Journal Open Education

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7
17
nov.
2019

Cher ‘nal

Malgré une évidente cabale contre moi (Un journal à peine pertinenté 5 fois, un lien sur un sujet consensuel qui est moinssé abondamment. J’attends de pied ferme celui qui argumentera l’absence de cabale de manière rationnelle et sourcée), j’ai de nouveau envie de t’écrire sur le lien entre libre et enseignement.

Cette fois-ci, je suis tombé sur un document intitulé Open Education Quelques clés pour s’en emparer publié par le Louvain Learning Lab. Le Louvain Learning Lab a pour mission d’aider d’un point de vue pédagogique le personnel enseignant de l’UCLouvain, une université du beau royaume de Belgique.

Des ressources

Une lecture attentive permettra déjà d’en sortir avec une série de ressources pas inintéressantes niveau enseignement.

Des MOOCs

Comme ressource, il y a une liste de sites de MOOC dont certains pas forcément connus. Pour certains, c’est normal. Par exemple, je ne suis (bien heureusement pour moi) pas dans le coeur de cible de kiron qui visent à aider des réfugiés (N.B. même sans être réfugiés, vous pourriez être intéressés par kiron pour pourquoi pas les soutenir d’une manière ou d’une autre). Par contre, je suis bien content d’avoir découvert entre autres Futur Learn ou EDUlib. Bon, pour les MOOCs en arabe en chinois, je passe mon tour.

Autre resource : une série de sites proposant des OER.

Des OER ?

Des open educational ressources ! Ce sont donc des ressources pédagogiques diffusées par internet. Tous les niveaux d’études sont a priori concernés. Les entrés les plus naturelles dans ce monde sont sans doute OERcommons et Merlot.
Deux déceptions quand même par rapport aux OER. Premièrement, j’ai pas encore réussi à faire des recherches vraiment efficaces. À chaque fois que j’ai utilisé OERcommons, je me suis tapé la lecture de longs résultats de recherche avec quelques ressources vraiment intéressantes mais aussi beaucoup de choses qui ne m’intéressaient pas du tout. Deuxième bémol, it’s better if you (and your students) speak English. Très très peu de ressources en français :-(

Pour la langue, cela reste l’anglais mais pour trouver des manuels libres qui ont l'air bien foutu, openstax semble un site très intéressant.

Pas de lien avec le libre

Il n’y a pas (si j’ai bien lu) de références explicitent au libre informatique. Pas de références aux libertés mêmes s’il y a clairement des similitudes avec les 5R des OER (retenir, réutiliser, réviser, remixer et redistribuer).

En fait, historiquement, ils font remonter l’open education bien plus loin dans le temps que l’apparition du libre en informatique (et en fait de l’informatique tout court). En même temps, il mentionne un essor important avec l’apparition d’internet.

Finalement, différence me semble-t-il avec le libre en informatique c’est que l’open education se départit très rarement de l’idée de solidarité avec les moins chanceux ce qui n’est pas autant le cas dans le libre en informatique.

Allez, je te laisse, je vais découvrir les nombreuses autres ressources proposées sous forme de QR code comme cette video.

  • # Mais encore...

    Posté par  . Évalué à 6.

    Y a-t-il un sujet particulier dans ces moocs que tu as particulièrement apprécié ?
    Saurais-tu nous faire vivre la découverte d'un sujet qui t'a particulièrement accroché ?
    Un truc sur la blockchain, le deep learning, le DevOps mindset hors IT ou la découverte des amériques par Christophe Colomb ?

    • [^] # Re: Mais encore...

      Posté par  (Mastodon) . Évalué à 3. Dernière modification le 17 novembre 2019 à 22:17.

      En tant qu'enseignant et en tant que consommateur de MOOCs, simplement en connaître des nouveaux me paraît déjà intéressant.
      Néanmoins, je retiens l'idée pour le futur de parler de quelques MOOCs intéressants pour eux-mêmes.
      J'avais commencé en te répondant mais je me rends compte que cela mérite un peu plus de temps de rédaction.

      Surtout, ne pas tout prendre au sérieux !

  • # MOOC, pire forme d'éducation

    Posté par  . Évalué à 10. Dernière modification le 17 novembre 2019 à 14:07.

    L'initiative de parler des MOOCs est louable et éduquer les gens c'est important mais il faudrait aussi expliquer que les MOOCs ça ne marche pas très bien. On parle d'une méthode d'éducation avec des taux d'abandon stratosphériques (90%), pas motivante et rarement interactive. Autrement dit, c'est gratuit donc ne vous attendez pas à un contenu captivant et motivant. Pire, j'ai le sentiment que c'est au final pensé comme un moyen d'éducation au rabais, parce que pour les pauvres, ceux qui ne peuvent pas se permettre d'arrêter de travailler 2 ans pour obtenir un diplôme. Et s'ils n'y arrivent pas, ça n'est pas parce que la formation ou la méthode est mauvaise mais parce qu'ils ne sont pas assez motivés, ne travaillent pas assez. On ne parle clairement pas ici d'un manager qui va arrêter de bosser 2 ans pour se payer une formation de DSI à l'ESSEC pour 1 ou 2 ans et une dizaine de milliers d'euros. mais d'une personne qui au mieux travaille 35H par semaine et va prendre sur son temps libre et donc moins se détendre, passer moins de temps avec sa famille et ses amis, moins se reposer.

