Romain Be. a écrit 140 commentaires

  • [^] # Re: Illégal

    Posté par  . En réponse au journal OVNI et ARTE. Évalué à 1.

    Tout dépend en fait, comme un logiciel, du régime de droit sous lequel on choisit de placer le reportage..
  • # VLC!

    Posté par  . En réponse au message codec divx. Évalué à 1.

    Pour lire et créer des fichiers video, je te conseille videolan - http://www.videolan.org/vlc/(...) .

    Sa syntaxe est pe un peu difficile, mais il est très efficace.

    Sinon, il faut aller voir du coté du fameux mplayer/mencoder et de sa tripotée de codecs.

    Tu trouveras aussi pas mal de front ends graphiques pour mencoder si tu cherches...

    Bon courage!!

    Romain
  • [^] # Re: Illégal

    Posté par  . En réponse au journal OVNI et ARTE. Évalué à 3. Dernière modification le 06 février 2018 à 19:38.

    Hum….

    En fait la limite est floue entre légal et pas légal.

    Tout dépend de la présentation qui est faite:

    -- Soit il y a un lien public, et alors seul ARTE possède ce droit.. et encore j'en suis même pas sur..

    -- Soit il demande une communication à titre privé du documentaire et alors il est dans son droit.

    En effet, la loi est ainsi faite: la copie privée est privée par son utilisation pas par son origine..

    Donc, si je copie le film de mon pote juste pour moi sans en faire la publication privée, et sans en faire de projection payante ou en dehors du cercle 'familial', alors je suis dans mon droit.

    En tout état de cause, ce journal n'est pas - encore - illégal.

    Romain

    PS: http://www.foruminternet.org/documents/jurisprudence/lire.phtml?id=875

  • [^] # Re: Décidément

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nouveau rebondissement dans l'affaire du pilote PWC. Évalué à 9.

    > nan, le constructeur malin, il developpe pour windows et il renvoie chier les linuxiens. Le jour ou linux atteint un seuil critique, il libere son pilote, laisse les devel du libre
    > le porter et colle ensuite un logo linux friendly sur ses boites.
    > tout benef pour pas cher.

    Vous êtes trop marrant à diaboliser les constructeurs.
    Certes ils font pas toujours le meilleur boulot, mais la première chose à faire si vous voulez un jour une meilleure intégration des périphériques dans linux c'est bien de commencer par les considerer commes des éventuels partenaires et non comme des traitres à la solde de Windaube.

    Ensuite, contrairement aux votes et moinssages, je suis désolé mais il y a quand même un certain nombres d'utilisateurs desktop linux que ça saoule de pas avoir de bon systeme de video conf compatible avec le monde windows. G mm du faire un vilain hack au driver de ma webcam pour pouvoir l'utiliser ds v4l...

    D'autre part, vous n'imaginez pas l'effet sur mes corespondants MSN windaube qd je leur dit le classique 'non dsl je px pas faire de video là chuis ss linux et g pas le tps de tt configurer...".

    Bref, soi on accepte clairement que linux reste un system perché reservé aux initiées qui font tout en console ss emacs, soit on veut ouvrir le système à d'autres utilisateurs et alors il faut penser aussi à leurs besoins, qu'ils soient constructeurs ou consommateurs.

    Romain
  • [^] # Re: Et les pref?

    Posté par  . En réponse au message [Debian] Xorg & KDE sous debian sid/sarge. Évalué à 2.

    C'est vrai..
    Mais je sais pas faire ;)

    Ya une astuce dessus?

    Sinon tu pourais en faire une?

    Romain
  • # J'ai reussi!

    Posté par  . En réponse au message Mot de passes md5 MySQL vs /etc/shadow. Évalué à 2.

    Bon, apres pas mal de --help de man et de google, j'ai reussi a faire unifier les logins du site php/mysql avec ceux du systeme.

    Si ca interesse qq1 je peux faire un tuto..

    R
  • [^] # Re: kwin ?

    Posté par  . En réponse au message [Debian] Xorg & KDE sous debian sid/sarge. Évalué à 2.

    Ben avec le kwin du backport d'au dessus j'avais pas les ombres etc..
    Après je me suis pe planté..

