BARTHEL Patrick a écrit 12 commentaires

  • [^] # Re: Et PAM ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linux Slackware 11.0 est disponible. Évalué à 5.

    Quelques arguments alors en faveur de la slackware :

    - La facilité avec laquelle on modifie les scripts et la qualité de leurs commentaires ;

    - La non-gestion des dépendances ;

    - Un login en mode console par défaut ;

    - L'intégration de logiciels peu buggés ;

    - La mise à jour annuelle ;

    - sa simplicité d'utilisation pour les personnes qui veulent maitriser leur système sans être des gouroux de linux.

    Je sais que ces arguments peuvent être facilement démontés ; Que certains d'entres eux s'appliquent aussi à d'autres distributions etc. Mais il reste qu'à mon sens la slackware reste la meilleure distribution... du moins pour l'utilisation que je fais de mon ordinateur.
  • # format doc contre format ooo...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sun pousse pour que le format des documents OOo devienne une norme. Évalué à 2.

    ... ou pérennité du format ooo ?

    Bonjour,

    .doc versus ooo :

    Est-ce que c'est la peine que je déclare qui va vaincre ?

    Le problème n'est pas de savoir qui du format doc ou du format ooo va s'imposer comme un standard : je suppose que nous connaissons tous la réponse, un standard existe déjà de fait... Et l'entreprise à l'origine de ce standard n'en démordra pas.

    pérennité du format :

    En standardisant le format OOo, les développeurs s'assurent de l'interopérabilité des différents logiciels bureautiques qui le voudront bien. Ils empêcheront aussi un "fork" éventuel réalisé par une société commerciale au niveau de la description des pages.
  • [^] # Re: Incompatibilité de licence?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Bruce Perens appelle les développeurs d'OpenOffice.org à ne plus fournir de code à Sun. Évalué à 1.

    La question que je me pose depuis longtemps est la suivante : Ais-je vraiment besoin de tous ces raffinements algoryhmique pour réaliser mes documents ?

    Je suis enseignant dans une matière (la technologie au collège) ou il n'y a aucun livre et ou les supports d'enseignement sont aussi nombreux que les professeurs le sont. L'activité qui prend la moitié de mon temps de travail est justement de réaliser des cours. Mais malgré la complexité de mes mises en page, je n'ai pas besoin des raffinements algoryhtmiques sus-cités.

    Le minimum que je demande à un logiciel par contre, c'est de conserver la mise en page des documents version après version. Si OOo le permet (applixware le permettait aussi), ce n'est pas le cas de de microsoft Office.
  • [^] # Re: Incompatibilité de licence?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Bruce Perens appelle les développeurs d'OpenOffice.org à ne plus fournir de code à Sun. Évalué à 10.

    Bonjour,

    Applixware est loin d'avoir les qualités nécessaires ? D'où tiens-tu tes informations ?

    J'ai utilisé applixware pendant 2 ans et j'ai réussi à en faire tout ce que je voulais (rapport de 120 pages incrustés d'images mis à jour automatiquement pendant que ma femme les modifiaient sur une autre bécane entre autre).

    Applixware était génial (et là je mesure mes mots). Ce qui l'a tué, c'est son rapprochement avec gnome et un problème d'incompatibilité avec les caractères accentués dans les menus après le rapprochement.

    Le fait que la communauté libre critiquent et tirent à boulet rouge sur les projets propriétaires, même intéressants y a fait beaucoup aussi. Je me souvient de discussions houleuses sur linuxfr lorsqu'un patron de PME a demandé içi il y a quelques années si applixware pouvait lui convenir !

    32 Mo de mémoire vive recommandée, tu connais beaucoups de suites bureautiques qui se contentent de si peu ? Rappelons içi qu'Applixware était une suite venant du monde unix, donc optimisée pour la philosophie de programmation et d'utilisation unix.

    J'ajoute que openoffice est un mastodonte et je me demande si openoffice n'a pas fait plus de mal que de bien en faisant se détourner les synergies d'autres projets libres moins aboutis mais moins usine à gaz.
  • [^] # Re: Françisation de crux

    Posté par  . En réponse à la dépêche CRUX 2.0 : « orientée développement et légèreté ». Évalué à 1.

    Et les caractères accentués, tu y a accès comment sans les NLS ?
  • [^] # Re: Françisation de crux

    Posté par  . En réponse à la dépêche CRUX 2.0 : « orientée développement et légèreté ». Évalué à 5.

    Tous les environnements de bureaux sont donc en anglais (sauf ceux qui n'utilisent pas les paramètres système) ; pas de correcteur orthographique ; Les courriels avec des caractères accentués ne passent pas et on ne peut que difficilement en générer ; etc.

    Les utilisateurs avertis fuient-ils vraiment la françisation ? Moi, j'ai plus de doutes sur la réponse à cette question que toi.

    A moins que nous n'ayons pas la même définition de l'utilisateur averti.

