Mouns a écrit 1281 commentaires

  • # Re: PimenGest : application GPL de gestion commerciale

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche PimenGest : application GPL de gestion commerciale. Évalué à 2.

    PimenGest a l'air de vouloir faire un peu tout. C'est une bonne idee mais comme on le constate sur la demo, c'est une application minimaliste.

    Ce qui serait bien, c'est que la communaute du libre se mette d'accord sur des protocoles de communication pour faire communiquer un PimenGest avec un Dolibarr un Facturalux ou autre. Comme ca, chaque produit se fait une specialite et on peut creer une suite applicative puissante avec des composants libres. Aujoud'hui, il manque une initiative a la GNOME dans ce secteur. qui est partant ?
  • # Re: Premier boot de Power 5 sous Linux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Premier boot de Power 5 sous Linux. Évalué à 10.

    ils ont remplace les bogomips et la frequence par des XXXXXX . c'est peut etre pour preparer un effet de surprise a la sortie ... ou autre chose ... ca me laisse dubitatif.
  • # Re: mozilla-bonobo : intégrer les composants Gnome dans Mozilla

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche mozilla-bonobo : intégrer les composants Gnome dans Mozilla. Évalué à 0.

    y a t il une raison particuliere pour l'appelation de bonobo ? est ce un rapport entre le comportement de Gnome Bonobo et les moeurs des singes bonobos ?
  • [^] # Re: Un but marqué par le P2P, face à la RIAA

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un but marqué par le P2P, face à la RIAA. Évalué à 7.

    on pourrait imaginer un reseau en P2P pour la diffusion d'outils et documents libres.

    le P2P est un bon concept pour la diffusion rapide de documents quand on sait ce que l'on recherche. c'est un peu comme un mini internet avec un moteur de recherche qui a deja tout indexé.

    freenet rulez ;-)
  • [^] # Re: Loads of Linux Links - Version 1.1.0

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Loads of Linux Links - Version 1.1.0. Évalué à 4.

    il y a htpp://www.jesuislibre.org/ comme viande fraiche francophone.
  • [^] # Re: Découverte logiciels libre à Strasbourg

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Découverte logiciels libre à Strasbourg. Évalué à 1.

    oui, à ma connaissance.
  • # Re: Découverte logiciels libre à Strasbourg

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Découverte logiciels libre à Strasbourg. Évalué à 2.

    et la Flammekueche Connection (LUG Strasbourgeois) ? est elle au courant ?
  • # liberticides et non libertaires

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Reporters sans frontières secoue la CNIL. Évalué à 10.

    je pense que vous vouliez dire des textes liberticides en non libertaires.

    liberticide = qui tue la liberté
    libertaire = anarchiste
  • # choqué

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Rachetons Blender. Évalué à -8.

    Je suis choqué et par deux fois.

    D'une, qu'une boite boite "qui a tout foiré mais qui veux recuperer sa thune voir plus" fasse un chantage de ce genre; et c'est pire, si c'est un gars seul qui fait ça.

    De deux, que linuxfr se fasse le porte parole d'un racket intellectuel.

    Ca me fait penser à ces projets qui sont libre mais qui sont pas gratuit, et qui, pour certains, ne sont plus libre si il y a un usage commercial.

    Par contre, je soutiens perl fund qui a une toute autre demarche.
  • [^] # Re: NP/=non-P

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le RSA en danger. Évalué à 1.

    Ton code est un test de primalité et non, une factorisation. Il est certes plus simple de faire le test avec les nombres premiers puisqu'il y en a moins. Mais il faut deja les connaitre à l'avance, donc ce qu'on gagne d'un coté, on le perd de l'autre.

    Pour coder un chiffre de type RSA, il faut faire des tests de primalités, pour determiner les nombres principaux de l'algorithme. Pour casser RSA, il faut factoriser des nombres pour obtenir les nombres principaux qui ont été determinés par les tests de primalités, donc c'est plus complexe.
  • [^] # Introduction à la cryptographie

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le RSA en danger. Évalué à 3.

    Il existe des bouquins tres bien sur la crypto, le meilleur endroit pour demander reste fr.misc.cryptographie , sachant que dans les archives sur google groups, les beotiens trouveront les reponses sur les bases documentaires necessaires pour connaitre les bases sur le sujet ;-) .

    Sinon, un bouquin simple dessus en etant tres partique pour le développeur, c'est cryptographie appliqué de Bruce Schneier.
  • [^] # Re: NP/=non-P

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le RSA en danger. Évalué à 4.

    Puisqu'on me prend pour un con, jouons au con.

    un probleme P est un probleme solvable en un temps polynomiale sur une machine de Turing deterministe, je pense que l'on est d'accord.

