D'après ce que j'ai compris de leur annonce DivX 4.0 ne dérive pas d'OpenDivX mais a été développé en parallèle et tjrs en Closed source.
Par ailleurs j'ai du mal à comprendre leur stratégie ! un produit moins bien mais Open Source et un meilleur produit mais Closed Source, si c'est cela, une licence comme Mozilla ou même comme celle de Ghost Script (GPL des versions antérieures) permettent cela, ceux qui veulent les dernières versions ou les versions améliorées payent pour les avoir, ceux qui veulent rester "purs" doivent se contenter de l'ancienne, cela me paraît un bon deal !!
>Pour comprendre ce qui fait la spécificité du
>logiciel, prenons un parallèle. Imaginez-vous
>attablé dans un grand restaurant devant un
>succulent civet de lièvre. Avez-vous réellement
>besoin de la recette de cuisine rédigée par le
>chef pour reproduire ce plat à votre domicile ?
>Je parierai que non.
Je crois que tu mets le doigt sur le véritable problème, n'importe quel informaticien, au fait des techniques de base de l'informatique et avec suffisamment de temps et de moyens financiers, peut reproduire n'importe quel programme informatique. La raison en est que les techniques algorithmiques de base sont toujours les mêmes, recherches et stockages dans des tables, des fichiers, ou des arbres, c'est outrageusement simplifié, mais pratiquement toutes les techniques de base de l'informatique ont été décrites dans le fameux "The Art of Computer programming" de Don Knuth, qui est la bible que tout informaticien qui se respecte doit à défaut d'avoir lu, être en mesure de consulter quand il rencontre un problème complexe.
La mise en oeuvre d'un programme n'apporte donc strictement rien de fondamental au niveau de l'innovation, les innovations dans ce domaine sont souvent le ressort d'universitaires et font le plus souvent l'objet de publications dans les revues spécialisées. Une autre façon de voir les choses, c'est qu'un programme est l'expression dans un langage informatique, mais qui reste après tout un langage d'une idée, vu que l'implémentation n'apporte rien de fondamental, accorder un brevet sur un programme revient en pratique à accorder un brevet sur l'idée elle même. L'idée et sa mise en oeuvre en viennent à se confondre. On aboutit donc à la contradiction suivante :
1) Soit il est possible de contourner un brevet logiciel en le réecrivant de manière différente, tout en gardant les même fonctionnalités; car la réimplémentation de tout logiciel est triviale (modulo les techniques et algorithmes de base de l'informatique, voir plus haut) et dans ce cas le brevet n'a pas vraiment d'utilité économique.
2) Soit il est impossible de contourner le brevet logiciel en le réecrivant différemment et dans ce cas, la seule raison varitable de l'échec c'est que c'est l'idée qui a été brevetée et non sa mise en oeuvre et on retombe sur une nouvelle contradiction, car seule la mise en oeuvre d'une idée peut être brevetable non l'idée elle même.
La seule raison d'exister pratiquement de Gnome 1.4 est l'intégration Nautilus, pour Gnome 2.0 c'est le portage sous Gtk+ 2.0, d'où la polémique qui a d'ailleurs éclaté il y a un mois ou deux quand le coordinateur des releases Gnome avait démissionné, il voulait une "bonobofication" !!! des applications Gnome, mais apparemment l'équipe trouve que vus les délais, ce sera très difficile. Malgré toute l'affection que j'ai pour Gnome, je trouve qu'il prend du retard par rapport à KDE qui vraiment aligne les releases à un rythme qui force l'admiration, tant mieux, car dans tout cela c'est Linux et Unix qui sortent gagnants !!
Tout à fait d'accord, ce que doivent comprendre les Linuxiens, c'est que le bataille du Desktop, se gagnera au niveau de la facilité d'installation et de la configuration et NON au niveau des fonctionnalités, car à ce niveau là Linux est déjà supérieur à Windows. Malheureusement un geek, sera par tempérament plus enclin à rajouter de nouvelle choses qu'à polir ce qui existe déjà, c'est un des maux principaux dont souffre Linux.
