Pour tous ceux qui s'intéressent à la compression vidéo sous Linux, voici un guide sur le "rippage" et l'encodage sous Linux. Deux méthodes sont expliquées : l'une avec mplayer et l'autre, plus conviviale, avec transcode et le GUI dvd::rip.
Plein de nouveautées pour le guide de survie :
-Deux nouveaux chapitres :
+l'installation
+les premiers pas de l'utilisateur de base
-Une numérotation des chapitres (merci à Claude Mahé)
-Des versions imprimables mises en forme par les utilisateurs, avec table des matières
-Une version Mobipocket pour Psion, Palm et CE pour la consultation en déplacement
Suite à de nombreux ajouts (merci à tous les contributeurs), on arrive maintenant à environ 100 pages, toujours d'un seul tenant pour un maniement plus efficace
Voulant me connecter à différentes radio sur le net, je viens de me rendre compte que le 90% des "emetteurs" qui fonctionnaient avant avec des stream RealAudio (utilisable sous Linux), venaient de passer à "l'ennemi": chaque site exige le génialissime MS Windows Media Player, qui n'a bien sur pas de version pour notre OS favori. Par exemple la radio romande Radio Framboise.
Question: est-il possible de tout de même écouter ces streams ? Si oui, de quelle manière ? : avec Wine et le Mediaplayer original, d'autres softs, ou y-a-t'il d'autres solutions ?
La version 2.2.1 du guide de Christian Casteyde est disponible depuis quelque jours.
Ce guide intéressera sans doute bon nombre de Linuxien débutant (tout comme moi :-). Le document (plus de 400 pages quand même!) traite un grand nombre de sujets allant de l'installation d'un système de base à la configuration du réseau en passant par la compilation du noyau et j'en passe.
Dans le cadre de mon tfe, j'ai été amené à expliquer et à modéliser le protocole IPsec ainsi que la partie gestion de clé IKE. Il y a aussi une série de tests réalisés sur des routeurs Cisco. Ce n'est pas encore complètement terminé mais la partie descriptive elle, l'est.
Vu sur la mailing list LARTC (Linux Advanced Routing and Traffic Control), la mise en ligne d'un guide de l'administration reseau IP pour Linux (kernel 2.2 et 2.4).
Comme l'indique l'auteur, ca concerne aussi bien l'admin IP "de base" d'un simple hote que l'admin IP d'un routeur plus complexe (QoS, traffic shaping, NAT, PAT ...).
En outre il est disponible en plusieurs formats et l'auteur encourage ses lecteurs a lui faire part des critiques, eloges et corrections eventuelles.
Dans le 01 Informatique sorti ce vendredi, il y a un interview de Bob Young de RedHat et d'après le contenu de l'article et des questions du journaliste, il semblerait qu'il soit dans l'air que RedHat soit sur le point de racheter Novell.
Travaillant tous les jours avec Novell 5 et passionné de LINUX je pense que ce serait une excellente chose.
Qu'en pensez-vous ?
Comme tout le monde le sait, KDE et les K-Applications supportent automatiquement l'anti-aliasing (lissage de courbes) pour une meilleure lisibilité, et ce depuis la dernière version stable et pour peu que votre carte graphique supporte l'extension "render" de XFRee 4.0.2
Tout ceci est tellement nouveau, que bien souvent ces extensions ne sont pas proposées par défaut dans les distributions.
Un HowTo a été publié sur "dot.kde.org" afin d'aider à la configuration de votre système avec les Xft et AntiAliasing
D'un côté, certains MUA (NdM: Mail User Agent) comme Kmail font du PGP "in line", c'est à dire dans le corps du mail. D'autres utilisent des messages PGP/MIME (NdM: la signature est dans une partie MIME). Bien entendu, ce n'est pas vraiment compatible, et il est pénible de lire les mails de l'un avec l'autre.
Qu'en disent les RFC ? A l'origine, PGP était "in line", comme le définit la RFC 1991 qui date de 1996... Mais depuis, les RFC 2015 et 3156 (la 3156 est une maj de la RFC 2015 datée de 2001) définissent clairement PGP/MIME comme "proposed standard".
Mutt par exemple, utilise PGP/MIME... mais c'est quasiment le seul (oui oui il y a aussi Gnus). Kmail utilise le PGP inline...
Avant que tout le monde passe en PGP/MIME, il est préférable bien entendu de pouvoir utiliser les deux.
