Obsidian a écrit 5288 commentaires

  • [^] # Re: Comment une faille peut-elle toucher plusieurs processeurs de plusieurs fondeurs ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Deux failles critiques : Meltdown et Spectre. Évalué à 6.

    Je dis peut-être des bêtises, mais d'après ce que j'ai compris c'est justement ce qui fait que les processeurs AMD ne sont pas touchés par Meltdown : ils vérifient les permissions avant l'exécution spéculative, alors que les Intel le font tout à la fin, comme tu dis.

    Je ne suis pas allé vérifier si c'est vrai ou faux, donc je ne me prononcerai pas sur le fond, mais si c'est le cas, alors à moins d'avoir une MMU extrêmement performante (ce qui est peut-être le cas aussi), alors cela mettrait complètement à mal l'exécution spéculative puisqu'elle serait obligée d'attendre sa décision avant d'être exécutée. Donc, ce ne serait plus de l'exécution spéculative. Et c'est un problème puisque cela concernerait TOUS les accès mémoire, aussi bien en lecture qu'en écriture, puisqu'il est par définition impossible de savoir si un accès est en dehors de sa plage avant de l'avoir examiné (sauf modes indexés spéciaux avec un offset notoirement local, parce que défini dans un petit registre (par exemple, sur 8 bits)). Donc, ce serait extrêmement fréquent dans un programme.

    Reste à savoir si c'était quelque chose qui était réellement imaginable à l'avance, surtout au moment où les premières puces à pipeline ont été produites, puisque les rares qui sont encore en fonctionnement aujourd'hui sont menacées aussi. Autrement dit : est-ce vraiment une faute grave du constructeur compte tenu de son expérience et de son expertise, ou est-ce vraiment la faute à pas de chance ?

    Parce qu'à ce compte-là, des compromissions de ce genre, on en a connu beaucoup dans le domaine logiciel mais, elles, peuvent être facilement patchées. Les générations de collisions pour MD5 et SHA1, par exemple, sont dans leur genre des petites bombes elles aussi et la dernière concernait particulièrement Git. Alors, certes, il « suffit » de passer à une nouvelle fonction de hachage pour pallier le problème jusqu'à ce qu'elle soit cassée à son tour, mais étant donné la diffusion du logiciel, il n'est pas concevable de réécrire toutes les sommes de tous les objets de tous les dépôts du monde, qui parfois contiennent des objets qui sont aussi vieux que Git lui-même, à commencer par le dépôt du noyau Linux. La seule solution consisterait à faire cohabiter les deux versions en marquant la première comme dépréciée.

    Ici, c'est particulièrement grave parce que la faille se produit à très bas niveau, et a donc un impact très large en conséquence mais étant donné la complexification toujours plus forte des systèmes et le point auquel ils sont répandus, je pense qu'il va falloir s'attendre à faire face à ce genre d'incident à intervalles relativement régulier.

  • [^] # Re: Comment une faille peut-elle toucher plusieurs processeurs de plusieurs fondeurs ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Deux failles critiques : Meltdown et Spectre. Évalué à 10.

    Pour ce que j'ai lu de la même page, c'est PRESQUE cela, en effet, mais à quelques détails près et qui feraient, entre autres, que l'approche par indexation en particulier ne pourrait justement pas marcher. Par ailleurs, tout repose sur le fait que l'on mesure un temps d'accès pour savoir si une donnée est ou non dans le cache. Et comme la réponse à cette question est forcément « oui » ou « non », ça implique de distiller l'info bit par bit, d'où l'exemple de la page Wikipédia et de son bit 0.

    En gros :

    1. On flushe le cache à deux adresses légitimes mais différentes et qui, selon moi, doivent également correspondre à deux pages de cache DISTINCTES, donc relativement éloignées l'une de l'autre (d'où le problème avec l'indexation) ;
    2. On lit la valeur d'une adresse « hors zone » dans un registre R ;
    3. On laisse volontairement le programme segfaulter à cause de cela (on rattrapera le problème avec un handler de signal) ;
    4. On continue ensuite comme si de rien n'était, en extrayant de R le bit qui nous intéresse et en faisant un calcul pour résulter, selon sa valeur, à l'une ou l'autre des adresses légitimes évoquées au départ ;
    5. On lit le contenu de l'adresse calculée ;
    6. On lit le contenu les contenus respectifs de ces deux adresses en mesurant le temps que cela prend (par exemple, avec RDTSC, j'imagine).

    La page précise qu'il vaut mieux éviter les branchement conditionnels pour faire ces calculs pour éviter de mettre en branle les mêmes mécanismes prédictifs (en gros, faire le calcul avec des opérateurs logiques plutôt qu'avec des « if »).