    Romain
  • [^] # Re: L'espoir vient d'ailleurs...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Avancée des logiciels libres au Vénézuela. Évalué à 2.

    En fait ct pas un reportage ARTE.
    Même qu'il fait boule de neige (pe un peu trop à mon goût.. mais bon c la bonne parole ;) )

    Le lien - je viens de le découvrir -:
    http://www.chavezthefilm.com/(...)


    Romain
  • [^] # Re: L'espoir vient d'ailleurs...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Avancée des logiciels libres au Vénézuela. Évalué à 5.

    > (sachant qu'il y a déja financé un coup d'état)

    A ce propos, pour ajouter à la liste de documents, voir l'incroyable reportage d'ARTE "The Revolution Will Not Be Televised".

    Ils étaient tout simplement en train de faire un reportage sur Chavez lors de ce coup d'état en 2002.
    Le résultat est un document d'histoire, une vue de l'intérieur, depuis le palais présidentiel et la rue d'un coup d'état et des manipulations des médias.
    A voir!


    Romain
  • [^] # Re: Droit d'auteur

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quelques réflexions autour des brevets logiciels. Évalué à 1.

    > Oui, commences par dire que ceux qui n'ont pas ton avis sont de vils gens qui sont pour l'OEB ou qui répètent sa prose. Ca
    > calera bien les choses, même si ça ne renforce en rien ce que tu dis.
    (..)
    > Mais c'est peut être toi qui n'y as pas beaucoup réfléchit seul.

    Tu as beau t'énerver, ce que je peux comprendre, le résultat est le même et l'auteur du message précèdent à totalement raison:
    En effet la mise ne oeuvre d'un algorithme dans un ordinateur ne constitue en rien une innovation, puisque ledit algorithme a bien été concu pour s'executer..
    On peut à la limite affirmer que c'est sa transposition dans un domaine particulier, comme la transformée de Fourier dans l'image ou le son qui constitue l'innovation, mais cela est le plus souvent connu dans l'état de l'art; puisque encore une fois un algorithme est conçu pour s'appliquer.

    A ce titre, tu trouveras assez facilement qur le Web un papier très officiel d'un professeur de Cambridge qui explique dans le détail comment casser le système de cryptage NagraVision - et donc canal + - sans même utiliser la fameuse clef - qui est la seule partie du procedé brevetable -.
    Quoiqu'en disent les responsables des entreprises concernées cela relève bien de la libre circulation des idées et ne saurait être interdit dans toute démocratie.
    La seule limite restant la raison d'Etat mais c'est un autre sujet...

    D'autre part, en argumentant un peu plus loin, un algorithme est une suite d'opérations élémentaire destinées à aboutir à un résultat attendu.
    En d'autre termes, un algoirthme est par essence exécutable à la main - même si cela peut durer très très longtemps...
    Autrement dit il n'est pas impossible que cela soit en oppoistion avec la nature industrielle du procedé, ce qui constitue un obstacle de taille à la brevetabilité.


    Comme je te l'ai deja dit un peu plus tôt, il faudra bien répondre sur le fond:
    En quoi breveter un logiciel, un procedé purement informatique est different de breveter de la connaissance?

    C'est en cela que ton interlocuteur provoquant disait que "ceux qui défendent ce principe n'ont pas beaucoup réfléchi" et que la parlement propose sa ligne rouge, le problème théorique est clairement en faveur de la non brevetabilité, et c'est bien sur ces sujets que nous attendons des arguments.. pour autant qu'il puisse y en avoir en faveur des brevets...

    Après il y a ceux qui veulent jouer sur les mots et faire les tautologues de la mercantilisation de la connaissance...


    Romain
  • [^] # i

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quelques réflexions autour des brevets logiciels. Évalué à 3.

    > Euh, la proposition du parlement n'a pas été acceptée et fondue dans la loi. Pour (tenter) d'éclaircir, il n'est actuellement pas
    > possible de breveter "un logiciel de décodage de compression mp3", par contre, si c'était innovant, il serait possible de breveter "un
    > système pour lire un flux de musique de taille réduite pour alléger la bande passante et la taille du stockage" et de l'implémenter
    > uniquement en logiciel.

    mouais..
    Ca me rapelle mon prof de marketing de l'innovation pour qui le but d'un lave linge n'etait pas de laver le linge mais de rendre le linge propre...
    C'est a forte tendance tautologique tout cela, et je trouve quand meme leger de se cacher derriere une nuance de sens pour justifier une contre verite qui consiste a breveter les idees: la connaissance n'appartient a personne...