    Bref, j'ai du mal à croire à ce fantasme qu'en laissant traîner des trucs vaguement éducatifs à terre, même avec beaucoup de bonne volonté, que des gens se forment magiquement à des métiers. Et je pense que tout cet investissement serait mieux dépensé à former les gens pour de vrai, avec des universités fonctionnelles, un budget solide pour le CNAM, bref des vraies formations avec des vrais formateurs et des vraies interactions humaines, des méthodes qui marchent et produisent des milliers de diplômes chaque année.
    J'ai principalement parlé du public mais les MOOCs internes aux entreprises ont exactement les mêmes travers, selon moi. C'est un genre de MOOC-washing pour donner l'illusion que l'entreprise propose des formations internes, exactement ce que les ESN (Entreprises de Service du Numérique, ex SSII) affectionnent.

    Quelques refs :
    - MOOC: ce que les taux d’abandon signifient
    - Le MOOC est-il vraiment l’avenir de l’université ?

    • [^] # Re: MOOC, pire forme d'éducation

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 9.

      Concernant les rares MOOC que j'ai vus, grosso modo, c'est du cours magistral, ni plus ni moins, même s'il y a de la mise en scène. Bref, c'est une forme d'enseignement vieillie et complètement dépassée habillée des habits neufs de la technologie.
      Il manque, en effet, tout un système d'interactions qui permettent de vérifier que le cours est assimilé. Entre une vidéo et un bouquin, le bouquin reste, souvent, préférable : on le lit à son rythme, on peut revenir en arrière ou avancer plus facilement que dans une vidéo. On peut piocher des extraits.
      D'ailleurs, la grande vague des MOOC est complètement derrière nous.

      « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

      • [^] # Re: MOOC, pire forme d'éducation

        Posté par  . Évalué à 10.

        Concernant les rares MOOC que j'ai vus, grosso modo, c'est du cours magistral, ni plus ni moins, même s'il y a de la mise en scène. Bref, c'est une forme d'enseignement vieillie et complètement dépassée habillée des habits neufs de la technologie.

        Pourquoi tant de haine envers les cours magistraux? Il s'agit d'une manière éprouvée de transmettre des connaissances qui a fait ses preuves pendant des siècles, je trouve ça assez prétentieux de les écarter d'un revers de la main sous prétexte que c'est une forme d'enseignement ancienne.

        Suivre un cours magistral demande en effet un certain nombre de compétences : prise de note, concentration, motivation, travail personnel à côté du cours pour combler les lacunes sur les bases et répondre aux questions de curiosité. Mais le cours magistral reste d'une efficacité redoutable : excellent ratio élèves/maître, grosse densité d'informations, couverture cohérente et exhaustive d'un sujet à chaque cours, accès possible à des enseignants de grande qualité.

        J'observe avec pas mal de tristesse un changement de paradigme sur la qualité de l'enseignement ; non seulement mettre l'accent sur la forme dessert forcément le fond (on le voit pas mal sur les fameuses vidéo Youtube, qui sont très distrayantes,fabriquées par des communicants, mais qui contiennent souvent des erreurs ou approximations, et qui ne vont jamais dans le fond des choses ou les détails techniques), mais surtout, on reproche aux enseignants l'incompétence de leur public à faire la seule chose qu'ils sont censés faire en cours : écouter et apprendre. Un cours chiant, ça reste un cours. Pourquoi faudrait-il veiller à satisfaire un public qui ne sait pas s'asseoir et écouter même quand il n'y a pas un rebondissement ou un effet visuel toutes les 30 secondes? Un cours d'amphi, ce n'est pas de la télé réalité, après tout. Cette boulimie de forme amène à des absurdités comme les TED Talks ou les présentations de style «ma thèse en 180 secondes», comme si s'adresser à un public érudit et intéressé était devenu impossible, et que le règne du spectacle avait aussi infecté le monde académique.

        Il ne faut pas se le cacher, il y a un risque sérieux qu'une idéologie de classe se profile derrière ça. Aux pauvres (d'esprit) les TED talks et les formations Disney superficielles qui donnent l'impression de connaitre des concepts, afin de réserver la formation réelle (la vraie, avec des formules, des détails, des questions ouvertes) à une "élite" qui occupera les postes qui ne sont pas des bullshit jobs.

