Le site anglais ZDnet.co.uk vient de publier un dossier sur le silence qui entoure les migrations vers l'open source. En se basant sur les déclarations des acteurs de l'open source et celles de responsables de chez Microsoft, ce dossier tente d'expliquer les raisons qui poussent les organismes (publics ou privés) à rester muets sur leurs projets de migration. Ce dossier se divise en deux parties.
La première, Why open source projects are not publicised (Pourquoi les migrations vers l'open source ne sont pas rendues publiques), donne les principales explications à ce mutisme: raisons politiques, stratégiques, médiatiques...
La seconde, Open source projects: Why it pays to keep quiet (Migration open source : pourquoi il est payant de se taire), explique comment la stratégie offensive de Microsoft dissuade les organismes migrants de parler.
À l'approche de l'examen du projet de loi relatif au DADVSI, les webradios se mobilisent
Dans la perspective de l'adoption de la loi sur le Droit d'Auteur et Droits Voisins dans la Société de l'Information (DADVSI) fin décembre 2005, de nombreuses webradios montent au créneau.
Parmi les implications nombreuses à l'application de cette loi, l'obligation d'utiliser des mécanismes de DRM pour la diffusion de leurs programmes inquiètent les webradios. Les coûts de mise en place de tels mécanismes pourraient entraîner la fermeture de plusieurs webradios qui pour la plupart utilisent des solutions libres. Vingt-cinq webradios (pour l'instant) ont décidé de s'unir pour demander l'abandon de ce projet de loi.
Sous la bannière du site webradios-france.com, le mouvement vient d'être lancé. Une pétition en ligne et une sensibilisation par messages à caractère informatifs sur les antennes sont les premières actions mises en place.
Parmi les implications nombreuses à l'application de cette loi, l'obligation d'utiliser des mécanismes de DRM pour la diffusion de leurs programmes inquiètent les webradios. Les coûts de mise en place de tels mécanismes pourraient entraîner la fermeture de plusieurs webradios qui pour la plupart utilisent des solutions libres. Vingt-cinq webradios (pour l'instant) ont décidé de s'unir pour demander l'abandon de ce projet de loi.
Sous la bannière du site webradios-france.com, le mouvement vient d'être lancé. Une pétition en ligne et une sensibilisation par messages à caractère informatifs sur les antennes sont les premières actions mises en place.