    Ainsi j'ai recement etudie la compression JPEG: c'est un condense de toutes les techniques les plus connues en mathematiques, cad compression de Hoffman et transformation de Fourier.. Trouve-tu normal qu'une personne seule puisse se reclamer de toutes les applications de cette connaissance universelle dans le domaine de l'image...?
    D'autre part, dans le domaine de la compression mp3 et dans pas mal d'autres, l'innovation n'est pas l'application informatique mais bien l'outil mathematique.
    Or celui-ci est souvent tres connu et tres repandu.. et l'argument de 'nouveaute' ne tient alors plus la route.

    Sinon ton article est interessant, mais je ne crois pas qu'il soit de l'avis de tous, en particulier quand je lis:
    'A mon avis (mais ce n'est qu'un avis non testé en justice), avec les lois telles qu'elles sont dans les pays européens, on peut déjà soutenir qu'un logiciel libre est utilisé à titre expérimental par une communauté de testeurs et développeurs distribués. Le statut d'expérimental se justifie par la gratuité et la disponibilité des codes source.'
    Ceci revient-il a dire que les logiciels libres sont juste experimentaux et impropres a la production en entreprise?

    Plus generalement, cet article est pe trop pratique, et me revient jamais sur le rapport entre la raison d'etre des brevets et les logiciels dans le contexte actuel.
    Ainsi l'auteur se focalise sur le cas de logiciels libres alors que des associations comme la ffii passent leur temps a rapeller que le debat depasse largement le cadre des logiciels libres.
    Tout ceci pour dire que l'article ne traite pas la question de fond de ce qui est de la connaissance dans le logiciel, ce que le parlement a au moins le merite de tenter.


    Romain
  • [^] # Re: Et le parlement?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quelques réflexions autour des brevets logiciels. Évalué à 1.

    > Le logiciel n'est pas exclu des brevets contrairement à ce que beaucoup croient, ce sont les brevets sur le logiciel "en lui même" (et pas sur l'application et le
    > procédés) qui sont interdits.

    Je n'ai rien compris à cela.
    "Un logiciel est l'ensemble des éléments informatiques qui permettent d'assurer une tâche ou une fonction"
    Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel(...)

    Un logiciel est en soi en procédé..
    C'est pour cela que le parlement Européen présente la notion de mise en oeuvre de moyen physiques pour différencier les procédés logiciels des procédés industriels.
    En ce sens, une démonstration - un décodage de compression mp3 - n'est pas brevetable.

    > > En fait, on ne peut breveter une invention qui a été revelée par une autre personne avant.

    > Par .. une personne, toi ou un autre. Si ton invention est publique, tu as beau pouvoir en prouver la paternité, le brevet ne pourra pas être déposé.

    Sincèrement je ne vois pas l'intérêt de continuer là dessus vu que tu confond assez clairement la notion de paternité intellectuelle, incessible, et celle d'un brevet.
    Je te rappelle quand même qu'un brevet peut expirer.
    Par exemple - mauvais il va de soit puisque c'est le domaine des logiciels.. -:
    http://www.unisys.com/about__unisys/lzw(...)

    > > si tu veux protéger ton produit partout tu dois le déposer partout.

    > Certes, mais si je ne m'abuse le brevet reste non divulgué pendant un petite période, qui permet justement d'envoyer la procédure partout sans violer le principe
    > précédent.

    La c'est un peu du délire..
    Regarde ceci:
    "Les démarches que vous avez effectuées auprès de l'INPI ne protègent votre invention que sur le territoire français. Or, le succès de vos produits peut vous amener à les exporter ou à envisager de concéder des licences à des entreprises étrangères pour approvisionner des marchés que vous ne pouvez fournir vous-même. Vous avez en tous cas le souci de ne pas laisser de contrefacteurs vous frustrer de votre réussite. Vous devez alors étendre la protection de votre invention à l'étranger"
    Source: http://www.inpi.fr/front/show_rub.php?rub_id=201(...)

