on ne peut pas cliquer directement sur une catégorie d'application … il y a une marge d'une 20ène de pixels … (Gnome 3.4, Debian Testing). J'espère que c'est corrigé dans Gnome > 3.4.

    [1] http://www.amazon.com/User-Interface-Design-Programmers-ebook/dp/B001O9LB86

  • [^] # Re: Alors

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal GNOME systemd : et la guerre ne fait que commencer. Évalué à 5. Dernière modification le 19 octobre 2012 à 22:50.

    Cet employé suit les directives de son entreprise. Cette entreprise fait des logiciels Linux. C'est donc normal qu'il favorise Linux dans ses développements.

    Après, que ce soit un bénévole ou que ce soit une société privé ne change rien au problème. Il(s) fait/font ce qu'il(s) veul(ent). Point.

  • [^] # Re: C'est mort

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal GNOME systemd : et la guerre ne fait que commencer. Évalué à 1. Dernière modification le 19 octobre 2012 à 22:51.

    Arrêter de penser que les utilisateurs lambda sont trop con pour cliquer sur une souris.

    Ce n'est pas une question d'être trop con ou pas. C'est une question de faire des interfaces graphiques claires et ergonomiques. Autrement dit, des interfaces où l'utilisateur ne perd pas son temps à tout configurer et à nager dans des options et autres subtilités dont il n'a rien à cirer. En bref, des interfaces qui font ce dont il a besoin et rien d'autre.

    Je n'ai rien contre des interfaces surchargées en options comme Kde ou Xfce (chacun ses goûts après tout). Mais il faut comprendre que l'objectif de Gnome n'est pas de faire une suite logicielle fournissant les options désirées par toutes les personnes existantes sur cette planète. Son rôle est de rendre l'informatique libre accessible aux utilisateurs lambda (comprendre les 90~99% des gens, non-informaticiens en première ligne). Ça implique de ne pas les noyer directement dans 25000 choix différents dès les 5 premières secondes, sinon ils seront dégoûtés et vont abandonner avant même d'avoir vraiment essayé. Ces utilisateurs lambda peuvent aussi bien être la grand-mère qui vit au-dessus de chez moi, qui vient d'apprendre que je suis informaticien (oh désespoir), qui me demande qu'est-ce que c'est Facebook et est-ce que je peux rendre son ordinateur plus rapide. Ou alors ça peut aussi bien être le geek qui se satisfait très bien d'une interface bien faite et dont les réglages par défaut lui conviennent très bien dans l'ensemble (moi par exemple).

    Après libre à ceux qui aiment configurer leur système plus en détails d'opter pour une interface plus coincoin.

    Avec ça en tête, je trouve que Gnome 3 est une interface idéale à mettre par défaut sur toute distribution se voulant user-friendly et rapidement fonctionnelles après l'installation. Tout ces trolls du type "bouh! Gnome ne supporte pas X" ou "c'est la faute à Gnome si Linux ne perse pas sur le desktop" me semblent clairement complètement à coté de la plaque.

  • [^] # Re: C'est mort

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal GNOME systemd : et la guerre ne fait que commencer. Évalué à 0.

    Depuis 15 ans Linux gère le multiseat, GNOME a supprimé cette fonctionnalité il y a presque 4 ans maintenant
    (…)
    L'ego des devs (…) plombe le développement de Linux sur le desktop.

    Si Gnome arrête de supporter des fonctionnalités, c'est justement pour se rendre plus accessible au utilisateurs desktop. La question qui se pose pour eux est simple : Quel pourcentage d'utilisateurs font du multiseat par rapport à quel pourcentage de temps ils vont devoir consacrer à cette fonctionnalité ? En se posant cette question, il faut aussi se rappeler que l'objectif de Gnome est de rendre accessible l'informatique libre à un maximum de monde. Ils ne ciblent donc pas les geeks mais les utilisateurs lambda. Combien d'utilisateurs lambda ont l'usage du multiseat ?

