totof2000 a écrit 1895 commentaires

  • [^] # Re: Ce qui m'a permis de comprendre l'algebre de boole, c'est du conctret.

    Posté par  . En réponse au message Algèbre de Bool, cherche cours/doc/mooc/tuto whatever. Évalué à 1. Dernière modification le 10 juin 2021 à 19:35.

    Operateur ET

    S=a.b

    Signifie que l'état de S dépend de l'état de a ET de l'état de B

    C'est comme si on avait deux interrupteurs en série pour allumer une lampe (note qu'en LADDER on parle plutôt de bobine mais le résultat est le même) :

    
    |      a            B                    |
    |-----| |----------| |-----------(S)-----|                                   
    |                                        |
    
    

    Quand tu observes, tu regarde que S est active (à 1) lorsque a est actif ET b est actif (a=1 et b=1).

    Si a n'est pas actif, et que b n'est pas actif, S n'est pas actif
    Si a n'est pas actif, et que b est actif, S n'est pas actif (on a toujours une coupure dans le circuit)
    Si a est actif, et que b n'est pas actif, S n'est pas actif (on a toujours une coupure dans le circuit)

    d'ou le nom d'operateur ET

  • [^] # Re: Ce qui m'a permis de comprendre l'algebre de boole, c'est du conctret.

    Posté par  . En réponse au message Algèbre de Bool, cherche cours/doc/mooc/tuto whatever. Évalué à 1.

    Come indiqué précédemment, le complément de a est ā. Leur état est lié. a=0 au repos et ā=1 au repos. lorsque a change d'état, ā change également simultanément. a=1 lorsqu'il est actif et ā=0 lorsqu'il est actif.

    On pourrait représenter ça comme deux interrupteurs, l'un en état normalement ouvert et l'autre en état normalement fermé, et les deux sont déclench's par le même bouton :

    |      a                          |
    |-----| |---------------(S1)------|
    |      |                          |
    |      ā                          |
    |-----|/|---------------(S2)------|
    |      |                          |
           |
           Ū <- Bouton
    

    Ici on a deux expression : S1=a et S2=ā. a et ā sont liés entre eux. Au repos, S1 est éteint et S2 est allumé.
    En appuyant sur le "bouton", S2 s'allume et S1 s'éteint.

  • # Il était tard ....

    Posté par  . En réponse au lien Baisse du déficit commercial de la France . Évalué à 1.

    Du coup j'ai mal choisi mon titre … j'ai pas vu que ça prête à confusion ..

  • [^] # Re: Donne moi ton mot de passe et je te dirai ton mot de passe...

    Posté par  . En réponse au lien Apparamment encore une fuite de données d'authentification. Évalué à 1.

    Au passage, Astérix légionnaire est un des albums d'Astérix que je préfère. Quasiment à chaque page il y a de quoi rire (jeux de mots dans tous les sens avec Courdetennis, la vie infernale qu'ils font mener à l'instructeur, et au cuisinier, ainsi que cette annecdote dont je ne me rappelais plus …).

  • [^] # Re: Ce qui m'a permis de comprendre l'algebre de boole, c'est du conctret.

    Posté par  . En réponse au message Algèbre de Bool, cherche cours/doc/mooc/tuto whatever. Évalué à 1. Dernière modification le 10 juin 2021 à 14:58.

    Le post précédent parlait de la représentation de a, on va parler maintenant de son complément ( ā ) ou parfois représenté par /a ( on dit a barre).

       a
    ___/|____ (suppose que | et \ sont collés)
    
    

    En ladder :

    
    ---|/|----
    
    
    

    ā est ce qu'on appelle un contact "normalement fermé). Son état est "l'inverse" (on dit plutôt le complément) de a

    Si ā=0, le circuit est fermé (si tu pousses pas sur le bouton c équivalent à un fil)

    ā = 1, le circuit est ouvert (tu pousses sur le bouton, tu enleves le fil

         / 
    ____/  |_____
    
    
    

    Ecrire S=ā signifie que l'état de S est équivalent à l'état de ā, soit l'état complémentaire de a.