    On se moque, en fait, de ce que contiennent les deux adresses légitimes mais toute l'astuce s'appuie sur le fait que la segfault va prendre un certain temps pour être déclenchée, et que les points 3, 4 et 5 auront le temps d'être honorés même si le CPU fait marche arrière ensuite si elle l'est. Après, sachant qu'on avait au départ vidé le cache, le point numéro 5 l'aura rechargé quand même. Donc, si l'une des pages est lente à accéder et que l'autre est rapide, on peut en déduire la valeur du bit recherché.

    Évidemment, c'est très sioux et tout le problème réside dans le fait que ce n'est pas du tout un problème algorithmique. Tout microprocesseur doté d'un système de protection, d'un mécanisme de prédiction ET utilisant de la mémoire cache est potentiellement affecté.

    On pourrait déjà circonvenir au problème en invalidant TOUT le cache en cas de segfault, mais on pourrait encore contourner la chose en faisant lire les adresses concernées par un thread ou un processus distinct qui, lui, n'aurait rien à se reprocher. Et qui pourrait presque le faire, en le synchronisant bien, avant le déclenchement de la segfault. C'est déjà compliqué à gérer en soi, mais ça devient particulièrement gênant sur les multicœurs et les systèmes distribués.

    Et là où ça devient vraiment désespérant, c'est qu'apparemment la solution envisagée est : « puisque c'est une faille qui s'appuie sur la mesure des performances, alors on va sacrifier les performances ».

  • [^] # Re: Facile !

    Posté par  . En réponse au message [HELP] programme python. Évalué à 3.

    Pourquoi « récursive » d'ailleurs ? C'est purement itératif, ce genre de chose…

  • # Éditeur spécifique ?

    Posté par  . En réponse au journal Marie-Stéphanie, Markdown, GIT, Jekyll et Jenkins. Évalué à 4.

    • elle édite des fichiers au format Markdown avec un éditeur spécifique (ce n’est pas Word ou LibreOffice)

    Donc, c'est VIM. D'accord.

    (Ok, j'aurais pu attendre demain…)

  • # Via ma boîte

    Posté par  . En réponse au journal Votre rapport à l’anglais ?. Évalué à 2.

    Bon, j'arrive un peu après la bataille, mais j'étais occupé à d'autres choses plus techniques (que je vais produire ici même quand j'aurai fini).

    Techniquement, j'ai appris l'anglais au collège en classe de sixième, comme pas mal de monde. C'était en 1987, ce qui ne nous rajeunit pas. Je n'étais pas franchement mauvais, j'aimais ça, mais je n'ai jamais été un premier de classe non plus. J'ai donc pu pendant très longtemps me revendiquer d'un simple « anglais scolaire ». Ça me permettait tout juste de le baragouiner un peu si jamais je devais me faire comprendre quelque part (dans un aéroport, par exemple) mais guère plus côté oral. Par contre, ça me permettait de le lire relativement facilement, et la programmation exercée depuis « le plus jeune âge » sur les MO6 de l'école m'avait permis d'aborder facilement l'anglais technique.

    Par la suite, j'ai commencé par essayer de lire des romans en anglais avec un dictionnaire à côté. C'est une bonne idée en soi mais franchement, pour chaque page du livre, on se réfère dix fois au dico et ça devient vraiment ingérable. Mais ça fait son effet quand même à la longue.

    Le premier coup d'accélérateur est venu avec les DVD quand, après avoir vu les épisodes qui me plaisaient le plus, je les revisionnais en version originale sous-titrée (VOST). À l'époque, j'essayais aussi d'aller voir les films en VO au cinéma du quartier mais à défaut d'un niveau suffisant, on reste le nez collé sur les sous-titres, on se concentre ni sur le film ni sur l'histoire et au final, on en ressort fatigué sans avoir gagné grand chose. Mais les séries ont fini par donner des résultats et une jeune prof d'anglais connue plus tard nous avait confirmé que c'était ce qui, à l'usage, donnait le plus de résultats.

    Quand j'ai commencé à me sentir suffisamment à l'aise en lecture, j'ai commencé à faire des traductions. En 1997, j'avais entrepris de traduire le painless guide to CRC error detection algorithms, à l'époque où l'ADSL était expérimentale et où on partageait encore l'info en s'envoyant des CD.

    Les moteurs de recherche étaient déjà au point mais quand Google a commencé à se démocratiser, c'est devenu plus facile d'accéder à beaucoup de documents en anglais ciblant les centres d'intérêts mais surtout, il est devenu très facile de voir si tel ou tel idiome existait ou non, et la recherche par image sur un terme en anglais a permis de constater instantanément quelle est l'acception la plus fréquente d'un mot dans le langage courant. Et ça, c'est devenu un vrai atout si on ne peut pas s'immerger directement dans une population anglophone.

    Mais malgré cela, ce qui m'a réellement fait faire les plus gros progrès, c'est le fait de me retrouver en environnement professionnel, dans un centre de recherche, avec des collaborateurs de toutes les nationalités (même si le centre en lui-même était à quatre kilomètres de mon domicile). L'anglais était donc de rigueur vis-à-vis de toutes les personnes dont le français n'était pas la langue native.