        • [^] # Re: MOOC, pire forme d'éducation

          Posté par  . Évalué à 2.

          Cette boulimie de forme amène à des absurdités comme les TED Talks ou les présentations de style «ma thèse en 180 secondes»

          Pourquoi tant de haine envers les cours TED et MT180 ?

          Je doute fort que les gens qui ont imaginé TED(x) se soient dit que ça va permettre de faire une société organisée en castes.

          comme si s'adresser à un public érudit et intéressé était devenu impossible, et que le règne du spectacle avait aussi infecté le monde académique.

          Justement MT180 ne s'adresse pas (forcément) à un public érudit. Il a pour but de faire la promotion de la recherche au grand public (érudit ou pas).

          Et c'est différent d'écouter 10 résumés de thèse expliquées en 3 minutes (dont on se doute que c'est une présentation partielle de la thèse, le public n'est pas idiot non plus) et de trouver le temps, d'écouter 10 conférences de plusieurs heures sur les 10 thèses en question. Ça ne nécessite pas forcément le même investissement, la même disponibilité. Et si on se rend compte que finalement la thèse ne nous intéresse pas, c'est trop tard.

          Par ailleurs je ne vois pas très bien le rapport entre un cours magistral (le début de la conversation) et les conférences TED.

          Les deux notions sont proches, mais il y a des différences. Une conférence est souvent unique, de temps variable, et peuvent parler de pratiquement tout. Un cours magistral est souvent plus étalé dans le temps sur plusieurs séances, à une durée définie (souvent 1h, plus rarement 1h30 ou 2h), aborde le plus souvent un sujet académique et s'adresse à un auditoire le plus souvent défini (il y a des exceptions, comme les cours du collège de France). Un cours magistral va d'un sachant à des apprenants (professeurs -> élèves), une conférence peut en faire de même ou être un exposé d'un spécialiste à ses pairs, ou quelqu'un qui raconte une tranche de vie…

          Du coup je ne comprends pas pourquoi tu opposes ses notions. Cours magistraux, MOOC, conférences (TED(x) ou autre), MT180, on pourrait rajouter documentaires TV, chaînes youtube de vulgarisation, etc. s'adressent à des publics différents. Et une même personne peut-être consommatrice de plusieurs de ces formats.

          • [^] # Re: MOOC, pire forme d'éducation

            Posté par  . Évalué à 8.

            Pourquoi tant de haine envers les cours TED et MT180 ?

            Parce que ça transforme la connaissance en un bien markettable comme un autre. Le but n'est pas de présenter une thèse intéressante, c'est de faire une présentation intéressante. Le fond n'a aucune importance, c'est seulement une question de forme.

            MT180, c'est un casting TV, une sorte de danse avec les stars version étudiante. C'est pas grave, il y a tellement le temps de se livrer à de telles pitreries pendant la thèse, la science attendra…

            Par ailleurs je ne vois pas très bien le rapport entre un cours magistral (le début de la conversation) et les conférences TED.

            Le rapport, c'est que si le public attend des confs TED-like et que le prof se pointe et fait un vrai cours, les téléphones portables vont sortir et Facebook va chauffer. Ça ne serait pas grave si au final, tout le monde considérait que ces étudiants sont des veaux, qu'on leur a donné la chance d'apprendre des choses, et qu'ils ne l'ont pas saisie. Le problème, c'est que maintenant, c'est de la faute du prof : il ne fait pas de blagues, il ne fait monter personne sur scène, on reste deux heures à prendre des notes, c'est chiant, etc.

            On a formé des générations de scientifiques brillants avec des cours chiants; qu'est-ce qu'on va former avec des TED talks?

    • [^] # Re: MOOC, pire forme d'éducation

      Posté par  . Évalué à 0.

      Une connaissance qui enseigne m'a dit que l'enseignement, c'est du partage, de l'affectif. Sans amour, ça ne marche pas. Donc tout ce qui enseignement à distance ne peut pas bien marcher et n'a d'ailleurs jamais bien marché.

    • [^] # Re: MOOC, pire forme d'éducation

      Posté par  (Mastodon) . Évalué à 3.

      Mille fois d’accord pour dire que les MOOCs ont leur limites et qu’elles ne sont pas négligeables. Clairement, par rapport à la révolution qui était promise, on peut être déçu. Cependant, de là à dire que c’est la pire forme d’enseignement.

      Comme indiqué dans la première référence que tu donnes, on ne doit pas trop vite tirer des conclusions sur les taux de réussite des MOOCs vu la facilité et l’absence de coût pour s’inscrire.

      Pour moi, en tant qu’apprenant, les MOOCs m’ont pas mal apportés. Je ne suis pas dans le coeur de cible du MOOC comme démocratisation de l’enseignement vu que je suis bac+beaucoup. Et en fait, il semblerait que cela soit le cas de pas mal d’apprenants terminant les MOOCs d’après ce que l’on m’a dit récemment lors d’une discussion sur les MOOCs (je n’ai malheureusement pas de référence à donner sur le sujet).