    NP comme son nom l'indique, est resolvable en un temps polynomiale sur une machine de Turing non deterministe.

    un probleme NP-complet est un probleme dont la resolution reste NP quelque soit son formalisme au sens de Turing. donc tout probleme NP derive d'un probleme NP-complet.

    La methode exposée au point 2, me pose un probleme dans ton enoncé ... comment as tu determiné que 2 et 5 était les bons nombres ? le savais tu avant ? ce qui est faux, n'est ce pas ? il faut le verifier pour ces nombres ! C'est clair qu'il existe des heuristiqures pour simplifier la recherche, mais la methode que tu expose est la plus vieille, la plus connue et la une des moins performante pour factoriser des grands nombres.

    La conjecture de Reimann, n'est ce pas celle qui dit à propos de la fonction zeta du même Reimann, que mis à part les zeros triviaux, tous les zeros sont sur la droite sigma = 1/2 ? ;-)

    Quelque soit tes fonctions, expliquer est une chose, dénigrer en est une autre ;-) .
  • [^] # Re:theorie des nombres, algorithmique de base, et algo de RSA

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le RSA en danger. Évalué à 4.

    puisque on veut m'apprendre des choses, sortons la grosse artillerie ;-) .

    Commençons par la fin.

    NP signifie Non Polynomial, plus exactement non deterministe en un temps polynomial. On sait deja que P et NP sont des ensembles disjoint, mais la conjecture est que NP et NP-complet soit disjoint aussi, ce qui n'arrange rien, mais tous laisse penser que cela est vrai meme si il n'y a aucune demonstration.

    Je parlais de factorisation pas d'autre chose. Pour factoriser un nombre N, il faut connaitre les nombres premiers qui peuvent le composer, donc il faut factoriser tous les nombres avant pour savoir si ils sont premiers ou non.

    De plus, je parlais de test total de primalité, hors il n'existe aucun test total de primalité qui soit dans P, cad qui soit calculable en un temps polynomiale.

    Le test de Rabin-Miller n'est pas fiable à 100%, il existe une marge d'erreur fonction du nombre d'iteration, plus il y a de tests et plus la precision est grande mais elle n'est jamais de 100%. Les autres tests comme Solovay-Strassen et Lehmann sont moins performant.
    Les seules methodes fiable à 100% sur un test de primalité reste la factorisation, et cela passe par un de ces algorithmes déja connus :
    - le crible quadratique
    - les courbes elliptiques
    - l'algorithme de monte carlo
    - les fractions continues
    - la tentative de division

    je donne l'algo de RSA pour le principe :

    soit 2 nombres premiers p et q, soit n tel que :

    n= p * q

    soit e un nombre aleatoire tel que e soit premier avec (p-1)*(q-1) , soit d tel que :

    e * d = 1 mod (p-1)*(q-1)

    pour chiffrer m en c, il suffit de faire :
    c = m^e mod n

    pour dechiffrer c en m, il suffit de faire :
    m = c^d mod n


    Mes references sont introduction à l'algorithmique de Cormen Leiserson et Rivest , Course in Number Theory and Cryptography de Koblitz, et the art of computer programming de Knuth.

    voila ;-p
  • [^] # Re: Un peu de maths [correction]

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le RSA en danger. Évalué à 3.

    Je me permet de te reprendre puisque tu m'y autorise ;-) .

    Pour factoriser naïvement un nombre N, il faut avoir prealablement factoriser les N-1 nombres precedents, parce que sinon, tu ne peux pas decomposer les nombres en facteurs premiers puisque tu n'a pas appliquer de test total de primalité sur ces nombres. Donc la factorisation d'un nombre N se fait en O( N^N ).

    La solution erronée que tu proposais, etait en temps polynomial ce qui est aujourd'hui peu couteux, alors que la borne que je t'expose est plus que polynomiale ; c'est d'ailleurs comme ça que l'on definit les problemes NP & NP-complets, ce sont les problemes qui se traitent en un temps plus que polynomial.
  • # initiative déjà existante

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pour la libre diffusion du savoir scientifique. Évalué à 9.

    il y a http://xxx.lanl.gov/ qui est une base de données scientifiques sur les publications internationnales, et tout le monde peut y contribuer librement (n'etant pas contributeur mais simple consultant, je n'en suis pas certain).
  • [^] # Re: une idée...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La CE rend publique sa proposition sur les brevets. Évalué à 2.

    j'avions oublié que la CEE est devenu l'Union Européenne, promis je ne le dirais plus ;-).