    J'y suis entré en étant capable de comprendre mon interlocuteur mais en répondant en français. À peine un an plus tard, j'avais acquis un anglais courant. En 2007, au terme d'études d'ingénieur en partenariat (études à l'âge adulte en alternance et en convention avec sa propre boîte), j'ai obtenu 955 au TOEIC. Ça ne fait toujours pas de moi un native speaker ni ne me permet de prétendre en l'état au Cambridge Certificate, par exemple, mais j'ai maintenant suffisamment de confiance en moi pour téléphoner à une hotline située aux États-Unis, par exemple.

    Enfin, aujourd'hui, il y a Youtube. Donc il est très facile, si on le souhaite, d'écouter en permanence des contenus en anglais ou en américain (surtout), qui soient tout autant des émissions formatées pour la télévision que des témoignages de particuliers qui font leur propre chaîne. Et plus récemment, il m'est arrivé de faire plusieurs sous-titres pour les épisodes de Veritasium, MinutePhysics ou 3Blue1Brown, mais d'autres aussi. Bon, un peu moins ces temps-ci parce que si on veut le faire sérieusement, en étant sûr de ce que l'on écrit, sans faire de contresens, en soignant son français, sa typologie, en utilisant l'UTF-8 et en ajustant bien les blocs pour qu'ils restent agréables à lire quand ils se succèdent, il faut 1h30 pour traduire une minute de vidéo.

    Tout ceci fait que mon anglais est surtout de l'américain, mais c'est très bien comme ça.

    Aujourd'hui, je pratique en traduisant entre autres les diatribes de Linus dans les annonces des releases -rc du noyau. :)

  • [^] # Re: Je suis sûr qu'il y aurait un gros pourcentage pour...

    Posté par  . En réponse au sondage Travailler pour les GAFAM. Évalué à 4.

    C'est-à-dire que des amazones, y en a plus beaucoup non plus…

  • [^] # Re: Barre de recherche

    Posté par  . En réponse à la dépêche Firefox Quantum, première partie du projet Quantum de Mozilla, est disponible. Évalué à 4.

    Ce serait plutôt Trifouillis-les-Ouailles, en l'occurrence. :-)

  • [^] # Re: LA scène de l'espace

    Posté par  . En réponse au journal Parlons un peu de Star Wars VIII - Les derniers Jedi (Attention : SPOILERS). Évalué à 2.

    Effectivement, j'ai beaucoup aimé cette scène également et surtout sur la forme, comme tu l'expliques.

    Pourtant, ce n'est pas tant le fait que ce soit une attaque kamikaze en soi qui faisait la beauté de la chose, mais effectivement les effets employés et surtout choisis. C'était éloquent comme peut l'être une jolie fin de chapitre dans un livre bien écrit, et les cinéphiles savent combien les passages cultes des grands romans, quand ils sont purement narratifs, sont difficiles à retranscrire à l'écran.

    Pourtant, une grande partie de ces effets ne sont pas originaux. Les scènes « violentes » où le silence annonce le bruit, comme le tonnerre, ont été plusieurs fois employées, mais sa durée dans cette scène-là a été mûrement choisie pour qu'elle se termine juste après que les spectateurs aient totalement pris acte en leur for intérieur de la fin du cycle qu'elle impliquait.

    Je pense que les cinéphiles qui ne sont justement pas fans de Star Wars l'auront beaucoup apprécié aussi s'ils ont la patience d'attendre jusque là.

  • [^] # Re: Fer à repasser de l'espace

    Posté par  . En réponse au journal Parlons un peu de Star Wars VIII - Les derniers Jedi (Attention : SPOILERS). Évalué à 4.

    Il faut aussi signaler que c'est une référence directe au vaisseau de Boba Fett de la Trilogie originale (et du probable meilleur épisode de tous jusqu'ici), à 3m19s : https://www.youtube.com/watch?v=1UjVUZhaDiI&feature=youtu.be&t=3m19s

    L'idée était intéressante, d'ailleurs : un appareil où l'on décolle « allongé », comme dans les fusées lunaires, et où on adopte très vite sa position normale. Mais tout le monde l'avait immédiatement nommé de la même façon, pour les mêmes raisons. Du coup, c'est plus qu'une autoparodie : c'est un joli tour joué aux spectateurs.

    Et en effet, c'était une bonne idée mais à condition que ça ne dépasse pas les deux secondes que dure la scène. Et ça a été bien tourné de ce côté…

  • [^] # Re: star wars et réalisme

    Posté par  . En réponse au journal Parlons un peu de Star Wars VIII - Les derniers Jedi (Attention : SPOILERS). Évalué à 4.

    Il reste Chewie sinon

    Pas la peine : aucun risque qu'il parle. :)

  • [^] # Re: Tu touches juste !