      @Ysabeau, en effet, c’est souvent très magistral comme enseignement mais

      1) À choisir entre un cours magistral en auditoire ou au fond de mon canapé quand je veux, je préfères parfois l’option des habits neufs de la technologie.
      2) Pour ce qui est d’apprendre à coder, j’ai l’impression qu’il y a moyen de faire des exercices intéressants avec les moyens modernes. Pour un exemple un peu simpliste voir le Tour de Go.
      3) Certains MOOCs introduisent une dynamique et une évaluation entre pairs qui permet d’aller au-delà de la formule purement magistrale. De mémoire, c’est le cas de ce MOOC des Gobelins..

      Pour le choix MOOC versus livre, il me semble que c’est une question de goût. Par ailleurs, pour certains sujets, les vidéos sont bien plus utiles. Par exemple de nouveau ce MOOC des Gobelins.

      @InfoLibre, pour avoir discuté avec des enseignants canadiens récemment, je ne peux que m’inscrire en faux par rapport à ton affirmation selon laquelle l’enseignement à distance ne peut pas bien fonctionner. La majorité de leur étudiants travaillaient à distance. Mais ce n’était pas des MOOCs mais plutôt ce qu’aujourd’hui on appelerait des SPOCs et clairement ils travaillent la question de la relation avec les étudiants distants.

      Surtout, ne pas tout prendre au sérieux !

      • [^] # Re: MOOC, pire forme d'éducation

        Posté par  . Évalué à 3. Dernière modification le 18 novembre 2019 à 09:59.

        Comme indiqué dans la première référence que tu donnes, on ne doit pas trop vite tirer des conclusions sur les taux de réussite des MOOCs vu la facilité et l’absence de coût pour s’inscrire.

        Mais c'est justement le centre du sujet : l'absence de contrainte, et c'est cette liberté qui rend les MOOCs inefficaces, à mon sens. Une formation ça demande des contraintes. En effet, il faut mobiliser un temps exclusif et régulier pour travailler. Le meilleur moyen de le faire est d'avoir des cours toute la semaine sur un lieu dédié avec peu de distractions. C'est contraignant, mais ça fait partie de la démarche, par l'implication. Les seules personnes que j'ai vu réussir en étude au CNAM se déplaçaient très régulièrement sur place, ont déménagé loin de leur femme/famille/etc… bref, on en revient selon moi toujours à la contrainte de présence, pour une interaction optimale et assurer qu'on alloue le temps nécessaire à l'apprentissage.

        2) Pour ce qui est d’apprendre à coder, j’ai l’impression qu’il y a moyen de faire des exercices intéressants avec les moyens modernes. Pour un exemple un peu simpliste voir le Tour de Go.

        Je souhaite différencier entre une formation complète à un métier et une compétence supplémentaire. On peut grosso modo apprendre à écrire du Java à peu près fonctionnel en deux mois. Mais ça ne fera pas de vous un développeur chevronné, vous ne connaîtrez pas les design patterns, ou alors pas les tests unitaires ou pas l'injection de dépendances. Donc apprendre une compétence en plus pour son métier et apprendre un métier sont deux choses totalement différentes. Je suis convaincu qu'on peut apprendre certaines compétences avec des livres ou des MOOCs, clairement, mais pour apprendre un métier totalement, ça me semble inadapté.

        Pour le choix MOOC versus livre, il me semble que c’est une question de goût. Par ailleurs, pour certains sujets, les vidéos sont bien plus utiles. Par exemple de nouveau ce MOOC des Gobelins.

        Tout à fait. Ça dépend des gens et du sujet. Je trouve que les vidéos et Powerpoint sont complètement inefficaces pour quasiment tous les sujets informatiques, sauf juste de la vulgarisation. Entre autres, c'est parce qu'on ne peut pas faire de copier-coller de code montré dans une vidéo et parce que le rythme est forcément dicté par la vidéo, alors qu'un texte peut être parcouru à la vitesse où on veut.

        @InfoLibre, pour avoir discuté avec des enseignants canadiens récemment, je ne peux que m’inscrire en faux par rapport à ton affirmation selon laquelle l’enseignement à distance ne peut pas bien fonctionner. La majorité de leur étudiants travaillaient à distance. Mais ce n’était pas des MOOCs mais plutôt ce qu’aujourd’hui on appelerait des SPOCs et clairement ils travaillent la question de la relation avec les étudiants distants.

        Intéressant.

      • [^] # Re: MOOC, pire forme d'éducation

        Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 5.