    Il ne faut pas perdre de vue que chaque fonctionnalité et chaque plateforme supplémentaire à supporter prends du temps (parfois beaucoup), et va impliquer potentiellement moultes bugs. Les-dits bugs risquent d'ailleurs d'embêter aussi les gens qui n'utilisent pas les-dites fonctionnalités.

    Petit blague de dev IHM dont je ne retrouve plus la source:
    "How do you turn software into bloatware ?"
    "One feature request at a time."

    On en est à lire dans les releases notes de la 3.6 la satisfaction des devs a avoir réintégré la fonction "éteindre" dans un menu ou d'avoir une énième fois modifié la fenêtre permettant de tester de double clic de sa souris !! AU SECOURS !!

    Ça s'appelle de l'ergonomie, et pour les utilisateurs desktop, c'est autrement plus important que le support du multiseat.

  • [^] # Re: Alors

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal GNOME systemd : et la guerre ne fait que commencer. Évalué à 3.

    Et pourquoi serait-ce inacceptable ? Il y investi déjà beaucoup de temps, et il a déjà la gentillesse de mettre son travail à disposition sous forme gratuite et libre. À moins de signer un contrat avec lui et de le rémunérer, personne ne peut exiger quoique ce soit de lui. C'est ça aussi le libre.

    Si quelqu'un n'est pas content avec son travail, il n'a qu'à forker et le faire lui-même. On n'est jamais mieux servi que par soit-même.

  • [^] # Re: nom des applications

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche GNOME 3.6 : en route vers GNOME 4.0 !. Évalué à 3.

    Les éditeurs de logiciels commerciaux tiennent à ce que le nom de leur logiciel soit le plus visible possible. C'est pour se faire de la pub gratuitement sur le dos de leur client et faciliter le bouche à oreille. Ce que tu décris n'arrivera donc pas.

  • [^] # Re: nom des applications

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche GNOME 3.6 : en route vers GNOME 4.0 !. Évalué à 6. Dernière modification le 27 septembre 2012 à 14:02.

    ça se fait au détriment de l'utilisateur, qui se voit offrir de moins en moins de chances de comprendre ce qu'il fait, de remettre ses choix en cause. Bref, ça manque d'éthique.

    Dans le cas de Gnome 3, je ne vois pas vraiment le manque d'éthique:
    - Tu n'es pas obligé d'utiliser Gnome 3 (contrairement aux pratiques commerciales de Microsoft qui font qu'il est difficile d'avoir une vraie alternative à ses produits si on y connait rien)
    - Ce n'est même pas un choix tout ou rien : Tu peux décider d'utiliser juste des morceaux de Gnome. C'est ce que je fais avec mon Awesome au travail, et c'est ce que Ubuntu fait avec Unity.

    Pire, je trouve au contraire ta mentalité peu éthique: Sous prétexte d'éthique, on devrait rendre tout les détails des logiciels apparents, quitte à rendre peu accessible les-dits logiciels aux débutants ainsi qu'aux gens qui-veulent-juste-que-ça-marche. Or à mes yeux, le "qui-veulent-juste-que-ça-marche" est une mentalité tout à fait valide : J'ai mon permis (-> des connaissances de base), je monte dans une voiture, je m'attend à pouvoir m'en servir. Je n'ai pas nécessairement du temps à consacrer pour en apprendre tout les détails.

    En plus court: Il ne faut pas perdre de vue que l'informatique est un outil et non une fin en soit. Les gens ont autre chose à faire que d'apprendre à se servir de l'ordinateur. Toutes ces gué-guerres logiciels ne font que les ralentir dans leur travail.

  • [^] # Re: Extinction... ah ouais mais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche GNOME 3.6 : en route vers GNOME 4.0 !. Évalué à 4.

    Tu supposes que l'utilisateur lit soigneusement le contenu des dialogues et des popups. Or souvent ils ne prennent pas le temps de les lire. Surtout pour ceux qui viennent de Windows. Ils ont l'habitude de se débarrasser des popups le plus vite possible, sans vraiment se demander de quoi il s'agit.

  • [^] # Re: nom des applications

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche GNOME 3.6 : en route vers GNOME 4.0 !. Évalué à 2.