    Posté par  . En réponse au journal Parlons un peu de Star Wars VIII - Les derniers Jedi (Attention : SPOILERS). Évalué à 3.

    Snorke… me demande encore d'où il vient. Son personnage aurait mérité d'être fouillé pour que nous puissions le haïr :)

    Il est déjà très laid. Ça devrait suffire. :)

  • [^] # Re: star wars et réalisme

    Posté par  . En réponse au journal Parlons un peu de Star Wars VIII - Les derniers Jedi (Attention : SPOILERS). Évalué à 2.

    ATTENTION SPOILERS ### ATTENTION SPOILERS ### ATTENTION SPOILERS ### ATTENTION SPOILERS ### ATTENTION SPOILERS

    Moi pas. Certes, la scène en question a bien été enjolivée mais buter d'un coup la princesse Leïa des origines de la Saga de cette façon, ça aurait paru un peu trop rapide aux fans et ils auraient eu raison. A fortiori si, en plus, ce n'était même pas ce qui était prévu au départ.

    Sans compter qu'ils ont fait exactement le même coup à Han Solo (qui, dans la vie réelle, devait en avoir marre) et que c'est une des principales faiblesses de l'épisode VII.

    N'empêche qu'à ce stade, c'est Luke Skywalker, Han Solo et Leïa (en vrai) qui sont partis. Si on suit cette logique, ils leur reste à buter C3PO et R2D2. Ce serait décevant mais inattendu. :)

    ATTENTION SPOILERS ### ATTENTION SPOILERS ### ATTENTION SPOILERS ### ATTENTION SPOILERS ### ATTENTION SPOILERS

  • # Explications…

    Posté par  . En réponse au message Programmation linéaire. Évalué à 6.

    Bonjour,

    Tu peux déjà commencer en précisant, pour ceux qui ne le savent pas, que la programmation linéaire n'a rien à voir avec la rédaction des logiciels.

    Ensuite, tu pourrais nous exposer brièvement ce que tu as fait jusqu'ici et ce qui te bloque en particulier.

    Bon courage.

  • [^] # Re: Journal bookmark ultime

    Posté par  . En réponse au journal Un comparatif de banques en ligne sauvage apparaît !. Évalué à 4.

    Ouille ! C'est vrai que ça commence à faire beaucoup. En effet, la dernière fois que j'en ai eu un, c'était il y a cinq-six ans également.

    Maintenant, sur une publication quotidienne offerte et qui, en plus, n'est pas destinée à être conservée, ça ne me dérange pas trop. Les deux pleines pages en couverture, j'avais l'habitude de les sauter immédiatement et, en fait, elles servent surtout à protéger le contenu de la pluie. :-)

    Pour le reste, l'avantage par rapport au web est qu'on est sûr que la pub ne va pas recouvrir le contenu, qu'on ne va pas avoir de vidéo en lecture automatique dès qu'on tourne la page, ni de mention « votre contenu dans n secondes ». De ce côté, ça fait un point pour la publication papier.

    Avec ça, la période se prête un peu à ça aussi. J'ai noté une augmentation palpable de spams dans mes boîtes e-mail également. J'imagine que ça va se calmer quand même un peu après les fêtes.

  • [^] # Re: Premières réponses

    Posté par  . En réponse au message Comment faire remonter des corrections de fautes d'orthographe / syntaxe ?. Évalué à 2.

    je modifie mon ecrit => les commentaires ne veulent plus rien dire car mon ecrit est totalement different ?

    Ça se fait ailleurs et ça fonctionne plutôt bien. La vraie question étant « combien de personnes vont abuser du système de la sorte ? ». Étant donné que ça demande une action volontaire et qu'il faut revenir explicitement sur ces propos un ou deux jours après, il faut être motivé pour le faire.

    Du coup, ça reste gérable par les modérateurs et surtout, les lecteurs disposent toujours de l'historique pour savoir ce qui s'est dit si on a besoin de le faire.

    Ça vaudrait au moins le coup d'essayer quitte à revenir en arrière si ça tourne au joyeux bazar, mais je ne crois que peu à cette dernière option…

  • [^] # Re: Stars Wars, yeux d'enfants, yeux d'adultes

    Posté par  . En réponse au journal Parlons un peu de Star Wars VIII - Les derniers Jedi (Attention : SPOILERS). Évalué à 9.

    Je ne l'ai pas vu, je ne sais pas si je vais le voir. Par contre j'ai vu les épisodes 4,5,6 étant enfant, les ait adoré. J'ai vu les épisodes 1,2,3 adulte. Je les avais trouvé à chier.

    Oui mais ça, c'est le mauvais exemple à mon avis :) Tu aurais tout aussi bien pu dire « j'ai vu les épisodes 4, 5 et 6, je les ai adorés, j'ai vu les épisodes 1,2,3, je les avais trouvés à chier ». En 1977, j'avais un an, j'étais donc un peu jeune pour lire les critiques ciné. Par contre, on nous a emmenés voir le Retour du Jedi dès sa sortie et rétrospectivement, quand je regarde le making-of des trois opus originaux, je n'ai pas souvenir que les critiques allaient dans ce sens. Certes, tout le monde était très dubitatif pendant la réalisation du premier, mais le succès a été celui que l'on connaît dès sa sortie.