    Les commissions européennes sont dirigé par l'assemblé parlementaire de l'Union et par les ministres de chaques pays de l'Union ; Comme les commissions parlementaires françaises sont composé de fonctionnaires dirigé par le parlement et le sénat.
  • [^] # Re: une idée...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La CE rend publique sa proposition sur les brevets. Évalué à 3.

    prevenir les journaux est une chose, meme une bonne chose, il y a aussi la télé.

    pour ce qui est de la légitimité de Bruxelles, c'est la CEE, la comunauté européenne, elle représente légalement et démocratiquement les états et les citoyens membres de l'union européenne ; le conseil des minitres de l'union est une instance directive de Bruxelles.
  • [^] # Re: Poll de brevets libre : démontrer parfaitement inutile

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Brevets logiciels: Découverte d'une collusion entre la BSA et la Commission Européenne. Évalué à 0.

    Ce que tu décrit ne correspond pas exactement à ce que j'ai proposé : je propose de donner la propriété et les droits du brevet à un organisme defendant le libre, cet organisme par ces cotisations peut financer l'achat de brevet, et l'organisme n'est pas propriétaire des programmes.

    Donc cet organisme peut deposer des brevets sur une certaine durée, ou mettre le brevet dans le domaine public par un brevet court. Cet organisme est inattaquable parce que ne controle pas le code créé par ces membres, mais par contre peut attaquer si on touche à ses brevets.

    Pour ce qui est du financement d'un brevet, il suffit de le financer à court terme, se qui fait que par la suite il est du domaine publique, et l'organisme financant peut faire appel aux cotisants pour financer les brevets, il ne faut pas voir le probleme à l'echelle d'un individu mais à l'echelle d'un bazar d'individu qui construise une cathedrale ;-) .
  • [^] # Re: Euh tu pourrais expliciter ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft devra dévoiler le code source de Windows. Évalué à 2.

    généralité modulaire : concept reposant sur des la capacité de généricité de certains systemes modulables, par exemple l'API SWING de Java est une genericisation de l'AWT en ayant une approche plus modulaire, ou IE comme navigateur & bureau.

    flux sérialisable : flux modélisant un grappe informelle représentée par une suite séquentielle d'information la qualifiant.
  • [^] # Re: de la société du spectacle et de l'utilité du brevet logiciel

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Brevets logiciels: Découverte d'une collusion entre la BSA et la Commission Européenne. Évalué à 3.

    Le cout peut etre dissolu par la masse des cotisans ; c'est pourquoi il faut unifier les forces au lieu et place de les dissoudre dans des multiples organisations à but similaire.

    L'unité crée la force, et l'unité s'acquiere par la cohésion de la masse ; microsoft l'a bien compris en unifiant ses solutions, pour creer un phenomene de masse suffisant pour etre un lobby facilement manipulable.

    Si nous voulons faire face à ce totalitarisme grandissant, il faut s'unir en oubliant les discensions personnelles et agir ; que ce soit avec gnome, kde, emacs, vi, perl, python, agissons chacun à notre echelle ; débattre est une chose, mais agir en est une autre : sommes nous capable de faire un ecran noir à tous les IE du monde pour protester du monopole de Microsoft ?
  • [^] # Politisation et syndicat

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Brevets logiciels: Découverte d'une collusion entre la BSA et la Commission Européenne. Évalué à 4.

    Juste une précision au passage, j'ai discuté avec d'autres personnes, d'un projet de créer un syndicat pour les developpeurs et les admins sys, et pour l'usage des logiciels libres ...

    Le syndicalisme a toujours été la branche forte de la politisation sur une base prolétaire (au sens noble du terme) ... donc si cela interesse des gens, contactez moi ;-)
  • # de la société du spectacle et de l'utilité du brevet logiciel

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Brevets logiciels: Découverte d'une collusion entre la BSA et la Commission Européenne. Évalué à 6.

    J'ai vu une reference à la société du spectacle, c'est un concept tres interessant et aussi un bouquin tres interessant et facile à lire ecrit par Guy Debord, un homme qui devrait être relu avec la culture du logiciel libre et qui prend ainsi tout son sens ;-)

    Pour ce qui est des brevets logiciels, dans le monde du libre, il suffit qu'un organisme libre comme la FSF depose des brevet pour le compte des membres avec comme contrainte d'exploitation que son usage soit un logiciel libre au sens de la FSF ; ce qui impose un corollaire important, plus personne ne pourra faire de propriétaire avec. Cette methode est assez simple, mais cela revient à utiliser les armes de l'adversaire pour le mettre à terre ( ou de sacrifier un aligator albinos pour gagner du terrain ;-) ). La seule contrainte à ce systeme, c'est que les acteurs majeurs et mineurs du libre s'associent efficacement pour mettre en place des technologies brevetables et performantes en offrant des solutions libres avec comme contrainte que cela reste libre ... donc les pro brevets vont devenir rapidement anti brevet et ainsi on continue d'avoir la main mise sur la diffusion et la liberté d'acces aux savoirs de l'humanité (tsoin tsoin & tadam).