    Ca peut se représeter ainsi :

    |                    |
    |____/|_______(S)____|
    |                    |
    

    Si ā = 0 (on ne l'active pas), S=1 (si c'est une lampe, elle est allumée)
    Si ā = 1 (on l'active), s= 0 (la lampe est éteinte)

    cas ou a n'est pas actionné (fermé au repos, se comporte comme un fil)

    |     ā              |
    |_____________(S)____|
    |                    |
    

    A est actionné (contact ouvert, lampe éteinte)

          ā
    |     /                 |
    |____/  |________(S)____|
    |                       |
    

    Le prochain post expliquera pourquoi on parle de "complément"

  • [^] # Re: Ce qui m'a permis de comprendre l'algebre de boole, c'est du conctret.

    Posté par  . En réponse au message Algèbre de Bool, cherche cours/doc/mooc/tuto whatever. Évalué à 1.

    Suite :

    Soit une variable a qui peut prendre 2 états (0 ou 1). Il s'agit d'un élément dont dépend ta sortie. On pourrait le représenter ainsi :

          a
    _____ \____ (on appelle ça un contact normalement ouvert)
    
    

    On peut aussi le représenter ainsi (ladder):

          a
    -----| |--------
    
    

    si a=0, le contact est "au repos", le circuit est ouvert.

    Si a= 1, le contact est fermé (tu appuies sur le bouton), le circuit est fermé.

    Ecrire S=a signifie que l'état de S est équivalent à l'état de A.

    Ca peut se représeter ainsi :

    |     a              |
    |____ \_______(S)____|
    |                    |
    
    

    si a = 0, s=0 (si c'est une lampe, elle est éteinte)
    Si a = 1, s= 1 (la lampe est allumée)

    Représentation cas ou a n'est pas actionné (contact ouvert)

    |     a              |
    |____ \_______(S)____|
    |                    |
    
    

    A est actionné (contact fermé, se comporte comme un fil), la lamper s'allume

    |     a              |
    |_____________(S)____|
    |                    |
    
    

    On pourrait écrire s=f(a) avec a ne pouvant prendre que deux valeurs, 0 ou 1.

  • # Ce qui m'a permis de comprendre l'algebre de boole, c'est du conctret.

    Posté par  . En réponse au message Algèbre de Bool, cherche cours/doc/mooc/tuto whatever. Évalué à 1.

    L'algebre de Boole est une algèbre basée sur le binaire.

    Une équation booleenne S = (expression) peut être comparée à un énlément (une lampe, un contact) qui s'active (s'allume pour une lampe, se ferme pour un contact normalement fermé, ou s'ouvre pour un contact normalement ouvert). Pour l'explication on va considérer que S est une lampe :

    ---(S)---
    
    

    L'état de cette lampe peut être éteint (s=0) ou allumé (S=1).

    Représentation de S=0:

    les barres verticales représentent l'alimentation d'un montage électrique (mais on pourrait représenter ça avec des éléments pneumatiques, hydrauliques ou autre) La représentation peut se faire autrement mais celle que j'utilise est souvent utilisée sur des automates programmables (Ladder)

    Représentation de S=0 :

    |                             |
    |                       -(S)--|
    |                             |
    
    

    Il n'y a pas de contact entre les deux extrémités de ton alim donc ta lampe ne peut s'allumer

    Représentation de S=1 :

    |                             |
    |------------------------(S)--|
    |                             |
    
    

    Il y a un contact (un fil) entre les deux extrémités de ton alim, S est alimenté donc S=1 (si c'est une lampe elle s'allume);

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 2.

    J'ai compris : j'ai un problème de clavier ou de gestion de clavier … Je ne sais pas ce qui se passe mais entre mon cerveau et l'arrivée des caractères dans linuxfr, il y a des interférences …
    J'essaie de voir d'ou ça vient … (j'ai tenté de corriger à la relecture mais je n'ai pas tout vu passer).

    Il doit y avoir aussi un phénomène "fatigue" qui n'aide pas (moins attentif aux erreurs). Ou mon clavier qui se fait vieux également …

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 2. Dernière modification le 10 juin 2021 à 03:08.

    tu confonds diffusion, amélioration, mettre aux yeux du public…
    forcément, ce n'est pas ce que tu attends :-)
    mais c'est cela à quoi tu t'exposes, dès que tu diffuses un truc, un jugement potentiel.

    Je pense que c'est plus un problème d'expression de ce que j'ai en tête qu'un problème de confusion. Dans ma tête, dans les grandes lignes les choses sont plutốt claires (sauf à certaines limites ou il y a des interprétations différentes possibles), mais comme je ne suis pas un artiste, ou ni même un écrivain ou éditeur d'oeuvre littéraire, j'ai du mal à exprimer ce point de vue.