    Personnellement, passé l'effet de surprise et le côté spectaculaire de certaines scènes, j'ai été déçu par les épisodes I, II et III, mais j'ai beaucoup plus apprécié les derniers en date et spécialement « Rogue One » qui est pourtant sorti après le 7, alors que pourtant, on aurait vraiment pu croire qu'à ce stade, c'était du réchauffé.

    Rogue One a été qualifié d'épisode « III et demi » et c'est tout-à-fait ça. Loin d'être un spin-off indépendant de la saga originale, c'est véritablement un pont entre les deux séries. Là où ils ont très bien joué à mon avis, c'est qu'il n'ont pas fait qu'imiter les codes graphiques des décors et des équipements techniques (pas seulement les vaisseaux mais également les consoles dans les bases, les corridors, etc.) mais les ont suivi très fidèlement parce que c'est justement censé se passer à la même époque. Du coup, c'est un vrai bol d'air pour les fans de la saga originale mais cela insuffle aussi un vrai sentiment de cohérence pour les adultes que nous sommes devenus, et ça rend la chose agréable à regarder.

    Avec cela, j'ai trouvé les personnages vraiment bien travaillés. Vador y est au mieux de sa forme (si l'on peut dire) mais j'ai trouvé le « directeur » très bien imaginé aussi, tant au niveau de l'acteur lui-même que de de son uniforme et même du choix de son titre. En tout cas, c'est mieux que « suprême leader » qu'on attribuerait tout au plus à Kim Jong Un… C'est sans doute l'épisode que je conseillerais le plus à ceux qui ont vu les trois originaux et qui auraient peur d'être déçus.

    En ce qui concerne les I, II et III, Georges Lucas a un jour avoué qu'il avait fini par devenir ce qu'il combattait étant jeune réalisateur (il est passé du côté obscur, quoi) et il aurait dû s'en souvenir avant de relancer la saga. Pas pour le dissuader mais pour éviter de tomber dans des pièges sournois. Il a déclaré entre autres deux choses précises : la première est que désormais, les gens qui n'ont jamais vu la saga pourront voir tous les épisodes dans l'ordre (I, II, III, IV, V et VI) ce qui est une ânerie à mon avis parce que ça « spoile » tout ce qui faisait justement la profondeur et le mystère de la trilogie originale, surtout quand on ne l'a jamais vu.

    C'est dommage d'ailleurs, parce que les trivialités comme les midichloriens (commme si c'était une maladie infectieuse), Jar Jar Binks (que les fans ont réussi à faire renvoyer) ou les blagues de (Z6|C3)PO ont fini par éclipser certains passages cultes, comme la chute de la République dans un tonnerre d'applaudissements.

    En ce qui concerne Jar Jar, on le voit brièvement et discrètement réapparaître dans le cortège funéraire à la mort d'Amidala. J'ai gardé mon haut-le-cœur pour moi mais le spectateur assis juste derrière moi, dans un murmure, n'a pas pu retenir un « putain, il est là, lui ? » :-)

    L'autre chose que Lucas a déclaré à cette époque est qu'avec les moyens actuels, il pouvait enfin faire son film « tel qu'il l'avait imaginé à l'époque » et du coup, ils sont bourrés d'images de synthèse et ça, pour le coup, c'était vraiment ce qu'il ne fallait pas faire. Non seulement ça se voit, mais c'est le film entier qui n'a plus d'intérêt si on met en jeu des choses complètement invraisemblables mais que tout le monde ou presque peut aujourd'hui produire soi même sur son PC. En fait, il imaginait un monde de dessin animé alors que ce qui fait que tout le monde s'est immergé dedans à l'époque, c'était justement son réalisme : les vaisseaux, vu de près, avaient vraiment l'air faits de métal et tout ce qui était, dans le film, du même niveau technologique que le nôtre se comportait exactement de la même façon.

    Du coup c'est hyper difficile de plaire à tout le monde. Les adultes voudraient toujours plus de profondeur, de suspens, d'inattendu.
    Les enfants ont besoin de quelque chose de plus facile à comprendre, bref tu peux pas leur servir un machin avec des concepts de
    physique quantique ou un truc à la psychologie très poussée. Ils veulent juste réver de sabre à lumière, de grand méchants et de
    gentils qui vont sauver le monde.