Maintenant, comme cela a été dit, beaucoup de progrès ont étés faits, maisil reste encore du chemin à parcourir. Un simple exemple, j'ai eu un mal fou dans une Redhat 7.1 à remettre le clavier en azerty sur Gnome, car apparemment Redhat a oublié d'appliquer les patchs qu'il faut dans la version interationale. Tant qu'on en est encore à ce niveau de bugs, je crois que le chemin à parcourir est encore trés trés long, et j'avoue me desespère parfois.
Tu te trompes, les réactions sur Slashdot sont plutôt positives. Je crois qu'après l'Euphorie de départ et aussi le mythe (naîf) des armées de milliers de programmeurs, propagé par Eric Raymond, beaucoup de gens dans la communauté du libre sont entrain de revenir progressivement à la raison, et Slahsdot est un excellent thermomètre pour cela, le discours a beaucoup évolué surtout lors de ces 6 derniers mois.
- Non le libre n'est pas un modèle suffisant pour développer tous les logiciels, certaines choses seront plus rapidement sous forme de logiciels proriétaires.
- Non, le stock mythique et quasi infini de programmeurs prêts à sauter sur le premier source venu pour le développer fébrilement, et l'améliorer en un clin, n'existe pas !
- Non, il est inconcevable que tous les logiciels soient développés par des bénévoles.
- Non, le support a lui seul, n'est pas suffisant pour faire vivre une société, il n'y a qu'à voir les récentes faillites dans ce domaine.
- Non le libre n'est pas vraiment un modèle économique, c'est un modèle de développement, mais non un modèle économique.
L'avenir sera proablement une mixture de logiciels libres et propriétaires, personnellement je pense que tout ce qui est infrastructure (OS, réseaux, implémentation de protocoles ouverts) de base sera appelée à passer progressivement en libre, mais les logiciels applicatifs et spécialisés resteront probablement proriétaires, ou sous des modèles hybrides, comme celui de Kylix, je crois que Borland comme Troll Tech sont entrain d'explorer une voix médiane intéressante. Microsoft lui même y vient petit à petit, timidement, peut être que dans deux ou trois il commecera à sortir des choses intéressantes.
Napster a été trop médiatisé, il est devenu un symbole à abattre et a cristallisé la hargne des majors. De plus il est très vulnérable, car pour l'arrêter il suffit de stopper les serveurs; de plus, je trouve l'idée de payer pour échanger de la musique avec d'autres personnes vraiment saugrenue, autant aller la télécharger directement sur un site payant.
Je crois que l'avenir est plutôt a des réseaux comme Gnutella, ou Freenet, impossibles à stopper car ils sont furtifs et se reconstituent instantanément, distribuent et diluent la responsabilité, et ils ne sont encore qu'à leurs premiers balbutiements. Merci, Napster, c'était bien, il a crée le mouvement, il popularisé le P2P, le public a maintenant goûté au délices de l'échange de musique entre pairs, et cela aucune législation ne pourra éradiquer cette envie et ce nouveau besoin. Je suis persuadé qu'avec le jeu du gendarme et du voleur, les réseaux P2P feront des progrès très substantiels dans un avenir très proche (plus grande scalabilité de Gnutella avec augmentation substantielle de l'horizon, ce sera déjà le cas avec la version 3.0 de bearshare, plus grand anonymat, etc) les jours du P2P s'annocent radieux en dehors de toute phénoméne Marketing.
Quand je pense qu'il aura fallu plus de 150 Milliards pour renflouer les Crédit Lyonnais pour réparer l'incompétence voire la malhonnêteté de certains, on mesure la tragédie que celà a été.
Que de choses on aurait pu faire avec cet argent, y compris assurer un accès à Internet haut débit à tous !!
Oui mais personne n'y trouve rien à redire quand on ré-implémente Windows à l'aide de Wine !!
Les faits sont têtus, et les faits nous enseignent quactuellement la grande majorité des applications de Desktop tournent sur Windows, oui bien sûr il y a des suites, mais que dire des milliers dautres applications spécialisées !? Cest pour cette raison que Linux nest pas encore prêt pour le Desktop et par pour autre chose, car franchement, je trouve par exemple que lenvironnement KDE na plus grand chose à envier à Windows quand il sagit de pures considérations techniques et non applicatives.
