Miguel Moquillon a écrit 449 commentaires

  • [^] # Re: Travailler le « pitch de l'ascenceur » ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Silverpeas 6.0 est (enfin) sorti !. Évalué à 3.

    Salut,

    Pour répondre à tes interrogations : il n'y a aucune proportion de communication officielle dans l'annonce. C'est l'annonce d'un techos qui bosse sur le logiciel et qui n'a pas eu de cours ou de coaching en communication. Aussi, par avance je présente mes excuses pour tout flou et désagrément que la lecture de celle-ci peut donner.

    Ensuite, oui, je n'ai pas détaillé, ne voulant pas écrire un roman sur Silverpeas. Mais je t'accorde que j'aurai au moins du présenter ce qu'est un portail collaboratif. D'abord la notion de portail : cela signifie que le logiciel est composé de contenus en provenance de sources différentes. En l'occurrence, dans le cas de Silverpeas, les sources ici sont des applications. Application au sens où le composant logiciel au sein du portail est dédié à une fonctionnalité ou à un domaine particulier (GED, blog, forum, agenda, …) et qu'il peut être instancié plusieurs fois au sein de Silverpeas. Chaque application est intégrée au sens où ils partagent chacune une IHM cohérente et s'appuient sur un même socle technique. Elles sont même fortement intégrées au sens où je ne suis pas sûr qu'elles puissent fonctionner par elles même. Maintenant le concept de collaboratif qui, je te l'accorde, peut paraître flou au regard de toutes les sauces avec lesquelles elle est servie. Dans notre cas, la sauce que l'on utilise est celle de faciliter le travail entre toutes les parties prenantes d'un ou des projets, d'une organisation, d'une association, bref entre tous les individus et ceci par l'échange, la collaboration et la mise à disposition de l'ensemble de la connaissance au sein de Silverpeas ; la collaboration ne pouvant se faire sans mettre en commun l'information et sans permettre à chacun d'y participer. C'est la raison pour laquelle dans Silverpeas chaque apport (informations, données, médias, …) est appelée une contribution ; l'utilisateur contribue à cette source de connaissance et de flux d'informations contenus au sein de Silverpeas. Pour ce faire, chaque application, composant logiciel, a été pensée en vue de faciliter ces échanges, cette collaboration entre individus (évidemment, comme tout ce qui est fait par les humains, aucune n'est exempte de défauts). Ainsi l'application GED dans Silverpeas (appelée Kmelia) n'est pas une pure GED parce qu'elle lui manque des fonctionnalités avancées que l'on trouve généralement dans ce genre d'application. Par contre, elle présente tout ce qu'il faut pour que l'utilisateur puisse simplement poser, catégoriser et éditer des contributions aussi bien structurée (formulaires) que non structurées (contenu riche) et les partager avec d'autres personnes, même extérieures à Silverpeas.

    J'espère avoir répondu à tes interrogations sans pour autant te noyer avec ma prose.

    Quoiqu'il en soit, je note tes remarques en fin de ton commentaire pour la prochaine fois et je te remercie pour celles-ci. Elles vont me permettre de m'améliorer dans ce genre de rédaction.

  • [^] # Re: systemd

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Devuan a deux ans . Évalué à 0.

    Sur Systemd et upstart, je n'ai rien à dire là dessus. Ce que tu soulèves est vrai. Upstart relève plus du bricolage et, par conséquence, comporte des problèmes. Après, à mes yeux, ça n'enlève rien au modèle par événements - on ne peut pas décrier les langages à prototypes à la seule vue de Javascript.

    Et une préférence n'est pas vraiment un argument technique en tant que tel

    Je n'ai jamais voulu émettre un argument technique, factuel. D'où le "mais pour des raisons purement personnelles". Donc de la subjectivité, quelque chose qui relève de mon propre ressenti et le ressenti est quelque chose qui ne relève pas du factuel.

    Tout n'est pas texte, loin de la. C'est un fantasme. Les ioctls, c'est pas du texte par exemple, alors que ça pourrait.
    Les outils ne font pas non plus qu'une chose. sort peut remplacer uniq, par exemple. ls peut faire du tri sans passer par sort. tr peut être remplacer par sed. more existe encore, faisant moins que less. zcat intégre gzip dans cat, ce qui fait du coup 2 choses.