    Je ne pense pas, justement : d'abord parce que c'est désormais une vraie saga légendaire qui a un rang à tenir. Ce serait comme avoir aujourd'hui un niveau Victor Hugo et vouloir le formater pour la télé (même si la comparaison n'est pas forcément du même niveau). Ensuite, parce que je me souviens également qu'à l'époque, c'était justement les tenants et aboutissants de cette saga qui en faisaient la grandeur, même si je ne les saisissais pas tous quand j'étais vraiment petit. Et cela a justement été un plaisir de les regarder à nouveau à différents âges pour cela. Donc, je pense vraiment qu'il faudra un scénario exceptionnel pour l'épisode IX et que ça n'empêchera pas les enfants d'aller le voir.

    Du coup oui ça doit être compliqué de faire un Star Wars qui plait autant aux adultes qu'aux plus jeunes. C'est comme si tu montres un épisode de CHIPS ou Schériff Fais-moi peur à un adulte, à moins d'être complètement bourré ou en plein trip acide il trouvera ça proprement à chier à juste titre.

    Pas forcément. Ça dépend surtout de la façon dont l'œuvre vieillit. Tu regardes Tonnerre Mécanique, par exemple, la moto et le pupitre de contrôle mériteraient d'être un peu rafraîchis. Tu prends Supercopter, par contre, ses boutons en plastique et ses écrans cathodiques lui donnent aujourd'hui l'air d'une machine qui exige d'avoir de l'expérience pour être manipulée sans la casser, ce qui était précisément les qualités qu'on voulait conférer au héros à l'époque. Et surtout, on se moquait de ces séries à l'époque, mais imaginez un peu ce que cela a dû coûter de les produire ! D'ailleurs, d'une manière générale, sur les 27 chaînes de la TNT actuelle, il n'y a pratiquement plus de fiction. Quand on constate que les seules choses proposées pour divertir les jeunes sont soit la téléréalité, soit les émissions à jury qui sont toutes construites sur le même modèle, j'en arrive presque à regretter La Cinq. :)

  • [^] # Re: Journal bookmark ultime

    Posté par  . En réponse au journal Un comparatif de banques en ligne sauvage apparaît !. Évalué à 0.

    « 20 minutes », c'est relativement bon (en tout cas, ça l'était la dernière fois que j'ai eu une édition papier en main) et ce n'est pas tant bardé de pub que ça. C'était surtout leur deux concurrents qui étaient nettement moins à propos.

    Maintenant, ça a peut-être changé puisque ça fait un moment que j'évite Paris et sa proche couronne…

  • [^] # Re: Premières réponses

    Posté par  . En réponse au message Comment faire remonter des corrections de fautes d'orthographe / syntaxe ?. Évalué à 2.

    En premier lieu, pardon de ramener ça sur le devant de la scène, il serait VRAIMENT profitable d'allonger la durée de grâce pendant laquelle on peut éditer ses propres contributions (à commencer par les commentaires). Il semble qu'elle soit actuellement de cinq minutes et c'est vraiment trop court, même avec la relecture préalable.

    Sur certains sites, c'est 72 heures. Il y a des choses qu'on ne remarque qu'à tête reposée (voire après une bonne nuit de sommeil) et il y en a d'autres qu'on ne voit que chez les autres (comprendre par là : il nous faut un regard extérieur).

    Je pense que le mieux serait dans un premier temps de laisser toute personne ré-éditer ses commentaires et de remplacer à chaque fois le dernier message en date par le nouveau tout en les conservant dans la base, et de montrer le diff lorsque l'on cliquerait sur « dernière modification le… ». Ça se fait sur les Wiki et sur la plupart des forums. J'ai même implémenté ça dans le mien.

    Dans un deuxième temps, on accorderait aux volontaires qui en feraient la demande le droit de faire cela sur tous les messages mais là, chaque révision serait soumise à approbation préalable de la modération, avec règles explicites enjoignant les correcteurs à n'intervenir que sur la forme et à ne pas changer les propos de l'utilisateur. Le modérateur n'aurait alors plus qu'à cliquer sur un lien pour voir le diff, examiner rapidement les zones rouges et vertes et s'assurer que les modifs sont justifiées. Si oui, on valide en appuyant sur un bouton et c'est fini.

    L'avantage, c'est que je pense que ce genre d'approche peut être facilement mise en œuvre sur le plan technique.

  • # Juste pour info, la nVidia marche bien

    Posté par  . En réponse au message Quelle carte vidéo quand on se fiche de la performance 3D ?. Évalué à 4.

    Personnellement, j'ai une ASUS EN9800GT (clone de la 9800GT d'nVidia et exploitée par les mêmes pilotes) qui est tombée en panne il y a deux ou trois ans. Je l'ai remplacée par une GT730 Silent, donc avec un gros radiateur en guise de ventilateur. Comme le tout est dans une grande tour bien ventilée (avec des ventilateurs à grand diamètre pour tourner lentement), ça ne pose aucun problème (les capteurs la mesurent à 26° à l'heure où j'écris mais il fait un peu froid chez moi…).

    Donc pratiquement la même que la GT 710, mais la version sans ventilo la place encore au dessus des 50 €, malheureusement.