    En fait pour moi,, une oeuvre à vocation artistique est une oeuvre qui diffuse une part de l'auteur (ou des auteurs pour une oeuvre composée) au travers de cette oeuvre. Une part de personnalité, une part de vécu, une part d'émotion, les influnces de l'époque à laquelle il vivait …. ( c'est une idée que j'ai du mal à exprimer). C'est pour moi la grande différence entre du code et des oeuvres à vocation artistique : le code n'est là que pou répondre à un besoin donné, pour "faire des trucs". Ce n'est que de l'automatisme, ce qui n'est pas le cas d'une oeuvre à vocation artistique. Et quand tu comprends ce point de vue, tu en viens à comprendre ce que j'entends par "altération" d'oeuvre et la volonté que j'ai de différencier ce que je suis ammené à écrire dans une oeuvre de ce qui peut être apporté par un tiers (traduction, "amélioration", etc …). Et comme j'ai la fibre du libre, je suis pris un peu entre deux feux dans le cas ou j'irais jusqu'au bout de l'écriture de ma nouvelle pour concilier cette vision avec la liberté de diffuser ou de modifier, réécrire, transformer l'oeuvre.

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 1. Dernière modification le 10 juin 2021 à 02:55.

    Ca y est, tu as gagné, tu vas encore me faire cogiter pendant une partie de la nuit :)

    En fait tes deux exemples me font penser à des similitudes :

    Chaque édition d'un livre est donc une édition différente ? Si c'est le cas la réédition d'un livre dont on a pas touché au texte de l'auteur, mais simplement changé le format du livre, peut être ajouté une préface, changé le contenu de la 4ème de couverture voir simplement une édition de luxe identique avec un papier de meilleur qualité et une couverture cartonnée, ce sont bien des œuvres différentes ?

    Pour une toile ou un tableau je comparerais ça au cadre dans lequel tu mettrais le tableau … Et la je t'avoue que je n'ai pas de réponse dans l'immédiat (mais j'y cogite)

    Un même film projeté dans 2 salles différentes (tailles d'écran différents, voir techniques de projection voir pas de projection, etc, système de son différents) ce sont des œuvres différentes ?

    Pour une toile ou un tableau, on pourrait faire une analogie avec le musée et la façon dont l'oeuvre est exposée (mur, éclairage par exemple). Toujours pas plus de réponse.

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 1.

    Chaque édition d'un livre est donc une édition différente ?

    Oui.

    Si c'est le cas la réédition d'un livre dont on a pas touché au texte de l'auteur, mais simplement changé le format du livre, peut être ajouté une préface, changé le contenu de la 4ème de couverture voir simplement une édition de luxe identique avec un papier de meilleur qualité et une couverture cartonnée, ce sont bien des œuvres différentes ?

    Ca dépend. Comment est-ce que tu considères un cadeau emballé dans un papier cadeau ? Est-ce que tu considères l'ensemble coimme un cadeau ou juste le contenu du papier cadeau ?

    Après ça dépend de ce que tu "vends" : le texte (dans ce cas tu ne prête pas trop attention à la "forme" du luvre) ou le texte + l'emballage ( c'est d'ailleurs le cas des éditions spéciales de certains livres, ou de certains albums musicaux qui ajoute de l'enrobage en pluis de l'oeuvre initiale. Tu peux aussi considérer une compilation comme une oeuvre dérivée d'un ensemble d'autres oeuvres sur une thématique bien précise.

    Un même film projeté dans 2 salles différentes (tailles d'écran différents, voir techniques de projection voir pas de projection, etc, système de son différents) ce sont des œuvres différentes ?

    Sans y avoir trop réfléchi, je dirais que tout dépend du master dont ils sont issus (Une remasterisation pour moi est une oeuvre dérivée (dailleurs une version d'un master est une oeuvre à part entière).

    Possible donc que ça le soit dans certains cas. La taille de l'écran pourrait peut-être entrer en compte, je me demande en compte je pense ainsi que le le rendu audio. Mais je ne serais pas surpris que certains producteurs d'oeuvres cinématographiques aient des exigeances sur les caractéristiques des salles dans lesquelles ils autorisent la diffusion de leur oeuvre … Sauf que dans ce cas ce ne sont pas les salles de cinéma qui ont la main dessus (ils sont passifs) mais les auteurs/éditeurs qui contrôlent la chose … Se poser ce genre de question, c'est se demander si un fabricant de matériel audio devient artiste et a une part de la paternité des oeuvres selon la qualité du matériel audio qu'il diffuse parce que l'oeuvre ne sera pas rendu à l'identique sur le même matériel.