    En fait, dans l'usage quotidien je manipule essentiellement du texte et les outils sont là pour m'aider. Ho certes, chaque outil a évolué pour faire plus qu'il ne faisait initialement mais, in fine, reste toujours aligné à leur but ; ceci relève avant tout à de l'amélioration, pas autre chose. Exemple, ls : au delà de lister le contenu de ton dossier tu peux aussi trier cette liste mais ça reste cohérent vis à vis de sa fonction première.

    Lorsque tu as des tâches plus complexes, il est toujours agréable d'avoir sous sa main un ensemble d'outils qui, connectés les uns aux autres, permettent de répondre à tes attentes. Ok, ce n'est pas tjrs du texte qui sort, ce peut être du binaire comme lorsque je découpe un flux audio-vidéo en deux flux différents, un pour l'audio et l'autre en vidéo, toujours grâce à l'utilisation d'outils distinctes. C'est ça que j'apprécie sous Unix et c'est cette approche que j'adhère, plus que celle des autres OS, où le tout-intégré, séduisant, a la primeur mais dont la qualité dépend bcp de ce qu'en ont fait les auteurs (ou la société) et pour laquelle les utilisateurs ne peuvent qu'accepter.

    Je me gausse. Systemd a mis 4 ans à arriver, Fedora a mis 2 release à faire le changement, Debian aussi et propose , Ubuntu l'a pris y a 6 mois.

    Systemd a commencé à apparaître dans une distrib sur Fedora effectivement et c'était en 2011 avec Fedora 15 si mes souvenirs sont bons mais il cohabitait avec le vieux système (il était là mais je ne m'en servais pas). Systemd n'était toujours pas abouti (ho certes il fonctionnait) au regard de son rôle majeur, important dans un système GNU/Linux. Évidemment, le mettre en place sur une Fedora a son intérêt et RedHat a bien fait de le faire car ça permettait justement de pouvoir essuyer les premiers plâtres à l'extérieur de la boite. En 2012, ArchLinux l'adopte ; en 1 an et pas encore bien fiabilisé (il y avait encore des pbs à l'époque) il commençait son introduction dans les autres distributions. Je m'en rappelle très bien, j'avais deux PC qui tournaient sous ArchLinux. J'ai donc commencé à en pâtir même si j'y ai mis de la bonne volonté à vouloir m'y essayer. Alors oui, ce n'est qu'en 2015 que Debian, la dernière distribution mainstream (hors Slackware), ait intégré Systemd suite à un vote en bonne et due forme, impliquant, 6 mois plus tard, aussi son intégration dans Ubuntu, mais son intégration dans les autres distributions ont commencé bien avant et tout n'était pas encore bien rose à l'époque.

  • [^] # Re: systemd

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Devuan a deux ans . Évalué à 6.

    Quelques semaines après la sortie de Linux Mint 18, j'ai mis à jour vers cette nouvelle version un de mes PC portables qui tourne sous cette distribution. Je n'ai pas eu de soucis et globalement tout fonctionne correctement avec systemd. Les seuls soucis que j'ai et pour lequel ma femme me tanne sont :
    - le PC portable démarre bien plus lentement qu'auparavant. Pour ce dernier point, je pense que ceci vient en fait de systemd et des montages NFS (j'ai jusqu'à présent toujours eu des soucis entre systemd et NFS et ceci quelque soit la distribution)
    - de temps en temps, l'arrêt du PC bloque sans explications et aucune trace de ce qui ne va pas (le pb doit venir d'un processus qui ne veut pas mourir, sale bête !)

    Maintenant, je reste encore réservé sur systemd, mais pour des raisons purement personnelles :
    1. Le modèle pipeline sur lequel est basé systemd me laisse perplexe et je lui préfère, par expérience, le modèle par événements
    2. systemd est plus qu'un système d'init et couvre tout un pan de fonctionnement du système : tout est intégré ce qui rend finalement les choses plus cohérentes et, en théorie, plus abouties, à l'image de ce que l'on trouve sous Windows ou MacOS X. Mais je lui préfère le bon vieux schéma Unix dans lequel chaque outil ne fait qu'une et une unique chose et le fait bien et jusqu'au bout et c'est par assemblage de ceux-ci que sont accomplis des tâches plus complexes (ha et aussi dans lequel tout est texte).
    3. le dernier point est peut-être le plus important pour moi : je me sens imposé systemd. En fait, au lieu d'avoir un systemd qui évolue dans son coin chez RedHat et petit à petit s'impose pour ses qualités fonctionnelles et techniques, son adoption a été rapide sans aucune commune mesure alors même que celui-ci n'était pas encore abouti. Résultat : rare sont les distributions qui n'ont pas systemd par défaut, ne laissant finalement peu de choix. De plus, étant plus qu'un système d'init, il vampirise d'autres systèmes (comme dbus par exemple), ce qui rend les choses finalement plus compliqués qu'avant si on veut se passer de systemd.