    Eh bien avec cette carte, je fais encore fonctionner X-Plane 9, Team Fortress 2 ou Google Earth sans problème (avec les pilotes proprio quand même) et je bénéficie de toute l'accélération graphique en 2D.

    Côté connectique, la 9800GT avait deux ports DVI et un Mini-Din. La GT730 a un port DVI, un port VGA et un port HDMI, ce qui correspond très exactement aux trois afficheurs que j'ai à ma disposition : le moniteur de mon PC acquis en même temps que lui, un vieux Dell de récupération (donc VGA uniquement) qui me sert de moniteur auxiliaire et mon téléviseur.

    Donc, d'expérience, la nVidia de cette catégorie me rend très bien service et correspond à mes besoins. Je n'ai pas eu l'occasion d'essayer ATI pour comparer.

  • [^] # Re: Sérieux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Dernière ligne droite pour l’appel à conférencier·e du PHPTour 2018. Évalué à 0.

    L'ironie, ce n'est pas ton fort, hein ? :)

  • [^] # Re: Pourquoi réinventer la roue ?

    Posté par  . En réponse au journal Inventaire de matos. Évalué à 5.

    En même temps, une roue octogonale, c'est moins efficace niveau rendement mais c'est quand même vachement plus stable…

  • [^] # Re: Beaucoup de dev ne savent pas faire du SQL

    Posté par  . En réponse au journal Optimisez votre code !. Évalué à 3.

    Donc pourquoi ca en particulier?

    En plus je sens bien le truc venir de la liste des choses indispensables a connaitre…

    Rien de tout cela, à mon avis.

    Je suis assez d'accord avec lui quand il dit qu'au départ, les bases de données sont un sujet qui a l'air rébarbatif aux jeunes programmeurs. C'est même un problème quand ça dure dans le temps, au point d'avoir un chef qui se sent obligé d'expliquer leur métier à tous les développeurs mais qui met un point d'honneur à dire que les bases de données ne sont pas dans son périmètre, justifiant ainsi ses soi-disant domaines d'expertise (en fait, ses centres d'intérêts, qui sont bien souvent les mêmes que tout le monde. Et, oui, tout le monde aura compris que c'est là encore un exemple vécu.)

    L'ennui avec les DB, c'est qu'on les enseigne bien souvent avec le traditionnel annuaire ou la base de données clients (nom, prénom, adresse, numéro de client, liste des produits achetés, etc.). Déjà rien de folichon en soi mais, en général, on doit aussi construire et surtout remplir la base soi-même. Donc, des heures de insert à recommencer sans arrêt pour se retrouver au final avec une base de cinq clients et trois commandes. :-\ Il est beaucoup plus intéressant, à mon avis, de se faire les dents sur une base déjà faite et bien remplie, avec un schéma visuel et bien explicite, surtout que cela ne pose aucune difficulté technique : il est tout-à-fait possible d'accorder des droits en lecture seule sur la base à un profil donné et de lui conférer en plus la possibilité de créer les siennes dans un tablespace bien défini, avec bien sûr les contraintes d'intégrité qui s'imposent. Personnellement, j'ai totalement pris goût au SQL lorsque j'ai commencé à travailler sur la base de gènes qui m'a occupé pendant six ans. Donc en faisant des requêtes dans une base avec beaucoup de tables, énormément de données (des millions d'enregistrements par table sur une base Sybase de l'époque).

    et que c'est une humilitation d'un ignorer une. Eviter la honte est plutot une mauvaise motivation d'apprentissage.

    Non plus. C'est plutôt que ces notions sont intimement liées aux SGBDR et en fait, c'est même pour elles qu'ils ont été conçus ! Sinon, ils n'apportent pas grand chose de plus que de simples fichiers. Au passage, on rappelle qu'initialement, un « fichier », c'est une boîte à fiches. Et c'est bien pour faire ce genre de traitement qu'ils ont été inventés sur les ordinateurs. Comme depuis le départ, un fichier est implémenté comme une suite continue de données, on les utilise majoritairement cette fin : sauvegarder une séquence d'octets continue quelle qu'elle soit, et c'est très bien comme ça. Mais ça explique pourquoi les appels comme fread() permettent de préciser la longueur d'un enregistrement ET le nombre d'enregistrements à lire, et pourquoi un certain nombre de langages définissent les champs destinés aux fichiers comme étant de taille fixe et comblés par des espaces.

    En plus, ce n'est pas forcément difficile. C'est plutôt une bonne habitude à prendre depuis le départ. Et très vite, dresser un schéma bien léché devient un plaisir de fin gourmet.

    Alors naturellement, il ne s'agit pas de faire de tout un chacun un expert base de données mais en revanche, la façon dont tu poses la question laisse penser qu'en effet, pour un certain nombre de personnes, une base MySQL serait un peu l'équivalent d'une base de registre Windows. Si c'est le cas, et qu'en plus c'est en toute bonne foi, alors c'est peut-être, en effet, quelque chose à surveiller puisque l'on tenait cela pour acquis depuis longtemps.