    Si tu répond oui à l'une des 2, tu change le statut des exploitants de salles ou des éditeurs qui deviennent artistes et ont une part de la paternité des œuvres. C'est un point de vue qui se défend mais qui a des implications.

    Pas forcément. Ca dépend si l'altération est une altération "volontaire", lié par l'interprétation d'une ou plusieurs personnes.

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 3.

    eub bin, l'intérêt c'est l'à venir plutôt (l'ami de Mickey ;-))

    Non, plutôt, c'est le chien de Mickey. L'ami de Mickey, c'est Dingo

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 1.

    (combien de fois devra-t-on lire qu'une œuvre littéraire est forcément finie après publication, quand la réalité montre que les livres sont adaptés en film, pièce de théatre et j'en passe, à tour de bras?).

    Tu confond oeuvre et "oeuvre dérivée" (cela dit c'est plus une question de point de vue et de vocabulaire - ais comme on n'emploie pas le même pour désigner la même chose, ça prête à confusion )….

    Pour moi une interprétation d'une chanson par un ensemble de musiciens + chanteur est un oeuvre. La "matière" de cette oeuvre peut être un ensemble d' "autres oeuvres" telles que paroles (texte), musique (composition), mélodie, etc. Mais l'inbterprétation est une oeuvre à part entière : elle sera différente et n'aura pas le même effet selon qui l'interprête et le moment auquel il l'interprète. D'ailleurs, chaque occurence d'un concert d'un groupe est une oeuvre en elle-même, qui n'est pas reproductible d'une occurence à une autre (à moins d'être une machine qui puisse refaire exactement la même chose tout le temps).

    Un livre est une oauvre. Un film inspiré de ce livre est une oeuvre dérivée …. Après je comprends ton point de vue, car on peut considérer (exemple star wars) qu'un ensemble d'oeuvres sur un même thème constitue une oeuvre en soi et qu'à ce titre elle n'est pas terminée. Mais je ne pense pas que ce soit le cas dont on discute ici (le point initial était l'édition d'oeuvre littéraire).

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 2.

    Suite aux nombreux échanges qu'on a eu ici, je commence à y voir pas mal clair sur tout ça. Il y a des questions que j'ai posées, auxquelles vous avez répondu et qui m'ont permis de déterminer dansles grandes lignes ce que je voulais "ouvrir" ou non d'un livre de type roman ou nouvelle que je viendrais à écrire.

    Supposons que je vienne à écrire une histoire nommée "les six rots des rats bleus" raccontant l'histoire de trois rats bleux qui lorsqu'ils boivent un coup, ont pour habitude de finir leur verre par deux rots, un tour a tour en creschendo (sauf la soeur qui finit parce qu'elle rote plus fort que les autres).

    Cette histoire, je la nomme "les six rots des rats bleus" de Totof2000.

    Sur cette histoire, j'autorise la distribution/recopie/citation, telle quelle, avec juste l'obligation de mentionner le titre et l'auteur (comme dans toute citation).

    J'autorise à tout le monde d'en faire une oeuvre dérivée et des produits dérivés.

    Ce que j'entends par "produit dérivé" ou "oeuvre dérivée", c'est toute réécriture - complète ou partielle de l'histoire en reprenant tout ou partie du texte ou du scénario, les adaptations de toute sorte (textes, chansons, figurines, peluches, BD, film, dessin animé, pièce de théatre, parodie, etc …), traductions (plus ou moins libre), enfin, tout ce qui est contrôlé par beaucoup de majors dans le monde traditionnel.

    N'importe qui peut DONC modifier et adapter, sous toute forme, soit en l'appelant "les six rots des rats bleus" de , ou en changeant le titre s'ils le veulent. Pour l'instant je ne demande que d'indiquer "dérivé de l'oeuvre "les six rots des rats bleus" de Totof200 - cette oeuvre ne reflète pas forcément les idées ou les opinions de l'auteur de l'oeuvre initiale.
    (certains ne trouveront pas ça libre mais passons, ce sera un autre débat).