    Ce n'est pas vraiment une question d'abrutir les gens. C'est une question de leur rendre la vie plus agréable en leur évitant de devoir enchainer des choix compliqués dont ils tiennent rarement tout les tenants et aboutissants.

    Conduire une Renault ou une Peugeot ne fait sensiblement aucune différence pour moi. Acheter un mixeur Moulinex ou Philips ne changera non plus rien à ma vie.

    Suggestion de lecture

    Concernant les options toujours plus limitées dans Gnome, la logique est aussi de permettre à l'utilisateur de trouver l'option qu'il veut sans perdre de temps à nager parmi 237 options qui ne l’intéressent pas et ne l' intéresseront pas. Ça implique de virer les options qui ne sont utilisée que par <= 5% des utilisateurs. Forcément, ça frustre ses utilisateurs.

  • [^] # Re: nom des applications

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche GNOME 3.6 : en route vers GNOME 4.0 !. Évalué à 3.

    Corrigez moi si je me trompe, mais je crois que c'est MacOSX qui a lancé cette idée en premier (je pense par exemple au programme "Carnet d'adresse" et "Mail"). En fait, du point de vue de l'utilisateur lambda, ce n'est pas si bête: Il s'en fiche de savoir si il utilise Firefox, Iceweasel, Chromium, IE, ou je-ne-sais-quoi-d'autre. Il veut juste accéder au web, point.

    Après, si cette habitude se répand, ça risque de prêter à confusion. Il faudra sûrement régulièrement demander aux personnes cherchant de l'aide d'aller dans "Aide -> À propos" pour savoir de quel programme elles parlent, ou bien encore leur demander quelle suite logicielle elles utilisent.

  • [^] # Re: Pourquoi malloc() puis realloc() ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Genèse d'un journal. Évalué à 3.

    Retournement de situation:

    Le man parle de SUSv2 alors que SUSv3 (aka POSIX.1-2001) et SUSv4 (aka POSIX.1-2008) existent. Et il semblerait que SUSv3 corrige le comportement de snprintf() pour le rendre C99-compliant:

    If the value of n is zero on a call to snprintf(), nothing shall be written, the number of bytes that would have been written had n been sufficiently large excluding the terminating null shall be returned, and s may be a null pointer.

  • [^] # Re: Pourquoi malloc() puis realloc() ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Genèse d'un journal. Évalué à 1.

    Arh, effectivement, je retire ce que j'ai dit au point 2. Il faut vraiment que je prenne le temps de lire plus soigneusement le man …

  • [^] # Re: Simplification

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Genèse d'un journal. Évalué à 0. Dernière modification le 09 septembre 2012 à 23:41.

    Hm, ok, je note, ne plus lire le man et poster après 23h … les 2 standards se contredisent bel et bien …
    hmbref, +1 pour ta solution donc :)

  • [^] # Re: Simplification

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Genèse d'un journal. Évalué à 0.

    il s'agit d'un comportement non conforme

    C'est conforme au standard C99 et SUSv2 ne contredit pas C99. SUSv2 dit juste qu'il n'offre pas de garantie dans ce cas, mais C99, lui, en offre.
    (Pour ceux qui auraient raté épisode précédent, vu que c'est dans un autre thread, on parle de l'appel à snprintf(NULL, 0, …))

  • [^] # Re: Pourquoi malloc() puis realloc() ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Genèse d'un journal. Évalué à 3. Dernière modification le 09 septembre 2012 à 13:36.

    1) Pour ma défense, la dernière fois que j'ai lu la page man de snprintf(), c'était au boulot, sous FreeBSD. Et le man FreeBSD ne mentionne pas SUSv2.
    2) On a la norme SUSv2 qui dit "comportement indéterminé" (autrement, la libc fait ce qu'elle veut), et C99 dit "comportement déterminé" --> Quel est le problème avec supposer que la libc respecte la norme C99 ?
    3) Pour ne pas être souvent dans "les cas spéciaux", il faut choisir un DEFAULT_SIZE assez, voir trop, large. Avec mon implémentation, la question ne se pose pas.