Cela nous amène à .NET, quon le veuille ou non, le logiciel libre est loin très très loin de détrôner Microsoft, et il est fort probable (peut être pas sur à 100%) mais très probable que .NET drainera encore la majorité des applicatifs, il sagit donc là aussi pour Linux et les OS libres en général de ne pas se laisser marginaliser. De plus, il ne faut pas laisser le terrain libre pour Microsoft, il faut désormais que chaque initiative Microsoft soit contrée par une offre logiciels libres.
Cest dans cet esprit quil faut je pense voir cette initiative, cest en grande partie du Marketing. Quand Microsoft avait réagi au fameux et (fumeux diront certains) Net Computer, avec le Net PC, ce nétait pas parce quelle était persuadée de son succès, mais cétait juste au cas où, dailleurs elle a grandement contribué à désamorcer la mode, en montrant « que plus ça change plus cest la même chose »
Bien entendu, plus Linux prendre lampleur, plus lon écrira dapplications natives, mais dici là il faut bien gérer la transition. Une transition quil faut aborder de manière pragmatique et non dogmatique je pense et sans nuances (Microsoft cest mal, cest pas bô, donc on nimplémente pas tout ce qui vient delle).
Pour l'instant comme cela a été dit, c'est de la pure spéculation, mais si MS continue à pousser le bouchon aussi loin comme il le fait avec Windows XP. AOL, probablement poussé au desespoir, devra s'y résoudre.
La stratégie de MS est claire, si vous voulez survivre sur Windows vous devez vous faire tout petit ! MS pourra peut être avoir la condescendance de vivoter dans votre coin. Mais dès que vous avez l'outrcuidance de prendre du poids, ou de venir concurrencer directement "dieu" MS pourra décider que votre marché l'interesse. Celà s'est vérifié ç maintes reprises dans le passé, et AOL et HP (épisode du logiciel photographique) sont les derniers à en avoir fait les frais.
Beaucoup de sociétés, obsédées qu'elles sont par le court terme et la nécessité de présenter des résultats positifs à leurs actionnaires, creusemnt à moyen terme leur tombe en collaborant avec l'ogre MS; alors qu'un stratégie plus intelligente serait de contribuer à la diffusion de logiciels Open Source, même si celà ne rapporte rien à court terme.
AOL est dans ce cas, il s'est allié un temps avec MS en adoptant leur navigateur, il en a probablement profité un certain temps, mais il est clair qu'à présent MS le considere comme un concurrent redoutable. Et je pense qu'il va probablement en baver.
Très peu de sociétés l'ont compris jusqu'à présent, IBM est une exception notable, peut être aussi parce qu'ils en ont les moyens aussi.
# DivX ne dérive pas d'OpenDivX
Posté par khalid . En réponse à la dépêche Le nouveau Divx n'est pas libre non plus. Évalué à 1.
Par ailleurs j'ai du mal à comprendre leur stratégie ! un produit moins bien mais Open Source et un meilleur produit mais Closed Source, si c'est cela, une licence comme Mozilla ou même comme celle de Ghost Script (GPL des versions antérieures) permettent cela, ceux qui veulent les dernières versions ou les versions améliorées payent pour les avoir, ceux qui veulent rester "purs" doivent se contenter de l'ancienne, cela me paraît un bon deal !!
[^] # Re: t'a pas compris ? va mourir.
Posté par khalid . En réponse à la dépêche Action pour faire annuler l'avis de l'Academie des technologies. Évalué à 1.
>logiciel, prenons un parallèle. Imaginez-vous
>attablé dans un grand restaurant devant un
>succulent civet de lièvre. Avez-vous réellement
>besoin de la recette de cuisine rédigée par le
>chef pour reproduire ce plat à votre domicile ?
>Je parierai que non.
Je crois que tu mets le doigt sur le véritable problème, n'importe quel informaticien, au fait des techniques de base de l'informatique et avec suffisamment de temps et de moyens financiers, peut reproduire n'importe quel programme informatique. La raison en est que les techniques algorithmiques de base sont toujours les mêmes, recherches et stockages dans des tables, des fichiers, ou des arbres, c'est outrageusement simplifié, mais pratiquement toutes les techniques de base de l'informatique ont été décrites dans le fameux "The Art of Computer programming" de Don Knuth, qui est la bible que tout informaticien qui se respecte doit à défaut d'avoir lu, être en mesure de consulter quand il rencontre un problème complexe.