    Je n'introduis pas de notion de "copyleft" : si quelqu'un veut dériver l'oeuvre sous une forme "propriétaire" avec son univers, ses personnages, ses figurines, il n'y a as de problème, toujours en respectant de mentionner sa source d'inspiration.

    Si on regarde l'ensemble de tout ça on peut voir ça comme un arbre avec des "noeuds", chaque "noeud" correspondant à une oeuvre dérivée. Les gens qui créent des "noeuds"

    Supposon qu'une boite comme Disney produise un "noeud" ou "ensemble de noeuds" de l'histoire, qu'ils vont "propriétariser (ce que je n'empêche pas)". Ce "groupe de noeuds" aura son propre univers, ses propres représentations des personnages (figurines, etc …), traductions, suites en tout genre, bref, un sous ensemble contrôlé par Disney.

    Comment faire pour que, par armée d'avocats interposés, Disney ne puisse pas empêcher les histoires trop proche de ce qu'ils ont créé ?

    Comprenez-vous ce qui me préoccupe ou n'ai-je pas été assez clair ?

    Le cas existe - par exemple ils ont adaptés "les trois petits cochons" il me semble, la belle et la bête, Blanche Neige, etc …. Avec ce genre d'oeuvre très connue depuis longtemps, c'est difficile de se l'approprier au détriment des autres (à moins que des morceaux de l'oeuvre "semblable" soit trop proche d'un point de vue graphique, ou dans le détail du scénaio ou dans les dialogues de l'oeuvre de Disney). Mais comment gérer la limite ?

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 1.

    Ce préjugé sur le "un tout" est destructeur, il fige. Non, un livre n'est pas plus fini qu'un logiciel, il peut évoluer.
    J'adore le film "Blade Runner". Et :
    - Il est basé sur un livre, mais très largement modifié
    - Il a plusieurs fins (celle négociée par les producteurs, celle voulue par le réalisateur…)

    Pour moi il s'agit d'une (ou plusieurs) oeuvre dérivée.

  • [^] # Re: HS FSF et "pas de droits d'auteurs"

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 0.

    Les droits d'auteurs servent à… Limiter.

    C'est la seule phrase sur laquelle je suis d'accord.

    Les "méchant" veulent… Limiter.

    C' est qui "les méchants" ? Ils veulent liliter quoi ?

    Les "gentils" veulent… Limiter.

    C'est qui les gentils et ils veulent liliter quoi ?

    Les droits d'auteurs limitent. Par défaut lorsque tu es auteur de quelque chose, personne d'autre que toi n'a de droit sur ton oeuvre.

    Les "méchant" veulent… Limiter.

    Je ne sais pas qui sont t "les méchants". tout ce qu eje sais c'est que des personnes font sauter certaines limites aux droits d'auteur en autorisant uniquement l' "utilisation" de leur oeuvre (lecture pour un livre, visualiser pour un film, écouter pouyr de la musique …)". D'autres font sauter encore plus les limites (notamment sur les logiciels) en autorisant de modifier ceux ci pour ceux qui veulent bien mettre également à disposition les mêmes droits qu'ils ont reçus. Enfin d'autres vont plus loin en faisant sauter les limites, et se moque que d'autres ne donnent pas les mêmes possibilités que celles qu'ils ont rezçues aux autres. Ya ni "méchant", ni "gentils" dedans.

  • [^] # Re: HS FSF et "pas de droits d'auteurs"

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 3.

    Les "méchant" veulent… Limiter.
    Les "gentils" veulent… Limiter.
    Les droits d'auteurs servent à… Limiter.
    CQFD.

    Et ? Ca ne veut rien dire.

    Et si je mens, tu pourras le démontrer facilement vu que c'est "évident" pour toi.

    C'est à l'accusateur de porter la preuve de son accusation. Tu n'es pas d'accord avec la FSF ? Soit, c'est ton droit. MAis dire que les autres points de vues sont des mensonges parce qu'on ne les partage pas, c'est une forme d'extrémisme. Démontre le mensonge en reprenant les propos de la FSF. Pour mi i n'y a rien d'évident (note que je suis loin d'être d'accord sur tous les points de vue de la FSF, ce n'est pas pour autant que je qualifie ses propos de mensonge).

    Les "méchant" veulent… Limiter.

  • [^] # Re: HS FSF et "pas de droits d'auteurs"

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 4.