    -> ' Or, le succès de vos produits peut vous amener à les exporter ou à envisager de concéder des licences à des entreprises étrangères pour approvisionner des marchés que vous ne pouvez fournir vous-même'
    C'est pas un petit peu de temps ça...


    Bon moi aussi je trouve ce sujet trop trollogène et j'arrêterais ma contribution ici.
    Avant d'affirmer des choses plus ou moins abracadabrantes pe vaut-il mieux se renseigner auparavant sur son sujet.. Il y de bons site pour cela et on les trouve assez vite avec l'ami google! ;)

    Romain
  • [^] # Re: Et le parlement?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quelques réflexions autour des brevets logiciels. Évalué à 2.

    > Et là tu viens d'introduire le terme "matériel", il vient d'où ? En rien pour moi industriel n'implique "matériel". Industriel implique pour moi ici une opposition à "artisanal". Ca n'a
    > rien à voir avec le concept de matériel/immatériel.

    Ok, je n'ai pas été assez clair.
    L'invention doit pouvoir être exploitée ou utilisée dans l'industrie ou dans l'agriculture. En est exclu ce qui relève de la connaissance pure et les inventions dont une application concrète n'est pas démontrée et indiquée.

    > Non plus, la connaissance n'est pas protégée

    La connaissance n'a PAS à être protégée puisque par définition elle n'appartient à personne...
    En revanche tu as raison c'est bien la forme qui est du domaine des droits d'auteur.
    Ceci étant les brevets logiciels sont justement une atteinte à la libre circulation des idées, qui, on vient de le dire ne peuvent appartenir à qui que ce soit..


    > Là on part dans mon opinion personnelle mais l'informatique est autant intermédiaire entre l'algo et l'application industrielle que l'architecture est un intermédiaire entre la
    > mécanique et l'application industriel.

    Tout à fait!
    Et brevette-on des plans?
    On brevette les matériaux, les techniques de construction mais pas le modèle architectural.
    Pour cela on a des dépôts de modèle il me semble, comme pour les logos.
    Transposé à l'ordinateur, cela revient à pouvoir breveter les composants, la technique de fabrication mais pas le logiciel.

    > Sauf erreur de ma part c'était une idée mise en l'air par quelques uns après coup, pas ce qui a fait l'objet d'un accord au parlement. Cette formulation étant d'ailleurs > largement reconnue comme foireuse, si tu me permet l'expression.
    > Il me semble que Rocard, qui y tenait au début, propose maintenant quelque chose de beaucoup plus clair et sensé.

    Au contraire, je crois que l'idée de fond tiens toujours, en tout cas c'était le point de vue de M. Rocard dans les articles que j'ai lu récemment.
    Par exemple:
    "Notre Parlement s'en est ému. Il a beaucoup lu, travaillé et écouté. Il s'est résolu à proposer que cette ligne rouge soit le fait que la production et la mise en ½uvre du logiciel en cause requièrent ou ne requièrent pas une consommation d'énergie ou de matière appelant compensation financière directe, en dehors du travail intellectuel du créateur."
    Source: http://www.framasoft.net/article3575.html(...)


    > Si je ne m'abuse, pour déposer un brevet il ne suffit pas d'en être l'auteur, il faut qu'il n'ai jamais été diffusé. Par nature un brevet américain a déjà été diffusé aux US, il ne
    > pourra pas être redéposé en UE maintenant qu'il a été révélé.

    Non.
    En fait, on ne peut breveter une invention qui a été revelée par une autre personne avant.

    En revanche, chaque pays, donc chaque législation possède ses propres brevets, et donc si tu veux protéger ton produit partout tu dois le déposer partout.
    C'est ce qui explique que des brevets américains soient exploités en Chine où ils ne peuvent les déposer, et c'est aussi ce qui a motivé le brevet Européen, puisque qu'ilest automatiquement valable ds ts les états de l'union, ce qui est bien moins cher.

    Enfin cela montre aussi comment il est extrêmement cher pour une PME de protéger ses inventions partout..
  • # Et le parlement?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quelques réflexions autour des brevets logiciels. Évalué à 5.

    Merci pour cette tribune qui a le mérite de proposer un débat de fond.