    Les modeles expliqués par ESR ou d'autres sur le monde du libre, se rapproche fortement de certains modeles anarchistes et du modele situationnistes pour les tenants politiques. Je pense que pour pouvoir assoir une forme de pouvoir mediatique, il faut necessairemement passé par une politisation de la chose et donc par sa médiatisation implicite du au fait qu'elle est soumise comme chose publique (res publica) à l'agora.

    Pour conclure, quelques sitations du bouquin de Debord :

    Le spectacle n'est pas un ensemble d'images, mais un rapport social entre personnes, médiatisé par des images.

    La société qui repose sur l'industrie moderne n'est pas fortuitement ou superficiellement spectaculaire, elle est fondamentalement spectacliste. Dans le spectacle, image de l'économie régnante, le but n'est rien, le développement est tout. Le spectacle ne veut en venir à rien d'autre qu'à lui-même.

    Le spectacle est l'autre face de l'argent : l'équivalent général abstrait de toutes les marchandises. Mais si l'argent a dominé la société en tant que représentation de l'équivalence centrale, c'est-à-dire du caractère échangeable des biens multiples dont l'usage restait incomparable, le spectacle est son complément moderne développé où la totalité du monde marchand apparaît en bloc, comme une équivalence générale à ce que l'ensemble de la société peut être et faire. Le spectacle est l'argent que l'on regarde seulement, car en lui déjà c'est la totalité de l'usage qui s'est échangée contre la totalité de la représentation abstraite. Le spectacle n'est pas seulement le serviteur du pseudo-usage, il est déjà en lui-même le pseudo-usage de la vie.

    pour la lecture du bouquin en ligne :
    http://www.multimania.com/laplage/d_spec/(...)
    sinon on le trouve aussi en livre de poche dans toutes les librairies au rayon politique / anarchisme & situationnisme.
  • [^] # Re: Aucun interet en soi...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft devra dévoiler le code source de Windows. Évalué à 2.

    Theoriquement, tout module est dissociable du noyau, comme les modules kernel, les modules apaches, les DLL, les lib ELF, et pour les extremistes le noyau MACH (ou tout est module).

    Mais dans la pratique, il y a des aspects fonctionnels qui obligent l'usage de tels architectures plutot que tels autres ; regarde gnome et son architecture modulaire, ou Emacs avec sa panoplie de modules, ou .NET avec des kits de modules a faire soit meme.

    Pour faire du modulaire, il faut donc une API commune et donc des modules formant un noyau central. Et c'est la strategie de microsoft, il fait à partir d'un cas particulier une généralité modulaire ; un navigateur web devient un navigateur/IHM systeme, un lecteur de document devient un outil de production documentaire, l'inclusion d'un document dans un autre devient OLE & DDE . Leur but est de faire des outils contenant des flux sérialisables de manière standard et transparente pour l'utilisateur et le developpeur.
  • [^] # Re: linux n'est pas preemptif ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Linux kernel preemption project. Évalué à 3.

    Linux est préemptif, c'est à dire que le noyau coupe chaque tache à executer en segment de même durée (quantum), et le noyau commute entre chaque quantum à leur fin.

    Dans le multitache coopératif, c'est au processus de provoquer la commutation.

    Le role du patch en question, est reduire le quantum, car sur un 386 DX 20 MHz le quatum était suffisament court en cycle. Mais maintenant, sur les processeur à 1 GHz, on peut le réduire facilement sans perte de performance, car il y a beaucoup plus de cycles.
  • [^] # Re: Brevet et droit d'auteur

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les logiciels libres dans "La Recherche" de Janvier. Évalué à 7.

    Autant pour moi, ma mémoire m'a fait défaut :-( .

    Extrait de l'article 123-1 du code de la propriété intellectuelle:
    Au décès de l'auteur, ce droit persiste au bénéfice de ces ayants droits pendant l'année civile en cours et les cinquantes années qui suivent. Toutefois pour les compositions musicales avec ou sans paroles, cette durée est de soixante-dix années.

    Extrait de l'article 1-1 de la directive europeenne 93/98 du Conseil du 29 octobre 1993 :
    Les droits de l'auteur d'une oeuvre litréraire ou artistique au sens de l'article 2 de la convention de Berne durent toute la vie de l'auteur et pendant soixante-dix ans après sa mort, quelle que soit la date à laquelle l'oeuvre à été licitement rendue accessible au public.