  • [^] # Re: J'aime !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Lettre ouverte à Emmanuel Macron au sujet de la réforme de la formation professionnelle. Évalué à 4.

    Je suis aussi d'accord avec Guppy et Zenitram. Le ton utilisé dans cette section est par trop agressive et nuit à l'objectif même de ta lettre. Donc soit tu supprimes cette section, soit tu la remanies pour garder l'idée derrière de "Si l’État (ou les très grandes entreprises) peut dépenser de grosses sommes d'argent, nous autres petites entreprises ne pouvons nous le permettre"

  • [^] # Re: Petites coquilles

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Lettre ouverte à Emmanuel Macron au sujet de la réforme de la formation professionnelle. Évalué à 10.

    Le problème est que ces deux nombres ne sont pas exprimés avec la même unité et j'ai été, à la première lecture (et même je l'avoue à la seconde lecture), surpris et je me suis donc dis quel est le problème, il y a plus de formations qu'avant (86000 > 60000) ? Ce qui est évidemment faux si on regarde bien les unités. Or, le ministre ou n'importe quel secrétaire lira ce texte rapidement et va par conséquence tomber dans la même erreur que nous autres lecteurs qui lisons une multitude d'articles dans la journée.

    Il est en général conseillé, dans un article ou un billet, de poser des chiffres de comparaison dans les mêmes unités : ici soit en nombre de formations par mois, soit en nombre de formations par an, ce qui permettra d'un seul coup d’œil de comparer les deux nombres sans erreurs.

  • [^] # Re: FreeBSD vs. DragonFlyBSD

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche DragonFly BSD 4.4. Évalué à 4.

    Ok merci. J'ai un Thinkpad aussi (à côté d'un Asus G74S pour le boulot). Je testerai un de ces jours mais dans une VM (sinon je vais me faire incendier par ma femme si je change encore une fois d'OS sur la machine !)

  • # FreeBSD vs. DragonFlyBSD

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche DragonFly BSD 4.4. Évalué à 2.

    J'avais essayé deux fois DragonFlyBSD. Une fois à ses débuts (version 1 quelque chose) et une autre fois avec la version 2. Bien que techniquement supérieur à FreeBSD sur le papier, je l'ai trouvé bien contraignant pour un usage quotidien chez soi comparé à FreeBSD.
    Comment se positionne t'il maintenant ? Peut on l'utiliser sur son PC portable par exemple ou vaut il mieux préférer son alter-ego FreeBSD ?

  • # A propos d'Elixir

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Rencontre Erlang Paris le mercredi 14 octobre 2015. Évalué à 1.

    Elixir est un langage intéressant au-dessus de BEAM, la VM d'Erlang. Il est dommage que celui-ci, alors qu'étant un langage du 21e siècle, ait adopté des techniques quelque peu douteuses (à mes yeux).
    Par exemple, pour n'en citer que deux basiques, pourtant toute bêtes, le fait de pouvoir rattacher à nouveau une variable alors que l'"on" sait depuis plusieurs décennies que cette faculté est une des premières causes de nombreux bogues dans les programmes. Ce qui aboutit alors à la lourdeur de préfixer une variable par ^ pour signifier que l'on veut du pattern matching ! L'autre technique est que l'on doit faire suivre une variable qui est attachée à une fonction anonyme par un . pour résoudre la fonction rattachée avec des argument. (Et pourtant, Erlang n'a pas ces deux défauts !)

  • [^] # Re: Troll

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Kubuntu 15.04 et Systemd : bof. Évalué à 1.

    Oui je suis d'accord. Revenir à Upstart n'est pas la solution.

  • [^] # Re: systemd-analyze

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Kubuntu 15.04 et Systemd : bof. Évalué à 1.