La mise en oeuvre d'un programme n'apporte donc strictement rien de fondamental au niveau de l'innovation, les innovations dans ce domaine sont souvent le ressort d'universitaires et font le plus souvent l'objet de publications dans les revues spécialisées. Une autre façon de voir les choses, c'est qu'un programme est l'expression dans un langage informatique, mais qui reste après tout un langage d'une idée, vu que l'implémentation n'apporte rien de fondamental, accorder un brevet sur un programme revient en pratique à accorder un brevet sur l'idée elle même. L'idée et sa mise en oeuvre en viennent à se confondre. On aboutit donc à la contradiction suivante :
1) Soit il est possible de contourner un brevet logiciel en le réecrivant de manière différente, tout en gardant les même fonctionnalités; car la réimplémentation de tout logiciel est triviale (modulo les techniques et algorithmes de base de l'informatique, voir plus haut) et dans ce cas le brevet n'a pas vraiment d'utilité économique.
2) Soit il est impossible de contourner le brevet logiciel en le réecrivant différemment et dans ce cas, la seule raison varitable de l'échec c'est que c'est l'idée qui a été brevetée et non sa mise en oeuvre et on retombe sur une nouvelle contradiction, car seule la mise en oeuvre d'une idée peut être brevetable non l'idée elle même.
[^] # Re: ca fait peur
Posté par khalid . En réponse à la dépêche Kodak annule son partenariat avec Microsoft.. Évalué à 1.
[^] # Re: ca fait peur
Posté par khalid . En réponse à la dépêche Kodak annule son partenariat avec Microsoft.. Évalué à 1.
Maintenant, comme cela a été dit, beaucoup de progrès ont étés faits, maisil reste encore du chemin à parcourir. Un simple exemple, j'ai eu un mal fou dans une Redhat 7.1 à remettre le clavier en azerty sur Gnome, car apparemment Redhat a oublié d'appliquer les patchs qu'il faut dans la version interationale. Tant qu'on en est encore à ce niveau de bugs, je crois que le chemin à parcourir est encore trés trés long, et j'avoue me desespère parfois.
[^] # Re: Tu parles d'une limitation...
Posté par khalid . En réponse à la dépêche Kylix Open Edition est disponible au téléchargement. Évalué à 1.
- Non le libre n'est pas un modèle suffisant pour développer tous les logiciels, certaines choses seront plus rapidement sous forme de logiciels proriétaires.
- Non, le stock mythique et quasi infini de programmeurs prêts à sauter sur le premier source venu pour le développer fébrilement, et l'améliorer en un clin, n'existe pas !
- Non, il est inconcevable que tous les logiciels soient développés par des bénévoles.
- Non, le support a lui seul, n'est pas suffisant pour faire vivre une société, il n'y a qu'à voir les récentes faillites dans ce domaine.
- Non le libre n'est pas vraiment un modèle économique, c'est un modèle de développement, mais non un modèle économique.
L'avenir sera proablement une mixture de logiciels libres et propriétaires, personnellement je pense que tout ce qui est infrastructure (OS, réseaux, implémentation de protocoles ouverts) de base sera appelée à passer progressivement en libre, mais les logiciels applicatifs et spécialisés resteront probablement proriétaires, ou sous des modèles hybrides, comme celui de Kylix, je crois que Borland comme Troll Tech sont entrain d'explorer une voix médiane intéressante. Microsoft lui même y vient petit à petit, timidement, peut être que dans deux ou trois il commecera à sortir des choses intéressantes.
# Napster c'est du passé, vive Gnutella et Freenet !
Posté par khalid . En réponse à la dépêche Napster dans la mouise. Évalué à 1.