    Cepedant, sans vouloir t'offenser, je pense que tu te trompe au sujet de la nature même des brevets et du pourquoi de leur existence.

    En effet, les brevets sons avant tout un moyen de protection des innovations du domaine de l'industrie; c'est à dire de tout ce qui recouvre la production matérielle humaine.
    Ainsi, on brevette un procedé d'extraction du nikel, ou une technique de jet d'encre par bulles.

    A l'origine un brevet doit être en lien avec une réalisation matérielle, càd la fameuse applications industrielle.

    De plus, il est tout à fait possible de redécouvrir un procedé breveté quelqu'il soit, cela c'est deja vu.


    Ensuite, ce que ne couvre pas le brevet c'est le domaine de la connaissance, c'est à dire tout ce qui à trait au pure fonctionnement de l'intelligence, comme les théorèmes mathématiques.
    Ces domaines sont couverts par le droit de la proprieté intellectuelle.

    Le problème avec l'informatique c'est que c'est un domaine intermédiaire, autant intellectuel et théorique qu'industriel.
    Ainsi, à l'époque des débuts de l'informatique, le problème des brevets ne se posait tout simplement pas puisque l'industrie du logiciel n'existait pas.
    Puis, maintenant qu'elle commence à peine à se former en vraie industrie à l'image des industries pétrolières, automobiles, etc... les brevets, comme arme de protection classique, sont la réponse des industriels.

    Cepedant, cela ne peut être tranché en noir ou blanc, et ce que tu oublies un peu dans ta tribune, c'est la position du parlement européen sur le sujet:
    Est brevetable tout logiciel qui fait appel aux forces de la nature.

    C'est un peu flou, mais en gros on peut breveter un logiciel qui detecte des napes de pétrole à l'aide de relevés, mais pas un protocole de messagerie.
    C'est sur ce point que la limite semble se former de manière juste entre brevets et droits d'auteur: pour être une invention; un logiciel, une methode, doit avoir été trouvée par l'expérience et non pouvoir être le pur fruit d'une reflexion abstraite.

    C'est exactement le cas pour un procedé d'extraction chimique.


    Enfin, pour l'argument de la protection de la recherche j'aurais deux réponses très simples:
    -- Regarde les budgets des industriels de la chimie, et comprare les sous dépensés en promotion et ceux en recherche... ya pas photo!
    -- La politique effective des industriels est de breveter à tout va par prévention.
    Cela ne protège pas la recherche mais les interets de l'entreprise.

    En clair, l'argument de la protection de la recherche ne tient pas la route.


    Pour le reste au contraire, j'ai très peur que des brevets logiciels en Europe instaurent la domination écrasante des majors américaines qui sont - comme tu le remarque - deja écrasantes, car leurs brevets deja transposables en europe auraient comme conséquence d'empecher toute SSII de pouvoir dévelloper des solutions toutes faites pour ses clients.
    Quand à savoir pourquoi il n'y a pas de grosses boites d'info en Europe rapellons quand même que l'informatique a été inventée au States et que la situation actuelle n'est que la conséquence directe de l'histoire du dévellopement de l'informatique en Europe.


    Romain
  • # Paquets foireux..

    Posté par  . En réponse au message [Debian] Bootsplash sous Debian. Évalué à 1.

    attention avec ces paquets, ils m'ont valut une bonne prise de tête l'autre jour:

    "Package: bootsplash
    (...)
    Depends: (...) , bootsplash-theme-newlinux | bootsplash-theme"

    Et:
    "Package: bootsplash-theme-matrix
    (...)
    Provides: bootsplash-theme
    Depends: bootsplash (>= 3.0.0), (...)"

    autrement dit il y a des dépendance circulaires, ce qui pose de petits problèmes à l'installation.
    En fait les dépendances devraient être bootsplash dépend de bootsplash-theme et bootsplash-theme (ce sont juste des fichiers!!) ne dépend pas de bootsplash..

    De plus, les scripts sont foireux, ne respectent pas du tout la politique debian (questions posées ds postinst etc..) et plantent à la désintalation (en tout cas ça m'a fait le coup), ce qui fait que j'ai du récuperer les sources et les bidouiller pour pouvoir m'en débarrasser...

    Tout ça pour installer le package à la main en regardant les fichiers rules et postinst...!


    Romain