    Comment savoir que ça vient bien d'un timeout ? Je ne vois rien dans les logs avec journalctl (bon d'un autre côté je ne sais pas très bien encore m'en servir).

    Pour la résolution de nom, je ne vois pas. J'ai ce problème quelle que soit le site où je suis (pas les mêmes serveurs DNS), problème que je n'ai pas lorsque je démarre ma distribution avec Upstart.

  • [^] # Re: systemd-analyze

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Kubuntu 15.04 et Systemd : bof. Évalué à 1.

    Malheureusement, j'ai besoin de fonctionnalités "avancées" de NetworkManager comme la prise en compte de VPN.

  • [^] # Re: systemd-analyze

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Kubuntu 15.04 et Systemd : bof. Évalué à 4.

    Je pense que ceci se fait via les unités de type Socket. Hors, il apparaît que, pour que cela marche, il faut que Systemd et le service s'entendent sur le type de fichier de descripteur socket. Or il semblerait que ce ne soit pas le cas avec PostgreSQL (l'ouverture est déléguée à postmaster avec PostgreSQL il me semble).
    Cf. No system.d socket for PostgreSQL service

  • [^] # Re: MDR :-)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Kubuntu 15.04 et Systemd : bof. Évalué à 5.

    Ben oui, c'est maintenu. j'ai de temps en temps des mises à jour. Par contre, ce n'est pas la distrib qui va être la plus à jour ni non plus celle qui sera la plus active. Mais ça marche et c'est simple à gérer.

  • [^] # Re: Troll

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Kubuntu 15.04 et Systemd : bof. Évalué à 8. Dernière modification le 28 avril 2015 à 12:10.

    surtout qu'Ubuntu permet d'utiliser Upstart s'il préfère.

    Merci de l'info. J'ai donc été à la recherche d'info pour utiliser Upstart à la place de Systemd déjà pour vérifier que mon problème ne vient pas finalement de Systemd comme tu sembles le suggérer.
    J'ai trouvé cet article qui explique comment démarrer temporairement ma distribution avec Upstart.
    Hé bien, le résultat ne s'est pas fait attendre, je retrouve mon démarrage d'avant ! ça change la vie. Donc, je peux confirmer que la lenteur vient de Systemd ou, peut être plus exactement, de certains services gérés par lui.

  • [^] # Re: Troll

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Kubuntu 15.04 et Systemd : bof. Évalué à 3.

    Ben non, tout faux. Je m'en fou de l'init sysV ou BSD comme je m'en fou de Systemd. Si tu penses au paragraphe sur ArchLinux, c'est juste que celui-ci me permettait facilement et rapidement de déclarer les services que je voulais et comment les lancer (en // ou séquentiellement) ; rien de compliquer. Lorsque Systemd est arrivé, celui-ci active tout en fonction de ce qu'il détecte et ensuite c'est à toi de dire ce que tu veux ou non et ceci m'avait paru bien plus chiant à faire, d'autant plus qu'à l'époque j'avais d'autres préoccupations que de passer du temps dessus, sachant en plus que ma femme me tannait pour que le PC revienne aussi véloce qu'avant (j'ai préféré donc le passer à Slackware).

    Pour ce qui est ensuite du journal, il me permet de faire part de mon désarroi et de me libérer de celui-ci : l'introduction de Systemd m'a donné l'impression de revenir des années en arrière et là, contrairement avec ArchLinux, je n'avais rien touché à la conf d'Upstart (d'ailleurs je ne sais même pas comment il gère le truc). Voilà c'est tout. Après, comme le suggère des commentaires ci-dessous, il faut que je tâte d'un peu plus près les unités gérées par Systemd pour voir ce qui cloche, et comme le PC est avant tout utilisé par moi, je n'aurai pas ma femme sur le dos pour me presser.

  • [^] # Re: systemd-analyze

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Kubuntu 15.04 et Systemd : bof. Évalué à 5.