    Il faudrait un jour arrêter de colporter les mensonges "marketing" de la FSF : la FSF a besoin des droits d'auteurs pour sa cible (le copyleft).

    Je ne rentrerai pas dans ce débat que tu tues dès le départ. Prouves que c'est un mensonge et on verra. Pour moi là c'est toi le menteur.

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 1.

    C'est juste l'interprétation par Jimi Hendrix. Il ne lui a pas donné d'autre nom.

    Ben oui, parce que l'oeuvre c'est pas le texte uniquement, c'est aussi l'interprétation ….

    Quel est le rapport avec le fait de faire évoluer l'œuvre ? (

    Parce que tu dis qu'on "peut la retrouver" … Factuellement c'est pas toujours vrai.

    Agatha Christie a publiée en 1940 le livre "Ten Little Niggers" personne ne réécrira ça. Aujourd'hui les ayants droits donc ceux considérés comme les garants de la vision de l'auteur (et ça n'est pas une question de licence libre) considèrent que le nom n'aurait pas était choisi avec la connotation des mots d'aujourd'hui (ou plus exactement le regard que l'on porte sur ces mots).

    Donc dans 10, 20, 30, 50, 100ans, quand toutes les versions "qui ne conviennent pas" auront disparues ?

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 2.

    Prends l’exemple de Pepe the Frog : le créateur de ce personnage n’a jamais autorisé sa ré-utilisation par d’autres que lui, ça n’a pas empêché pour autant les membres de l’alt-right américaine d’en faire un de leurs symboles.

    Parce qu'il me semble qu'aux US la loi permet justement ce genre de réutilisation, sauf mention explicite de l'auteur (on a les exemples de musiques utilisées sur des meetings politiques ) - a mmoins que je confonde tout ce qui est possible :)

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 3.

    Tu essentialise, mais il n'y a pas de moment où une œuvre est finie et à partir du moment où toute action devient une altération. Il est décidé arbitrairement qu'une œuvre est finie et ce n'est pas forcément l'auteur qui le décide.

    Peu importe de qui le décide. A un moment l'oeuvre à un état donné est considérée comme "finie". Et les cas d'oeuvres individuelles ou d'oeuvres colectives sont un peu différent. Un film par exemple est une oeuvre collective qui pourrait à mon sens se traiter de façon plus proche des logiciels colaboratifs qu'une oeuvre individuelle.

    ce n'est pas forcément l'auteur qui le décide.

    Effectivement, dans le cas d'ne fresque commandée par quelqu'un à un artiste par exemple (je pense aux plafonds du château de Versailles" c'est certainement le comanditaire qui au final décidera si une oeuvre est finie ou non … même si l'auteur de l'oeuvre n'est pas d'accord. Peut-être que our un auteur de roman associé à un éditeur, son éditeur lui donnera certainement des instructions ou lui fera des remarques quant à son oeuvre pour l' "améliorer". Mais même dans ce cas il est fort probable que la modification se fera sans dénaturer l'oeuvre originale, et c'est surtout l'auteur qui sera en mesure de déterminer si l'oeuvre en question correspond à ce qu'il avait dans la tête, à son "interprétation", parce que tu as beau le tourner dans tous les sens, à la base c'est son oeuvre.

    Il faut noter qu'une nouvelle version d'une œuvre ne détruit pas l'ancienne (il y a une problématique d'accès à la précédente, mais c'est plus une question logistique qu'autre chose).

    Pas qu'un problème logistique, mais aussi un problème d'identification claire de l'auteur de l'oeuvre dans le cas ou celle-ci est modifiée par un tiers comme je l'ai indiqué par ailleurs. A moins que l'auteur accepte d'effacer son nom de l'oeuvre et de la laisser dans le domaine public, mais en raison des droitspatrimoniaux inaliénables, s'il fait ça, il doit le faire de façon anonyme.

    Non puis que l'œuvre originale existera toujours. Le fait que Jimi Hendrix n'a pas changé l'hymne américain par exemple.

    Oeuvre dérivéer toujours …

    Pour moi si tu veux une coparaison … Prenons l'exemple de la Joconde : doit-on permettre à quelqu'un de la retoucher pour l'améliorer ? Si c'est le cas, l'oeuvre originale n'existe plus. Doit-on le permettre ? Si on ne le permet pas il faut partir d'une copie (quasi) parfaitede l'oeuvre originale et la reprendre pour l' "améliorer", ce qui constitue une oeuvre dérivée à mon sens.