        Comme le fait remarquer Damaki, l’absence de contrainte est plus un frein qu’une qualité pour les MOOC, il faut une motivation très forte pour rester devant (passivement) quand on n’y est pas contraint, ou alors un cours d’une exceptionnelle qualité et là…

        Par ailleurs, même dans un cours magistral, en présentiel, on peut (on doit) rester à l’écoute du public et donc moduler le cours en fonction de ce qu’on perçoit de la compréhension ou de l’intérêt des personnes présentes (je sais, tout le monde ne le fait pas, j’ai eu un prof d’histoire qui m’a délivré exactement le même cours que celui qui qu’il avait délivré à un de mes oncles douze ans auparavant, couleur jaunie du papier sur lequel il lisait son cours à l’appui). Dans un MOOC, c’est impossible. On perd pas mal de gens comme cela.

        Tout le problème, je rejoins complètement aussi Damaki là-dessus, c’est qu’à un moment donné, les MOOCs en particulier et tout ce qui concerne l’elearning en général a été vanté comme la révolution en matière d’apprentissage. Sauf que, si cela peut être un outil d’apprentissage, il ne saurait remplacer le présentiel « réel » (les personnes sur place) ou « virtuel » (webcams et assimilés, avec des possibilités d’échanges comme dans une salle de cours) et, surtout, souvent, ces outils sont mal fichus.

        Je me souviens d’un salon sur l’elearning où un commercial d’une boite de solution elearning m’avait expliqué « vous mettez vos cours (le texte des cours) en ligne ». Mais, en fait ça ne peut pas marcher comme ça. Il faut concevoir le cours pour le support en tenant compte du fait que les personnes n’ont pas la capacité de demander des précisions ni de poser des questions, ce qui, en cours est évident. Comme, par ailleurs, il y a des personnes plus à l’aise que d’autres avec l’écriture (je parle côté enseignement, formation) et qu’il y a, finalement, peu de ces personnes qui sachent réellement utiliser les outils de production de l’écrit en fonction desdits outils. À savoir grosso modo, un outil de présentation n’est pas un outil pour un support de cours, sauf s’il s’agit d’une formation sur ledit outil. On a donc, souvent, des documents peu satisfaisants et peu efficaces.

        Oui, bien sur, l’enseignement à distance est une formidable et efficace opportunité, à condition qu’il y ait des vrais gens derrière.

        Et aussi un MOOC comme outil pédagogique complémentaire, oui, pourquoi pas. Cela peut même être extrêmement efficace si c’est bien intégré (et que le MOOC est bien fait). Mais laisser tout seul les personnes devant leur écran n’est pas ce qui va aider la plupart des gens (dans laquelle je m’inclus soit dit en passant).

        « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

  • # La Cabale? On a la même, je crois!

    Posté par  . Évalué à 1.

    Après pas moins de 8 paragraphes sans fautes, ~678 mots, ~4200 caractères, 6 tags, 22 liens, 1 lancer de troll, 8 notes de bas de journal dont une récursive, me retrouver à une note de 10 et 0 commentaire, ça fait mal! Si ça c'est pas une preuve de l'existence de la Cabale linuxfrienne bien pensante, je sais pas ce qu'il faut alors…

    On pourrait même en faire une chanson, par ex. de Borges Çagrens:

    La Cabale, qui ne m'a jamais pardonné
    de lui avoir remis du Drupal sous le nez,
    me poursuit d'un zèle déplorable.
    Alors cerné de près par tant d'indifférence,
    j'ai cru bon pour karma de réécrire, le coeur' rance,
    de me fendre d'un autre journal…

  • # Challenge accepted

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 10. Dernière modification le 17 novembre 2019 à 19:13.

    Malgré une évidente cabale contre moi (Un journal à peine pertinenté 5 fois, un lien sur un sujet consensuel qui est moinssé abondamment. J’attends de pied ferme celui qui argumentera l’absence de cabale de manière rationnelle et sourcée), j’ai de nouveau envie de t’écrire sur le lien entre libre et enseignement.

    Que ce paragraphe soit du premier ou du second degré, tachons d'y répondre. À voir les notes de tes derniers/récents contenus (pour les précédents journaux, actuellement 5, 34, 26 par ordre antechronologique, et 0 et 4 pour les deux derniers et uniques liens), j'imagine que l'on peut se restreindre aux trois notés <=5.