    Merci pour les commandes. J'ai ça en sortie : (je n'ai gardé que les plus gourmands)
    28.281s postgresql@9.4-main.service
    26.382s gpu-manager.service
    26.327s NetworkManager.service
    7.389s NetworkManager-wait-online.service
    1.508s systemd-udev-settle.service
    510ms dev-disk-by\x2duuid-ffbb6afb\x2d3411\x2d4967\x2d9a58\x2da363d3c8f3bc.device
    335ms systemd-fsck-root.service
    334ms mnt-data.mount
    183ms systemd-fsck@dev-disk-by\x2duuid-729c1b97\x2de122\x2d4995\x2d881a\x2dd7855c972675.service
    167ms systemd-udevd.service
    148ms ModemManager.service
    130ms systemd-journal-flush.service
    123ms systemd-backlight@backlight:acpi_video0.service
    123ms systemd-random-seed.service
    123ms systemd-rfkill@rfkill1.service
    121ms binfmt-support.service
    120ms accounts-daemon.service
    100ms avahi-daemon.service

    Bon, apparemment c'est PostgreSQL qui prend le plus de temps à démarrer. Ensuite vient la gestion de la carte graphique et celui du réseau. Faut que je regarde comment Systemd les lance (en // ou séquentiellement). Pour PostgreSQL, que j'utilise essentiellement dans les tests, je pourrais ne le lancer qu'explicitement (à la connexion en arrière plan). Ensuite, certains services, comme le modem, peuvent être désactivés.

  • [^] # Re: Un peu embêté...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de Pharo et de son environnement de développement en version 4.0. Évalué à 2.

    Attention, dans l'instruction :

    Transcript class allInstances size
    

    Tu demandes à la méta-classe de Transcript (obtenue via le message class de Transcript) le nombre d'instance de celle-ci, autrement dit le nombre de classes issues d'elle ; or il n'y en a qu'une, la classe Transcript même.

    En fait, l'instruction :

    Transcript open
    

    ouvre une fenêtre qui se trouve être une instance de SystemWindow. Pour faire ce que tu veux, ce serait alors plutôt :

    (SystemWindow allInstances size > 1)
       ifTrue: [ Transcript show: 'coucou'; cr ]
       ifFalse: [ Transcript open; show: 'coucou'; cr ].
    

    Et encore je ne suis pas sûr que ce soit la bonne façon de faire pour maintenir une seule fenêtre Transcript.

  • [^] # Re: Très bon environnement de bureau mais...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Xfce 4.12 est là !. Évalué à 10.

    De mon côté, venant d'Unix, j'ai bien apprécié XFCE sous FreeBSD et GNU/Linux comme clone de CDE en plus léger.
    Malheureusement, au fur et à mesure des versions, il s'est rapproché des desktops "standards" et a perdu ce qui faisait, à mes yeux, son charme et sa particularité (en l'occurrence, j'aimais beaucoup le panneau avec les tiroirs bien que moins bien fait que sous CDE). De plus il a gagné aussi en embonpoint au point que lui préfère maintenant E17 (enfin E19) sur les vieux portables.

    Maintenant, franchement, entre XFCE et Mate, je ne vois pas trop l'intérêt de XFCE (les deux ont à peu près la même emprunte mémoire et j'ai trouvé, la dernière fois que j'ai testé, Mate mieux aboutit).

  • [^] # Re: bsd

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de FreeBSD 10.1. Évalué à 1.

    Pas le plus connu mais c'est celui qui innove le plus AHMA parmi les *BSD libres.

  • [^] # Re: capture d'ecran cassé => mise en lien dans la liste de lien

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Silverpeas 5.14 est sortie. Évalué à 1.

    Ok, merci

  • [^] # Re: Mon opinion à deux francs six sous

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La GPL est un échec (FreeBSD 10 est sorti). Évalué à 2.

    Grossièrement, un code GPL est en quelque sorte voué à être développé/maintenu par et pour une communauté d'utilisateurs, tandis qu'un code sous licence BSD est un peu plus libre : le code peut être utilisé sans être reversé à la communauté. C'est bien à cela que tu fais référence en parlant de crédit ?
    

    Plus exactement, un projet sous licence BSD utilisé par un privateur est souvent considéré par les auteurs comme une reconnaissance de leur travail et de la qualité de leur projet … excepté peut être dans le cas où les auteurs avaient en tête la commercialisation du projet sous une forme privative, d'où le choix de la licence, et qui verraient alors d'un mauvais œil ce concurrent potentiel.

    Pour les auteurs d'un projet sous licence GPL, la reprise du projet par un privateur est à éviter. La reconnaissance est recherchée plutôt parmi les pairs et les utilisateurs. Bon, après ça n'empêche pas des licences de type LGPL ou les doubles licences pour permettre aussi la commercialisation du projet sous une forme … moins libérale.