En attendant ça, vous pouvez utiliser 3 scripts Perl pour permettre à Kmail de lire les mails cryptés/signés en PGP/MIME, ou bien passer à Gnus (en bricolant un peu il doit surement faire les deux et même plus :p)
Note du modérateur: la version CVS de Gnus (Oort Gnus) supporte tous les modes d'utilisation de PGP, dans le corps comme en détaché, de manière transparente et sans qu'il y ait besoin de "bricoler". Je vous rappelle également qu'il existe GnuPG, une implémentation libre du protocole OpenPGP, qui remplace complètement la version commmerciale nommée PGP. Voir le lien dans la boîte Edito :)
Pour le moment, pour mettre en place un pont filtrant sous Linux, on n'avait pas beaucoup le choix : en attendant quelque chose de propre et documenté avec le kernel 2.4 et NetFilter, il fallait se résigner à revenir en kernel 2.2 et lire le
HOWTO Bridge+Firewall+DSL. Mais ce temps est révolu ! A nous les joies des ponts filtrants avec NetFilter !
Pour ceux qui ne comprennent pas ce que cela représente, imaginez que votre firewall Linux devienne "invisible" et qu'il puisse s'intercaler entre deux équipements (serveurs, routeurs, modems...) sans changer aucune configuration sur le reste de votre réseau (même plan d'adressage, rêgles de routage inchangées sur tous les équipements...). Si Si, c'est possible !
En gros, votre firewall Linux devient un switch mais il ne laisse passer que ce que vous autorisez... Pour ceux qui souhaitent intégrer un firewall dans un réseau déjà en place, c'est la solution idéale.
Voici la traduction d'un tutoriel d'initiation intitulé "Développer des applications GNOME avec Glade". Ce document, dont le titre résume le propos, s'adresse donc aux débutants n'ayant jamais utilisé
Glade mais ayant juste quelques bases en langage C (Glade est un constructeur d'interface utilisateur, logiciel libre inclus dans la plupart des distributions GNU/Linux).
Prochain épisode : Glade et Anjuta.
Nous l'avons vu depuis plusieurs mois, Linux a de plus en plus d'atouts pour s'imposer en entreprise au delà du serveur. Nous avons des bureau conviviaux, des suites bureautiques, des logiciels graphiques, de (rares ?) outils de CAO, mais il manque toujours un ingrédient : la gestion financière...
Par exemple, j'essaie d'implanter Linux dans une PME de trois salariés. J'ai ainsi démontré la puissance d'openoffice, de mozilla et les autres, mais il existe toujours un problème pour la comptabilité. Existe-t-il une suite compta de paie/comptabilité/gestion commerciale assez aboutie pour être utilisable en PME ?
J'attends vos suggestions ...
Je regardais le site web d'IdealX l'autre jour, et j'en suis arrivé à me poser la question suivante : certaines sociétés proposent aujourd'hui aux entreprises de modifier des programmes libres pour les adapter à leurs besoins, puis autorisent la société cliente à ne pas divulguer les changements (plus dans le fichier attaché).
Note du modérateur: étant donné que certains pourraient être amené à se poser la question, il me semble intéressant de laisser passer la nouvelle pour qu'on donne une réponse claire.
Update: Evidemment ce problème n'a rien à voir avec Idealx spécifiquement.
Je viens de mettre en ligne une page destinée à coordonner les efforts des volontaires pour traduire en français les pages de man qui ne font pas partie du Linux Documentation Project.
Ces pages sont très nombreuses (déjà 5000 répertoriées) et parfois très importantes pour comprendre le fonctionnement d'un système Linux et de ses programmes.
Quelques exemples : alsa, bochs, bind, bunzip2, chroot, efax, fg, groff, latex, loadkeys, mysql, postgres, strace, strip, strings, ispell, mke2fs, setserial, samba, traceroute, SuperProbe, XF86Config, etc.
L'idée, c'est que chacun mette la main à la pâte. 5000 traducs, c'est impossible pour un seul homme, mais il n'y en a que pour quelques jours en s'y mettant à 5000.
La traduction de pages de man est assez facile : il suffit de dézipper le fichier, de l'ouvrir dans un éditeur de texte, et de traduire entre les balises (inutile de connaître le langage de formatage groff).
Sur le plan linguistique, ces traductions sont aussi assez faciles.
Et si vous êtes vraiment fâché avec l'orthographe, je pourrai faire une relecture rapide avant intégration.
Le LPI est une certification Linux "inter-distrib", conçue dans le but de fournir aux gens qui le désirent une formation Linux non dédiée à une seule distribution (contrairement au RHCE de Red Hat par exemple). Le LPI aborde des problématiques communes à toutes les distributions, ainsi leurs spécificités respectives comme les formats de packages deb et RPM...
Si vous envisagez de passer cette certification, vous apprécierez sans doutes de faire un passage sur le site IBM "DeveloperWorks", qui présente une série de tutoriels permettant de passer le LPI 101 et 102 (ces 2 examens étant nécessaires pour avoir le niveau 1 du LPI). Seule la série 101 est complète, mais un tutoriel pour le LPI 102 est déjà disponible. Seul point noir : l'enregistrement est obligatoire :-(
Par ailleurs, le livre "LPI Linux Certification in a Nutshell" paru aux éditions O'Reilly reste le meilleur ouvrage à ce sujet, à mon avis, et mérite sa place aux cotés de "Running Linux" dans votre bibliothèque...