    Côté commentaires, depuis début octobre (moyenne 3,6 et médiane 2) :

    +-----+-------+
    | cnt | score |
    +-----+-------+
    |   1 |    -3 |
    |   3 |     1 |
    |   5 |     2 |
    |   2 |     3 |
    |   2 |     4 |
    |   1 |     5 |
    |   1 |     6 |
    |   1 |     7 |
    |   1 |     9 |
    |   1 |    13 |
    +-----+-------+
    

    OK, il n'y a pas de drame à première vue sur le score final. Regardons la répartition des notes :

    1790088 -3 (+4/-8)
    1789877 1 (+0/-0)
    1789759 2 (+1/-0)
    1789654 2 (+1/-0)
    1789590 1 (+0/-0)
    1789588 7 (+7/-1)
    1789586 2 (+1/-0)
    1789383 5 (+4/-0)
    1789140 1 (+0/-0)
    1789136 2 (+1/-0)
    1789134 3 (+2/-0)
    1788879 2 (+1/-0)
    1788195 9 (+8/-0)
    1788194 10 (+12/-0)
    1788128 3 (+2/-0)
    1787504 4 (+4/-1)
    1787486 6 (+5/-0)
    ...
    

    OK ça ne saute toujours pas aux yeux qu'il y a persécution massive et collective… Ou alors on parle juste du dernier commentaire.

    (j'ai été interrompu plusieurs heures dans la réponse à ce commentaire… Les liens sont désormais notés 1 (+1 donc) et 4, et le commentaire -1 (+2 donc))

    Donc on a maintenant 38 notes sur les deux contenus et 13 sur le commentaire, soit 51 notes pour 35 comptes différents (avec des id à 4 ou 5 chiffres, ie. des "vieux" et des "jeunes", en années linuxfriennes), avec 36 pertinent et 15 inutile (une répartition habituelle).

    Répartis ainsi (des plus orientés pertinent au plus orientés inutile) :

    • 1 compte avec trois notes pertinent
    • 5 comptes avec deux notes pertinent
    • 16 comptes avec une seule note pertinent
    • 5 comptes avec deux notes, une pertinent et une inutile
    • 2 comptes avec trois notes, une pertinent et deux inutiles
    • 6 comptes avec une seule note inutile
    • 0 compte avec trois notes inutile

    On est aussi assez loin d'une persécution collective et généralisée.
    CQFD.

    • [^] # Re: Challenge accepted

      Posté par  . Évalué à 0.

      Il ya une différence entre la persécution ressentie et la persécution effective.

      Car en fait il n'y a pas de persécution sur linuxfr, juste un phénomène de rétroaction qui dépend du nombre de commentaires.

      Car au niveau du ressentit individuel, un moinssage sur 4 commentaires a plus d'impact que 40 sur 100 (quel est l'être humain qui n'est pas admin db du site, qui va s'amuser à sortir des stats sur 100 commentaires en les lisant tous, ben oui il faut aussi lire le contenu car si persécution il y a, elle est verbale).

      Mais il ne faut pas que tissac désespère, à force de poster sans moinsser il aura suffisamment de karma pour commencer un commentaire à 3 ou 4 au lieu de zéro…

    • [^] # Re: Challenge accepted

      Posté par  (Mastodon) . Évalué à 4.

      Je suis à la fois très honoré que tu prennes le temps de me répondre sur le point de la cabale et très ennuyé vu que cela retarde d’autant sur d'autres choses peut-être plus globalement utiles (comme ceci par exemple).

      En même temps, j’admire l’effort que tu sais d’avance vain parce que tu ne peux pas ignorer que
      1) Les chiffres avancés (pour peu qu’ils soient vrais vu que je n’y ai pas accès) semblent effectivement tendre à penser qu’il est inopportun d’imaginer que je puisse être victime d’une persécution collective et généralisée mais tu me fais dire des choses que je n’ai pas énoncée. Je dénonçais une cabale et non une persécution collective. Si parfois une cabale prend la forme d’une persécution collective et qu’une persécution collective peut être le symptôme d’une cabale, il est parfaitement évident et indéniable qu’une cabale peut prendre une autre forme et qu’une persécution collective peut avoir d’autres sources.
      2) Il y a les chiffres que tu dévoiles et ceux que tu caches ou au minimum que tu n’as pas dévoilé. Combien de personnes allaient pertinenter mais ne l’ont pas fait vu l’existence de la cabale ? Visiblement, la méthodologie appliquée est biaisée.
      3) Le fait qu’une personne aussi éminente que toi prenne la peine d’argumenter la non-existence de la cabale apporte la preuve irréfutable de celle-ci bien que de manière implicite, indirecte, impartiale, introvertie et infotec.

      Au demeurant (attention on s’approche sérieusement du degré 1), ta réponse m’a vraiment intéressée. Je trouve toujours cela chouette de voir un peu l’envers du décor.

      Finalement, j’en profite, au risque de passer complètement au premier degré, pour te remercier ainsi que toute l’équipe d’administration/modération du site pour votre engagement.

      Surtout, ne pas tout prendre au sérieux !

      • [^] # Re: Challenge accepted

        Posté par  (Mastodon) . Évalué à -1. Dernière modification le 18 novembre 2019 à 19:51.