    La question se pose de la même façon pour un texte (roman) : peut-on ou doit-on permettre qu'un texte soit repris et "amélioré" en considérant qu'il s'agit d'une oeuvre colective ou doit-on considérer qu'une copie + modification est une oeuvre dérivée de l'oeuvre inbitial ?

    Perso, je suis plutôt pour la seconde solution …. Mais je n'impose pas mon point de vue, je comprends qu'on puisse ne pas être d'accord et avoir un avis différent.

    les différentes versions des films Star Wars sont faites par le même réalisateur.

    C'est un bon exeple ça … la remasterisation des épisodes IV V et VI est un très bon exemple. Est-ce que les diverses versions ou la fin a changé sont toujours disponibles ? J'ai cru comprendre que non, tout du moins pas de façon officielle. Ben perso, c'est le genre de truc que je voudrais éviter.

    Non puis que l'œuvre originale existera toujours.

    Pas forcément …. Elle peut disparaître d'une façon ou d'une autre … parce qu'elle était si peu diffusée qu'on en a perdu trace par exemple. Dans le domaine des séries, pas mal des premiers épisodes de Doctor Who ont disparu parce que la pratique à l'époque était de réutiliser les bandes parce qu'elles coutaient cher …

    Le troisièe risque (sur lequel je ne e suis pas étalé) c'est une "réécriture de l'histoire" à la mode "ministère de la vérité" de 1984. Je n'en ai pas parlé parce qu'il faudrait un certain alignement de planètes pour que ça se passe mais le risque n'est pas nul, et est plus subtil qu'une cesure d'état (cf le renommage de l'oeuvre "les dix petits nègres" par exemple).

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 2.

    Tout le monde sait que ton œuvre est librement modifiable par n’importe qui, tu n’es pas responsable des versions modifiées.

    Certainement, mais si la version modifiée est loeuvre qu'une personne voit en premier, le risque d'amalgame est important. Après faut que je me pose des questions sur les risques que j'accepte ou pas. Et cette discussion va grandement m'aider (notamment ce commentaire-ci qui est assez pertinent dans la manière de oser la problématique).

    En tout cas, ce journal m'a redonné envie de me mettre à l'écriture (j'avais un peu abandonné ces dernières semaines, et relire l'histoire de Ploum ainsi que ces considérations m'a redonné de la motivation).

  • [^] # Re: VM ou Clef USB LIve

    Posté par  . En réponse au message Tout à fait débutant. Évalué à 2. Dernière modification le 06 juin 2021 à 23:11.

    Attention, pour "essayer" pourquoi pas, mais ne t'attends pas à des performances de ouf, ni que ce soit représentatif de ce que Linux peut réellement faire. 4 Gb minimum à mon avis pour faire tourner quelque chose de plus que l'OS de façon relativement fluide, de préférence avec un CPU dual core. N'oublie pas que faire tourner un OS c'est bien, mais qu'en général, un utilisateur utilise les applications sur la machine, il n'installe pas un OS pour un OS.

    En dessous ça peut marcher, mais moins tu auras de coeur, plus ça ramera, moins tu auras de RAM, plus ça ramera ( (chez moi, même un xfce a un peu de mal avec 1 GB de RAM et 2 cores, ou 1 core et 2 Gb de RAM).

  • # réponses ...

    Posté par  . En réponse au message Recherches. Évalué à 5. Dernière modification le 06 juin 2021 à 23:02.

  • [^] # Re: Assez en phase avec l'analyse que j'avais faite .....

    Posté par  . En réponse au journal Les différences entre la littérature et le code pour les licences libres. Évalué à 2. Dernière modification le 06 juin 2021 à 22:51.

    raduttore, traditore 1  ;-) forcément, une traduction changerait le ressenti (le seul exemple qui me vient en tête où l'esprit de l'œuvre est conservé et adapté, c'est pour Gödel, Escher, Bach, les brins d'une guirlande éternelle 2 mais — bien sûr — c'est l'auteur qui s'est chargé de la traduction en français et allemand (et anglais…).

    Tu as tout à fait raison, une traduction est bien une oeuvre dérivée. J'irais même plus loin : un film traduit dans une autre version qu'une VO est également une oeuvre dérivée (et certaines traductions non officielles d'oeuvres originales sont bien mieux que la traduction officielle fourni par le producteur du film ou de la série).