    Pour l'utilisation que j'en fais, crux ne convient pas (et pourtant je lis l'anglais couramment). Ceci dit, il reste Arch linux, qui est bati sur les mêmes principes, l'internationalisation en plus.
  • # Françisation de crux

    Posté par  . En réponse à la dépêche CRUX 2.0 : « orientée développement et légèreté ». Évalué à 8.

    La françisation est impossible car les créateurs et mainteneurs de crux compile sans le support des langues TOUS les logiciels composants la distribution.
  • [^] # Re: Mais pourquoi?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de dRock linux 2.0.1. Évalué à 2.

    > Pour l'exemple de Apache 1.3 -> 2.0 c'est normal que la mise à jour de la config ne soit pas gérée automatiquement

    Quand un utilisateur qui découvre linux met à jour son système avec la nouvelle version de sa distribution préférée il s'attend à ce que tout fonctionne comme avant. Ce n'est pas toujours le cas. Par exemple mon écran Sony HDM A200 était reconnu par Redhat automatiquement, il ne l'est plus maintenant.

    Je trouve que dire : "Nous n'assurons pas la compatibilité d'une version sur l'autre " a l'avantage de mettre chacun en face de ses responsabilité.

    Réinstaller un système qui fonctionne n'a aucun intérêt (avis personnel) et posera des problèmes inconnus.

    Le mettre à jour demande de bien réfléchir avant pour être sûr que les logiciels utilisés continuent à fonctionner comme nous avons pris l'habitude de les voir fonctionner.

    Anecdote : J'ai un collègue qui utilise un 8086 sous dos 3 avec word perfect 5.1 pour dos. Ses travaux sont aussi bons - sinon meilleurs (au niveau présentation) que les miens sous open-office 1.1.1. Il ne voit pas l'intérêt de changer un système qu'il maîtrise parfaitement et attend que son ordinateur rende l'âme pour se poser la question d'une éventuelle mise à jour de ses logiciels...

    C'est un homme heureux :)
  • [^] # Re: Mais pourquoi?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de dRock linux 2.0.1. Évalué à 2.

    En tant que distribution, assurer la compatibilité entre les différentes versions majeures crée une augmentation importante des dépendances. Le système reste-il gérable ? La réponse des concepteurs de Rock-Linux semble être non.

    Ils semblent penser qu'en fournissant un système qui n'assure pas de compatibilité ascendante, chaque version de leur système est de plus en plus optimisé.

    Ainsi, un logiciel ne trouvant pas la bonne version d'une bibliothèque ne fonctionnera tout simplement pas plutôt que d'avoir un comportement ératique. Mais les développeurs de Rock-linux certifient que les packages dont les scripts existent dans la distribution se compilent sur la version en cours.

    dRock est généré par Rock-linux. C'est un instantané (ou une vitrine) de ce que ce dernier est capable de faire. Lorsqu'on crée une distribution cible, Rock-linux n'a aucun moyen de connaître la distribution cible précédente.
  • [^] # Re: par rapport à LFS

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de dRock linux 2.0.1. Évalué à 3.

    Rajoutons que le résultat n'est pas un système d'exploitation et des applications installés sur une partition mais une image iso qui permettra d'installer le tout où et autant de fois qu'il nous le voudrons bien.
  • [^] # Re: la réalité des établissements scolaire

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les Packs Éducatifs Libres. Évalué à 1.

    Bonjour,

    Je suis professeur en collège et j'installe l'ensemble des ordinateurs du collège. Comme j'aimerais que quelqu'un le fasse à ma place ! Il semble que se soit le cas dans tous les collèges français, en tout cas c'est le cas dans mon académie.

    J'ai installé linux il y a deux ans sur les ordinateurs du collège. J'ai désinstallé cette année linux parce que la principale qui n'y connait rien l'avait unilatéralement décidé.

    La principale force qui s'oppose à l'introduction de linux est collège c'est l'immobilisme de personnes qui parce qu'elles ne connaissent que windows ont peur de l'inconnu. Mes collègues, ma direction et la hiérarchie, même les informaticiens du rectorat doutent de la pénétration possible de linux sur le marché des stations de travail.

    L'argument de la principale a donc été de dire que si je n'étais plus là l'année prochaine, qui me remplacerais ? Et elle a raison.

    L'argument commercial que vous citez ne me semble pas avoir autant de poids que ça.
  • [^] # Re: logiciel gestion de notes

    Posté par  . En réponse à la dépêche Une journée à Linux Edu. Évalué à 1.

    Bonjour,

    Il existe un logiciel de gestion de classe (notes, cahiers de textes et site internet) nommé gestclasse. Il fonctionne sous php, apache et mysql et "pèse" moins de 200Ko.

    La gestion des notes est bien faite et suffisante pour une utilisation comme carnet de notes. Mais il faut entrer la liste des élèves et des classes à la main.

    son site est :

    http://gestclasse.free.fr/(...)

    Ce logiciel, de part sa conception basée sur des technologie "web" est compatible avec tous les systèmes d'exploitations. Il est en licence GPL et son créateur est très à l'écoute des utilisateurs.