        Les chiffres avancés (pour peu qu’ils soient vrais vu que je n’y ai pas accès)

        Perso je trouve ça blessant de douter de la véracité de ces chiffres. Si tu doutes un seul instant qu'il va faire autre chose qu'un extract de BdD, tu ferais vraiment mieux d'aller voir ailleurs, là où les gens te semblent réellement honnêtes.

        Au passage, Benoît n'écrit pas sous un pseudo, il met en jeu sa réputation publique à chaque fois qu'il écrit.

        En théorie, la théorie et la pratique c'est pareil. En pratique c'est pas vrai.

        • [^] # Re: Challenge accepted

          Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 6.

          Un indice :

          Au demeurant (attention on s’approche sérieusement du degré 1), ta réponse m’a vraiment intéressée. Je trouve toujours cela chouette de voir un peu l’envers du décor.

          Tout lire avant de s’offusquer est, généralement, à conseiller. Et, en fait, j’ai trouvé que Tisaac faisait une démonstration plutôt brillante de « l’esprit cabaliste » (il y a sûrement un nom pour ça, mais je ne mets pas la main dessus pour le moment, désolée). À vrai dire, ça m’a beaucoup fait rire. Et j’ai beaucoup aimé aussi la réponse de Benoit avec, notamment son introduction (prudente ?) :

          Que ce paragraphe soit du premier ou du second degré, tâchons d’y répondre.

          « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

          • [^] # Re: Challenge accepted

            Posté par  (Mastodon) . Évalué à 3.

            Oui je me suis un peu enflammé on dirait :)

            Mais ça restera valable pour les autres. Non mais.

            En théorie, la théorie et la pratique c'est pareil. En pratique c'est pas vrai.

        • [^] # Re: Challenge accepted

          Posté par  . Évalué à 2.

          Au contraire, je trouve ça sain de douter de la véracité des chiffres sur le principe.
          Le message que j'entends est plutôt: est-ce que moi, comme tous les autres, je peux aussi jouer avec ces chiffres, pour me faire ma propre opinion et manipuler ces chiffres (sans sous-entendu de manipulation de gens) d'une autre façon, notamment en comparant avec d'autres cas d'étude ?

  • # Pas de Cabale, juste un état de fait

    Posté par  . Évalué à 1.

    Ne pouvant donner un avis éclairé sur les MOOCs, je vais me contenter de commenter ton passage sur la "cabale".

    linuxfr.org est juste un site de news participatif autour de Linux / Le libre / L’open source, qui comme n’importe quel communauté aux liens autant divers que ténus ne va regarder que ce qui l’intéresse. A défaut d’une étude sociologique sur les membres du site qui participent au contenu et qui le jugent, on ne peut pas aller plus loin.

    Ce qui suit est donc une interprétation personnelle de ce que tu ressens :

    L’investissement du pouvoir de parole donné par les notes attribuées aux articles ainsi que la volonté ou non de commenter, accentuée par la note en retour desdits commentaires, tient pour moi d’un schéma qu’on peu rapprocher du "mystère du ministère" exposé par Bourdieu dans son ouvrage Ce que parler veut dire.

    Le contenu factuel des articles postés étant alors moins important pour ceux qui les notent, que la valorisation d’un système de pensée dominant qui dépend largement des acteurs du site.

    Il reste néanmoins que la "politesse" induite par le côté technique du site et le nombre de technologies visées fait qu’un participant au site ne peut pas savoir tout sur tout; ce qui induit le non-commentaire d’article au cas où l’éventuel commentateur n’a que très peu de connaissances sur le sujet traité, ou a des doutes quand à la valeur symbolique de son commentaire.

    Mais les participants étant humains malgré tout, le moinssage reste la forme hypocrite la plus facile pour faire valoir (à défaut) leur pouvoir symbolique. Moinsser sans commenter a un coût symbolique moindre et permet somme toute de se sentir exister.

    Alors quel est « le système dominant » qui orienterait la valeur des notes sur le site ?
    Je pense qu’il est fluctuant suivant les modes, avec une lourde influence du système de karma qui permet la valorisation par le postage et donc "la reconnaissance au mérite" si chère à la communauté open source.

    Pour résumer, "plus tu participes, plus tu as de pouvoir décisionnel".

    Pour finir, car j’ai envie de me faire moinsser, je rajouterais que si tu veux faire basculer linuxfr en partie de ton côté, prends une cinquantaine de personnes, fais-les poster en masse et en volume sur le sujet qui t’intéresse, puis plusser vous les uns les autres, ensuite amusez vous à moinsser quelques têtes de turc.

    • [^] # Re: Pas de Cabale, juste un état de fait

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2. Dernière modification le 18 novembre 2019 à 08:35.