    En plus, c'est réellement important qu'il est extrêmement difficile de gérer « à la main » les contraintes d'intégrité dès lors qu'on dépasse deux ou trois tables. Il n'y a qu'à comptabiliser le nombre de fois que l'on s'est vu opposer une erreur par le SGBD au départ pour se rendre compte que chacune d'elle était en fait une catastrophe potentielle évitée. C'est un peu comme les segfaults quand on fait du langage C ou autre langage compilé en langage machine. Il faut se souvenir que même sur PC, on a attendu le 286 et surtout le 386 pour avoir un mode protégé et que même avec eux, le DOS n'a réellement pris sa retraite qu'avec les années 2000. Cela veut aussi dire qu'en fin de compte, ça ne fait qu'une petite quinzaine d'années que l'informatique grand public est proprement sécurisée de ce côté. :)

  • # On doit pouvoir envoyer un patch

    Posté par  . En réponse à l’entrée du suivi Tribune dans la sidebar (pull request #226). Évalué à 2 (+0/-0).

    L'avantage est qu'à présent tout le site est sur Github et que c'est plus facile à la fois pour le récupérer et proposer des modifications que du temps de Templeet. Bon, 'faut se mettre au Ruby On Rails, mais à part ça, récupérer le backend de la Tribune et l'intégrer dans une boîte en s'inspirant des modules existants doit être raisonnablement envisageable.

    J'ai une version du site qui tourne actuellement sur ma machine (ce qui n'a pas été facile). Ça devrait être intéressant de se pencher dessus.

  • [^] # Re: Elles le font toute

    Posté par  . En réponse au message Cherche distribution gérant 2 écrans. Évalué à 4.

    L'outil de configuration nvidia nvidia-settings installé avec le pilote propose cela de manière graphique, mais il remplit visiblement les mêmes fonctions que xranr. Je ne sais pas s'il l'appelle en arrière-plan ou s'il passe directement par des appels système mais pour ces fonctionnalités là au moins, ce n'est sûrement pas une spécificité de la carte.

    Après, il faut voir le gestionnaire de bureau que tu utilises.

    Personnellement, j'ai un écran un 1680×1050 branché en DVI et j'ai pu y adjoindre un vieux DELL E172FP en VGA et en 1280×1024. C'est presque plus sympa qu'avoir deux fois le même moniteur, parce que le petit me sert vraiment de « moniteur auxiliaire » et que ça me permet de voir le rendu de certains éléments graphiques sur des moniteurs de moins bonne qualité (genre les aplats purement gris style #808080 qui ressortent bleutés sur les vieux LCD, ainsi que leur attitude face aux redimensionnements).

    Je suis actuellement sous GNOME 3 et gnome-tweak-tool permet de régler facilement les petits détails de haut niveau. Personnellement, j'ai placé mon moniteur principal bien en face de moi, le second moniteur à droite du premier et j'ai choisi de n'activer les bureaux virtuels que sur le principal. Du coup, celui de droite me sert successivement à regarder défiler les logs ou les sorties de debug, à faire tourner des vidéos Youtube pendant que je travaille (utile pour regarder des conférences où l'audio est le plus important et où l'image ne sert qu'à présenter des graphiques ponctuels), etc. C'est aussi très utile s'en servir comme « presse-papier » : certes, passer une fenêtre d'un bureau à l'autre est trivial depuis longtemps et l'overview permet de faire cela visuellement mais là, on peut facilement faire glisser sa fenêtre sur le côté, choisir tranquillement son espace, et l'y ramener.

    Et enfin, l'espace ainsi composé est continu et me permet d'étendre une fenêtre à cheval sur les deux écrans, mais une maximisation de ladite fenêtre me la maximise uniquement sur l'écran ou se trouve le pointeur, ce qui est exactement ce qu'il me fallait. Et avec ça, les demi-écrans fonctionnent toujours (maximisation de la fenêtre sur la partie gauche ou droite de l'écran uniquement, utile sur les écrans au format A3) sur les deux parties des deux écrans.

  • [^] # Re: Attention aux risques d'incendie !

    Posté par  . En réponse au journal J'ai acheté une imprimante 3D (presque open source) à 150€. Évalué à 6.

    Comme il n'est pas non plus possible de rester parfois des dizaines d'heures à leur chevet, il convient dès lors de faire très attention et d'adopter de bonnes pratiques et mesures afin de limiter les risques et leurs effets (ce qui nécessite souvent de remplacer des pièces, voire d'ajouter des systèmes de refroidissement, et de prendre un soin particulier au positionnement de l'imprimante et des objets qui l'entourent).

    J'ajouterais même : installer un détecteur de fumée à l'aplomb de la machine. Étant donné les dernières législations, ils sont devenus à la fois abordables et faciles à trouver. Donc…