  • [^] # Re: Mon opinion à deux francs six sous

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La GPL est un échec (FreeBSD 10 est sorti). Évalué à 2.

    Lorsque la FSF a été fondée et la GPL écrite, c'était bien avec l'idée de "communauté", la communauté du libre ; communauté qui se résumait à ses début à celle des hackers, des bidouilleurs qui partageaient les mêmes convictions mais qui, peu à peu, s'est étendue vers les autres développeurs et utilisateurs (avancés). Maintenant, tu peux balayer d'un revers de main cette idée de communauté qui, je te l'accorde, a une connotation abstraite, mais tu ne peux enlever ça aux auteurs de la FSF et de la GPL. C'est aussi ce pourquoi derrière la FSF et la GPL il y a une connotation politique et philosophique.
    Lorsque la GPL demande à ce que toute modification publiée d'un code sous GPL le soit aussi sous GPL, c'est pour s'assurer que ces modifications soient aussi disponibles et non cachées, au profit de chacun, ceci par le jeu de la licence. Bref, que le code publié au sein de la communauté libre reste dans cette communauté et ne disparaisse pas chez les privateurs.

  • [^] # Re: Mon opinion à deux francs six sous

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La GPL est un échec (FreeBSD 10 est sorti). Évalué à 1.

    Oui, c'est exacte. Ici j’entends un projet d'origine libre sous licence GPL modifié et privatisé publié (je ne sais pas si le terme privatisé est correcte ici). Un projet modifié et privé confiné dans son coin n'a aucun intérêt pour la GPL parce que ce dernier ne va pas se diffuser à l'insu de la communauté.

  • [^] # Re: Mon opinion à deux francs six sous

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La GPL est un échec (FreeBSD 10 est sorti). Évalué à 1.

    Sans émettre de jugement, la formulation suivante serait plus juste : « La GPL considère la privatisation de toute amélioration apportée au produit des efforts communs, comme un mal à éviter ».
    

    Oui cette formulation est plus correcte.

    C'est là que je ne suis pas d'accord, ...
    

    Ici, je n’émet aucun jugement de valeur. Je n'ai essayé que de retransmettre l'idée. Maintenant, pour reprendre ton exemple, le "crédit" donné à un produit n'a aucune essence au regard de la GPL ou de la FSF. Ce qui a de la valeur c'est le code (dans le cas du logiciel) et donc ce qui est créditable ce sont les améliorations, les modifications au profit de la communauté. C'est peut-être ici aussi une différence avec ce qui est attendu avec une licence de type BSD.

  • # Mon opinion à deux francs six sous

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La GPL est un échec (FreeBSD 10 est sorti). Évalué à 10.

    Les licences GPL et BSD n'ont pas les même finalités parce qu'elles n'avaient pas, à leur origine, les mêmes objectifs.

    La GPL est née de l'idée qu'il existe une/des communauté(s) de partage et qu'il est nécessaire de la protéger et de la promouvoir (attention, ne pas confondre communauté et contributeurs) ; cette communauté a, selon la FSF, une essence philosophique et politique. Au regard de ceci, la GPL a été définie avant tout pour assurer les auteurs et les contributeurs d'un projet que tout dérivé de ce dernier retombe dans le pot commun et profite à la communauté et donc aux utilisateurs. Elle est là pour éviter que quelqu'un (individu ou raison social) cache, rend privé, ses modifications et améliorations du projet communautaire à ses seuls fins et au détriment des utilisateurs et in fine de la communauté. La GPL considère la privatisation des efforts communs comme un mal à éviter.

    La BSD est née à l'université de Californie Berkeley et, sauf erreur de ma part, a été définie pour permettre aux étudiants de pouvoir monter une boite autour de leur projet universitaire et de le commercialiser. Raison de sa plus grande flexibilité. Dans la naissance de la BSD, il n'y a eu, derrière, aucune conscience d'une quelconque communauté. Les fondations BSD ou dérivée ne sont là que pour mutualiser les moyens et ne sont pas véhicules d'une quelconque philosophie ou politique du partage ; s'il y a philosophie, elle est avant tout véhiculée par des contributeurs ou des auteurs de tel ou tel projet sous licence BSD ou dérivée. La BSD ne considère pas la privatisation d'un projet, du "savoir", comme un mal.