      « Mais les participants étant humains malgré tout, le moinssage reste la forme hypocrite la plus facile pour faire valoir (à défaut) leur pouvoir symbolique. »

      D'après atilf, l'hypocrisie serait le « [c]aractère d'une personne qui dissimule sa véritable personnalité et affecte, le plus souvent par intérêt, des opinions, des sentiments ou des qualités qu'elle ne possède pas. Synon. dissimulation, duplicité, fausseté, fourberie, patelinage (vx). »

      Du coup votre commentaire ne serait-il pas plus juste en formulant :
      « Mais les participants étant humains malgré tout, le moinssage reste la forme hypocrite la plus facile pour faire valoir (à défaut) leur pouvoir symbolique. » ?

      N'étant pas cultivé en sciences humaines, je m'interroge encore sur le sens à donner aux termes de « pouvoir symbolique » ; opinion, avis, appréciation ou jugement en seraient-ils des équivalents valables ?

      Ceci dit, ne pourrait-on pas plutôt percevoir le premier paragraphe du journal comme une forme d'humour geignard, inscrit quelque part entre le complainte et l'auto-dérision. C'est du moins ce que laisse entendre l'hyperbole de cabale. Non ?

      « IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace

      • [^] # Re: Pas de Cabale, juste un état de fait

        Posté par  . Évalué à 1.

        En reprenant votre (vous me vouvoyez, je vous vouvoie) réponse de bas en haut :

        Si j'ai répondu a tissac, c'est que j'ai jugé la partie "cabale" de son commentaire comme énoncée au premier degré; il semble que Benoît Sibaud ait agi de même, la réponse de tissac me fait dire que son post n'était qu'à moitié "second degré".

        Bourdieu pose la parole au sein d'un groupe social comme un capital symbolique (donc non matériel) qui aide l'individu à renforcer, maintenir ou affirmer sa position dans ce groupe. L'opinion et l'avis n'étant donné qu'en rapport (plus ou moins, car il ne faut pas non plus nier l'objectivité d'un commentaire) avec ce capital.

        J'ai effectivement utilisé le mot hypocrite mal à propos, j'aurais dû utiliser "la forme la plus petite et facile". Quoique l'idée de duplicité dans un moinssage par une personne qui ne connaît rien du sujet moinssé puisse être tout à fait valable.

        • [^] # Re: Pas de Cabale, juste un état de fait

          Posté par  . Évalué à 8. Dernière modification le 18 novembre 2019 à 10:46.

          pourquoi qu' à moitié second degré ? ça me semble être complétement du second degré, le fait qu'il mette le lien https://linuxfr.org/wiki/cabale, enlève tous les doutes qu'il pourrait y avoir, non ?

          ou même une phrase comme celle ci :

          Le fait qu’une personne aussi éminente que toi prenne la peine d’argumenter la non-existence de la cabale apporte la preuve irréfutable de celle-ci bien que de manière implicite, indirecte, impartiale, introvertie et infotec.

          comment peut-on penser que c'est du premier degré ?

      • [^] # Re: Pas de Cabale, juste un état de fait

        Posté par  . Évalué à 5.

        Ceci dit, ne pourrait-on pas plutôt percevoir le premier paragraphe du journal comme une forme d'humour geignard, inscrit quelque part entre le complainte et l'auto-dérision. C'est du moins ce que laisse entendre l'hyperbole de cabale. Non ?

        Je l'ai interprété de la même manière, mais je suis beaucoup moins bienveillant que toi sur les conséquences. Techniquement, ce que tu décris, c'est un comportement passif-agressif, ça met une ambiance très désagréable.

  • # Pertinent?

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

    Malgré une évidente cabale contre moi

    Rien que ça, ça ne me donne pas envie de « plusser », car ce n'est en rien pertinent. Continues à te plaindre et ta note ne remontera pas de sitôt.

    Pour le reste, je ne connais pas les MOOC, je ne m'y suis jamais trop intéressé parce que je ne suis pas attiré par le concept. J'aime bien avoir directement accès à l'information dont j'ai besoin (wiki, documentation, posts de blog, livre…).

    Un LUG en Lorraine : https://enunclic-cappel.fr

  • # Le second degré, c'est pas évident

    Posté par  . Évalué à 3.

    Au vu du nombre de commentaires qui prennent le terme cabale au premier degré, je me permets humblement de suggérer d'éditer le post pour que le terme de cabale renvoie vers l'entrée correspondante du kiwi.

    Comme ça il n'y aura plus aucune excuse pour se faire avoir :P.

    Ça, ce sont les sources. Le mouton que tu veux est dedans.

  • # Finalement, je me suis inscrite à deux MOOC... (cabale ?)

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 6.

    Je retente un essai, du coup les liens donnés par Tisaac m'ont ouvert des portes. On verra si je les laisse ouvertes. Je me suis inscrite à un MOOC sur l'accessibilité numérique et un autre sur le Bash.

    Voilà.

    (sûrement le résultat d'une cabale visant à me faire retenter l'aventure des MOOC, je ne vois pas d'autre explication irrationnelle)

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

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