Je crois que l'avenir est plutôt a des réseaux comme Gnutella, ou Freenet, impossibles à stopper car ils sont furtifs et se reconstituent instantanément, distribuent et diluent la responsabilité, et ils ne sont encore qu'à leurs premiers balbutiements. Merci, Napster, c'était bien, il a crée le mouvement, il popularisé le P2P, le public a maintenant goûté au délices de l'échange de musique entre pairs, et cela aucune législation ne pourra éradiquer cette envie et ce nouveau besoin. Je suis persuadé qu'avec le jeu du gendarme et du voleur, les réseaux P2P feront des progrès très substantiels dans un avenir très proche (plus grande scalabilité de Gnutella avec augmentation substantielle de l'horizon, ce sera déjà le cas avec la version 3.0 de bearshare, plus grand anonymat, etc) les jours du P2P s'annocent radieux en dehors de toute phénoméne Marketing.
# Crédit Lyonnais et ses 150 Milliards de Francs
Posté par khalid . En réponse à la dépêche Après la fracture sociale, la fracture numérique. Évalué à 1.
Que de choses on aurait pu faire avec cet argent, y compris assurer un accès à Internet haut débit à tous !!
[^] # Re: oueh super !!
Posté par khalid . En réponse à la dépêche Les plugins de MSIE sous Konqueror. Évalué à 1.
Les faits sont têtus, et les faits nous enseignent quactuellement la grande majorité des applications de Desktop tournent sur Windows, oui bien sûr il y a des suites, mais que dire des milliers dautres applications spécialisées !? Cest pour cette raison que Linux nest pas encore prêt pour le Desktop et par pour autre chose, car franchement, je trouve par exemple que lenvironnement KDE na plus grand chose à envier à Windows quand il sagit de pures considérations techniques et non applicatives.
Cela nous amène à .NET, quon le veuille ou non, le logiciel libre est loin très très loin de détrôner Microsoft, et il est fort probable (peut être pas sur à 100%) mais très probable que .NET drainera encore la majorité des applicatifs, il sagit donc là aussi pour Linux et les OS libres en général de ne pas se laisser marginaliser. De plus, il ne faut pas laisser le terrain libre pour Microsoft, il faut désormais que chaque initiative Microsoft soit contrée par une offre logiciels libres.
Cest dans cet esprit quil faut je pense voir cette initiative, cest en grande partie du Marketing. Quand Microsoft avait réagi au fameux et (fumeux diront certains) Net Computer, avec le Net PC, ce nétait pas parce quelle était persuadée de son succès, mais cétait juste au cas où, dailleurs elle a grandement contribué à désamorcer la mode, en montrant « que plus ça change plus cest la même chose »
Bien entendu, plus Linux prendre lampleur, plus lon écrira dapplications natives, mais dici là il faut bien gérer la transition. Une transition quil faut aborder de manière pragmatique et non dogmatique je pense et sans nuances (Microsoft cest mal, cest pas bô, donc on nimplémente pas tout ce qui vient delle).
[^] # Re: Pour l'instant c'est du rêve à l'état pur, mais !!!
Posté par khalid . En réponse à la dépêche Une distribution AOL pour bientôt ?. Évalué à 1.
La stratégie de MS est claire, si vous voulez survivre sur Windows vous devez vous faire tout petit ! MS pourra peut être avoir la condescendance de vivoter dans votre coin. Mais dès que vous avez l'outrcuidance de prendre du poids, ou de venir concurrencer directement "dieu" MS pourra décider que votre marché l'interesse. Celà s'est vérifié ç maintes reprises dans le passé, et AOL et HP (épisode du logiciel photographique) sont les derniers à en avoir fait les frais.
Beaucoup de sociétés, obsédées qu'elles sont par le court terme et la nécessité de présenter des résultats positifs à leurs actionnaires, creusemnt à moyen terme leur tombe en collaborant avec l'ogre MS; alors qu'un stratégie plus intelligente serait de contribuer à la diffusion de logiciels Open Source, même si celà ne rapporte rien à court terme.
AOL est dans ce cas, il s'est allié un temps avec MS en adoptant leur navigateur, il en a probablement profité un certain temps, mais il est clair qu'à présent MS le considere comme un concurrent redoutable. Et je pense qu'il va probablement en baver.
Très peu de sociétés l'ont compris jusqu'à présent, IBM est une exception notable, peut être aussi parce qu'ils en ont les moyens aussi.